Transférée d’Auschwitz, en Pologne, à Mittelbau-Dora, un camp de concentration nazi en Allemagne, Lili Jacob, jeune juive, découvre, en avril 1945, un album de photographie dans des baraquements abandonnés par les gardiens SS. C’est « L’Album de Lilli Jacob ». On l’appelle aussi l’« Album d’Auschwitz ». A l’intérieur, 193 photographies montrent l’arrivée de centaines de milliers de Juifs de Hongrie dans la gare du centre de mise à mort d’Auschwitz, entre la mi-mai et début août 1944.
A Auschwitz, entre 1942 et 1943, il a organisé et plannifié la mort de 450 000Juifs. En ce printemps 1944, il est chargé de superviser le massacre des Juifs de Hongrie. Sous ses ordres, 350 000 d’entre-eux seront mis à mort dans les premières heures de leur arrivée, 100 000 autres mourront au travail, de faim, de maladie, sous les coups de leurs geôliers.
Pour rassurer la hiérarchie des SS sur l’accomplissement de sa mission, Rudolf Höss commande un album de photographie. Son idée : montrer que la sélection des Juifs se déroule sans problèmes particuliers. Sauf que les deux SS qui ont prise ces images échouent dans leur entreprise. Malgré tous leurs efforts pour la dissimuler dans leurs photos, ils n’on pas réussi à cacher les nombreux détails qui attestent de la barbarie des nazis. Ces détails, l’historien Tal Bruttamann, avec deux de ses collègues allemands, les a détectés et analysés. Décryptage.
Des liens sur les sources de cette vidéo dans ce document :
https://urlr.me/mC9tZE
A Auschwitz, entre 1942 et 1943, il a organisé et plannifié la mort de 450 000Juifs. En ce printemps 1944, il est chargé de superviser le massacre des Juifs de Hongrie. Sous ses ordres, 350 000 d’entre-eux seront mis à mort dans les premières heures de leur arrivée, 100 000 autres mourront au travail, de faim, de maladie, sous les coups de leurs geôliers.
Pour rassurer la hiérarchie des SS sur l’accomplissement de sa mission, Rudolf Höss commande un album de photographie. Son idée : montrer que la sélection des Juifs se déroule sans problèmes particuliers. Sauf que les deux SS qui ont prise ces images échouent dans leur entreprise. Malgré tous leurs efforts pour la dissimuler dans leurs photos, ils n’on pas réussi à cacher les nombreux détails qui attestent de la barbarie des nazis. Ces détails, l’historien Tal Bruttamann, avec deux de ses collègues allemands, les a détectés et analysés. Décryptage.
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