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Les cadres de La France insoumise utilisent différentes techniques pour se justifier du visuel contre Cyril Hanouna. L’animateur d’Europe 1 a été représenté sourcils froncés et grimace agressive, faisant penser aux caricatures antisémites des années 1930 et de l'Allemagne nazie. Alors comment se sont défendus Jean-Luc Mélenchon, Manuel Bompard et Mathilde Panot ?

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Transcription
00:00Lorsque Jean-Luc Mélenchon est interrogé sur le visuel de Cyril Hanouna et si sa diffusion était une erreur,
00:05le leader des Insoumis paraît agacé.
00:08Pourquoi vous me posez cette question ? De quel droit ?
00:11De quel droit ? Qui vous êtes ? Vous m'accusez ?
00:14Est-ce que vous m'accusez ?
00:15Pas du tout.
00:16Alors taisez-vous, vous êtes en train de continuer une campagne qui a démarré à l'extrême droite contre nous.
00:21Invité du grand rendez-vous ce dimanche matin, Manuel Bompa reconnaît une erreur et regrette l'utilisation de l'intelligence artificielle.
00:29C'est une erreur de l'avoir utilisé puisque précisément à la France Insoumise,
00:33nous avons normalement une règle qui est de ne pas utiliser les outils de l'intelligence artificielle pour de la conception graphique.
00:39Pour Mathilde Panot, la présidente des députés insoumis à l'Assemblée nationale,
00:43Cyril Hanouna n'a pas été ciblé pour son appartenance religieuse.
00:47Monsieur Hanouna n'est pas sur cette affiche parce qu'il serait de telle ou telle confession.
00:52Il est sur cette affiche parce qu'il propage des idées d'extrême droite.
00:56À la suite de la publication de ce visuel, retiré depuis, Cyril Hanouna a porté plainte.

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