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Fier des éloges reçus pour son équipe, Luis Enrique a insisté sur l'importance de la reconnaissance dans un environnement souvent pessimiste. L'entraîneur du PSG s'efforce de toujours défendre ses joueurs, soulignant notamment l’adaptation difficile de certains, comme Randal Kolo Muani à l’époque.

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Sport
Transcription
00:00C'est un honneur pour moi, comme entraîneur, et pour mes joueurs,
00:03d'entendre les professionnels du football parler bien de nous et de nous applaudir.
00:09C'est un vrai honneur, et ça nous motive à continuer à nous améliorer.
00:15C'est l'un de nos objectifs.
00:17Dans ce monde qui nous entoure normalement, si pessimiste,
00:21d'entendre et d'écouter les professionnels du monde du football parler bien de nous,
00:27c'est un honneur pour nous tous.
00:30J'ai l'habitude de parler bien de mes joueurs,
00:32parce que c'est ce que je ressens et ce qu'ils me transmettent.
00:36Je pense que c'est important...
00:38La vérité, c'est que quand je vois quelques fois qu'un joueur se pose la question sur son entraîneur,
00:42« Comment vas-tu ? », ça n'a pas de sens.
00:45Si ils te posent la question sur ton chef, « Comment vas-tu ? »,
00:48le directeur du journal ou de la radio, « Que vas-tu dire ? ».
00:53Dans ce cas-là, je n'ai pas de complaintes.
00:56Au contraire, Colomoani est un grand joueur,
01:02mais il y a une difficulté ajoutée quand tu arrives à un club comme Paris Saint-Germain.
01:07Dans ce sens, je n'ai que de bonnes mots pour lui et pour tous les joueurs
01:13à qui je n'aurais peut-être pas pu aider, tout ce que j'aurais aimé.

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