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00:00Europe 1, le talent de la France bouge. Vous êtes le talent de ce soir Alexandre
00:06O'Sheane, vous avez 26 ans c'est ça ? Vous avez cofondé PicoP il y a deux ans,
00:12vous vous êtes né à Paris mais vous avez passé toute votre enfance et votre adolescence à Lille,
00:18pas près de Lille. La petite enfance. La petite enfance pardon, je n'étais pas avec vous en même
00:24temps mais bon. Je suis revenu au collège ici sur Paris. Et là école d'ingénieur ? École
00:30d'ingénieur à la Défense, donc je connais très bien les quatre temps, j'y allais tout le temps.
00:33Et donc oui j'ai fait une école d'ingénieur avec justement mon cofondateur qui s'appelle Joe. Donc
00:41dans cette école on avait l'habitude de monter des projets ensemble et la particularité de l'école
00:46c'était que c'était un pôle universitaire, donc il y avait une école de commerce, le Pôle École
00:50d'ingénieur de Vinci à la Défense. Donc il y a une école de commerce, une école d'ingénieur,
00:53une école de design. Et donc une fois par an on se réunissait tous les étudiants pour créer des
00:57semaines transverses où on montait des projets ensemble. Et c'est de là que nous est venu avec
01:02Joe ce goût pour entreprendre. On a toujours fait les projets ensemble durant les cinq années
01:06d'études et on s'est dit à la fin de la cinquième année on a vraiment envie de le faire, on a toujours
01:10été un peu frustré par le fait que le projet qu'on mène sur plusieurs semaines se termine à une
01:16soutenance. Donc on s'est dit là c'est maintenant ou jamais, on peut lancer une startup et se lancer
01:22dans l'entreprenariat et voir plus loin qu'un simple prototype et aller plus loin, essayer de
01:27le commercialiser. Et c'était ça qui était vraiment intéressant. Donc suite à ça on a commencé à
01:30chercher des idées. Vous avez cherché des idées, je crois que c'est l'idée et vient votre propre
01:34expérience. Exactement c'est ça. On a fait une première phase où on est parti d'une statistique
01:40qui disait que 95% des startups échouaient puisqu'elles n'étaient pas reliées à une vraie
01:45problématique marché. Ce n'est pas une solution concrète. Ce ne sont pas des solutions concrètes
01:50donc si ce n'est pas une solution concrète ça échoue. Donc on s'est dit si on avait 100 problèmes,
01:55une liste de 100 problèmes, on en aurait forcément 5 qui auraient le potentiel d'avoir une solution.
02:03Et donc avec Jo on s'est dit toutes les semaines on se rend compte pour raconter 5 problèmes qu'on
02:07a vécu. Il nous restait six mois de stage devant nous, on s'est dit à la fin on aura bien une
02:12centaine de problèmes. Et donc vous avez vécu cette expérience ? C'est ça. Dans un centre
02:17commercial je voulais acheter justement, c'était pas un Westfield, c'était celui qui est à côté de
02:22chez moi à Val d'Europe. Et donc j'étais parti dans un magasin, je ne vais pas citer le nom mais en
02:27tout cas je voulais prendre un t-shirt blanc ce jour-là. Je l'ai pris, je l'ai choisi, je suis
02:32parti à la caisse et quand j'ai vu il y avait 35-45 minutes d'attente je pense, je l'ai reposé et je
02:38suis parti. En sortant du magasin, c'est là que ça m'a fait il. Vous avez dit j'ai mon idée de
02:42start-up ? Pas l'idée mais le problème. Ce problème là c'est un problème qui est double. Mais c'est
02:49récurrent en plus, on a tout de suite ce problème. C'est récurrent et les marques en sont complètement
02:54conscientes. Il y a de plus en plus de caisses automatiques, vous savez où vous pouvez vous
02:59déposer vos habits chez Decathlon mais pareil chez Zara, Uniqlo, tout le monde fait ça. Et des
