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00:00Comment vous réagissez quand vous entendez M. Bertrand parler de la place Vauban comme de la place du Capitole ?
00:07Trois choses. D'abord, effectivement, lui dans l'international de la connerie, il aurait une bonne place. Je pense que
00:12de ce côté-là, Xavier Bertrand, il nous habitue régulièrement à des belles sorties
00:16qui font qu'on comprend pourquoi jamais les électeurs de son propre parti ne le désigneront pour aller au présidentiel.
00:22Au-delà de ça, il y a deux choses intéressantes dans ce qu'il dit. C'est qu'il remet en cause que le soutien d'un certain nombre de grands
00:28dirigeants de démocratie. Je suis désolé, on peut ne pas aimer Victor Orban, on peut ne pas aimer
00:34Gerd Hilders, on peut ne pas les aimer. Mais ils sont élus, ce sont des responsables élus dans des démocraties.
00:41Donc je vois pas pourquoi on remet en cause ce qu'ils peuvent penser à partir du moment où M. Bertrand, lui,
00:47financier le lycée à Véroesse, il devrait vraiment se méfier quand il pointe du doigt
00:50des gens qui sont élus par un peuple. Et puis, la deuxième chose, M. Bertrand, il est allé manifester pour François Fillon
00:55au Trocadéro, à l'époque, donc manifester pour remettre en cause une décision de justice. Il l'a fait, M. Bertrand,
01:02à l'époque des présidentielles.
01:04Donc, c'est intéressant de voir que ce qu'il reproche aux autres, il l'a fait lui-même bien avant eux. Donc on voit qu'il n'est pas sérieux.
01:11Il est aveuglé par la haine qu'il a de Marine Le Pen et des électeurs du Rassemblement National et de leurs élus,
01:18totalement aveuglé par cette haine, ce qui fait qu'il n'a plus
01:20aucun principe. Et en politique, quand on n'a pas de principe, ça veut dire qu'on n'a que des intérêts.
01:24M. Bertrand, il poursuit une seule chose, c'est la défense de ses propres intérêts.

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