Marion Maréchal, députée européenne, est l’invitée de Tout le monde veut savoir.
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00:00Un mot encore sur le ministre de l'Intérieur qui a salué, je cite, le combat du collectif identitaire
00:04némésis en félicitant sa présidente Alice Cordier qui l'interrogeait sur la dissolution d'un groupe d'extrême gauche, la Jeune Garde.
00:11Le fait que Bruno Retailleau
00:14félicite un collectif comme le collectif némésis, qu'est-ce que ça vous inspire ?
00:19Je trouve que c'est une prise de position courageuse, voilà, et je partage ses félicitations, le collectif némésis c'est un collectif de jeunes femmes
00:24qui, féministes de droite, qui se battent pour le respect
00:28aujourd'hui et la protection des femmes françaises face à la multiplicité des faits et des crimes
00:34commis par un certain nombre d'immigrés légaux ou clandestins envers les femmes françaises.
00:38Donc je pense qu'elles portent un combat juste, un combat courageux et je suis heureuse que le ministre de l'Intérieur le reconnaisse.
00:43Il se précise que l'entourage de Bruno Retailleau, lui, explique que c'était une réponse
00:47à la Jeune Garde et qu'en réalité il ne semblait pas tout à fait savoir
00:51ce qu'était ce collectif némésis.
00:53Je ne suis pas dans la tête de Bruno Retailleau, voilà, j'espère qu'il n'y aura pas de rétro-pédalage mais, objectivement, il n'y a rien à reprocher à ce
00:58collectif si ce n'est justement parler d'affaires sordides dont on parle très peu. Voilà, c'est un des collectifs qui portent la voix de ces femmes
01:05qui ont été
01:06violées et qui, eh bien, n'ont pas toujours eu le droit de s'exprimer là-dessus parce qu'elles avaient le sentiment que, parce que, précisément, elles
01:12avaient été violées par des clandestins ou des étrangers, le politiquement correct créait une chape de plomb
01:17qui ne permettait pas d'entendre leurs souffrances. Donc je crois que, heureusement, qu'elles existent.