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L'ancien juge d'instruction et magistrat honoraire, Philippe Bilger, parle de la prise de parole d'Emmanuel Macron depuis Le Louvre : «On ne peut pas nier que le président de la République a raison de s'intéresser à la dégradation du Louvre».

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Transcription
00:00Pour une fois, on ne peut pas dénier que le président de la République a raison de s'intéresser à la dégradation du Louvre.
00:10Simplement, on suppose qu'il est capable aussi d'accomplir les choses qui relèvent de sa mission fondamentale.
00:18On a si peu de choses à louer chez lui que si on enlève même les bonnes choses, il ne restera plus rien.
00:26Vous ne savez pas, si j'étais président de la République, je ne ferais qu'une chose.
00:29Aujourd'hui, vu le contexte, je dirais que je fais confiance au Premier ministre pour trouver la stabilité budgétaire et politique.
00:34Je ne m'occuperais qu'une chose, c'est de notre compatriote sans salle.
00:38Que ça. Jour et nuit.
00:40Et je prends en témoin le pays, je serais jugé sur ce résultat-là.
00:46Je trouve qu'il y a quelque chose de dérangeant dans cette mise en scène au Louvre.
00:52On va faire une seconde entrée, on va faire payer un peu plus cher les visiteurs étrangers, on va très bien.
01:00Mais enfin, Philippe, tu sens bien que par rapport à d'autres sujets, il y a quelque chose qui ne va pas.

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