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Invité dimanche du magazine 20h30, le dimanche (France 2) présenté par Laurent Delahousse, Vincent Lindon s'est confié sur son caractère colérique et la violence qu'il a en lui.

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😹
Amusant
Transcription
00:00Si j'ai eu chagrin, je dis j'ai eu chagrin, si j'ai l'impression que tu ne m'aimes plus, je regarde la personne et je dis j'ai l'impression que tu ne m'aimes plus, je ne fais pas des détours, je suis tellement amoureux de tout tout le temps et tellement furieux et tellement en colère que je n'ai pas la machine qui est capable de trier tout ça.
00:20Vous parlez dans ce documentaire de la colère que vous avez parfois en vous.
00:24On l'a enlevé parfois.
00:26Oui, vous l'avez en vous, j'ai enlevé le côté. J'allais dire une violence latente, je peux laisser latente, parce que la violence je ne la vois pas tout le jour avec vous. Il y a une violence, il y a une colère qui est là.
00:37Oui mais...
00:39Comme un ballon de baudruche qui peut exploser.
00:41On appelle ça soupe au lait.
00:44Et en même temps, de moins en moins, j'ai l'impression, tout est exagéré.
00:50Au lieu, vous savez les sinusoïdes, au lieu d'être entre 6 et 15, je vais de 2 à 18.
00:59C'est-à-dire que quand je suis fâché, je suis anormalement fâché.
01:04Là, par exemple, avant de se rencontrer, je suis arrivé ici, j'étais dans un état de panique.
01:09Rien ne m'allait, je n'étais pas content, je voulais repartir.
01:13C'était exagéré.
01:15Et puis, quand je suis très très très très content, parfois, je repars et je fais...
01:20Oui, enfin, Vincent...
01:21Ça va ?
01:22Calme, c'est pas non plus... Il n'y a pas de quoi réveiller toute la famille.
01:26Mais en fait, il faut que ça...
01:28Tout est en élastique, je tire sur les choses.

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