Les figures emblématiques de l'extrême droite européenne et du groupe "Les Patriotes pour l'Europe", se réunissent pour deux jours dans la capitale espagnole. Juste avant de prendre la parole, Marine Le Pen a déclaré que la "France ne peut pas être assujettie aux États-Unis".
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00:00— Le sujet, encore une fois, c'est pas d'essayer de détecter dans le monde des clones. Le sujet, c'est d'essayer d'analyser – et je le ferai dans mon intervention, d'ailleurs –
00:10qu'est-ce qui est en train de se passer dans le monde. Voilà. Il y a quelque chose qui se passe. Il y a manifestement un rejet des politiques ou d'une vision
00:21dont on a gavé les différents peuples, et pas seulement européens, et qui aujourd'hui reprennent une forme de liberté. Alors ils la prennent en faisant le choix
00:30un coup pour les uns, un coup pour les autres. C'est pas le sujet. Et la question n'est pas de savoir s'ils sont proches ou pas proches des politiques
00:37qu'on veut mettre en place, puisque par définition, quand vous êtes souverainiste, vous imaginez bien que chaque pays doit avoir la maîtrise de sa propre politique
00:44qui, évidemment, correspond à ses propres intérêts. Mais je pense que moi qui ne prendrai jamais Milley comme modèle pour la France, il n'en demeure pas moins
00:55qu'il est quand même le symbole d'une forme de liberté que le peuple argentin a souhaité se donner. Voilà. Je pense que c'est ça qu'il faut faire. C'est une analyse un peu en hauteur
01:11de ce qui est en train de se passer dans le monde aujourd'hui. Milley, Trump, Orban, Mélanie, les résultats, le parti, notre parti allié autrichien est en tête, nous sommes en tête,
01:24nos amis flamands sont en tête. Je veux dire, à un moment, il se passe quelque chose, il faut l'analyser. Et moi, je crois que c'est une forme de renaissance à laquelle on assiste.