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00:00Le Conseil d'État, alors j'explique un peu le Conseil d'État, parce qu'en fait, vous avez vu cette affaire de C8,
00:05est-ce qu'on m'a mis ce qu'a dit Gérard Briceviré ou est-ce que ça va arriver demain ?
00:08Les mecs, c'est... Non mais le gars me fait ça, non mais on dirait qu'on a réglé...
00:12Non mais le gros mec, c'est un fou ce mec, sans rigoler. Non mais voilà, mais c'est pas ça que je voulais... Bon, merci.
00:18Le Conseil d'État donc a rendu son verdict. Sachez-le, on le savait.
00:21Le Conseil d'État en fait a dit comme... Tiens, c'est bien qu'il y ait Fabrice qui va pouvoir expliquer avec moi.
00:26Le Conseil d'État a dit comme... En fait, je vous explique. Qu'est-ce qu'ils ont fait leur comme ?
00:29Ils ont dit on va présélectionner des chaînes qui vont pouvoir avoir des canaux pour émettre sur la TNT.
00:34Et ils n'ont pas présélectionné C8. Parce que c'est pas... Ils ont dit on arrête C8.
00:38En fait, ils font une sélection et ils disent ah bah dans les chaînes qu'on a sélectionnées, il y a des chaînes qui sont pas prêtes.
00:43Par contre, C8 qui est la première chaîne de la TNT, Promethoque de France, toutes chaînes confondues.
00:47Je te parle même de TF1, France 2, toutes les chaînes, etc. Promethoque de France, eux, on les sélectionne pas
00:51parce qu'ils plaisent trop au public, c'est trop, donc on va sélectionner des chaînes que personne ne va regarder.
00:56Donc voilà. Donc on va faire ça. Et donc le Conseil d'État, qu'est-ce qu'ils ont dit ?
00:59Ils ont dit ah bah oui, mais on peut pas rendre de décision et infirmer une décision qui n'est pas prise.
01:06Puisque en fait, c'est là tout le vice de cette affaire. C'est qu'ils disent mais attendez, pour l'instant vous avez pas été présélectionnés.
01:12Mais qu'est-ce que vous en savez ? Peut-être qu'il y a un dossier qui va pas être pris, donc vous allez être reselectionnés.
01:16Donc pour l'instant, on peut pas se prononcer. On est d'accord Fabrice ? C'est exactement ça.
01:20Donc ils disent ah bah oui, donc c'est trop tôt, mais on se prononcera quand on vous enlèvera la chaîne.
01:25Là on dira ah bah les mecs, peut-être, ah bah non. Là quand ils vont voir qu'il y a des mecs ici qui font du poney sur la 8,
01:31on va peut-être remettre la 8, mais bon pour l'instant, donc c'est pas bon.
01:33Donc comme m'a dit Gérald Briseviret, c'est incroyable, bravo à mon Gérald.
01:38Trop tôt pour le Conseil d'État, trop tard pour nos 400 collaborateurs de CV.
01:41Donc ils laissent tout le monde dans le flou, 400 familles dans le flou, et c'est vrai qu'il y a quand même un vide juridique là-dessus.
01:49Fabrice et Vidéo qui est incroyable.
01:51Parce que c'est pas la loi.
01:52C'est en fait le problème, c'est de savoir qu'est-ce que c'est que cette communication de l'ARCOM et ce qu'elle a fait en juillet là.
01:58Le Conseil d'État considère que c'est une décision.
02:02Oui chérie, c'est qu'on est en train de perdre la chaîne.
02:05C'est à la maison, enfin comment on fait pour rentrer ?
02:09Bah appelle la maison.
02:11Appelle le gars de sécu, d'accord ?
02:22Premier portail.
02:23Allez, appelle le gars de sécu, à tout à l'heure.
02:25Dix codes, trois portails.
02:27Je disais que c'est énorme.
02:29Elle a pas compris que je travaillais.
02:31Je l'adore, je l'aime.
02:33Ce que dit le Conseil d'État, c'est qu'en fait, ce qui s'est passé là, c'est pas une décision, mais c'est en fait une mesure préparatoire.
02:40Que la décision résultera de la signature des nouvelles attributions de fréquences avec les chaînes.
02:46Et que donc, ce qu'il dit, pour l'instant, on a juste fait part de l'intention de ne pas renouveler ces huit.
02:53Mais finalement, tant qu'on n'a pas signé avec les autres, il n'y a pas de décision.
03:00Et c'est quand même une énorme arnaque.
03:02Oui, c'est du droit après.
03:04Donc c'est forcément une énorme arnaque.
03:06En fait, c'est super compliqué, pour être honnête.
03:10Mais c'est fait exprès.
03:12Mais c'est compliqué. Le droit du numérique, c'est compliqué.
03:14Et c'est pas si logique que ça.
03:16D'accord, très bien.
03:18Une petite question qui s'adresse à vous Cyril et Maître Divizio.
