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00:00On va revenir sur tout ce qui s'est passé ce week-end, bien entendu, sur Europe 1 et on est heureux d'avoir Caroline Parmentier avec nous.
00:05Merci Caroline d'être avec nous, députée RN du Pas-de-Calais. Merci d'être là Caroline Parmentier.
00:09Bonjour Cyril, bonjour à tous.
00:10Merci d'être là Caroline.
00:12Alors samedi après-midi, Jean-Marie Le Pen a été inhumée dans le cimetière de sa ville natale de la Trinité-sur-Mer, dans le Morbihan,
00:17alors que la messe devait avoir lieu dans la plus stricte intimité familiale selon le journal Frontières.
00:23La journaliste du Monde, il y a une journaliste du Monde, alors il y en a pas mal qui ont dévoilé son identité,
00:28elle s'est introduite dans l'église, au bout de 15 minutes les équipes de Marine Le Pen lui ont demandé de quitter les lieux,
00:33et le pire c'est qu'ils ont dû négocier avec elle pour qu'elle accepte de partir.
00:36Alors j'aimerais que vraiment vous nous racontiez cette histoire Caroline Parmentier,
00:40goûtez-le également à des infos, mais vous voilà, vous y étiez, forcément.
00:4401-80-20-39-21, j'aimerais bien que vous nous disiez ce que vous pensez de cela,
00:48après le récit de Caroline Parmentier.
00:51Alors, qu'est-ce qui s'est passé exactement ?
00:53Alors, nous étions à la Trinité-sur-Mer, j'étais avec l'attaché de presse de Marine Le Pen, Victor Chabert,
00:59et le matin nous savions qu'il y avait des journalistes qui viendraient,
01:02malgré le fait que la famille avait demandé à ce qu'ils ne viennent pas et qu'on respecte la plus stricte intimité familiale.
01:09Nous avons rencontré ces journalistes le matin, certains venaient de Paris, d'autres venaient du coin,
01:14et nous leur avons dit que bien sûr, à nouveau, nous avons répété les consignes,
01:18qu'ils devaient rester à l'extérieur, prendre la température s'ils voulaient des lieux,
01:23mais en aucun cas, évidemment, ne s'approcher de la famille, ne les interpeller,
01:27et les journalistes, bien sûr, la plupart, se sont tenus d'ailleurs à ces consignes.
01:31Et le groupe de journalistes parisiens que nous avons croisé à ce moment-là,
01:34dans ce groupe de journalistes parisiens, il y avait la journaliste du Monde,
01:36grand reporter au Monde, et qui nous a bien sûr assuré, là aussi, qu'elle se comporterait parfaitement bien.
01:43La messe commence, moi je suis arrivée un tout petit peu après le début de la messe,
01:47parce que j'avais des choses à régler pour l'organisation,
01:50je m'introduis par la porte latérale de l'église, et qu'elle n'est pas ma stupeur d'apercevoir derrière moi,
01:56la journaliste du Monde, assise au milieu des invités, avec le livret de messe.
02:01Alors je suppose que ce n'est pas pour témoigner du recueillement de l'assistance,
02:05et de la ferveur de l'assistance, donc je lui ai prié, je l'ai prié seule,
02:11personne n'est intervenu à part moi dans l'église, je l'ai prié de bien vouloir sortir.
02:17Alors justement, vous allez nous raconter tout ça dans un instant,
02:19on a envie de rester, on va savoir la suite de l'histoire.
02:23Alors, franchement, j'en parlerai avec Caroline par moitié dans un instant,
02:27mais tout le monde a dévoilé son identité, on en parlera dans un instant,
02:30tous les journalistes ont dévoilé, tous ceux qui ont donné l'info,
02:35on va en parler dans un instant, si on nous la donne ou pas,
02:37mais en tout cas, apparemment, ce serait une proche de Gabriel Attal.
02:42Apparemment, c'est ce qu'on dit, c'est ce qu'on dit, Gauthier Lebray, non ?
02:47Merci Gauthier Lebray, à tout de suite sur Europe 1.
02:49Europe 1, 16h, 18h.
02:51On marche sur la tête, Cyril Hanouna.
