Retrouvez le replay de l'Équipe du Soir du 18/11/2024.
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SportTranscription
00:00:00Générique
00:00:13C'est l'équipe du soir. Bonsoir à tous et bienvenue après le 24 minutes chrono.
00:00:18Présentation express de nos chroniqueurs du soir.
00:00:21Le patron, celui du lundi, Roland Courbis. Dans votre ville, peuple, cher président Courbis.
00:00:26J'ai nommé un roi, Claude Leroy. Un marquis, Yvan Lemay.
00:00:30Et puis, du ville-peuple, de la roture, un élégant, certes, Jean-Micou.
00:00:35Et une petite frappe parisienne.
00:00:37Paf !
00:00:38Demi, c'est vrai.
00:00:39Bonsoir messieurs.
00:00:40Bonsoir.
00:00:41Tu vas bien ?
00:00:42Bonsoir mémé.
00:00:43Bon, on est revigoré après cette victoire des Bleus.
00:00:45Mais il y a encore du neuf du côté du Kix et du côté de l'équipe.
00:00:51Puisque le brassard pourrait être en jeu, le brassard du Kix.
00:00:55Bonsoir Camille.
00:00:56Bonsoir mémé.
00:00:57Bonsoir à tous.
00:00:58Vous suivez ça sur les réseaux, les réactions ?
00:01:00Oui, beaucoup de réactions.
00:01:01On va en parler dans quelques minutes.
00:01:03Mais beaucoup, beaucoup de réactions sur le sondage.
00:01:06Didier Deschamps avait-il raison de faire confiance à Kylian Mbappé en tant que capitaine ?
00:01:11Ok, on va découvrir ça dans quelques minutes.
00:01:13Vous avez des questions, des choses comme ça, vous allez sur l'équipe Connect.
00:01:16Vous avez vu, le bruit du smartphone a déjà retenti.
00:01:18Vous pouvez y aller.
00:01:19Camille est aux aguets.
00:01:20A discrétion donc l'équipe d'Amien Degor au sujet du brassard du capitaine de l'équipe de France Kylian Mbappé.
00:01:26Le sélectionneur va échanger avec Mbappé au sujet du brassard du capitaine de l'équipe de France.
00:01:31Il pourrait éventuellement le garder ou le perdre.
00:01:33Le premier souhait du sélectionneur c'est que Mbappé reste capitaine.
00:01:37Mais il est revenu aux oreilles de notre sélectionnaire national que la charge du brassard peut-être un peu trop lourde à portée.
00:01:45Une discussion s'impose entre le Kix et la Desch.
00:01:49Est-ce la preuve en tout cas que Didier Deschamps s'est trompé en adoubant qu'il est Mbappé capitaine à cette question ?
00:01:56Quatre chroniquaires ne sont pas d'accord.
00:01:58Super Duel, Royal, Jingle.
00:02:02Royal, mais oui mon cher président puisque les non sont là.
00:02:07Ils ont répondu non.
00:02:08C'est Jo.
00:02:09Non.
00:02:10Les oui, pardon.
00:02:11Les oui.
00:02:12Excusez-moi.
00:02:13Les oui sont là.
00:02:15Qui commence ?
00:02:16Est-ce Jo ?
00:02:19Ou Claude ?
00:02:20Jo.
00:02:21Premier de cordée.
00:02:22Ok.
00:02:23Dominique, vous faites équipe avec Yvon Lemay.
00:02:25Je suis un peu perdu.
00:02:26Vous me dites quoi ?
00:02:27C'est simple.
00:02:28Sur 102 duels gagnés, on va changer une équipe qui gagne.
00:02:30On va commencer par le talent d'Yvon.
00:02:32On finira par un peu d'expertise.
00:02:33Si ça ne vous dérange pas, Mbappé.
00:02:34Vous avez répondu non ?
00:02:36D'accord.
00:02:37Est-ce la preuve que Didier Deschamps s'est trompé en adoubant qu'il est Mbappé capitaine ?
00:02:41Il a répondu oui.
00:02:42Johan Mikko, vous avez la main.
00:02:44J'ai dit oui parce qu'apparemment, ce n'était pas le moment pour lui donner ce brassard-là.
00:02:49Surtout qu'à côté, il y avait Griezmann qui sortait d'une Coupe du monde énorme
00:02:54et qui aurait dû l'avoir par rapport à son expérience, par rapport à l'état d'esprit
00:02:58qu'il pouvait amener à cette équipe, par rapport au joueur collectif qu'il est
00:03:02et par rapport, selon moi, au meneur technique qu'il est sur un terrain.
00:03:05Donc, je trouvais plutôt logique de le donner à Griezmann.
00:03:09Et on a vu les conséquences aussi par la suite.
00:03:11Yvon Lemay, vous répondez non.
00:03:13Quels sont vos arguments ?
00:03:16Par habitude, les sélectionneurs donnent le brassard, voire les entraîneurs, au meilleur joueur
00:03:21ou à celui qui véhicule le plus de valeur.
00:03:23Là, pour le coup, on a choisi le meilleur joueur parce qu'il est vraiment au-dessus.
00:03:26Quand ils lui donnent le brassard, a priori, on part sur un cycle de Real Madrid,
00:03:30meilleur joueur, meilleur attaquant et de belles années à venir.
00:03:33La personne pouvait imaginer que ça cale un petit peu, que ça soit un peu plus compliqué que prévu,
00:03:37qu'il ne se présente pas, qu'il y ait tout cet embouglure.
00:03:40Mais aujourd'hui, on a donné le brassard.
00:03:42Griezmann était déjà sur la pente.
00:03:44Visiblement, la retraite ne s'est pas passée du jour au lendemain.
00:03:47Donc, le choix d'Mbappé était juste.
00:03:49OK.
00:03:50Claude Leroy, vous faites équipe avec Joan.
00:03:52Quels sont vos arguments ?
00:03:55Quant à moi, ce que je viens d'entendre Yvon,
00:03:58les sélectionneurs ne mettent pas les joueurs qui sont indiscutables au capitaine.
00:04:02Ils mettent les joueurs les plus fédérateurs comme capitaine.
00:04:05Et les surdoués sont rarement fédérateurs dans un effectif.
00:04:10Pour donner juste un exemple très court,
00:04:12quand j'étais au Cameroun, j'avais un surdoué,
00:04:14peut-être le meilleur joueur en talent à l'époque,
00:04:16Hétéro Généla, qui n'a jamais été capitaine avec moi.
00:04:19C'était Emile Bou, parce qu'il remplissait toutes les cases pour être un magnifique capitaine.
00:04:24OK. Je regarde, vous avez encore 4 secondes à utiliser,
00:04:27mais on va du côté de Dominique.
00:04:29Simplement, Mbappé aime les responsabilités.
00:04:31Donc, c'était une manière de l'impliquer encore plus dans une équipe de France
00:04:35qui allait être désormais articulée autour de lui.
00:04:37C'est ce qu'on a vu à la Coupe du Monde 2022.
00:04:39Il a eu le Capitana après.
00:04:41Donc, c'est tout à fait logique.
00:04:42Si le débat revient aujourd'hui, c'est parce que Mbappé est moins fort devant le but,
00:04:46et moins fort sportivement.
00:04:47Mais sinon, s'il était toujours aussi fort, on ne se poserait même pas la question.
00:04:50Quant à Johan, il dit que Griezmann le méritait.
00:04:52Mais la dimension politique du Capitana,
00:04:54on ne parle pas de la même chose.
00:04:55Entre Griezmann et Mbappé, il y a un monde.
00:04:57OK. La dimension politique, vous gardez une seconde, Seth.
00:05:00On va du côté de Johan, qui a été interpellé.
00:05:03La dimension politique, vous avez 4 secondes pour peut-être répondre à votre ami.
00:05:08C'est pour ça qu'aujourd'hui, on parle peut-être de le donner à Konaté.
00:05:11Il n'y a pas un gouffre entre Mbappé et Konaté.
00:05:15OK. Konaté, pour vous, qu'avez-vous à répondre ?
00:05:17Une seconde et sept dixièmes.
00:05:18Ça se parle de donner le Capitana à Konaté.
00:05:23Konaté a été capitaine dans cette fenêtre de novembre.
00:05:25Il pourrait éventuellement, en cas de défection, le donner à Mbappé.
00:05:27Apparemment, ça a plu au staff.
00:05:28Ça a plu au staff, apparemment.
00:05:29C'est un bon capitaine, Konaté.
00:05:30Notez, il y a une information de Johan Mikko par rapport au staff.
00:05:33Voilà, c'est tout.
00:05:34C'est pour vous, mon cher.
00:05:36Mes petits, est-ce la preuve que dire des chances, c'est tromper en adoubant qu'il est Mbappé capitaine ?
00:05:42Puisqu'aujourd'hui, il y a une réflexion.
00:05:44Il y aura une discussion entre le capitaine et le sélectionneur.
00:05:47Le Président a demandé par rapport à ce que vous avez entendu.
00:05:49Vous êtes plutôt sur la gauche ou plutôt sur la droite ?
00:05:52Disons que j'essaie de réfléchir aux arguments que je viens d'entendre.
00:05:56Et c'est vrai que ce n'est pas facile de donner un brassard de capitaine,
00:06:01que ce soit dans une équipe de club ou que ce soit dans une équipe nationale.
00:06:08Et sincèrement, dire que Didier se trompe quand il met Kylian Mbappé capitaine,
00:06:15je trouve qu'il ne se trompe pas du tout dans cette époque-là.
00:06:18Je m'étais fait la réflexion, parce que c'est une habitude que j'ai.
00:06:22Je ne sais pas si elle est bonne, mais c'est la mienne.
00:06:24Je me mets à la place un petit peu des gens.
00:06:27Et à la place de Didier, le seul truc que je n'aurais pas fait pareil,
00:06:31c'est que je n'aurais pas mis Mbappé uniquement lui tout seul capitaine,
00:06:35sans expliquer à un garçon comme Griezmann que lui, c'était un vice-capitaine.
00:06:40Parce que ça me paraît être un petit peu correct de remercier un joueur
00:06:46qui ne va peut-être pas jouer encore pendant 4 ou 5 ans à cette époque-là.
00:06:50Mais le Mbappé de cette époque-là, c'était difficile pour moi de ne pas le mettre capitaine.
00:06:57Maintenant, avec ce qui s'est passé depuis, oui, évidemment.
00:07:01Mais déjà, parler de Mbappé éventuellement capitaine ou pas,
00:07:06alors que la prochaine fois que notre équipe de France aura la coupure internationale,
00:07:11ce sera au mois de mars, je pense que c'est peut-être un peu trop tôt, non ?
00:07:16Moi, je trouve que ça aurait été le raisonnement, c'est plutôt l'inverse pour moi.
00:07:20Parce que Griezmann n'est pas du tout sur la pente descendante après la Coupe du Monde.
00:07:23C'est le meilleur joueur de la sélection.
00:07:25Donc pour moi, tu donnes à Griezmann d'abord, en préparant à Mbappé pour la suite.
00:07:30Parce que tu sais très bien que Griezmann ne va pas jouer 10 ans encore.
00:07:32Il va jouer 2 ans, voire peut-être aller, si tout s'était bien passé par rapport à l'Euro,
00:07:37il serait allé peut-être au Mondial.