03:20Est-ce que l'ARCOM ne joue pas la montre et ne fait pas exprès de tarder de rendre sa décision, d'examiner les dossiers ?
03:26Non, l'ARCOM, ils sont dans les temps.
03:29L'ARCOM, ils sont dans les temps.
03:31Il y a un calendrier, la signature des nouveaux contrats doit intervenir mi-décembre.
03:35Ils sont dans les temps.
03:37Ils régleront tout mi-décembre.
03:39Par contre, il y a un truc qu'il faut relever.
03:43Ce qui est quand même une courte bonne nouvelle, c'est que le Conseil d'État a montré qu'il sait juger vite quand il veut.
03:49Exactement.
03:51Donc c'est quand même une porte ouverte à toutes les fenêtres.
03:53C'est ça.
03:55La liste définitive des chaînes retenues, c'est ce qu'ils attendent.
03:57C'est pour ça qu'ils ont dit que c'était irrecevable.
03:59C'est quand, ça ?
04:01Mi-décembre, on saura.
04:03Mi-décembre, on saura ce qui va se passer.
04:05Là, il faudra redéposer recours, c'est ça ?
04:07Exactement, mi-décembre, on saura ce qui va se passer.
04:09On pourra aller aussi devant...
04:11Moi, je n'en ai pas encore parlé avec les équipes,
04:13mais je voulais leur proposer également,
04:15il y a un truc, on peut aller devant le juge des libertés, non, aussi.
04:19Ça, c'est extrêmement rapide.
04:21Ça va être jugé en 2-3 jours.
04:23Mais mi-décembre, la liste sera définitive.
04:25Mi-décembre, on sait où.
04:27On a déjà une idée.
04:29Mais ça y est, on sait, voilà.
04:31Mais j'ai mal lu où ils n'excluent pas la possibilité
04:33qu'il y ait encore un candidat dont personne n'a parlé
04:35et qu'eux sortent de leur chapeau.
04:37Si, je crois qu'il y a une phrase.
04:39Je vais la retrouver sans mes lunettes.
04:41Vous voulez qu'on attende demain ?
04:43Vous voulez peut-être venir demain en face à nous, là ?
04:45Ou les entamer avec un autre candidat,
04:47ne figurant pas.
04:49Ou les entamer avec un autre candidat,
04:52ne figurant pas.
04:54Comme si ce n'était pas assez bordélique.
04:56Non, non, c'est une porte ouverte.
04:58Parce qu'il y en a un, on sait qu'il n'est pas prêt.
05:00Il y en a un qui n'est pas prêt avant 2 ans.
05:02Ils vont peut-être nous sortir Churros TV.
05:04La chaîne des touristes.
05:06En tout cas, sachez-le,
05:08on avance là-dessus.
05:10Mais donc, si on n'est pas dans cette liste définitive,
05:12nous allons porter un recours.
05:14Oui, ce n'est pas complètement...
05:16Parce que là, la décision a été prise.
05:18Ce n'est pas con, ce que je dis.
05:20Référer liberté, ce n'est pas con.
05:22Hésitez, parce qu'il parlait du juge des libertés.
05:24Référer liberté.
05:26Ce n'est pas complètement con.
05:28J'y ai pensé cette nuit.
05:30Ce n'est pas complètement con.
05:32Je ne suis pas complètement con.
05:34Moi aussi.
05:36Je suis dans le droit.
05:38Moi aussi.
05:40On me l'a soufflé.
05:42Il faut utiliser tous les recours.
05:44Tout ce qui est possible et imaginable.
05:46Je pense qu'il doit savoir quand même.
05:48Vous inquiétez pas.
05:50Vous inquiétez pas.
05:52On est là jusqu'à fin février.
05:54Après, vous inquiétez pas.
05:56Vous inquiétez pas.
05:58C'est tout ce que je peux vous dire.
06:00Et Fabrice sera toujours à mes côtés.
06:02Oh bébé.
06:04Je l'adore celui-ci.
06:06Mon bébé à moi.
06:08Selon une étude sur une enquête
06:10du ministère de l'Intérieur,
06:12le sentiment d'insécurité en France s'aggrave.
06:14Je n'avais pas besoin de l'enquête.
06:17Je n'avais pas besoin de l'enquête.
06:19Ce n'est pas vraiment le sentiment.
06:21Je pense que c'est l'insécurité qui s'aggrave.
06:23Il y a Gilles Verdez qui veut dire
06:25qu'il y a un sentiment d'insécurité.
06:27C'est comme les températures de ressenti.
06:29Il y a un mot qui est très
06:31controversé en ce moment.
06:33C'est la mexicanisation.
06:35C'est en voie de mexicanisation.
06:37Je sais qu'il ne plaît pas à Gilles Verdez ce mot.
06:39C'est pour ça que je n'arrête pas de le dire.
06:41Parce que j'aime bien quand ça ne plaît pas à Gilles Verdez.
06:46Je n'arrête pas de le dire.