Elias d'Imzalène harangue la foule constituée d’une centaine de personnes.
«Est-ce qu’on est prêt à mener l’intifada dans Paris ? Dans la banlieue ? Dans nos quartiers ? On va leur montrer que la voix de la libération vient de nous. Qu’elle démarre de Paris», hurle-t-il au micro face à un public survolté.
Avant de s’en prendre aux dirigeants politiques. «Ce génocide a des complices, ils s’appellent Biden, ils s’appellent Macron. Macron le voleur d’élection n’est-ce pas ?», condamne-t-il, soutenu par les huées du public.
«Est-ce qu’on est prêt à mener l’intifada dans Paris ? Dans la banlieue ? Dans nos quartiers ? On va leur montrer que la voix de la libération vient de nous. Qu’elle démarre de Paris», hurle-t-il au micro face à un public survolté.
Avant de s’en prendre aux dirigeants politiques. «Ce génocide a des complices, ils s’appellent Biden, ils s’appellent Macron. Macron le voleur d’élection n’est-ce pas ?», condamne-t-il, soutenu par les huées du public.
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00:00Est-ce qu'on est prêts à mener l'intifada dans Paris, dans nos banlieues, dans nos quartiers ?
00:10Pour leur montrer que la voie de la libération vient de nous.
00:15Qu'elle démarre de Paris, qu'elle passera par Marseille.
00:19Et bientôt Jérusalem sera libérée et nous pourrons prier au magie de l'Arsen.
00:26Et Jérusalem deviendra la capitale de tous les révolutionnaires.
00:30Et ce génocide a des complices. Il s'appelle Biden.
00:40Il s'appelle Macron.
00:45Macron le voleur de l'élection, n'est-ce pas ?
00:50On les connaît les voleurs qui habitent à l'Elysée et à Matignon.
00:55On les connaît. Est-ce qu'on est prêts à les virer eux aussi ?