00:07:38Mais moi, je pense que c'est comme ça qu'il fallait faire.
00:07:41Et surtout quand on voit la capacité des deux joueurs dans un groupe.
00:07:45Mbappé, ce n'est pas quelqu'un qui va t'amener toute l'équipe avec.
00:07:48Moi, je pense que Griezmann est capable.
00:07:49Roland, il y a une discussion que j'aimerais nouer entre deux confrères, entre vous et Claude.
00:07:55Claude, vous me dites, je n'ai jamais filé le brassard de capitaine au joueur le plus doué.
00:08:01Pourquoi ? J'ai l'impression aussi qu'il y aurait quoi à Roger Millat notamment ?
00:08:06Il y aurait de l'ego ? Il y aurait trop de choses ?
00:08:08Il y aurait une personnification trop forte ? Ce serait une erreur ?
00:08:10Je pense que leur talent n'a pas besoin des claboussures.
00:08:14Leur talent leur permet de se concentrer sur ce qu'ils sont capables de faire.
00:08:19Mais il faut être adroit.
00:08:21Quand on gagne la Coupe d'Afrique des Nations, c'est Emile Mbou à l'époque le capitaine.
00:08:24Mais à la fin du match de la finale, je vais voir Emile et je lui dis, sois adroit.
00:08:30Il y a le roi qui est dans les tribunes, c'est au Maroc et tout.
00:08:33Laisse Roger aller récupérer la coupe.
00:08:36Emile Mbou, pour montrer à quel point c'est un capitaine exceptionnel, qui remplit toutes les cases,
00:08:41il dit bien évidemment, et il laisse Roger Millat aller récupérer la coupe.
00:08:46Parce que l'expérience m'a montré, comme je n'ai jamais mis un gardien de but de capitaine,
00:08:50parce qu'il y a une faute sifflée à 90 mètres, que l'arbitre appelle qu'il faille traverser le terrain,
00:08:54alors que je considère que le gardien de but est déjà un capitaine naturel de tout le système défensif,
00:08:59il a tout le jeu devant lui, donc je me suis toujours refusé, même si j'ai eu quelquefois la pression.
00:09:03Ça a toujours été ma marge de conduite.
00:09:08Sur l'ego d'un solice, d'un mec surdoué, ça peut être un poil dangereux.
00:09:14C'est un petit danger.
00:09:17À l'époque, sauf si je ne me rappelle pas bien, on a Mbappé qui est en plein enthousiasme,
00:09:24on a Mbappé qui démontre qu'il a envie d'être capitaine de cette équipe de France,
00:09:28on a un Mbappé qui est pronostiqué toujours comme le buteur de notre équipe de France à tous les matchs.
00:09:36À cette époque-là, je me mets à la place de Didier Deschartes,
00:09:41ce n'est pas une question de courage ou pas de courage, je ne m'imagine pas en train de ne pas donner le brassard de capitaine à Mbappé,
00:09:49à partir du moment où je le vois qu'il a envie de l'avoir.
00:09:53Ce n'est pas du tout une question de courage.
00:09:56Ce qui me dérange dans votre débat, c'est que vous faites comme si ce n'était qu'une question de fédérateur et d'emmener les autres.
00:10:03En mars 2023, il y a la première conférence de presse de Kylian Mbappé,
00:10:11et vous êtes le premier, mon petit Dominique, à interpeller le nouveau capitaine, Kylian Mbappé.
00:10:17On va réécouter d'ailleurs votre question.
00:10:21Bonjour Kylian, Dominique Serac, Le Parisien. C'est quoi un bon capitaine selon vous ?
00:10:30Un bon capitaine, c'est quelqu'un qui est avant tout tourné vers l'équipe,
00:10:34quelqu'un qui est capable d'être rassembleur, fédérateur et qui est capable d'emmener les autres dans son sillage.
00:10:41C'est la définition de Mbappé ça.
00:10:43Encore une fois, c'est une réponse assez courte.
00:10:45Oui, au moins, quelqu'un tourné vers l'équipe, rassembleur, fédérateur et d'emmener les autres dans son sillage.
00:10:50Tu discutes avec ton président, qui s'appelle Noël Le Graët, Philippe Diallo, peut-être demain un autre.
00:10:56Tout ça, Griezmann ne peut pas le faire. Il ne peut pas discuter avec Diallo.
00:10:59Tu négocies les primes pour toi, au nom du collectif.
00:11:02Tu es interrogé sur des questions politiques. Qu'est-ce que vous pensez ?
00:11:05En France, il y a les législatives, le FN, le RÉ.
00:11:09Je suis désolé.
00:11:10C'est ça être un capitaine. C'est répondre aux questions politiques.
00:11:16Tu es la figure de l'équipe de France.
00:11:18Là, tu planes.
00:11:20Si tu penses que c'est que du sport, tu te trompes.
00:11:23Il y a une dimension politique.
00:11:25Mais Griezmann remplit ses cases aussi. Il est capable de parler.
00:11:27Je ne parle pas de la même dimension.
00:11:29Ce n'est pas les mêmes.
00:11:30Après, pour considérer les joueurs sourds, doués.
00:11:32Je dis que ce n'est pas la même dimension. Ce n'est pas la même fabrication.
00:11:35Pourquoi tu ne lui as pas donné ? Il y a 4 ans, il avait cette dimension-là.
00:11:39Dominique, je n'arrive pas à comprendre que tu ne perçoives pas qu'un capitaine, c'est tout ce dont tu viens de parler.
00:11:46Un capitaine, c'est celui qui est à l'écoute de ses coéquipiers.
00:11:51Qui a réglé le problème des droits d'image ?
00:11:55Ça aurait pu être réglé par plein d'autres.
00:11:57Non, non, non.
00:11:59C'est exactement ce que j'allais dire.
00:12:01Moi, j'ai beaucoup d'admiration.
00:12:04Attendez, pas tous en même temps parce qu'on ne comprend plus rien.
00:12:07Il y a un axe Lemay-Courbis, Roland et Yvan par rapport à ça.
00:12:11Oui, parce que je pense, et moi-même, j'étais quand même étonné
00:12:15qu'un joueur aussi jeune que lui, qui démarrait,
00:12:19avec quand même une certaine personnalité déjà à cette époque-là,
00:12:22puisse s'occuper des problèmes d'images, de sponsors.
00:12:26Je n'ai vu que lui avoir le courage de faire un rêve,
00:12:33ne pas être d'accord de prendre une photo.
00:12:38Ça, je n'aurais pas pensé.
00:12:40Il était capitaine quand ça s'est passé ?
00:12:42Non, il n'était pas capitaine.
00:12:44Donc, ce n'est pas parce qu'il est capitaine qu'il va le faire.
00:12:46C'était le comportement, pour moi, d'un futur capitaine.
00:12:49Tu ne vois pas Griezmann, c'est le joueur qui a le plus de sponsors.
00:12:53Tu ne vois pas Griezmann aujourd'hui faire ce qu'il a fait à l'augure de lui dire
00:12:56qu'on ne va pas faire la photo.
00:12:58Oui, mais c'est aussi pour ça qu'il lui donne l'embrassade.
00:13:01Après, tu étais encore plus souvent que moi dans les vestiaires et Roland également.
00:13:05À la fin, c'est les joueurs qui disent qui on veut comme capitaine.
00:13:08Il y a le coach sélectionnaire, mais il y a une grosse influence des joueurs aussi.
00:13:12Yvan, est-ce qu'on peut inverser, on va dire, votre sens des priorités ?
00:13:18En se disant, si je ne lui donne pas, je vais avoir le feu.
00:13:20Parce que si Deschamps ne lui donne pas, c'est plus la capacité à gérer le risque et la déception.
00:13:26Si je ne lui donne pas, tu peux t'acheter un problème de ne pas lui donner.
00:13:29Est-ce que Deschamps confie le capitana à Bappé plutôt qu'à Griezmann ?
00:13:36C'est peut-être le contraire.
00:13:38C'est de se dire, si je ne lui donne pas, je vais avoir le feu.
00:13:43Je vais avoir un gros problème.
00:13:46Mais si tu réfléchis déjà comme ça, c'est que tu as l'impression dans ton vestiaire que tout le monde a envie que ce soit Mbappé.
00:13:53Tu ne lui mets pas pour lui faire le feu.
00:13:56Je comprends ce que tu dis pour Griezmann, mais tu pars pour 3-4 ans.
00:13:59Mbappé, quand il prend la décision, il est comme ça.
00:14:02Je ne suis pas d'accord.
00:14:04Je finis.
00:14:063-4 ans de cycle, tu pars sur 3-4 ans.
00:14:08Ne me dis pas que Griezmann, à ce moment-là, il était parti pour faire un plan quinquennal.
00:14:12Arrête.
00:14:13Deschamps, il a un contrat.
00:14:15Il sait que l'autre va en bombe à Madrid.
00:14:17Il sait qu'il part sur quelque chose de cohérent.
00:14:20C'est ton meilleur joueur.
00:14:21Il te fait gagner des matchs.
00:14:22Il a réglé le problème de droit d'image.
00:14:24Personne n'en parlait.
00:14:25Les gens étaient bien contents qu'il aille à la guerre et qu'il fasse lui.
00:14:27Je ne vois pas Griezmann, entre deux publicités qu'il fait, venir régler le problème pour les autres.
00:14:31Je n'ai pas aimé ce qu'ils ont fait sur le droit d'image.
00:14:33Mais il a pris la responsabilité d'un capitaine.
00:14:36C'est un arénament avec le brassard.
00:14:38Il était comme ça aussi.
00:14:41Toutes les histoires des capitaines de l'équipe de France, ce sont des joueurs qui sont complètement à la disposition de l'équipe.
00:14:47Qui sont fédérateurs.
00:14:48Mais on parle de 30 ans après, Claude.
00:14:50Les codes ont changé.
00:14:51Les gens ont changé.
00:14:52On ne parle pas de la même chose.
00:14:53Le comportement au sein d'une équipe, il n'y a pas de changement.
00:14:55Deschamps aujourd'hui capitaine, c'est comme si tu donnais le brassard à Guendouzi.
00:14:58Tu le donnes à Guendouzi le brassard ?
00:14:59Non.
00:15:00C'est pareil.
00:15:01On parle de palmarès de Deschamps et de Guendouzi.
00:15:04Non, on ne parle pas de palmarès.
00:15:05On parle que tu es le joueur à faire faire bien aux autres.
00:15:09Tu n'es pas le joueur qui fait gagner, qui fait la différence.
00:15:11Deschamps, je me rappelle avoir une longue discussion avec Arrigo Sacchi.
00:15:16Beaucoup de discussions avec lui.
00:15:17Qui me disait à l'évidence, Ancelotti ce n'était pas mon joueur le plus doué.
00:15:22Mais c'était à l'évidence celui qui remplissait toutes les cases pour être le capitaine sur le terrain.
00:15:27Parce qu'il était complètement fédérateur.
00:15:30Et que ça allait devenir un futur entraîneur.
00:15:33En général, les capitaines de grandes équipes, très souvent, deviennent de grands entraîneurs.
00:15:39Kylian Mbappé vient de manquer de rendez-vous internationaux.
00:15:42Laissant parfois D. Deschamps seul face à la presse en conférence de presse.
