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JD Vance, vice-président des États-Unis a déclaré une guerre idéologique à l'Europe déclarant que "la menace" qui pèse sur l'Europe n'est "ni la Russie, ni la Chine" mais le renoncement a "certaines de ses valeurs les plus fondamentales. Depuis le sommet de Munich, le ministre délégué auprès du ministre de l'Europe et des Affaires étrangères a réagit.

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Transcription
00:00Absolument, Paris a commencé par répondre, notamment par le biais de Jean-Noël Barraud, le chef de la diplomatie française qui a garanti que la liberté d'expression était bien garantie en France et dans les démocraties européennes.
00:12Il a également exprimé sur X, personne ne peut imposer son modèle.
00:17Ça c'est pour la France, il y a aussi Berlin qui a été extrêmement choqué par cette leçon de J.Givens donnée ici à Munich.
00:24Olaf Scholz qui s'est exprimé hier matin ici à Munich, je le cite, la direction que prendra notre démocratie, nous seuls en déciderons, nous et personne d'autre.
00:33Ambiance donc, on sait aussi que J.Givens a rencontré la chef du parti d'extrême droite allemande ici à Munich comme un soutien, presque, en tout cas c'est comme ça que c'est perçu ici à Berlin.
00:43Alors que l'Allemagne a ses élections législatives dans une semaine, ambiance très tendue à Munich.
00:49La question ukrainienne a été extrêmement peu abordée par J.Givens alors qu'il était attendu sur ça ici à Munich.
00:55Cette conférence, vous l'avez dit, qui se termine aujourd'hui, qui a finalement été plutôt le théâtre de confrontation plus que d'un rapprochement entre les Etats-Unis et l'Europe.

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