« Vieillir, avec le sourire… » (paroles ludovic freppaz)
On se voudrait jeune qui danse,
Comme dans notre adolescence.
On se voudrait beau et conquérant,
Comme lorsqu’on avait vingt ans.
Les jeunes se gaussent de nous,
Ou font simplement la moue,
Pauvre vieux disent-ils, avec tristesse,
Quand péniblement on se baisse.
La vieillesse arrive sans qu’on y prenne garde.
Elle s’installe petit à petit dans nos membres.
Il n’est pas de médicaments qui l’attardent.
De la mort, elle en est l’antichambre.
De vieilles douleurs font leur apparition.
L’équilibre est instable, il faut faire attention.
Notre mémoire s’entremêle comme les souvenirs,
On ne se rappelle plus avec grand soupir,
Vieillir dans l’indifférence,
Vieillir sans prendre conscience.
Un cœur qui bat trop fort
Pour un simple petit effort,
L’image que nous renvoie le miroir
La photo qui nous enlève tout espoir,
Vieillir c’est un naufrage
Dans lequel on surnage.
Qu’avons-nous fait de notre vie ? De tout ce temps passé !
A quoi servent les regrets Puisqu’on ne peut rajeunir.
Si cela nous est possible, Pardon allons-nous demander,
A ceux qu’on a maltraités, Et qu’on a fait souffrir.
Puisqu’il nous faut un jour périr,
Que ce soit avec le sourire.
Avec nos enfants, petits-enfants, rire,
Oui, rire avant de partir.
Laisser une belle image à nos descendants,
Même avec des rides, même sans dents.
Les remords, les regrets, l’amertume,
Sont, comme sur la mer, l’écume,
Avec l’eau bruissante, elle se retire,
Laissant sur la plage un souvenir.
Que nos petits-enfants gardent en mémoire,
Un grand père qu’on pouvait encore émouvoir,
Un petit vieux qui les a souvent fait sourire,
Avec ses fausses blagues pince-sans-rire.
Vieillir dans l’indifférence,
Vieillir sans prendre conscience.
Un cœur qui arrête de battre
Pour une marche qu’on rate,
Feue, l’image que nous renvoie le miroir
Feue, la photo qui nous enlève tout espoir,
Vieillir c’est un naufrage,
Dans lequel on surnage.
Dans lequel on se noie…
Dans lequel on se noie… huuummmm…
On se voudrait jeune qui danse,
Comme dans notre adolescence.
On se voudrait beau et conquérant,
Comme lorsqu’on avait vingt ans.
Les jeunes se gaussent de nous,
Ou font simplement la moue,
Pauvre vieux disent-ils, avec tristesse,
Quand péniblement on se baisse.
La vieillesse arrive sans qu’on y prenne garde.
Elle s’installe petit à petit dans nos membres.
Il n’est pas de médicaments qui l’attardent.
De la mort, elle en est l’antichambre.
De vieilles douleurs font leur apparition.
L’équilibre est instable, il faut faire attention.
Notre mémoire s’entremêle comme les souvenirs,
On ne se rappelle plus avec grand soupir,
Vieillir dans l’indifférence,
Vieillir sans prendre conscience.
Un cœur qui bat trop fort
Pour un simple petit effort,
L’image que nous renvoie le miroir
La photo qui nous enlève tout espoir,
Vieillir c’est un naufrage
Dans lequel on surnage.
Qu’avons-nous fait de notre vie ? De tout ce temps passé !
A quoi servent les regrets Puisqu’on ne peut rajeunir.
Si cela nous est possible, Pardon allons-nous demander,
A ceux qu’on a maltraités, Et qu’on a fait souffrir.
Puisqu’il nous faut un jour périr,
Que ce soit avec le sourire.
Avec nos enfants, petits-enfants, rire,
Oui, rire avant de partir.
Laisser une belle image à nos descendants,
Même avec des rides, même sans dents.
Les remords, les regrets, l’amertume,
Sont, comme sur la mer, l’écume,
Avec l’eau bruissante, elle se retire,
Laissant sur la plage un souvenir.
Que nos petits-enfants gardent en mémoire,
Un grand père qu’on pouvait encore émouvoir,
Un petit vieux qui les a souvent fait sourire,
Avec ses fausses blagues pince-sans-rire.
Vieillir dans l’indifférence,
Vieillir sans prendre conscience.
Un cœur qui arrête de battre
Pour une marche qu’on rate,
Feue, l’image que nous renvoie le miroir
Feue, la photo qui nous enlève tout espoir,
Vieillir c’est un naufrage,
Dans lequel on surnage.
Dans lequel on se noie…
Dans lequel on se noie… huuummmm…
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