00:15:46Une petite compilation où vous allez voir l'embarras du sélectionneur est palpable.
00:15:51Compilation effectuée par Paul Giffard.
00:15:54Regardez.
00:15:55Sacré Paul.
00:15:56Il a un problème qui n'est pas grave.
00:15:58Mais qui nécessite des soins pour pouvoir bien récupérer.
00:16:06Je ne suis pas là pour prendre de risques non plus.
00:16:13Voilà pourquoi Kylian n'est pas dans la liste aujourd'hui.
00:16:18L'employeur du joueur, c'est les clubs.
00:16:20Comme vous, vous avez un employeur.
00:16:22Et si on vous dit de faire une interview de x ou de y, que vous posez la question, vous le faites.
00:16:27Ou si vous ne le faites pas.
00:16:29Je ne suis pas là pour mettre le joueur en porte-à-faux entre son club.
00:16:33Et puis la sélection.
00:16:36Ce n'est pas vouloir le défendre pour le défendre.
00:16:38Il est dans sa vie privée.
00:16:40Le seul truc, c'est lui, sa vie privée.
00:16:43Elle n'est pas privée parce qu'on sait où il est.
00:16:47Ce qui n'est pas votre cas et ça vous arrange bien.
00:16:49Certaines fois.
00:16:51En ce moment, ça sort de partout, n'importe comment.
00:16:55Entre faire la part des choses entre le vrai et le faux.
00:17:00Il y a un certain qui met tout sur le dos.
00:17:04Avec ça, je prends beaucoup de recul.
00:17:07Mais ce n'est pas une bonne chose pour l'équipe de France, bien évidemment.
00:17:12C'est un choix, je le répète, qui est ponctuel pour ce rassemblement avec les deux matchs qui nous attendent.
00:17:20Je vous répète, c'est ma décision parce que je pense que c'est mieux comme ça.
00:17:23J'ai 23 joueurs qui ont ça.
00:17:25Kylian n'est pas là.
00:17:27Laissez-le tranquille, s'il vous plaît.
00:17:30Désolé Didier, on ne va pas le laisser tranquille.
00:17:32Un an et demi après l'allumination du Kix comme capitaine, est-ce que vous pensez que Deschamps, il ne le dira jamais,
00:17:38mais s'occuper de Mbappé comme ça en plus capitaine, c'est un boulot de tous les instants.
00:17:44C'est un boulot à plein temps.
00:17:45Le capitana ou pas capitana.
00:17:47Parce qu'en fait, les questions sur Mbappé étaient permanentes bien avant.
00:17:50Ce n'est pas le capitana qui a décuplé les questions ou l'intérêt médiatique.
00:17:56Je voulais répondre à Joe, il dit que ça n'a rien à voir quand Mbappé négocie les primes,
00:18:00puisqu'il n'est pas capitaine.
00:18:02Mais c'est parce que la nature a horreur de vide, Joe.
00:18:04C'est parce que le capitaine de l'époque, Hugo Lloris, ne s'intéresse pas à ça,
00:18:07que quelqu'un y va, d'abord pour lui, et après il fédère autour de lui,
00:18:11parce que c'est d'abord un combat personnel avec son avocate Delphine Verheyden,
00:18:15et après il fédère tout le monde autour de lui.
00:18:17C'est une sorte d'acte de capitana déguisé.
00:18:20C'est comme ça qu'il s'est fait accepter à doubler par le reste.
00:18:25Donc ça a à voir, puisque c'est ce genre d'acte qui lui a permis d'être capitaine.
00:18:28Comme tu viens de le dire, ça part d'un truc personnel au départ.
00:18:33C'est souvent comme ça dans la vie.
00:18:35Oui, je ne suis pas sûr.
00:18:37Quand les mecs vont discuter, des capitaines que j'ai connus dans les équipes,
00:18:40quand ils allaient discuter, ils n'allaient pas discuter pour eux,
00:18:42ils allaient discuter pour l'équipe.
00:18:44Ils ne commençaient pas d'abord à discuter pour eux, et ensuite ils discutaient pour le reste.
00:18:47Pour les surdoués de certaines équipes, ça dépend du caractère du mec.
00:18:51Il y a Platini qui a été capitaine de l'équipe de France.
00:18:54C'était d'une logique implacable, parce qu'il y avait le talent,
00:18:58mais il y avait aussi le charisme du mec qui a mené tout le monde avec lui.
00:19:02Je ne trouve pas que Mbappé soit le joueur qui peut amener toute une équipe avec lui.
00:19:07Je ne suis pas d'accord avec ça.
00:19:08Après, quand vous me dites qu'il y a deux ans, il était sur le toit du monde,
00:19:11il n'était pas sur le toit du monde.
00:19:12Au niveau prestation, il n'était pas sur le toit du monde.
00:19:14Celui qui était très fort, c'était Griezmann sur le terrain.
00:19:18Après, lui, il était décisif, il mettait les buts, etc.
00:19:21Il n'y a pas de problème.
00:19:22Mais pour moi, ce n'était pas une évidence.
00:19:25Pour les jurés du Ballon d'Or, par exemple, ils ont mis Mbappé 3e cette année-là,
00:19:29et pas Griezmann.
00:19:30Oui, mais peut-être.
00:19:31Ce n'est pas nous.
00:19:32Donc, en fait, le Ballon d'Or, c'est la référence.
00:19:34Non, mais il y a d'autres personnes qui pensent autrement.
00:19:36Mais il y a eu aussi beaucoup d'autres personnes qui ne pensent pas comme toi non plus.
00:19:39Parce qu'à l'époque, quand on lui a donné le brassard,
00:19:41il y a eu combien de débats en disant pourquoi on lui donne à lui ?
00:19:44Parce que ça ne correspond pas à quelqu'un qui peut porter le brassard.
00:19:47C'est son état d'esprit.
00:19:48Si Griezmann l'avait eu aujourd'hui, qui l'aurait ?
00:19:50Peut-être que Griezmann serait encore là.
00:19:52Je pense qu'il y a eu une vraie cassure entre Griezmann,
00:19:56ce qu'il a pris par le fait de ne pas avoir le brassard,
00:19:58je pense que psychologiquement, l'air de rien.
00:20:00Il a dit c'est bon, on passe à autre chose.
00:20:02Mais je pense qu'il a gardé.
00:20:03C'est terrible, ça.
00:20:04Ça veut dire que si on disait ça d'Mbappé,
00:20:05si on disait qu'Mbappé se désintéressait de l'équipe de France
00:20:08parce qu'il n'avait pas eu le capital,
00:20:10Il ne se désintéresse pas.
00:20:11Tu as vu comment il a été traité à l'euro ?
00:20:13Tu as déjà vu un autre joueur aussi important dans l'équipe de France
00:20:16être traité comme il a été traité à l'euro ?
00:20:18Griezmann ?
00:20:19Et qu'il revient en septembre,
00:20:21et qu'après il annonce sa retraite internationale ?
00:20:22C'est qu'il y a un problème quelque part.
00:20:24Ce n'est pas que le problème de Griezmann.
00:20:25Si c'est le Capitana, je trouve ça triste.
00:20:27Si le Capitana a eu une cassure,
00:20:29je croyais qu'il aimait l'équipe de France au-delà du Capitana.
00:20:31Je pense qu'il traîne ça depuis un an et demi,
00:20:33le fait de ne pas l'avoir eu.
00:20:34Si c'est un bout de tissu qui fait que tu viens en équipe de France ou pas,
00:20:36je suis désolé.
00:20:37Pour moi, ce n'est pas classe.
00:20:38Fin de l'échange entre Dominique et Johan.
00:20:40Pourquoi tu veux défendre à tout prix Mbappé et attaquer Griezmann ?
00:20:43Je ne comprends pas.
00:20:44Là, tu l'attaques sévèrement.
00:20:46Dis-le moi, je pensais qu'il aimait l'équipe de France.
00:20:49Je pense que Griezmann a démontré par ses prestations,
00:20:52psychologiques je parle,
00:20:53par ses prestations qu'il aimait quand même cette élection.
00:20:55Tu me dis que c'est l'aboutissement d'une cassure.
00:20:57Je pense qu'il y a eu une cassure.
00:20:59D'ailleurs, Mbappé a posé la question,
00:21:01est-ce que ne pas le donner à Mbappé, ça peut poser un problème ?
00:21:03Moi, je sais qu'à l'époque, on ne pouvait pas le donner à Griezmann.
00:21:05Oui, ça aurait posé un problème.
00:21:06C'est pour ça que Deschamps fait ce choix-là.
00:21:08Moi, tout ce que je sais, c'est qu'à l'époque,
00:21:09il y a eu des articles de presse pour dire que Griezmann
00:21:11se fongeait à quitter l'équipe de France.
00:21:12À un moment, oui.
00:21:13Parce qu'il n'y avait pas de capitaine.
00:21:14Moi, je trouve ça dingue.
00:21:15Camille Macali, le sondage sur le compte Twitter de l'équipe du Sur,
00:21:19ça donne quoi ?
00:21:20Il est beaucoup plus unanime que notre plateau.
00:21:23Deschamps a-t-il fait une erreur en désignant Mbappé comme capitaine ?
00:21:26Oui, à 90%.
00:21:28Et une réflexion qui revient de la part de nos téléspectateurs,
00:21:31c'est que le brassard aurait dû être donné à Antoine Griezmann.
00:21:34Personne n'y pense comme moi.
00:21:36Et là, avec beaucoup de curiosité,
00:21:39j'aurais aimé que la même question se pose dans la semaine,
00:21:43dans les 48 heures où le brassard a été donné à Mbappé.
00:21:49Je pense qu'il y a beaucoup de débats qui ont été faits,
00:21:52notamment ici, en disant que c'était très surprenant.
00:21:55Et qu'en même temps,
00:21:56Deschamps s'est acheté la tranquillité en lui donnant.
00:21:58D'accord, mais si par exemple, tu me dis que c'était du 50-50,
00:22:02du 52-48, ok.
00:22:04Mais là, 90-10, je ne suis pas d'accord.
00:22:09Dans quelques minutes, Deschamps respire le milieu inférieur.
00:22:12On fait le résultat du sondage du duel.
00:22:1592-8.
00:22:16A tout de suite.
00:22:17On est maman.
00:22:28Le milieu info est activé.
00:22:29Camille Macalli, Camille.
00:22:30Au boulot, la Ligue des Nations, le groupe 1.
00:22:32Match nul entre la Croatie et le Portugal.
00:22:35Oui, match nul assez logique à Split.
00:22:38Un premier but, un bijou à la 33ème minute.
00:22:41Magnifique ouverture en profondeur de Vitigna,
00:22:44après le bon appel de Joao Félix.
00:22:46L'attaquant de Chelsea échappe à Soutalo
00:22:48et réalise le contrôle parfait.
00:22:50L'Ivakovic est battu,
00:22:52mais magnifique ouverture du joueur du Paris Saint-Germain.
00:22:56Il a l'air de le faire au PSG.
00:22:5866ème minute.
00:23:00Égalisation des Croates.
00:23:01L'on-centre rentrant de Jakic, Semedo, ne saute pas.
00:23:03Guardiol reprend dans son dos et trompe sa.
00:23:06Score final un partout.