02:54Merci d'être avec nous sur Europe 1, 16h13, vous nous appelez 01 80 20 39 21,
02:59on vous attend bien entendu au standard d'Europe 1,
03:00et comme d'habitude, 17h, les infos de Fabien Lequeuve, que vous attendez,
03:05et puis 17h30, on va prendre beaucoup beaucoup d'éditeurs au téléphone,
03:09vous pouvez nous appeler sur tous les sujets,
03:10n'hésitez pas, bien entendu, sur ce qu'a dit Jordan Bardella,
03:13sur la question de l'immigration, Jean-Marie Le Pen avait peut-être tout vu,
03:16avant, tout le monde ne pouvait réagir là-dessus,
03:18on va passer les extraits de Sonia Mabrouk qui recadre Jean-Michel Apathy,
03:21je vous donnerai d'ailleurs le nombre de livres qu'a vendu Jean-Michel Apathy
03:24par rapport à Philippe Devilliers, vous allez voir, c'est assez étonnant.
03:28C'est proportionnellement ce que fait la chaîne parlementaire en audience
03:34par rapport à C8, sur une échelle à 100.
03:39Voilà, je vous le dis, donc vous allez voir, on en parlera dans un instant, bien entendu.
03:43Et à Sandrine Rousseau, tiens, qui a écrit aux députés pour leur demander
03:45de quitter X, sauf que Sandrine Rousseau, je pense que là,
03:49je vais lui envoyer un Becherel, un dictionnaire, parce que là, ça ne va pas.
03:53Là, il y a un problème, là, vraiment, je suis à deux doigts de lui faire
03:57une dictée surprise demain, je vous le dis.
03:59Il y avait un concours l'épine ce week-end entre Sandrine Rousseau et Marine Tondelier,
04:02de celle qui allait dire la plus grosse bêtise, proposer la mesure la plus dingue,
04:08puisque Marine Tondelier veut fermer X, et en même temps,
04:11elle relaye des fake news elle-même, en disant que X relaye des fake news.
04:14C'est extraordinaire, parce qu'elle a dit que 40% de la population de Gaza
04:18avait été décimée par de ça, ce qui s'est avéré complètement faux.
04:20Et Sandrine Rousseau, c'est la cinquième fois, déjà, qu'elle dit qu'elle va quitter X,
04:23donc bon, au moment, il faut y aller.
04:25Sandrine Rousseau, c'est la cinquième fois qu'elle fait beaucoup de choses.
04:28En plus, je pense franchement qu'Elon Musk, là, il doit trembler.
04:32Il dit, si Sandrine Rousseau quitte X, là, ça va me désorienter ma boîte,
04:36c'est sûr, là, c'est certain.
04:39Là, il y a Elon Musk, je peux vous dire, il est en dépression, il n'est pas bien.
04:41Là, il est dans son cyber-truck, là, il est comme ça, il n'est pas bien.
04:44Allez, Caroline Parmentier est avec nous, députée Rassemblement National du Pas-de-Calais,
04:47et on revient sur les obstacles de Jean-Marie Le Pen et de cet événement,
04:51enfin, cet événement, ce triste événement.
04:53Une journaliste du Monde s'est introduite à la cérémonie religieuse,
04:57et donc, Caroline Parmentier, c'est vous qui l'avez trouvée,
05:00assise tranquillement parmi les différentes personnes qui étaient venues à cet enterrement.
05:06C'est ça, c'était la stricte intimité familiale, encore une fois,
05:08elle est proche de la famille, et je l'aperçois derrière moi,
05:11je la prie de bien vouloir quitter l'église, et elle me répond non,
05:15profitant, je pense, de l'instant, et tablant sur le fait
05:18que je n'allais pas faire de scandale dans une cérémonie d'obstacle qui venait de commencer.
05:22J'insiste, et je lui dis, si, si, vous sortirez, et nous sortons toutes les deux,
05:27et là, elle me dit, il n'y a eu aucune intervention du service d'ordre,
05:30je le précise, et aucune intervention de la police, aucune, seulement elle et moi.
