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00:00Je crois que la responsabilité, la première, c'est la dissolution d'Acklay et la deuxième, c'est quand M. Attal a appelé à voter pour El-Effi en faisant en sorte que nous n'ayons pas de majorité,
00:10car la seule majorité possible au sein de l'Assemblée, c'était une majorité Rassemblement National, et ça a fait peur à l'équipe d'Emmanuel Macron.
00:16Mais aujourd'hui, Emmanuel Macron veut rassembler des gens, en fait, qui n'appartiennent pas au premier parti de France, qui est le Rassemblement National.
00:24Il veut gouverner 111 millions de Français. Alors il fait appel, finalement, à la seule recette qu'il connaît, c'est-à-dire les opportunistes de gauche et les arrivistes de droite.
00:33Ça s'appelle la Macronie. C'est ce qu'il essaye depuis 7 ans. Il les absorbe dans l'espèce de trou noir qui représente Renaissance.
00:41Et puis, une fois qu'ils sont là-dedans, ils ne peuvent plus rien faire parce qu'il y a trop de contradictions. On l'a vu avec le précédent Premier ministre.
00:46— J'entends. Qui vous censurait, qui vous ne censurait pas, ça m'intéresse. François Bayrou, vous censurez ou vous ne censurez pas ?
00:53— Alors je vais plutôt vous faire le profil type. Pas quelqu'un de gauche, déjà. Pas de NFP. On va essayer de sortir la forme de l'ornière.
01:01— Là, ça censure immédiatement. D'accord. Casse-Neuve, vous censurez immédiatement. Casse-Neuve, vous censurez immédiatement.
01:07— Apparemment, c'est pas nous. C'est la gauche qui le censurerait. Donc je crois qu'il est déjà hors-jeu, puisqu'il n'a même pas réussi à rassembler...
01:12— M. Moscovici, par exemple, vous censureriez ? — Oh oui, je pense, parce qu'il est très à gauche, ce monsieur. Et puis parfois, il est sorti de son rôle.
01:21Je pense qu'il nous faut... — M. L'Escure, également. M. L'Escure, également. — Ah bah oui. L'Escure, c'est évident.
01:26— Celui que vous ne censurez pas, c'est François Bayrou et Sébastien Lecornu. Et là, vous dites, comme au poker, vous payez pour voir.
01:34— Nous, on ne donnera pas ni de blanc-seing ni de censure a priori. Nous, ce qu'on veut, c'est que les Français soient entendus.
01:41Les Français veulent rétablir leur pouvoir d'achat, moins de fiscalité, moins d'immigration et plus de sécurité.
01:47Si on va dans ce sens-là, OK, pas de problème. Si on se retrouve avec un budget Barnibis qui est une espèce d'assommoir fiscal pour les Français
01:54et d'étouffoir pour les entreprises, alors évidemment, les mêmes causes auront les mêmes effets.