00:23:08Le Portugal conforte sa place de leader
00:23:10et la Croatie se fait peur,
00:23:11mais elle sera également en quart de finale de Ligue des Nations.
00:23:14Dernier match de l'Espagne.
00:23:16L'Espagne a vécu une belle année,
00:23:17une grande année au Royaume-Football.
00:23:19L'Espagne s'est imposée contre la Suisse 3-2.
00:23:21Après la demi-heure de jeu,
00:23:23pénalty pour l'Espagne.
00:23:25Vogo stoppe le pénalty de Pedri,
00:23:28mais Williams prend sa chance dans la foulée.
00:23:30Ballon repoussé une nouvelle fois par Freuler.
00:23:32Pinault conclut du droit à bout portant.
00:23:34L'Arora prend l'avantage avec un petit peu de réussite.
00:23:3763ème minute.
00:23:38Égalisation de la Suisse.
00:23:39Montero qui se joue de trois adversaires
00:23:41avant de décocher une frappe à bout portant.
00:23:45Énorme exploit individuel.
00:23:47Cinq minutes plus tard,
00:23:48incompréhension dans la défense suisse.
00:23:50Gilles récupère sur la gauche
00:23:52et décroche une frappe croisée gagnante.
00:23:54L'Arora reprend l'avantage.
00:23:5585ème minute.
00:23:57Pénalty pour la Suisse.
00:23:58Deux partout et dans le temps additionnel,
00:24:00l'Espagne qui elle aussi obtient un pénalty.
00:24:02Zaragoza se fait justice lui-même.
00:24:04L'Espagne qui s'impose 3-2
00:24:06et qui conclut sa phase de poule avec 16 points.
00:24:09Une cinquième victoire consécutive.
00:24:11On rappelle les tirages au sort des quarts de finale
00:24:13de Ligue des Nations.
00:24:15Ça aura lieu vendredi à partir de midi.
00:24:17Ce sera à suivre sur la chaîne L'Equipe.
00:24:19La France qui connaîtra son adversaire.
00:24:21La Croatie, le Danemark ou les Pays-Bas.
00:24:23On a les droits !
00:24:24Le match des petits poussés d'Europe.
00:24:26La victoire ce soir de Saint-Marin
00:24:28contre le Lichtenstein.
00:24:30C'était en Ligue des Nations.
00:24:32Sachez que ça passionne tout le monde
00:24:34sur les réseaux sociaux ces petits poussés.
00:24:36Si Saint-Marin s'imposait
00:24:38et pouvait gravir un échelon
00:24:40basculer en Ligue C.
00:24:42Mais d'abord on vous montre l'ouverture du score
00:24:44du Lichtenstein avec cette magnifique frappe
00:24:46d'Aaron Sele à la 40ème minute.
00:24:48Un missile énorme !
00:24:50Exactement, un missile énorme.
00:24:52Mais Saint-Marin s'est ensuite bien repris
00:24:54et s'impose 3-1
00:24:56avec le troisième but signé Golounouchi.
00:24:58Première fois que Saint-Marin inscrit
00:25:00trois buts dans une rencontre internationale.
00:25:02Et surtout, il grimpe dans la Ligue supérieure.
00:25:04La Ligue C.
00:25:06Harry Kane inaugure sa statue
00:25:08et ça fait jaser.
00:25:10Au lendemain du succès de l'Angleterre face à l'Irlande
00:25:12où il a d'ailleurs inscrit un but,
00:25:14Harry Kane a célébré son faux double
00:25:16au Peter May Centre.
00:25:18C'est à l'Est de Londres,
00:25:20dans des installations détenues par Richard Rovers.
00:25:22Le club où il a fait ses débuts.
00:25:24La sculpture de l'attaquant du Bayern Munich
00:25:26a été placée devant une peinture murale
00:25:28dédiée à Harry Kane qui a dédicacé la fresque.
00:25:30Mais vous voyez ce visage.
00:25:32Eh bien, il ne plaît pas beaucoup aux supporters
00:25:34d'Harry Kane.
00:25:36Beaucoup d'interrogations, de commentaires
00:25:38sur les réseaux sociaux.
00:25:40Ça nous rappelle un petit peu la statue de Cristiano Ronaldo.
00:25:42Vous la trouvez ratée, les gars ?
00:25:44Pas très ressemblante.
00:25:46Disons qu'à partir du moment où ça ne lui ressemble pas.
00:25:48Mais sinon, elle n'est pas mal.
00:25:50Elle est belle, mais ce n'est pas lui.
00:25:52Ce mardi, les espoirs affrontent l'Allemagne.
00:25:54Après un bon match nul face à l'Italie.
00:25:56Vendredi, deux partout.
00:25:58Les Bleus défieront ce mardi,
00:26:00à 18h15, les Allemands à Valenciennes.
00:26:02Match à suivre en direct sur la chaîne L'Equipe.
00:26:04Et aujourd'hui, le sélectionneur des Bleus,
00:26:06Gérald Batikl, a défendu
00:26:08un de ses joueurs.
00:26:10Il s'agit de désiré doué, un peu dans le dur
00:26:12ces derniers temps.
00:26:14Très fier de l'avoir.
00:26:16Je ne le vois pas timide.
00:26:18Je le vois comme un jeune joueur, 2005.
00:26:20Et ce rassemblement,
00:26:22on a beaucoup de jeunes joueurs.
00:26:24Ça fait sourire lorsqu'on parle de jeunes joueurs en espoir.
00:26:26Mais on va dire que les espoirs,
00:26:28c'est une catégorie de jeunes joueurs.
00:26:30Mais là, c'est des très jeunes joueurs.
00:26:32Et désiré, il en fait partie.
00:26:34Il faut pas oublier que c'est un 2005.
00:26:36Il est parti d'un grand club, Rennes.
00:26:38Et il est dans un très grand club, Paris Saint-Germain.
00:26:40Tout joueur, ça demande une période d'adaptation.
00:26:42Et peut-être qu'un joueur de 2005,
00:26:44ça demande encore plus de temps
00:26:46pour s'adapter, s'intégrer
00:26:48et ensuite performer.
00:26:50Et il a déjà performé.
00:26:52Il est capable de faire encore mieux.
00:26:54Dominique, c'est une erreur de casting
00:26:56d'engager au Paris Saint-Germain.
00:26:58Pour lui, il joue très peu de match.
00:27:00C'est un 2005. On a besoin de jouer quand on est jeune.
00:27:02Il a 19 ans.
00:27:04L'année dernière, en novembre,
00:27:06vous me disiez que Bradley Barcola, c'était une erreur de casting.
00:27:08Donc non.
00:27:10Donc il faut attendre.
00:27:12Deux secondes, non ?
00:27:14Il vient de Rennes.
00:27:16Il joue quasiment jamais.
00:27:18Quand il joue, c'est pas à son poste.
00:27:20On fera un point camp avec la carrière de Désiré Doué en juin ?
00:27:22On en reparlera en février.
00:27:24Pour tous les joueurs,
00:27:26c'est quand même difficile
00:27:28une première saison, surtout dans un club
00:27:30comme Paris Saint-Germain,
00:27:32qui est quand même un club compliqué.
00:27:34Et il signe 5 ans.
00:27:36Donc attendons un petit peu.
00:27:38Je vous fais l'agent
00:27:40de Désiré Doué.
00:27:42Vous lui conseillez d'aller au Paris Saint-Germain ?
00:27:44Au sortir de Rennes ? Non.
00:27:46Pourquoi ?
00:27:48Parce que sportivement, il va trouver
00:27:50dans la même catégorie de club
00:27:52probablement un club qui va lui offrir plus de temps de jeu.
00:27:54Ils l'ont pris pour faire quoi ? Pour jouer
00:27:56avec Saint-Trégoche et Barcola. Ils l'ont pris pour jouer dans le cœur du jeu.
00:27:58Ils sont 8. Tu le prends pour faire quoi ?
00:28:00Le débat, il est là. C'est la première question
00:28:02qu'il faut poser au dirigeant avant de regarder la tenue du contrat.
00:28:04Quel genre de club équivalent il peut avoir ?
00:28:06Aujourd'hui, il aurait pu
00:28:08aller jouer à Dortmund.
00:28:10Et à Dortmund, il aurait joué titulaire.
00:28:12Il aurait fait très très bien. Après, il serait allé au Bayern
00:28:14ou en Première Ligue. Dortmund, c'est un bon tremplin
00:28:16pour les jeunes joueurs.
00:28:18Ou les Vercussen, comme a fait Belossian.
00:28:20Ce qui est très étonnant,
00:28:22c'est qu'il part de Rennes alors qu'il n'est pas titulaire.
00:28:24Indiscutable de Rennes. En crevant l'écran
00:28:26chaque week-end, etc.
00:28:28Pas très loin.
00:28:30C'était devenu un joueur important à Rennes.
00:28:32Il rentrait régulièrement.
00:28:34Il n'enchaînait pas tous les matchs
00:28:36tous les week-ends.
00:28:38C'était pas un joker.
00:28:40Non, c'est pas un joker. Mais il n'était pas
00:28:42titulaire inamovible.
00:28:44On ne disait pas Odyssey Redoué.
00:28:46Après, il faisait de très bonnes rentrées.
00:28:48Mais de là, de passer de Rennes
00:28:50à jouer, pas tout le temps, et de passer au PSG,
00:28:52ça va être compliqué à trouver du temps de jeu.
00:28:54Je pense qu'il est d'accord.
00:28:56Il faut qu'il joue au cœur du jeu.
00:28:58Je n'attaque pas. J'étais surpris
00:29:00de le voir arriver de Rennes à Paris
00:29:02aussi rapidement. On n'a pas parlé de Genndouzi, capitaine.
00:29:04Il y a son placement aussi
00:29:06au cœur du jeu plutôt que
00:29:08dans l'étroite devant. Parce qu'il joue aussi
00:29:10en fois neuf à Reims.
00:29:12C'est bien. Février.
00:29:14On sera un point doué en février.
00:29:16C'est le match de suite et son vrai poste.
00:29:18Et là, vous me convoquez.
00:29:20Il n'a pas réussi
00:29:22ses premiers matchs. L'impression qu'il donne,
00:29:24c'est qu'il veut, sur chaque action,
00:29:26montrer à quel point il a du talent.
00:29:28Il force un peu son jeu.
00:29:30Dans ces cas-là, en général, quand tu forces ton jeu, tu échoues.
00:29:32Ça le ramène
00:29:34à l'action antérieure.
00:29:36Il faut qu'il sorte de ça.
00:29:38Il remplace souvent Ousmane Dembélé.
00:29:40Il rentre souvent pour remplacer
00:29:42Ousmane Dembélé. Je crois qu'en joueur extérieur
00:29:44au Paris Saint-Germain, il peut rendre de grands services
00:29:46d'ici la fin de la saison.
00:29:48Une info de l'équipe officiellement confirmée.
00:29:50Le trophée des champions, ce sera
00:29:52en janvier au Qatar.
00:29:54Réunis ce lundi après-midi,
00:29:56le conseil d'administration de la Ligue
00:29:58professionnelle a validé sa tenue
00:30:00le 5 janvier 2025 à Doha.
00:30:02Au Qatar, l'événement rapportera
00:30:04environ 3 millions d'euros à la LFP.