05:34Et là, elle me dit, je ne veux pas sortir par la porte principale,
05:37j'ai supposé qu'elle avait honte, que les habitants de la Trinité qui étaient là,
05:42elle ne voulait pas passer devant eux, et elle ne voulait pas que je la ramène
05:44jusqu'à l'endroit où se trouvaient les journalistes, ce que j'ai fait finalement,
05:48je l'ai ramené jusque là, et là, je l'ai engueulé publiquement,
05:52je lui ai dit que c'était une honte, devant les journalistes,
05:54je lui ai dit que c'était une honte, qu'elle n'avait aucune décence,
05:56aucune dignité, qu'elle n'avait aucun respect de la famille et du chagrin de la famille.
06:01Et Victor Chabert, l'attaché de presse de Marine Le Pen,
06:03qui était là avec moi, en a remis une couche à ce moment là.
06:07Voilà, grand reporter au monde, c'est-à-dire que ce n'est pas la future Florence Aubenas,
06:12je ne pense pas, elle n'aura pas le prix Albert Londres cette année non plus,
06:15ce n'est pas non plus Hemingway, elle est méthode du monde,
06:18et la façon dont elle s'est comportée, j'ai trouvé ça extrêmement choquant.
06:22Par la suite d'ailleurs, elle a raconté des bobards,
06:25puisqu'elle a raconté qu'elle avait subi des intimidations physiques,
06:29ce qui est complètement faux, c'est moi qui suis sortie avec elle,
06:32et voilà, je pense que Le Monde devrait s'excuser auprès de la famille,
06:39mais c'est mon avis personnel, auprès de la famille Le Pen.
06:42Justement, est-ce que vous allez prendre des sanctions vis-à-vis du journal Le Monde ?
06:48Alors personnellement déjà, je vais rétablir la vérité,
06:50parce que je ne veux pas qu'il soit raconté que nous l'avons intimidée physiquement,
06:55que nous nous sommes mal comportés, c'est totalement faux,
06:58c'est elle, c'est Le Monde qui s'est mal comportée.
07:02Par la suite, je ne suis plus l'attachée de presse de Marine Le Pen,
07:06et il appartiendra effectivement au service de presse de voir ce qu'il compte faire.
07:09Moi, quand j'étais attachée de presse, ce genre de comportement,
07:14ça pouvait valoir trois semaines sans meeting, par exemple,
07:17pendant la campagne présidentielle, mais c'était mes méthodes, voilà,
07:21et ça n'empêche pas après ça de passer à autre chose.
07:25Est-ce qu'elle a cherché à justifier sa présence,
07:28à expliquer pourquoi elle voulait être à l'intérieur et pas simplement à l'extérieur ?
07:31Alors quand elle est sortie avec moi, elle m'a tout de suite dit,
07:35là elle m'a dit pardon, je suis désolée,
07:39et elle a raconté déjà un premier bobard,
07:42disant j'ai pensé que je pouvais entrer,
07:45Gilles Pénel m'a autorisé à entrer, totalement faux,
07:48député européen qui s'occupait aussi de l'organisation en tant que breton,
07:51et qui avait mis au point pas mal de choses de l'organisation des obsèques,
07:54bien sûr, pas une seule seconde, Gilles Pénel ne l'a autorisé à entrer.
07:58Puis elle a dit, vous avez laissé entrer des trinitains,
08:00on dit des trinitaires d'ailleurs je crois,
08:02parce qu'il manquait des places,
08:05et j'ai pensé que j'avais l'autorisation d'entrer aussi.
08:06Totalement faux, elle n'est pas trinitaire,
08:08elle n'avait pas le petit ruban tricolore qui autorisait à entrer,
08:11elle est passée en fraude et de façon clandestine.
08:14Voilà, qu'elle le reconnaisse au moins, qu'elle le reconnaisse,
08:15qu'elle dise, j'ai essayé, j'ai perdu.
08:17Beaucoup de ses confrères d'ailleurs ont envoyé des messages
08:20pour me dire qu'ils désavouaient ses méthodes.
08:22Exactement, c'est normal, je comprends bien ces confrères.
08:24Car ils n'aiment pas, eux, être mis dans le même sac.