03:06commerçants me racontaient qu'ils gagnent 20% de chiffre d'affaires grâce à ça parce que les
03:12gens en ont marre d'attendre. Sur l'étude de la problématique, on a vu une étude qui disait
03:21que la première source de mauvaise expérience client en magasin, c'était les files d'attente
03:26devant les erreurs de prix, devant les ruptures de stock. Puisqu'aujourd'hui on a justement comme
03:31le disait Anne-Sophie, on est habitué à l'instantanéité et donc quand on vient en magasin, on n'a pas
03:36envie d'attendre une demi-heure. Donc c'est comme ça que naît PicoPay. Vous allez pitcher,
03:44après on va écouter un peu de musique et puis on va tout décortiquer ensemble. Mais d'abord vous
03:48pitchez PicoPay. Vous êtes prêt Alexandre ? Allez c'est à vous ! Notre mission chez PicoPay c'est
03:54de supprimer les files d'attente en magasin et pour ça on a créé un QR code qui transforme le
03:58smartphone de n'importe quel client en une caisse rapide. Donc comment ça marche ? Le client scanne
04:02notre QR code, scanne le code barre des produits qu'il souhaite acheter, il peut avoir les informations
04:06du produit. Une fois qu'il a constitué son panier, il peut payer directement en un clic. Donc là on a
04:10intégré une multitude de méthodes de paiement, carte bleue, Apple Pay, Google Pay et donc le client
04:15une fois qu'il a finalisé son parcours, peut sortir du magasin par un passage spécifique qu'on va créer
04:20avec le retailer pour tous les clients qui s'encaissent de cette panière et ça permet au
04:24retailer de sécuriser les achats et de contrôler le contenu de la commande des articles. Et notre
04:28grosse particularité, et on a travaillé main dans la main avec nos utilisateurs, c'est qu'on a
04:33créé une solution sans téléchargement et sans inscription. Parce qu'aujourd'hui il faut limiter
04:37un maximum les barrières à l'utilisation pour les clients qui viennent en magasin, qui sont
04:42pressés, qui n'ont pas beaucoup d'articles à acheter et qui veulent juste vivre l'expérience en magasin.
04:47Merci, moins d'une minute pile, merci pour votre pitch picopé. Avant de passer aux conseils et aux
04:54détails, juste une petite réaction autour de la table. Allez Anne-Sophie Sancerre, vous êtes la
04:59patronne du groupe Westfield. Votre première réaction au pitch et à l'idée de cette entreprise, de cette
05:03startup ? J'adore, c'est super. Effectivement beaucoup de commerçants perdent du chiffre d'affaires parce
05:08que les gens abandonnent leurs produits, se disent bon bah j'achèterai en ligne derrière et finalement
05:12n'achètent pas. Donc c'est vraiment un moyen de fluidifier et d'augmenter le chiffre d'affaires
05:17des commerçants tout en améliorant l'expérience client. Donc il coche toutes les cases. Jérôme,
05:22vous avez dit tout à l'heure dans le sommaire, Jérôme Giacomoni, vous êtes le coach de ce soir,
05:26que c'était bluffant. Je reprends vos mots. Oui c'est bluffant parce que c'est une idée super
05:32simple. Comme me raconte Alexandre, il a vraiment réfléchi à plein de problèmes et puis c'est
05:37vraiment l'ingénieur, vous avez raison, il y a des problèmes et puis il trouve les solutions. Vous
05:39connaissez aussi Jérôme. J'aime bien l'approche et finalement quand on compare ça effectivement aux
05:46caisses automatiques, ça n'a que des avantages. Puisque finalement on n'a pas à attendre que
05:50quelqu'un d'autre passe à la caisse automatique avant et finalement ça fait le même boulot et
05:53c'est le client qui fait le boulot lui-même. Donc on gagne un temps très précieux. Un temps fou.