00:30:06Une partie reversée
00:30:08aux deux équipes. Ironie du calendrier,
00:30:10le match Monaco-PSG comptant
00:30:12la 16e journée de la Ligue 1,
00:30:14prévu le même jour, sera lui avancé
00:30:16au 18 décembre prochain.
00:30:18L'OL menaçait de relégation
00:30:20le tweet très distancié de Jean-Michel Aulas.
00:30:22Oui, il nous avait habitués à mettre son
00:30:24petit grain de sel un petit peu partout et notamment
00:30:26pour défendre son cher OL.
00:30:28Cette fois-ci, il est sorti du silence
00:30:30et c'est plutôt pour mettre les choses au clair.
00:30:32L'OL, avec ses supporters, est un club
00:30:34merveilleux, parmi les premiers
00:30:36pour les académies, pour les féminines, comme pour les hommes.
00:30:38À la nouvelle équipe d'écrire un nouveau
00:30:40chapitre de l'histoire du club, je me consacrerai
00:30:42au développement du football féminin
00:30:44et à la FFF, on a bien compris
00:30:46qu'il ne veut pas du tout être mêlé.
00:30:48Événement de la semaine en tennis,
00:30:50Rafael Nadal prendra sa retraite
00:30:52après sa dernière compétition, c'est la Coupe des Vices
00:30:54et chez lui, c'est en Espagne.
00:30:56Ce mardi, quart de finale, l'Espagne qu'affrontera
00:30:58les Pays-Bas à Malaga
00:31:00et tous les regards seront braqués sur lui.
00:31:02Plus de 500 journalistes
00:31:04accrédités, des billets qui se sont revendus
00:31:06à prix d'or, affichés sur les plateformes
00:31:08entre 3 000 et 50 000 euros, imaginez-vous.
00:31:10Rafael Nadal,
00:31:12jouera-t-il en single, jouera-t-il en double,
00:31:14sera-t-il sur le banc ? Personne ne sait,
00:31:16y compris lui, l'homme aux 22 titres
00:31:18du grand chelem, attraction de la conférence
00:31:20de presse ce lundi,
00:31:22ne veut pas encore penser à sa retraite.
00:31:28Je profite de la semaine.
00:31:30Je n'y prête pas attention.
00:31:32Je sais que ce sera un grand changement dans ma vie.
00:31:34Mais j'y penserai plus tard.
00:31:36Je suis ici avec l'équipe
00:31:38et c'est ce qui me rend heureux.
00:31:44C'est ma dernière semaine,
00:31:46mais c'est une compétition par équipe.
00:31:48Et la chose la plus importante, c'est d'aider l'Espagne,
00:31:50de rester concentré
00:31:52et de bien faire.
00:31:54Je ne suis pas ici pour prendre ma retraite.
00:31:56Je suis ici pour aider l'équipe.
00:31:58Les adversaires et les conditions sont difficiles.
00:32:00Les émotions seront pour la fin.
00:32:02En attendant, il faut se concentrer
00:32:04sur ce qu'on a à faire.
00:32:34On se rapproche de plus en plus du poteau noir.
00:32:36Et on retrouve Jean Le Cam aux commandes.
00:32:38Leader de la course samedi.
00:32:40Le doyen avait perdu de la vitesse dimanche
00:32:42au profit de Sam Goodchild.
00:32:44Mais son option de toucher une zone de vent
00:32:46au large des côtes mauritaniennes
00:32:48a été un choix payant.
00:32:50Le Cam devance le Britannique Goodchild
00:32:52et Sébastien Simon le Vendéen.
00:32:54La flotte est très resserrée
00:32:56avec 13 skippers
00:32:58qui se tiennent dans un rayon de moins de 100 000
00:33:00jusqu'à Paul Meyer.
00:33:02Monaco vire son coach
00:33:04Sasa Obradovic.
00:33:06C'est du basket.
00:33:08Le football ne change pas.
00:33:10La sentence est tombée au lendemain des sifflets
00:33:12et d'appel à sa démission
00:33:14après la première défaite à domicile
00:33:16en championnat de l'AS Monaco face au Mans.
00:33:18Le club, septième après neuf journées,
00:33:20a annoncé ce lundi le départ
00:33:22d'un commun accord de l'entraîneur serbe
00:33:24champion de France en 2023 et 2024.
00:33:26En poste depuis 2021,
00:33:28il est remplacé temporairement
00:33:30par son assistant georgien
00:33:32Manouchar Markochvili.
00:33:34Manouchar Markochvili ?
00:33:36Oui, c'est très bien dit.
00:33:38Je ne sais pas.
00:33:40Enfin, c'est déjà Noël pour Clément Noël
00:33:42puisque le Français hier a été vainqueur
00:33:44du premier Slalom de la saison.
00:33:46Il a reçu une drôle de dotation.
00:33:48De quoi s'agit-il ?
00:33:50Après avoir reçu son trophée,
00:33:52on lui a présenté un nouveau compagnon
00:33:54qui est le sien, un renne en même temps.
00:33:56Il s'appelle Clément Noël.
00:33:58Ça, c'était pour la vanne aussi.
00:34:00En réalité, il a vraiment un renne
00:34:02dont il est propriétaire
00:34:04mais qui restera à Lévis en Finlande
00:34:06là où il a remporté son Slalom.
00:34:08Mais il lui appartient.
00:34:10Il a d'ailleurs surnommé Matt comme son frère.
00:34:12Joli cadeau !
00:34:14C'est magnifique.
00:34:16C'est superbe.
00:34:18Déchant respire.
00:34:20Voyons le moment où notre sélectionneur
00:34:22a respiré un grand coup.
00:34:24Nous sommes à la 65e minute.
00:34:26C'est Lucas Ligne qui l'exécute.
00:34:28Deuxième tête victorieuse d'Adrien Rabiot.
00:34:303-1 pour les Bleus.
00:34:32Un succès qui permet à l'équipe de France
00:34:34de terminer première de sa poule
00:34:36et d'éviter Rancart, l'Espagne, l'Allemagne ou le Portugal.
00:34:38Hier, après la victoire contre l'Italie,
00:34:40c'est un nouveau Didier Deschamps
00:34:42qui s'est présenté en conférence de presse.
00:34:44Il était un peu ragayardi.
00:34:46Il était sur la défensive jeudi
00:34:48après un match nul contre Israël.
00:34:50Vous allez voir, Didier avait repris
00:34:52du poil de la bête, pas de rêve.
00:34:54Quelle analyse tu fais de ce match ?
00:34:56Est-ce que pour toi...
00:34:58Bon, t'as le sourire, c'est déjà bien.
00:35:00J'ai toujours le sourire.
00:35:02Je vais avoir le match aussi.
00:35:04Vous l'avez dit, il y avait
00:35:06beaucoup de changements.
00:35:087 changements et
00:35:10une équipe assez expérimentale,
00:35:12notamment au milieu de terrain et devant.
00:35:16Et malgré ça, vous avez eu une maîtrise
00:35:18technique et collective dès le début
00:35:20de la rencontre.
00:35:22Au début à quoi ?
00:35:24Mon travail tactique a été extrêmement bien réalisé.
00:35:26C'est les joueurs qui ont fait du dépassement
00:35:28de fonction, un peu des deux ?
00:35:30Dans toutes les lignes, on a été performant.
00:35:32Mais c'est vrai que le positionnement
00:35:34et l'animation
00:35:36des trois joueurs offensifs,
00:35:38avec Christopheur, Colau
00:35:40et Marcus,
00:35:42a mené beaucoup de choses.
00:35:44On avait eu Digne deux fois
00:35:46passant des Ives pour Rabiot.
00:35:48Sur quasiment chaque coup de pied arrêté au corner,
00:35:50il a cherché à trouver Rabiot
00:35:52sur d'autres situations.
00:35:54Est-ce que ça a été travaillé ?
00:35:56Est-ce que c'était vu à la vidéo ?
00:35:58Vous avez vu une faiblesse italienne ?
00:36:00On travaille de temps en temps, on prépare.
00:36:02Après ça marche, ça marche pas,
00:36:04mais on fait en sorte
00:36:06à chaque fois, par la manière dont défend l'adversaire,
00:36:08de faire en sorte de prendre
00:36:10des options
00:36:12où on peut être dangereux.
00:36:14Didier qui reprend du poil au bête.
00:36:16La victoire en Italie sauve-t-elle
00:36:18Didier Deschamps, deux chroniqueurs,
00:36:20ont la même réponse,
00:36:22mais pas le même raisonnement.
00:36:24Jingle pour un premier anti-duel de l'histoire de l'équipe du soir.
00:36:26On y va.
00:36:28D'habitude ils sont associés,
00:36:30ils ont la même réponse.
00:36:32Ils nous ont fourni deux noms,
00:36:34mais avec deux démonstrations opposées.
00:36:36Il y a un nom de Johan Mikou
00:36:38et un nom de Claude Leroy.
00:36:40Vous allez voir, c'est une bataille de noms.
00:36:42Claude, vous commencez, expliquez-nous
00:36:44pourquoi vous dites non à cette question.
00:36:46Il paraît tellement naturel
00:36:48qu'il n'a pas besoin d'un résultat
00:36:50contre l'Italie pour être encore confortable.
00:36:52Moi j'ai été un peu stupéfait
00:36:54de ce Deschamps bashing après Israël
00:36:56parce que tout le monde a dit
00:36:58que c'était pitoyable,
00:37:00que c'était catastrophique.
00:37:02C'était un 0-0 qui aurait pu se transformer
00:37:04par une énorme victoire.
00:37:06Comme tous les turifs erraires qu'on a entendus
00:37:08après le résultat contre l'Italie
00:37:10nous font un petit peu sourire
00:37:12parce que c'est aussi sur des coups de pied arrêtés.
00:37:14Mais on a vu une équipe cohérente
00:37:16comme elle l'était
00:37:18contre l'Israël avec des résultats différents.
00:37:20Le nom de Johan, c'est quoi ?
00:37:22Pourquoi vous répondez non ?
00:37:24Quels sont vos arguments ?
00:37:26Non, parce que pour moi, ça ne sauve pas
00:37:28ce résultat d'hier, ça ne sauve pas l'année
00:37:30que l'équipe de France vient de vivre.
00:37:32Même si hier, on a retrouvé quelque chose,
00:37:34une cohésion collective avec un impact physique
00:37:36qui fait la force de cette équipe.
00:37:38Mais après, je n'oublie pas
00:37:40les déclarations de Deschamps pendant l'Euro
00:37:42si ça ne plaisait pas le contenu des matchs
00:37:44on pouvait zapper.
00:37:46Je me souviens aussi des contenus du match
00:37:48de ce même Euro.
00:37:50Et la gestion aussi de Griezmann
00:37:52qui n'a pas été au top niveau
00:37:54et qui a été très limite
00:37:56et qui a engendré pour moi la retraite internationale
00:37:58de Griezmann. Donc tout ça fait que
00:38:00je n'oublie pas les côtés négatifs de cette saison.
00:38:02Pour Claude, la saison est plutôt bonne.
00:38:04Il n'y a pas besoin d'être sauvé.
00:38:06Je vous donne ce petit complément
00:38:08d'information pour que le président
00:38:10ne parle même pas de la saison.
00:38:12Je parle de sa carrière, de tout ce qu'il a montré.
