• hier
Dans son édito du 29/01/2025 dans Punchline, Laurence Ferrari revient sur ces mots tabous tels que "submersion"; "arrêter de taxer les entreprises françaises" qu'il ne faut surtout pas prononcer au risque d'être «éliminé par l'intelligentsia qui mène le monde politique depuis 40 ans».

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00Il y a des mots qui, hélas, ne sont pas les mots bleus, ceux que l'on dit avec les yeux
00:04du chanteur Christophe, des mots tabous, qu'il ne faut surtout pas prononcer si vous ne voulez
00:08pas finir dans le goudron et les plumes, voire carrément éliminés par l'intelligentsia
00:13qui mène le monde médiatique et politique depuis 40 ans.
00:15Submersion, ça c'est insupportable à entendre, surtout pour parler du phénomène migratoire
00:21qui touche tout notre territoire, ultramarins ou pas, François Bayrou qui connaît pourtant
00:26la chanson, en fait, la mère expérience aujourd'hui, on verra si cela lui coûte
00:31le soutien tant espéré des désespérants députés socialistes.
00:34Autre tabou, arrêter de taxer les entreprises françaises qui créent des emplois, ça aussi
00:39ce sont des mots absolument interdits par le logiciel marxiste qui n'en finit plus d'abreuver
00:43nos cerveaux depuis mai 68, je pense à Bernard Arnault qui a eu le courage de dire à quel
00:47point la politique de la France qui taxe, taxe et re-taxe le made in France était
00:51absurde au regard de ce que les Etats-Unis sont en train de faire pour leurs propres
00:54entreprises, le bon sens, le pragmatisme pour lutter contre le dogmatisme et l'étatisme
01:00d'un pays, le nôtre sclérosé.
01:02Alors peut-être que ces mots résonneront un jour aux oreilles de ceux qui nous gouvernent,
01:06parfois comme le dit Christophe dans cette chanson, parler me semble ridicule, je m'élance
01:11et je recule, c'est une parabole saisissante des années Macron, on va en débattre ce
01:14soir dans Pulchline.

Recommandations