05:57Mais ça signifie que par exemple, si on prend, moi j'achète un t-shirt blanc, il y a 35 minutes
06:03de fil d'attente, c'est sur mon téléphone, je télécharge picopé ? Justement le gros avantage
06:09c'est qu'il n'y a pas de téléchargement. Donc avec la caméra du téléphone, on scanne le QR code et on
06:14peut commencer l'expérience. Mais comment l'argent il arrive où ? Ils ont un lien avec le magasin ?
06:18Vos clients c'est les magasins ? C'est ça, c'est notre travail. On fait toute la connexion
06:23informatique derrière. Côté retailer, il faut le voir vraiment comme une caisse supplémentaire en
06:28plus dans leur système. Mais par contre cette caisse là, c'est l'équivalent de tous les
06:31smartphones qui sont présents dans le magasin. Comment c'est accueilli en deux ans ?
06:35Comme le disait Anne-Sophie, on a constaté une augmentation du chiffre d'affaires sur des
06:40pics d'activité. Aujourd'hui nous on s'est focalisé un petit peu plus sur la grande distribution, donc
06:45dans les supermarchés. Pourquoi ? Parce qu'ils ont une problématique de pic d'activité le midi et en
06:50fin de journée. Mais où je scanne et je pose mes affaires en supermarché quand j'ai juste mon
06:54téléphone pour payer ? Comment ? Physiquement dans le supermarché, si j'ai un caddie de course,
07:00quelle est ma place physique pour prendre mes affaires et tout faire avec mon téléphone et
07:06votre solution ? Le principe c'est qu'on le fait pendant son parcours, pendant qu'on choisit,
07:10au fur et à mesure. C'est génial ! Un peu comme Youka, on peut scanner le produit et voir aussi
07:15les informations produits. Donc c'est un compagnon de parcours. Et donc je termine et j'ai fini de
07:20payer mes courses au moment où j'ai fini de faire mes courses. Il y a une vidéo sur son site qui
07:24dure 20 secondes et je comprends tout, c'est super simple ! Allez voir cette vidéo picopée pendant
07:30qu'on fait une petite pause en musique. On va se retrouver évidemment juste après avoir écouté
07:36Fine Young Cannibals, Good Times sur Europe 1.
08:06Fine Young Cannibals, Good Times sur Europe 1.
08:36Fine Young Cannibals, Good Times sur Europe 1.
08:59Fine Young Cannibals, Good Times sur Europe 1.
09:22Fine Young Cannibals, Good Times sur Europe 1.
09:49Fine Young Cannibals, Good Times sur Europe 1.
10:16Fine Young Cannibals, Good Times sur Europe 1.
10:45Fine Young Cannibals, Good Times sur Europe 1.
10:48Europe 1, 21h, 22h, Elisabeth Asayag.
10:53Bien sûr qu'elle bouge cette France sur Europe 1, nous sommes ensemble jusqu'à 22h. Ce soir on
10:58parle des centres commerciaux, on parle de l'expérience client et oui on est à l'approche des
11:01fêtes de Noël. Donc on a tous un petit truc à raconter sur comment c'était dans tel centre
11:05commercial, qu'est-ce que j'ai acheté cher, pas cher, les illuminations, mais aussi les files
11:10d'attente. On en parle ce soir avec Anne-Sophie Sancerre, la directrice générale stratégique
11:14des clients et commerces du groupe Westfield. Westfield ce sont des centres commerciaux comme
11:18La Défense, Carré-Seynard, Parly 2, Ronny 2, je vous laissera terminer parce qu'il y en a 70 en
11:26tout. Là par Dieu, on en a 70 dans le monde, 17 en France. Donc 17 en France avec un chiffre
11:31d'affaires qui augmente cette année et beaucoup plus de fréquentation, plus 5% de fréquentation,
11:37on est à des retours supérieurs à 2019 et c'est une bonne nouvelle. Pourquoi ? Parce que les centres
11:42commerciaux sont devenus des lieux de vie, c'est ce que vous nous expliquez depuis le début de
11:46l'émission. Des lieux de vie avec plus de 50% de la clientèle qui a moins de 35 ans. Oui,
11:52exactement. On est même à presque 60% si on part sur les moins de 35 ans, parce que c'est un lieu
11:58gratuit où les gens peuvent se retrouver, où les gens peuvent venir en famille, passer un bon