00:38:14C'est la carte de Deschamps.
00:38:16Ça ne sauve pas la carte de Deschamps.
00:38:18Ça sauve l'année de Deschamps.
00:38:20On est sans arrêt en train de revenir
00:38:22sur une mauvaise performance.
00:38:24Sur les cinq derniers matchs, il y a quand même
00:38:26quatre victoires et un match nul.
00:38:28C'est difficile.
00:38:30Est-ce que c'est le nom de Claude
00:38:32ou le nom de Johan ?
00:38:34Ce sera plutôt le nom de Johan
00:38:36parce que moi je vois
00:38:38une saison très moyenne.
00:38:40Je vois un championnat d'Europe
00:38:42très moyen.
00:38:44Quand je regarde le match d'hier,
00:38:46je suis le premier à applaudir.
00:38:48Je suis d'accord avec tout ce que j'ai pu entendre.
00:38:50Ça ressemblait vraiment à une équipe.
00:38:54Mais quand je vois aussi
00:38:56les trois buts que nous marquons
00:38:58et notamment deux buts de la tête
00:39:00de Rabiot,
00:39:02je dis que c'était une belle soirée.
00:39:04C'est vrai qu'on a déjà
00:39:06connu ça avec les deux buts de Thuram.
00:39:08On a déjà connu ça avec les deux buts de Sacco
00:39:10dans le match de Rucken.
00:39:12Pour vous, c'est des trucs qui tombent du ciel
00:39:14de la passion ?
00:39:16Si par exemple tu me dis avant le match
00:39:18que Rabiot va marquer deux buts,
00:39:20je suis déjà très content pour lui.
00:39:22Je suis très content de l'OM.
00:39:24Mais si tu me rajoutes que les deux buts
00:39:26qu'il va marquer, c'est deux buts de la tête,
00:39:28je te demande...
00:39:30Plus cinq coups front du latéral gauche
00:39:32et là tu te fous de moi ?
00:39:36Tu remets en question aussi la finale
00:39:38contre le Brésil en 1998.
00:39:42Rabiot, je crois qu'il ne jouait pas cette finale.
00:39:46Les deux buts de la tête de Zizou.
00:39:50J'ai quand même connu Zizou
00:39:52pour savoir qu'il avait un très bon jeu de tête
00:39:54et que peut-être on ne s'en rendait pas compte
00:39:56assez souvent.
00:39:58Mais le jeu de tête de Rabiot,
00:40:00justement c'est le départ d'un petit plus
00:40:02pour Rabiot qui est déjà un bon joueur.
00:40:04Si en plus de ça, il va marquer régulièrement
00:40:06déjà sept à huit buts
00:40:08qui me paraît être
00:40:10logique pour un milieu
00:40:12de haut niveau.
00:40:14Mais si en plus maintenant c'est des buts
00:40:16de la tête, j'essaie
00:40:18de m'adapter, mais permettez-moi
00:40:20d'être un petit peu surpris.
00:40:22Excusez-moi d'être surpris.
00:40:24Le président est sur le cul.
00:40:26Sur la chaîne d'équipe, après la rencontre,
00:40:28il dit « bavarde ».
00:40:30Et nous on l'a monté bien.
00:40:32Le climat, un peu délétère, un peu toxique
00:40:34autour du sélectionneur. Regardez, ça donne ça.
00:40:36Est-ce que ce soir
00:40:38il y a quand même une notion d'importance
00:40:40de faire ce match-là ?
00:40:42Oui, c'est bien, mais ce n'est pas pour
00:40:44régler des comptes ou quoi que ce soit.
00:40:46On n'est pas là-dedans. Après qu'il soit
00:40:48certain sur mon dos,
00:40:50oui, c'est valable.
00:40:52Je comprends.
00:40:54Je suis en conférence de presse hier.
00:40:56On m'a posé 4 questions
00:40:58pour la première fois sur moi.
00:41:00Je sais bien.
00:41:02Après, je suis
00:41:04réaliste.
00:41:06Ça fait 12 ans
00:41:08qu'on en est marre de voir ma tronche
00:41:10ou de dire, de faire des réponses...
00:41:12On est contents de la voir, nous, sur la chaîne d'équipe.
00:41:14Si, si.
00:41:16Dominique, vous étiez envoyé spécial
00:41:18président parisien.
00:41:20Quand Didier, qui se sent bien,
00:41:22qui connaît bien les médias,
00:41:24même s'il dit qu'il n'est pas au courant de rien...
00:41:26Il regarde tout.
00:41:28C'était quelque chose d'important,
00:41:30hier, la victoire des Bleus en Italie.
00:41:32Il y avait quelque chose qui jouait.
00:41:34D'ailleurs, dans les deux montages que vous avez montrés,
00:41:36c'est la réaction à la chaîne d'équipe qui est la meilleure.
00:41:38Parce qu'en fait, il sait que
00:41:40le lieu de la contestation, il est ici.
00:41:42Il sait qu'il y a des gens comme Jo
00:41:44de manière tout à fait argumentée.
00:41:46Ce n'est pas personnel.
00:41:48Il y a des gens qui ne l'aiment pas, qui sont chroniqueurs,
00:41:50qui sont consultants ici. Donc, je pense
00:41:52qu'il n'a pas fait cette sortie au hasard
00:41:54sur la chaîne d'équipe. Nous, devant les journalistes
00:41:56de presse écrite, de télévision,
00:41:58la conf que vous avez montrée d'abord,
00:42:00c'était beaucoup plus édulcoré. C'était beaucoup plus cool.
00:42:02C'était des petites piques comme ça.
00:42:04Mais on sentait qu'il avait envie, sur le lieu
00:42:06où il se sent le plus remis en cause,
00:42:08c'est-à-dire le plateau de l'équipe du soir en général
00:42:10ou de la chaîne d'équipe, il avait envie de répondre.
00:42:12C'est un peu miraculeux.
00:42:14On sort de France-Israël,
00:42:16match pourri. Claude, tu as beau dire
00:42:18que ce n'était pas si nul que ça,
00:42:20c'est-à-dire qu'il y a eu des moments mauvais
00:42:22et tu finis premier, 3 jours plus tard,
00:42:24en marquant 3 buts sur coup de pierreté,
00:42:26ce qui ne t'est pas arrivé depuis très longtemps.
00:42:28Dernier couffrant direct, c'était Paul Pogba
00:42:30en 2018. Ça fait 6 ans
00:42:32que tu n'as pas mis un couffrant direct.
00:42:34Mais le fait que ça arrive aussi souvent
00:42:36avec Deschamps, par rapport à ce que disait
00:42:38Roland, les buts qui sortent de nulle part,
00:42:40c'est que ce n'est plus un hasard,
00:42:42parce que ça lui arrive tout le temps.
00:42:44Il y a bien qu'à un moment, il travaille des choses
00:42:46qui lui arrivent. Ça ne tombe pas toujours du ciel.
00:42:48Parce que Didier Deschamps,
00:42:50la chatte à Didier, le fameux truc qui circule
00:42:52depuis des années, ça s'est tellement répété
00:42:54de fois dans tellement de matchs,
00:42:56que ça ne peut plus être du hasard.
00:42:58Vous n'avez pas répondu à la question sur le climat
00:43:00autour de ce match ?
00:43:02Oui, les mollets étaient un peu rouges.
00:43:04Il se faisait mordiller depuis quelques jours.
00:43:06Mordiller quoi ?
00:43:08Mordiller ? Pas non plus,
00:43:10parce que j'entends le Deschamps bashing.
00:43:12Il ne faut pas exagérer non plus.
00:43:14Ça c'est Claude.
00:43:16Moi j'entends régulièrement
00:43:18quand on défend Deschamps.
00:43:20En France, ça va, on est tranquille.
00:43:22Dans les autres pays, je pense que
00:43:24Deschamps aurait ramassé un peu plus.
00:43:26Il a joué en Italie.
00:43:28Il a joué en Italie, en Espagne, en Angleterre.
00:43:30Là, ce qu'on dit sur lui, c'est des analyses de match.
00:43:32Ah oui, complètement.
00:43:34Imagine que la sélection me perde hier soir,
00:43:36que Deschamps me perde le match.
00:43:38Est-ce que ça sauve l'année ? Est-ce que ça sauve la semaine ?
00:43:40On va passer un mauvais Noël.
00:43:42Comme il l'a dit, c'est mars après.
00:43:44Deschamps, 5 mois de contestation.
00:43:46Ce n'est pas bien, ce n'est pas beau.
00:43:48On a perdu, il n'y a rien.
00:43:50Il aurait passé 5 mois d'enfer.
00:43:52La victoire d'hier, tu respires.
00:43:54Le match, il était ce qu'il était.
00:43:56On n'a pas vu la grande Italie.
00:43:58C'était pas un grand adversaire,
00:44:00mais c'était un match important
00:44:02qu'il fallait gagner à l'extérieur.
00:44:04Et ils l'ont gagné sur la grinta,
00:44:06parce que les buts qui sont marqués,
00:44:08c'est des buts rageurs,
00:44:10qu'on n'a pas l'habitude de voir.
00:44:12Ils ont quand même mis les ingrédients humains
00:44:14d'agressivité, etc.
00:44:16Après le match, il n'y avait rien d'extraordinaire.
00:44:18On peut arrêter de faire des analyses
00:44:20qu'en fonction des résultats,
00:44:22parce que cet adversaire,
00:44:24qui n'était pas un grand adversaire,
00:44:26était remarquable après le match
00:44:28quand il avait gagné 3-0 en France.
00:44:30Il était remarquable.
00:44:32On avait vu une Italie
00:44:34qui était redoutable,
00:44:36qui revenait de nulle part
00:44:38après une période catastrophique.
00:44:40Il faut quand même se rappeler
00:44:42tout ce qui a été dit après ce match.
00:44:44Et tu ne prends pas 3 buts,
00:44:46c'est arrêté.
00:44:48Tu prends des buts construits.
00:44:50Je ne dis pas le contraire.
00:44:52Ce que je veux dire,
00:44:54c'est qu'hier,
00:44:56le résultat,
00:44:58c'est parce que cette même équipe d'Italie
00:45:00était très médiocre.
00:45:02C'est la vie du foot.
00:45:04De temps en temps,
00:45:06c'est bien aussi.
00:45:08On l'a dit hier aussi,
00:45:10on dit que la France a fait
00:45:12de grosses expériences.
00:45:14Il y a eu de la réussite sur les buts.
00:45:16Après, il y a quand même
00:45:18un problème négatif,
00:45:20c'est le jeu offensif.
00:45:22Si on peut parler du jeu offensif,
00:45:24même avec 3 buts marqués,
00:45:26les 3 attaquants, c'est les moins bien notés.
00:45:28Il n'y a pas d'occasion.
00:45:30Il y a la frappe d'un coup qui est repoussée,
00:45:32mais c'est tout.
00:45:34Et les bonnes nouvelles
00:45:36pour les bleus guillé des champs.
00:45:38La suite, c'est cette nuit.
00:45:40La France qui n'a plus occupé
00:45:42la tête du classement FIFA
00:45:44depuis 2018 dans la foulée
00:45:46de son sacre à la Coupe du monde
00:45:48peut peut-être la reprendre à l'Argentine.