08:26Alors c'est Yvan, un trip'n'back,
08:28au montant de la donnée, le nom ne va pas non plus.
08:30Qu'on voit d'ailleurs parfois chez Quotidien,
08:32on s'est invité parfois chez Quotidien.
08:34Voilà, donc c'est cette jeune fille.
08:36Oui, Gautier Lebray.
08:38Non mais moi je pense que le problème est profond au monde,
08:42et c'est les méthodes du journal globalement.
08:45Déjà évidemment s'introduire dans des obsèques privés,
08:49alors que c'est une demande expresse de la famille,
08:52avec toujours la même méthode,
08:54essayer d'extrême-droitiser tout le monde.
08:56Je dis toujours la même méthode,
08:58parce qu'ils avaient déjà fait ça pour Patrick Buisson.
09:00Au moment des obsèques de Patrick Buisson,
09:02il s'était introduit, alors là je ne sais pas si la famille avait demandé
09:04le respect et avait interdit aux journalistes de venir,
09:06je ne crois pas, parce qu'il y avait de nombreux journalistes dans l'assistance,
09:08mais chaque personne qui prenait la parole,
09:10après il y avait la retranscription de tout ce qu'il avait dit,
09:12des auteurs qu'il avait cités,
09:14dans le monde, pour discréditer la personne,
09:16et souvent aussi discréditer le défunt.
09:18Donc c'est toujours les mêmes méthodes.
09:20Et puis, le monde, je rappellerai aussi
09:22cette série d'articles
09:24à laquelle a participé cette journaliste,
09:26contre le Président de la République,
09:28toujours la même méthode,
09:30un tel règle ses comptes avec le Président,
09:32donc le Président a dit ça, on met ça entre guillemets,
09:34sans aucune vérification, sans aucune preuve,
09:36et on fait passer le Président pour un raciste,
09:38un homophobe, que sais-je.
09:40Évidemment, leur traitement du conflit
09:42israélo-palestinien, avec ce fameux mur de Gaza,
09:44ça avait été révélé dans les colonnes du Figaro
09:46par Eugénie Bastier,
09:48où il était inscrit, notamment, ne laisser personne
09:50dire que ça a commencé le 7 octobre.
09:52Donc Israël serait responsable
09:54du 7 octobre.
09:56Évidemment, leur article, quand le chef du Hezbollah
09:58a été neutralisé par Israël sur Nasrallah,
10:00un type charismatique qui aimait le foot,
10:02etc. Donc moi, je pense qu'il y a un problème
10:04très profond au monde,
10:06au-delà de ce qu'a fait cette journaliste,
10:08qui est un exemple supplémentaire.
10:10C'est juste, le monde, c'est la morale à la Terre entière,
10:12mais voilà comment il se comporte,
10:14en l'occurrence, comment se comporte un de ses grands
10:16reporters.
10:18J'ajoute qu'elle ne s'est pas excusée
10:20auprès de Marine Le Pen.
10:22Elle ne lui a pas envie d'excuses.
10:24Elle lui a envoyé un tissu de mensonge, disant qu'elle avait été maltraitée
10:26par nous.
10:28Le jour des obsèques de son père, elle a fait ça ?
10:30Elle a envoyé ce message le jour des obsèques du père.
10:32Elle n'avait rien à y faire, surtout.
10:34Il n'y a pas eu d'excuse de la direction,
10:36il y a eu une excuse de certains confrères
10:38du monde.
10:40Caroline Parmentier est avec nous.
10:42Merci Caroline, députée RN du Pas-de-Calais.
10:44Je ne sais pas si vous êtes au courant,
10:46mais il y a cette rumeur aussi,
10:48il paraît que BFM aurait cherché tous les moyens possibles
10:50pour obtenir des images de cette cérémonie privée.
10:52C'est totalement faux.
10:54Il s'agit de journalistes freelance
10:56qui se sont fait passer pour BFM TV
10:58et qui, en effet,
11:00sont allés demander à des habitants
11:02du cimetière d'occuper leur jardin
11:04moyennant 5000 euros.
11:06C'est bien de le dire,
11:08c'est une fausse information.
11:10Il y a des antifas aussi qui sont venus.
