Le responsable des urgences et du Smur en Seine-Saint-Denis exhorte les Français à se faire vacciner contre la grippe et déplore le manque de campagne de vaccination orchestrée par le gouvernement.
Mathias Wargon, chef du service des urgences et du Smur en Seine-Saint-Denis, a exprimé son regret le 10 janvier concernant l'absence d'une « véritable campagne de vaccination » contre la grippe, qui aurait dû être menée massivement par le gouvernement. Cela survient alors que les hôpitaux font face à un nombre croissant de malades. Actuellement, 87 établissements sur près de 3 000 en France ont déjà mis en œuvre le "Plan blanc", permettant de reporter certaines interventions non urgentes et de rappeler des personnels de santé en congé.
## Une épidémie bien plus sévère
Mathias Wargon constate qu'on est confronté à une épidémie bien plus marquée que l'année précédente, notamment en ce qui concerne les hospitalisations des personnes âgées. Pour faire face à cet afflux, il incite les Français à se faire vacciner. Il souligne, concernant la vaccination en période épidémique, que « ce sont des idées reçues ». Il regrette de ne pas avoir vu une campagne de vaccination en novembre, ce qui aurait été bénéfique.
## L'impact des campagnes anti-vaccin
Le médecin exprime également son inquiétude face aux campagnes anti-vaccination qui émergent chaque fois que de nouvelles études sur le vaccin sont publiées. Bien qu'il reconnaisse que l'efficacité du vaccin peut varier d'année en année, il soutient qu'il vaut mieux se faire vacciner, car même si le vaccin n'est pas totalement efficace, il offre une protection non négligeable contre des formes plus graves de la maladie.
## La nécessité du Plan blanc
Selon Wargon, le "Plan blanc" permet aux hôpitaux de gérer l'afflux de patients en alléger la pression sur les services. Toutefois, il souligne que certains établissements, qui se déclarent en Plan blanc, ont souvent des patients dans des brancards pendant de longues heures avant d'obtenir une chambre d'hôpital. Il estime que certains hôpitaux pourraient bénéficier d'être en permanence en Plan blanc, tellement leur situation l'exige.
Mathias Wargon, chef du service des urgences et du Smur en Seine-Saint-Denis, a exprimé son regret le 10 janvier concernant l'absence d'une « véritable campagne de vaccination » contre la grippe, qui aurait dû être menée massivement par le gouvernement. Cela survient alors que les hôpitaux font face à un nombre croissant de malades. Actuellement, 87 établissements sur près de 3 000 en France ont déjà mis en œuvre le "Plan blanc", permettant de reporter certaines interventions non urgentes et de rappeler des personnels de santé en congé.
## Une épidémie bien plus sévère
Mathias Wargon constate qu'on est confronté à une épidémie bien plus marquée que l'année précédente, notamment en ce qui concerne les hospitalisations des personnes âgées. Pour faire face à cet afflux, il incite les Français à se faire vacciner. Il souligne, concernant la vaccination en période épidémique, que « ce sont des idées reçues ». Il regrette de ne pas avoir vu une campagne de vaccination en novembre, ce qui aurait été bénéfique.
## L'impact des campagnes anti-vaccin
Le médecin exprime également son inquiétude face aux campagnes anti-vaccination qui émergent chaque fois que de nouvelles études sur le vaccin sont publiées. Bien qu'il reconnaisse que l'efficacité du vaccin peut varier d'année en année, il soutient qu'il vaut mieux se faire vacciner, car même si le vaccin n'est pas totalement efficace, il offre une protection non négligeable contre des formes plus graves de la maladie.
## La nécessité du Plan blanc
Selon Wargon, le "Plan blanc" permet aux hôpitaux de gérer l'afflux de patients en alléger la pression sur les services. Toutefois, il souligne que certains établissements, qui se déclarent en Plan blanc, ont souvent des patients dans des brancards pendant de longues heures avant d'obtenir une chambre d'hôpital. Il estime que certains hôpitaux pourraient bénéficier d'être en permanence en Plan blanc, tellement leur situation l'exige.
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00:00Le responsable des urgences et du SMER en Seine-Saint-Denis exhorte les Français à se faire vacciner contre la grippe et déplore le manque de campagne de vaccination orchestrée par l'Eau.
00:10Gouvernement. Maësu Argon, chef du service des urgences et du SMER en Seine-Saint-Denis, a exprimé son regret le 10 janvier concernant l'absence d'une véritable campagne de vaccination contre la grippe qui aurait dû être menée massivement par le gouvernement.
00:24Cela survient alors que les hôpitaux font face à un nombre croissant de malades. Actuellement, 87 établissements sur près de 3 zéros en France ont déjà mis en œuvre le plan blanc, permettant de reporter certaines interventions non urgentes et de rappeler des personnels de santé.
00:39En congé, Maësu Argon constate que l'on est confronté à une épidémie bien plus marquée que l'année précédente, notamment en ce qui concerne les hospitalisations des personnes âgées.
00:48Pour faire face à cet afflux, il incite les Français à se faire vacciner. Il souligne, concernant la vaccination en période épidémique, que ce sont des idées reçues. Il regrette de ne pas avoir vu une campagne de vaccination en novembre, ce qui aurait été bénéfique.
01:02Le médecin exprime également son inquiétude face aux campagnes anti-vaccination qui émergent en chaque fois que de nouvelles études sur le vaccin sont publiées, bien qu'il reconnaisse que l'efficacité du vaccin peut varier d'année en année.
01:14Il soutient qu'il vaut mieux se faire vacciner. Car même si le vaccin n'est pas totalement efficace, il offre une protection non négligeable contre des formes plus graves de la maladie, selon Argon.
01:24Le plan blanc permet aux hôpitaux de gérer l'afflux de patients en allégeant la pression sur les services. Toutefois, il souligne que certains établissements qui se déclarent en plan blanc ont souvent des patients dans des brancards pendant de longues heures avant d'obtenir une chambre.
01:39D'hôpital, il estime que certains hôpitaux pourraient bénéficier d'être en permanence en plan blanc. Tellement leur situation l'exige.
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