• l’année dernière
Transcription
00:30Paraitre, impressionné et pas d'avenir
00:46On est dans la cible, ah on est dans la cible
00:51On est dans la cible, ah on est dans la cible
01:00On est là, on est là, on est la cible
01:06On est là, on est la cible
01:14On est là, nous avons besoin d'aide
01:17Un gazon ou un agriculteur nous a donner la technique
01:23Il n'y a pas de manière, pour nous, c'est une science
01:28Aujourd'hui, on va avoir des clients.
01:37Elle respecte les gens, elle l'accueille bien et elle coiffe bien.
01:42Je la connais depuis, ça va 11 ans que je suis là.
01:46Je me coiffe avec elle et je me sens bien.
01:50On informe tous les clients qui ne sont pas encore venus.
01:54Il y a de l'espace, les gens peuvent venir se coiffer.
01:59Pour le moment, il n'y a pas de clients mais on les attend.
02:05Les prix sont abordables, la coiffure aussi.
02:10Quand tu vois la coiffure, tu vois que l'on a vu le prix.
02:15La coiffure, ça vaut le coup.
02:21Elle est bien.
02:22La coiffure est bien fixée.
02:25Elle est bien fixée.
02:28C'est un client que j'ai connu il y a 3 mois.
02:32Je suis une cliente de Tina Coiffure depuis 4 ans.
02:35Je suis une cliente fidèle.
02:38Son travail me plaît, elle fait bien les lattes.
02:42Je viens ici, je suis satisfaite.
02:45Je me dis à tous ceux qui étaient là, qui se coiffaient ici, de venir.
02:48C'est vrai qu'il y aura beaucoup de monde, mais d'ailleurs de venir, ils vont en voir.
02:53Il y a plus de coiffures, donc je sais qu'ils vont en voir.
03:07Pour moi, c'est un don de Dieu.
03:10Depuis l'école primaire, j'ai commencé la coiffure.
03:14Jusqu'à ce que les parents ne veulent pas que je fasse la coiffure.
03:20Je me suis cassé, j'ai perdu un peu de vie.
03:25Après l'école primaire, j'ai commencé à aller dans un salon de coiffure.
03:33En 2003, j'ai commencé à prendre la coiffure dans le salon de coiffure.
03:40Comme avec la crise économique, ce n'est pas facile.
03:47Les années passées, à cette période, dans la maison même, il y a la foule qui est là.
03:54Mais comme maintenant les temps sont durs, vous voyez qu'il n'y a pas assez de clients.
04:00Mais ça aussi, on rend grâce à Dieu pour ça.
04:04Il y a d'autres même qui sont là, mais ils n'ont pas les clients à cette heure.
04:10En dehors de son métier, c'est un grand frère.
04:14Il s'est connu il y a longtemps et il connait bien son travail.
04:19Donc on doit se soutenir vivant.
04:23En tant qu'homme, s'occuper des femmes, ce n'est pas simple.
04:28Mais comme c'est son métier, que Dieu facilite pour lui.
04:32Et que son marché aussi soit bon.
04:34On va demander aux autres aussi de passer parce qu'il est bien.
04:39Il travaille bien.
04:42On va demander à d'autres personnes de passer et d'apprécier.
04:45Souvent même, c'est les hommes qui viennent me dire de venir faire la dette de sa femme.
04:51Beaucoup d'hommes apprécient mon métier.
04:55Parce que j'ai pris la courage de faire ça.
05:05Bonjour, je m'appelle Adeline.
05:09Je vends les vêtements avec les chaussures et les sacs à main.
05:13Il y a beaucoup de choses.
05:16Le marché, ça va. On peut dire que ça va, on peut dire que ça ne va pas.
05:20Parce que cette année, le marché est trop mou.
05:23On est là depuis ce matin, il n'y a même pas de client qui vient nous dire qu'il y a du temps.
05:29Donc le marché, sincèrement, il n'y a pas marché.
05:32Cette année, il n'y a pas marché.
05:35Donc on ne sait pas comment on va faire.
05:37L'année passée, je n'avais même pas le temps pour prendre l'appel ou le SMS.
05:42Mais cette année, on vient depuis le matin, on est en train de manipuler nos téléphones.
05:47Il n'y a rien.
05:49On est en train de regarder le goudron sur le mat.
05:52Peut-être que c'est le temps qui se donne comme ça.
05:55Sinon, si c'est les années passées, on sait même qu'il y a fête.
05:58À l'heure même, les gens bougent.
06:01Mais il n'y a rien, on ne voit rien.
06:04Les gens se cherchent, donc on ne sait même pas comment on va faire.
06:07Seulement qu'on demande la santé, rien que la santé.
06:28Sous-titrage Société Radio-Canada

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