00:45:50Les bleus
00:45:52peuvent s'installer si l'Argentine
00:45:54ne bat pas le Pérou.
00:45:56Mercredi, coup d'envoi 1h en France.
00:45:58Ce sera à suivre sur la chaîne équipe.
00:46:00Les Argentins doivent s'imposer
00:46:02pour rester au sommet de la hiérarchie
00:46:04du foot mondial, sinon
00:46:06les Français prendront le poste.
00:46:08C'est pas cette nuit, c'est l'année prochaine.
00:46:10C'est super de passer l'Argentine,
00:46:12mais pourquoi l'Espagne est derrière ?
00:46:14C'est ça qui m'inquiète.
00:46:16L'Espagne, c'est pas mal
00:46:18ce qu'ils ont fait cette année.
00:46:20Le nom de Joël
00:46:22l'emporte sur le nom de Claude.
00:46:24Regardez.
00:46:26Le nom de Joël l'emporte sur le nom de Claude.
00:46:28Donc on a fait 100% ?
00:46:30100% de non.
00:46:32Italy France, le replay.
00:46:34On va partir des chroniqueurs de l'équipe du soir.
00:46:36Je vais vous faire une conférence,
00:46:38ce matin je me lève, une inspiration,
00:46:40la seule de l'année.
00:46:42Je vais appeler mes chroniqueurs en B,
00:46:44et je vais leur dire, Italy France,
00:46:46quelle image, quelle séquence,
00:46:48aimeriez-vous revoir ?
00:46:50En quoi est-elle révélatrice ?
00:46:52Le premier de cordée, c'est Papa Claude.
00:46:54C'est M. Leroy.
00:46:56Le pied gauche délicieux de Lucas Digne
00:46:58par Claude Leroy.
00:47:00Un coup franc,
00:47:02malheureusement qui ne lui est pas crédité.
00:47:04Je lui donne.
00:47:06Il a marqué, Lucas.
00:47:08Le pied gauche délicieux.
00:47:10L'importance d'un pied gauche.
00:47:12Soyeux, certains ont dit.
00:47:14J'ai retenu ça,
00:47:16parce qu'on n'arrête pas de dire,
00:47:18depuis des mois, des mois, des mois,
00:47:20quasiment des années, que l'équipe de France
00:47:22ne réussit jamais rien sur les coups de pied arrêtés.
00:47:24Et justement dans ce domaine,
00:47:26Griezmann, qui a été à l'origine
00:47:28de beaucoup de coups francs,
00:47:30excentrés et tout, en a réussi très très peu.
00:47:32Il avait du mal à passer le premier rideau.
00:47:34Très souvent, c'était des coups francs
00:47:36qui étaient récupérés au premier poteau
00:47:38par les défenseurs adverses.
00:47:40Il avait une propension à rater
00:47:42beaucoup d'actions importantes là-dessus.
00:47:44Par hasard, peut-être par ces soirées
00:47:46magiques qui arrivent comme ça,
00:47:48en Lombardie.
00:47:50Il y a eu ce coup franc
00:47:52de Lucas Digne.
00:47:54Cette passe,
00:47:56ce coup franc, la tête de Rabiot
00:47:58venant de nulle part, semble-t-il.
00:48:00Ce coup franc magnifiquement
00:48:02inspiré, où tout le monde pense,
00:48:04dit par cette action, que c'est Koukou
00:48:06qu'elle est tirée. Et puis ce troisième but,
00:48:08à nouveau sur une tête de Rabiot.
00:48:10Je pense que là, on a trouvé
00:48:12un joueur qu'on voit depuis
00:48:14très longtemps, parce qu'il n'a pas fait tous les plus grands
00:48:16clubs d'Europe par hasard, qu'on avait
00:48:18un peu méprisé, capable de réussir
00:48:20des choses d'une très grande qualité.
00:48:22Claude, ce que ça m'inspire, c'est qu'on découvre
00:48:24l'habileté de Lucas Digne
00:48:26à tirer soit les coups francs,
00:48:28les corners, tout ça,
00:48:30après cinq ans de sélection.
00:48:32C'est bien dommageable.
00:48:34Lucas Digne est arrivé en sélection en équipe de France
00:48:36il y a dix ans.
00:48:38C'était en 2014, juste après le match de barrage
00:48:40dont gagné contre l'Ukraine, avec ce doublé
00:48:42de Mamadou Sakho.
00:48:44Il arrive au mois de mars, rassemblement,
00:48:46et Digne, on va dire, fait sa première sélection.
00:48:48Est-ce que c'est en disant aussi
00:48:50qui tire les coups francs, qui tire les coups de pirater sur le statut
00:48:52du joueur ? Parce que Lucas Digne, en général, c'est plutôt
00:48:54l'éternel oublié.
00:48:56L'éternel oublié des joueurs.
00:48:58Toujours présent dans l'élite.
00:49:00Dans ces dix ans-là, il y a qui qui tire les coups francs ?
00:49:02Qu'est-ce que tu sous-entends ?
00:49:04Il y a Pogba,
00:49:06Griezmann, Mbappé,
00:49:08qui veut tirer parfois aussi des cornères.
00:49:10C'est normal qu'à chaque fois
00:49:12que Digne était là, il y avait ces trois joueurs-là.
00:49:14Donc c'est normal qu'il passe après.
00:49:16On ne lui a jamais donné à tirer.
00:49:18Non, mais c'est normal qu'il passe après.
00:49:20Alors ça, vous signez.
00:49:22Moi, je vois que ce petit gars-là
00:49:24a quelque chose sur les coups de pirater.
00:49:26C'est pas même Lucas Digne qui a dix ans non plus.
00:49:28Il ne faut pas déconner. Je l'ai toujours aimé.
00:49:30Il a fait des gros clubs. Mais là, il est au sommet de son art.
00:49:32Aston Villa.
00:49:34Donc là, il arrive au bon moment.
00:49:36On a le meilleur Lucas Digne.
00:49:38Il n'a jamais déçu en équipe de France.
00:49:40On n'a jamais trop compté sur lui.
00:49:42Mais à chaque fois, il fait ses matchs.
00:49:44Il est présent.
00:49:46Ce qui était peut-être décevant,
00:49:48c'est que par moments, il n'était même pas considéré
00:49:50comme la doublure du titulaire.
00:49:52Il a raté deux Coupes du Monde.
00:49:54Il n'était même pas sélectionné.
00:49:56Et de là à ne pas le sélectionner, chacun ses goûts.
00:49:58Mais j'ai toujours trouvé ça anormal.
00:50:00Il y avait plus de hype Farland-Mendy
00:50:02à un moment donné que de hype Lucas Digne.
00:50:04Attention, son agent est à côté de vous.
00:50:06Christopher Nkunku.
00:50:08Le faux meneur de jeu.
00:50:10Par qui ? Par notre président Roland Courbis.
00:50:12On y va Roland.
00:50:14Qu'est-ce que vous avez aimé ?
00:50:16J'ai bien aimé le match d'Nkunku.
00:50:18Je n'ai jamais dit faux meneur de jeu.
00:50:22Je te dis que s'il jouait
00:50:24au Paris Saint-Germain,
00:50:26ce serait un faux 9.
00:50:28Alors que là, en équipe de France,
00:50:30c'était un vrai 10.
00:50:32Dans la dernière émission,
00:50:34la question, c'était
00:50:36le leader de l'équipe
00:50:38de France en ce qui concerne
00:50:40le côté offensif.
00:50:42J'avais choisi Nkunku.
00:50:44Je le maintiens.
00:50:46C'est un joueur qui, malheureusement,
00:50:48a eu beaucoup de blessures.
00:50:50C'est un joueur qui est indispensable
00:50:52pour moi, ce profil, d'être capable
00:50:54de créer une bonne
00:50:56dernière passe, une bonne avant-dernière
00:50:58passe, de temps en temps marquer un but
00:51:00aussi.
00:51:02Je l'ai regardé attentivement.
00:51:04Je maintiens
00:51:06ce que je pense. C'est un joueur
00:51:08très intéressant.
00:51:10De le voir dans le 11 de départ
00:51:12tout le temps, pourquoi pas,
00:51:14mais dans l'époque que nous vivons,
00:51:16être dans les 16 joueurs
00:51:18de notre équipe de France,
00:51:20je pense que c'est quand même
00:51:22quelque chose de très bien.
00:51:24Sur Nkunku, il offre
00:51:26de la continuité au jeu.
00:51:28C'est quand même drôle
00:51:30pour un attaquant.
00:51:32Moi, ça devrait être le bagage,
00:51:34le camp de base de tout genre de foot,
00:51:36d'offrir de la continuité au jeu.
00:51:38C'est assez drôle quand même.
00:51:40Il faut en avoir les qualités.
00:51:42C'est des qualités, ça ?
00:51:44Oui, parce que quand on démarre un match
00:51:46et qu'on fait 25 passes sur 25
00:51:48et qu'on ne rate pas une seule passe,
00:51:50je crois que la seule passe qu'il a ratée,
00:51:52c'est la 26e,
00:51:54c'est quand même un garçon
00:51:56qui donne à ses coéquipiers
00:51:58la possibilité
00:52:00d'être meilleur sur le plan offensif.
00:52:02Et quand je vois Nkunku
00:52:04et quand je vois aussi les deux attaquants
00:52:06que doit servir Nkunku,
00:52:08je pense que ces deux
00:52:10attaquants-là,
00:52:12ils doivent quand même un petit peu progresser
00:52:14parce qu'au niveau international,
00:52:16il y a encore des progrès à faire,
00:52:18mais une de mes phrases préférées,
00:52:20c'est qu'on fait des progrès à tout âge.
00:52:22Ils en ont besoin.
00:52:24Et dans quelques minutes,
00:52:26les images de Dominique,
00:52:28l'image d'Yvan et les images de Jaune
00:52:30vous recommenceraient parce que je pense
00:52:32qu'on va revenir avec Nkunku
00:52:34et avec le jeu collectif.
00:52:36Il y avait deux ou trois trucs que vous avez notés
00:52:38et ça vous a bien plu.
00:52:40Il n'y a pas de problème.
00:52:42Allez, à tout de suite.
00:52:54On continue de revoir
00:52:56France-Italie, l'Italie-France,
00:52:58avec la victoire française à San Siro.
00:53:00Juste avant la pause,
00:53:02Johann Mikko, vous avez aimé hier
00:53:04le pressing des deux,
00:53:06notamment le pressing en début de match.
00:53:08Je pense que vous avez vu l'action
00:53:10dont vous vouliez revenir.
00:53:12Hier, quand ils l'ont fait, ils le faisaient tous ensemble.
00:53:14Tout le monde était compact
00:53:16et donc ça a été très intéressant de voir l'évolution
00:53:18d'un match sur l'autre.
00:53:20Dès le coup d'envoi, je crois que c'est ça.
00:53:22Il y a la première minute, la deuxième minute à peu près.
00:53:24Ils récupèrent le ballon,
00:53:26ils vont se créer une action offensive
00:53:28sur le côté droit et après,
00:53:30ils vont rester haut quand Colomoni perd le ballon
00:53:32et tout le monde accompagne.
00:53:34C'est ça que j'ai trouvé très intéressant.
00:53:36C'était vraiment dès le départ.