11:12Quelques antifas,
11:14très très peu.
11:16On craignait
11:18des heures beaucoup plus importantes.
11:20Vu ce qui s'était passé
11:22sur la place de la République,
11:24vous pouviez penser que des centaines d'antifas
11:26sont capables de tout.
11:28Pour avoir suivi quelques campagnes présidentielles
11:30de candidats de droite, je sais comme les antifas
11:32peuvent pourrir les campagnes présidentielles.
11:34Et là, visiblement, ils se sont achetés une décence
11:36le temps de quelques heures et ils ne sont pas venus en nombre
11:38aux obsèques de Jean-Marie Le Pen.
11:40Qu'est-ce que vous en pensez vous ?
11:42Il y a un vrai problème
11:44pour le journal Le Monde aujourd'hui
11:46avec les éléments rappelés par Gauthier.
11:48Cette journaliste
11:50cherchait certainement
11:52des informations qui étaient
11:54présentes dans l'église, qui n'étaient pas
11:56présentes.
11:58La nature de
12:00l'office religieux.
12:02Ce qui néanmoins est un travail d'investigation
12:04qui est tout simplement quelque chose d'inadmissible
12:06concernant un deuil privé.
12:08Donc ça, c'est une évidence.
12:10Après, je...
12:12Tant mieux ce qui s'est passé
12:14la semaine dernière concernant le traitement
12:16de cette disparition. Pourquoi ?
12:18Parce que ceux qui paraissent
12:20intellectuels ne cessaient de
12:22mener un combat sur le thème
12:24Nopasaran, sur l'antifascisme.
12:26Là, aujourd'hui,
12:28ils sont obligés de passer à autre chose
12:30et d'avoir, s'ils souhaitent s'opposer
12:32au Rassemblement National, la possibilité
12:34de le faire sur un autre terrain.
12:36Il y a son programme économique,
12:38un certain nombre de sujets qu'on a ici débattus.
12:40Et moi, je suis content qu'on puisse
12:42tourner la page parce que je pense que ce type
12:44d'opposition était totalement stérile.
12:46Exactement. Oui, Caroline,
12:48tu voulais peut-être ajouter quelque chose.
12:50Je dis qu'il y aura une cérémonie
12:52d'hommage
12:54pour tous ceux qui veulent être présents.
12:56Des journalistes seront présents. Ils seront
12:58en dehors de l'église, devant un
13:00grand écran, bien sûr, où ils pourront
13:02suivre toute la cérémonie. Donc, si la journaliste
13:04du Monde entre avec une perruque et une fausse barbe,
13:06je la reconnaîtrai.
13:08Caroline Parmentier,
13:10travaillez au Bakumba.
13:12J'ai commencé comme ça.
13:14Elle est visionniste au Bakumba.
13:16On ne lui fait pas.
13:18Pas de basket. Et attention,
13:20elle vous reconnaît. Merci Caroline Parmentier d'avoir été
13:22avec nous. C'est moi qui vous remercie. Merci beaucoup.
13:24Merci beaucoup. Attendez, restez assises. Ne vous inquiétez pas.
13:26Ne soyez pas pressés, Caroline. Dans un instant,
13:28on va se faire un petit plaisir. On va réécouter
13:30les extraits de Sonia Mabrouk avec Jean-Michel Apathy.
13:32Ça, ça fait plaisir. Vous les avez écoutés
13:34combien de fois pendant le week-end, Cyril ?
13:36C'est ma vie, ça.
13:38Sur écran géant. On va revenir sur ce qu'a dit
13:40Jordan Bardella sur la question de l'immigration. Jean-Marie
13:42Le Pen avait peut-être tout vu.
13:44Avant, tout le monde réagissait. Tiens, 0, 1, 80, 20,
13:4639, 21. Dites-nous ce que vous en pensez.
13:48Et puis, on va revenir sur Sandrine Rousseau,
13:50qui va faire tellement que c'est son DST
13:52d'Histoire Géo, l'après-midi.
13:54Elle n'est pas bien, là. Je pense que là, c'est niveau 4e
13:56de B. A tout de suite sur Europe 1.

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