12:04moment. Alors comment faire en sorte de rester un lieu gratuit où les gens peuvent se retrouver,
12:08passer un bon moment à un lieu où on traîne ? Ou justement en termes de sécurité, ça peut être
12:13moyen ? Alors nous, on est drastique sur la sécurité. Ça, ça a été un gros enjeu et ça a
12:18été vraiment un élément transformateur dans des centres commerciaux, en tout cas des nôtres,
12:24historiquement au Forum des Halles. Il n'y avait pas toujours passé des bonnes choses. Il y avait
12:31ces images un peu de gens qui zonent et du coup de situations d'inconfort. On a beaucoup rendu
12:38les agents de sécurité qui sont là avec leur sourire, qui savent gérer ces situations,
12:44qui connaissent. C'est vous que vous sous-traitez ? Oui, on sous-traite en l'occurrence à Securitas,
12:50on a un contrat avec eux, mais ils sont formés à la Westfield. On a une formation spécifique,
12:57l'agent de sécurité Westfield, même chose pour nos agents de propreté, même chose pour tous
13:01nos prestataires. Finalement, on applique la méthode Westfield, qui est vraiment portée sur
13:07l'améliorer l'expérience client, parler au client de la manière la plus sympathique possible,
13:14le renseigner. Un agent de sécurité peut expliquer où est telle boutique, telle boutique et va vers
13:21les gens, va les aider pour qu'ils passent un bon moment. Et ce soir, on est avec une pépite,
13:28tout le monde va valider, on est en train d'échanger là-dessus pendant la musique,
13:32avec le cofondateur de Picopé. Picopé, c'est l'idée de génie que personne n'a eu avant,
13:37Jérôme, c'est ça un peu ? J'ai l'impression, je suis vraiment étonné à quel point c'est simple
13:42et génial et à quel point il y a des développements fantastiques à faire. Jérôme, rappelez-nous en
13:46une ligne ce qu'est cette idée ? L'idée, c'est simplement, vous utilisez votre smartphone pour
13:50acheter dans le magasin en direct et vous sortez et là il y a juste un vigile qui contrôle que
13:56vous avez bien acheté 5 produits et vous partez. Et on part, et donc il n'y a plus besoin d'attendre
13:59à la caisse, plus besoin, vous vous éliminez de notre parcours client Alexandre Chen, vous êtes
14:04le cofondateur de Picopé, les files d'attente. Combien de clients aujourd'hui ? C'est surtout la
14:09grande distribution, vous nous disiez tout à l'heure ? Oui c'est ça, donc on a finalisé une
14:12phase de preuve de concept avec des grandes enseignes comme Carrefour, Intermarché, Supermarché Match
14:17aussi et justement les résultats sont superbes. On observe une augmentation du chiffre d'affaires,
14:22une meilleure satisfaction client du NPS score et un taux de bouche à oreille qui est incroyable
14:28de la part de nos utilisateurs. Donc l'année prochaine, on compte déployer une centaine de
14:32magasins dans le nord-est de la France et toujours avec eux. Le siège est à Troyes ? C'est ça. Donc
14:38c'est pour ça que vous restez dans le nord-est pour l'instant ? Dans le nord-est, là on a des
14:42magasins à Lille, à Troyes et sur Paris aussi. L'idée, c'est que cette phase de preuve de
14:47concept nous permettait de démontrer des résultats concrets et que ce n'est pas juste une idée. Et
14:51désormais on est prêt à accélérer et on a pu démontrer qu'on a un produit validé qui répond à
14:55une problématique, des utilisateurs satisfaits et des enseignes qui sont prêts à avancer. Il ne
14:59reste plus qu'à accélérer. Jérôme ? C'est ça qui est très dur, c'est que déjà c'est fantastique
15:05que tu aies réussi à convaincre les grands donneurs d'ordre, les grands supermarchés de
15:13prendre ton produit et après ton défi ça va d'aller très très vite parce que finalement tu
15:18as une idée où il n'y a pas d'investissement, où en fait c'est duplicable et donc il faut que tu
15:23sois... c'est le premier qui prend tout, ça c'est le truc classique qu'on connaît tous. Il est tout seul sur le marché ?
