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00:00Europe 1, le grand débrief de Pascal Praud et vous, avec Laurent Tessier.
00:04Laurent Tessier, bonjour, le grand débrief, le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche,
00:12le camp du bien anti-Trump est toujours surprenant et on a très bien compris leur devise.
00:16Toujours plus loin, toujours plus haut, toujours plus fort !
00:19Avec la RTBF, la radio-télévision belge entreprise publique qui a décidé lundi soir de diffuser
00:24le discours de Donald Trump en léger différé, c'est bien réel, écoutez Aurélie Didier,
00:28directrice éditoriale adjointe de l'information de la RTBF.
00:31Alors on a constaté à plusieurs reprises que Donald Trump a tenu des propos racistes,
00:36d'extrême droite, et donc nous avons décidé de diffuser ce discours avec un léger différé
00:41pour prendre tout simplement le temps de l'analyse du décryptage, c'est une pratique
00:46que nous appelons avec un terme technique qui s'appelle le cordon sanitaire médiatique.
00:51Le cordon sanitaire médiatique, on en est là, la radio-télévision belge est très
00:55forte mais après n'y voyait rien contre Donald Trump.
00:57Il ne s'agit certainement pas de censure, évidemment que la RTBF ne pratique pas la censure.
01:02Non, pas de militantisme, rien du tout.
01:04Ce n'est pas pour autant, et je tiens vraiment à le préciser, que la RTBF est pro ou anti-Trump.
01:09Nous faisons un travail impartial.
01:11Et alors la marmotte, elle met le chocolat dans le papier d'elle-même.
01:14Et votre réaction, votre réaction, Pascal, pendant l'émission ?
01:17On est chez les fous, et cette dame, la manière dont elle parle, me fait peur.
01:23Qui aurait décidé qu'un mot est d'extrême droite ?
01:26C'est quoi une pensée d'extrême droite, Madame Aurélie Didier ?
01:29C'est quand les G différaient, donc il y a quelqu'un, il y a un collège qui aurait
01:32décidé, il n'y avait pas d'enquête j'imagine, il n'y avait pas de tribunal, c'est elle
01:36qui décide, toute seule, dans son bureau, d'un propos d'extrême droite.
01:41Mais enfin, on est chez le ministre de la vérité.
01:43Et pour se détendre un peu, quand même, en cette fin d'émission, nous pouvons compter
01:46sur Monsieur Omar, notre programmateur, Monsieur Omar, sans le dire.
01:52Alexandre Omar, Alexandre.
01:53Bonjour Pascal, bonjour à tous.
01:54Vous dîtes beujur maintenant, vous parlez comme François Hollande, vous enlevez les
01:59N, vous dîtes beujur, beujur, ça va.
02:03Bonjour Monsieur Omar, allez le grand débrief, c'est terminé, la chanson revisitée pour
02:06Céline Giraud, chanson révolutionnaire sur l'ère de Saïra, Saïra, attention.
02:113, 2, 1.
02:14Ah la Giraud, la Giraud, la Giraud, elle donne toutes les infos, elle a le météo.
02:18Ah la Giraud, la Giraud, la Giraud, c'est de suite après Pascal Praud.
02:24C'est la pire depuis le début.
02:26Vous remontez le curseur à chaque fois dans la difficulté, bonjour les amis, bonjour
02:29à tous.
02:30C'est Edith Piaf qui chante là, dans un livre qui s'appelait « Si Versailles m'était
02:32comptée de sa chagrinée ».
02:34On se félicitait hier, vous savez, de la chute des homicides liées au narcotrafic
02:41à Marseille, et bien vous entendrez dans le journal un reportage édifiant sur ces
02:44commerces, ces artisans, ces entreprises qui sont raquettées, là aussi sur fond de narcotrafic
02:50On reviendra évidemment sur cette proposition de François Béroud de scinder en deux le
02:55projet sur la fin de vie avec des déclarations de Claire Fourcade qui était sur Europe 1
02:58ce matin.
02:59Et qui était passionnante à écouter avec Sonia Mabrouk.
03:02Merci à tous, vraiment, merci Julien, merci Ami, et comme votre mère, je vous dis, je
03:11vous aime.

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