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Le Dry January en 1964, c'était avant tout savoir se fixer une limite...

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Transcription
00:00Docteur Genetti, êtes-vous pour ou contre le vin ?
00:02Je suis pour le vin, mais on ne doit jamais de toute façon dépasser trois quarts de litre par jour.
00:09On peut dire aussi qu'une notion qualitative du vin intervient,
00:13et les vins frolatés, un peu tourmentés par les uns et les autres, seront des vins beaucoup plus nocifs.
00:18D'autre part, vous êtes médecin sportif, donc vous devez avoir pour les sportifs des normes encore plus sévères.
00:25Les sportifs peuvent boire du vin, même en période de grande compétition,
00:30et même s'ils ont la classe internationale, mais du vin en quantité très restreinte, pendant les repas seulement.
00:36D'ailleurs, aux Jeux Olympiques de Londres, les Français avaient manqué de vin,
00:41et cet incident avait joué sur leur état d'esprit pendant un certain temps.
00:45Ça n'avait pas amené des contre-performances tout de même ?
00:47Non, pas de contre-performance tout de même, mais des incidents psychologiques.
00:50À Tokyo, les Français emmènent leur vin.

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