15:28Alors est-ce que tu es tout seul dans le monde, en France ? Où tu en es là dessus, sur la concurrence ?
15:32Parce que l'idée est tellement géniale qu'on se dit tout le monde va l'avoir ou l'a eu. Oui, dans le monde on n'est pas
15:36les seuls à avoir repéré l'opportunité que présentaient les smartphones en termes d'encassement.
15:40Donc on a des concurrents aux Etats-Unis, en Angleterre, en Allemagne, mais en France on est les seuls
15:45capables à démontrer avec un QR code de faire plus de 100-200 tickets en une heure et donc
15:50justement on a un boulevard entre guillemets devant nous, il ne nous reste plus qu'à accélérer.
15:54Donc il faut qu'il accélère, ça c'est le maître mot. La clé c'est d'aller super vite, d'essayer d'avoir des
16:02contrats avec les grands donneurs d'ordres pour avoir une sorte d'exclusivité, pour ne pas tout
16:05de suite être mis en concurrence et après tout de suite de développer ton produit. C'est à dire
16:09qu'on imagine qu'une fois qu'on met le QR code, le smartphone vous dit ah si vous achetez une
16:13deuxième boîte vous avez moins un euro. Puis c'est parti, il y a plein de choses à faire dans tout
16:17le développement. On imagine tout ce que tu peux faire une fois que tu as transformé ton smartphone
16:21en outil d'achat. Donc il pourrait aller sur les paris d'attraction par exemple Jérôme ? Je l'attends
16:26avec impatience mais c'est vrai. Vous pouvez lui ouvrir votre carte d'adresse ? Bien sûr, il faut
16:30que tu ailles voir les paris d'attraction parce que là tu es dans un endroit clos et puis ce n'est
16:34pas uniquement effectivement les achats de produits boutique mais moi je pense par exemple nous dans
16:38les paris d'attraction on a des self-service donc on choisit des plats. Et combien de fois on fait
16:42les files d'attente dans les parcs d'attraction ? On met une demi-heure pour s'acheter une frite ?
16:46La plus grosse erreur que j'ai faite moi quand j'ai ouvert le parc c'est que j'avais fait un
16:49service à table. Il ne faut surtout pas. Donc on a mis le self-service mais le self-service il y a
16:53encore le sujet de la caisse. Mais là avec toi tu cliques. Ou dans les festivals aussi. Mais il y a
16:58plein de choses à faire. Et puis nous évidemment dans les centres commerciaux te faire rencontrer
17:02nos commerçants pour que tu sois mis en avant pour pouvoir payer dans toutes les boutiques.
17:06Avec plaisir et justement on a des partenariats avec des logiciels de caisse comme Cégide et
17:11qui nous permettent comme ça d'activer Picopay dans les magasins qui utilisent ce logiciel-là.
17:16Bon Alexandre vous allez repartir avec plein de contrats là.
17:18Oui je vous fais impression. Regardez à quelle vitesse on est passé des cartes de crédit physique.
17:23Au téléphone ! Combien de fois on sort qu'avec le téléphone tout seul ?
17:26Un truc comme ce que fait Alexandre. Demain tout le monde dira bah oui c'est évident. Pourquoi
17:31il y a encore des caisses ? Ça n'a aucun sens. Vous reviendrez nous en parler en tout cas Alexandre
17:34Chen cofondateur de Picopay. Tout est évident ce soir. La solution elle est là. Donc vous avez
17:39un grand avenir devant vous.