00:53:38On se disait qu'ils n'étaient pas capables de le faire,
00:53:40qu'ils ne le faisaient pas assez.
00:53:42On voit Koundé très haut qui reste là, qui va contrer ce ballon.
00:53:44Mais il y a 4 ou 5 joueurs qui sont avec lui.
00:53:46Et là, sur le cimetre,
00:53:48je crois qu'il va amener au corner du premier but,
00:53:50on voit que tout le monde est là.
00:53:52Il y a Digne qui vient monter très haut
00:53:54pour empêcher la ressortie.
00:53:56Rabiot qui est là.
00:53:58On a Coné qui est aussi là.
00:54:00Ça permet de pouvoir récupérer ce ballon
00:54:02assez facilement.
00:54:04Je voulais mettre l'accent là-dessus parce qu'on ne le voit que très peu en sélection.
00:54:06Hier, on l'a très bien vu.
00:54:08Ils l'ont très bien fait tous ensemble.
00:54:10Ils n'ont pas fait tout le match
00:54:12mais quand ils le faisaient,
00:54:14il y a tout le monde qui est accompagné.
00:54:16Ce que je retiens également des qualités
00:54:18de l'équipe de France,
00:54:20c'est également le potentiel athlétique
00:54:22de nos joueurs et de l'équipe de France.
00:54:24C'est la force de cette équipe.
00:54:26Quand ils ont ce potentiel athlétique,
00:54:28ils font mal à l'adversaire et hier, ils l'ont très bien fait.
00:54:30Ça me fait un petit peu rire
00:54:32quand il y a 3 ou 4 joueurs,
00:54:34j'entends que le calendrier est démentiel
00:54:36et c'est assez juste.
00:54:38Mais on en parle quand on fait une compte-performance.
00:54:40Hier, on n'en a pas du tout parlé
00:54:42parce que les joueurs étaient bien physiquement.
00:54:44Ils sont capables de pouvoir faire ce genre de match
00:54:46assez régulièrement.
00:54:48Pourquoi, avec un tel potentiel athlétique,
00:54:50on ne fait pas plus de choses comme ça ?
00:54:52Vous n'avez pas la réponse ?
00:54:54Je vous pose la question.
00:54:56C'est mon grand étonnement
00:54:58par rapport à ça.
00:55:00Ce que dit Johan en creux,
00:55:02sans qu'il le dise vraiment,
00:55:04c'est qu'on ne peut faire ce pressing
00:55:06dans ce registre-là
00:55:08que parce qu'hier soir,
00:55:10Kylian Mbappé ne joue pas.
00:55:12Ça, c'est tordu.
00:55:14Ce n'est pas tordu.
00:55:16C'est Arthur Perrault d'RMC
00:55:18qui a posé la question.
00:55:20Plus sur l'état d'esprit.
00:55:22Ce n'est pas du tout tordu.
00:55:24C'est une réalité athlétique
00:55:26à savoir qu'on sait très bien
00:55:28sauf une fois ou deux
00:55:30que Kylian, dans la récupération collective,
00:55:32n'est pas concerné.
00:55:34Que ce soit en équipe de France ou au Réal.
00:55:36Avec des entraîneurs
00:55:38qui ne le concernent pas non plus.
00:55:40Donc, ce genre d'action
00:55:42qui sont vraiment symboliques
00:55:44de cette rencontre hier,
00:55:46indépendamment du potentiel athlétique
00:55:48de cette équipe,
00:55:50c'est que tout le monde est au pressing
00:55:52très haut et pas en faisant semblant.
00:55:54Pas en courant dix mètres à côté
00:55:56d'un joueur qui va récupérer le ballon
00:55:58et qui va relancer derrière.
00:56:00Tous les joueurs qui étaient là
00:56:02y allaient pour récupérer la balle.
00:56:04On ne va pas la prendre ce soir
00:56:06mais là, ce qu'on a pu constater
00:56:08sur ces deux matchs,
00:56:10c'est que l'équipe de France
00:56:12qui a démarré le match contre Israël
00:56:14et l'équipe de France qui a démarré
00:56:16le match contre l'Italie,
00:56:18plus les joueurs qui peuvent rentrer
00:56:20en cours de match.
00:56:22Donc, c'est sûr que cette équipe
00:56:24de France contre l'Italie,
00:56:26c'est une équipe de France
00:56:28qui est quand même assez sympa
00:56:30à avoir joué.
00:56:32Mais celle contre l'Israël,
00:56:34dans un contexte en plus compliqué,
00:56:36c'était notre équipe de France aussi
00:56:38Pour faire un pressing comme ça,
00:56:40il faut aussi avoir quelqu'un
00:56:42qui impulse et je trouve que
00:56:44Manu Koné est extraordinaire
00:56:46dans ce domaine-là, dans l'intensité
00:56:48physique aussi athlétique.
00:56:50Je trouve que c'est un joueur
00:56:52qui est apparu après l'Euro
00:56:54et pour l'instant, aucune de ses sélections,
00:56:56aucune de ses minutes ne me déçoit.
00:56:58Je trouve que c'est une des principales
00:57:00trouvailles depuis post-Euro.
00:57:02Quand Didier Deschamps fait référence
00:57:04au travail des trois attaquants hier,
00:57:06c'est sur le travail sur le ballon.
00:57:08Et pour en revenir
00:57:10à notre équipe de France,
00:57:12il y a une question que je me suis posée.
00:57:14Je ne sais pas si vous avez la réponse.
00:57:16Très certainement, on doit l'avoir.
00:57:18On est là pour ça.
00:57:20Je suis impatient.
00:57:22Si vous avez des questions,
00:57:24vous avez aussi vos propres réponses.
00:57:26Posez votre question.
00:57:28J'essaye de parler vite.
00:57:30Ça ne devait pas être cette équipe de France
00:57:32qui a démarré. Il devait y avoir
00:57:34au lycée.
00:57:36Et d'un coup, on s'est retrouvés
00:57:38avec une autre équipe de France.
00:57:40Mais je réfléchissais.
00:57:42Nouveau coup de chance de Didier.
00:57:44Le réservoir de joueurs.
00:57:46Le réservoir de joueurs.
00:57:48Je réfléchissais.
00:57:50Ça m'arrive de réfléchir.
00:57:52Et je regardais un petit peu notre équipe de France.
00:57:54Et je regardais un petit peu aussi
00:57:56les joueurs qui n'étaient pas.
00:57:58Je ne parle même pas d'Mbappé,
00:58:00Barcoula,
00:58:02Dembélé.
00:58:04Mais on a quand même un potentiel
00:58:06offensif, je trouve.
00:58:08Si on rajoute un concours,
00:58:10pour pouvoir avoir
00:58:12dans les 25 derniers mètres
00:58:14des passes intelligentes.
00:58:16Sincèrement...
00:58:18C'était quoi vos questions ?
00:58:20Je veux bien répondre.
00:58:22Notre équipe de France
00:58:24qui devait jouer.
00:58:26Vous auriez préféré notre équipe de France
00:58:28avec...
00:58:30Coman et Olizé ?
00:58:32Moi, je n'ai pas la réponse.
00:58:34Moi non plus, je ne l'ai pas.
00:58:36Ce sera une question sans réponse.
00:58:38Et donc notre président ?
00:58:40Il y a la gêne musculaire de Kinsey Coman
00:58:42qui oblige Deschamps à revoir quasiment tous ses plans devant.
00:58:44Moi, ce que j'ai vu hier soir,
00:58:46je l'aime cette équipe en dérouté d'esprit.
00:58:48Dans ce qu'elle a amené.
00:58:50Le but encaissé par les Bleus.
00:58:52Avec la faute
00:58:54de Koundé.
00:58:56Yvan voulait revoir ce but.
00:58:58Le positionnement et la posture de Koundé.
00:59:00Il y a beaucoup d'erreurs.
00:59:02On va la voir l'image ?
00:59:04Regardez, c'est parti.
00:59:10On a mis Koundé.
00:59:12Il va haut.
00:59:14Gendouzi fait la compensation.
00:59:16Remet la balle.
00:59:18Il est mal placé, il ne prend pas l'info.
00:59:20Derrière, il fait un geste technique qu'il ne doit pas faire
00:59:22qui est dangereux où il est.
00:59:24Avec Di Marco, ça ne marche pas.
00:59:28Derrière, il ne va pas non plus faire la faute.
00:59:30Parce que derrière, il peut revenir et faire la faute.
00:59:32Et après Di Marco qui est le meilleur couloir gauche européen
00:59:34depuis quelques mois avec l'Inter.
00:59:36Il fait le reste.
00:59:38Roland, je sais que depuis qu'on se connaît,
00:59:40les buts encaissés, à chaque fois,
00:59:42ça vous travaille en tant qu'entraîneur.
00:59:44La posture de Jules Koundé, est-ce que c'est lui qui crée la brèche ?
00:59:46Il rate juste son contrôle.
00:59:48Ça peut arriver ou non ?
00:59:50Il y a peut-être un petit truc à dire.
00:59:52Je la trouve très moyenne.
00:59:54Ce qui est pour moi quelque chose de très important
00:59:56c'est qu'un défenseur, c'est la distance de marquage.
00:59:58Ce n'est pas la première fois
01:00:00que je le vois disons moyenne
01:00:02dans certains cas.
01:00:04Et là, la bêtise,
01:00:06des bêtises, des erreurs, tout le monde en fait.
01:00:08Il y avait tout simplement une orientation
01:00:10d'un contrôle pour pouvoir
01:00:12aller contre les balles et après donner son ballon.
01:00:14Et pas se la faire piquer
01:00:16comme on se la fait piquer.
01:00:18C'est quand même trop dangereux parce que
01:00:20je ne vais pas rajouter aussi qu'un 2 à 0
01:00:22qui se transforme en 2-1,
01:00:24c'est pas du tout amusant.
01:00:26Et ça, c'est ce qui s'est passé
01:00:28à cause de ce but.
01:00:30Barcola,
01:00:32entrée ratée à San Siro
01:00:34par Dominique Sébrac.
01:00:36Il rentre à la 78ème,
01:00:38il joue les 12 dernières minutes
01:00:40d'augmentaire plus 4 de temps additionnel.
01:00:42Il joue 16 minutes.
01:00:44Tout se passe bien
01:00:46jusqu'à la 90ème.
01:00:48Il fait des replis défensifs,
01:00:50il fait des bonnes courses.
01:00:52Et à la 90ème, les 4 dernières minutes,
01:00:54il disparaît complètement.
01:00:56Il a des coups à jouer en contre-attaque
01:00:58qu'il ne joue pas.
01:01:00Et il perd le fameux ballon.
01:01:02Deschamps sort de son bas
01:01:04et il hurle dessus.
01:01:06Et ça, ça amène l'occasion
01:01:08de Moïse Keane à toute fin.
01:01:10Donc moi, Barcola, un, c'est un joueur que j'adore.
01:01:12Deux, je pense qu'il y a un malentendu.
01:01:14Les gens attendent qu'il porte le PSG en Ligue des Champions
01:01:16et qu'il porte l'équipe de France.
01:01:18Je pense que c'est trop tôt encore pour lui.
01:01:20Et ces 4 dernières minutes, je ne comprends pas.
01:01:22Cette nonchalance, cette absence à lui-même
01:01:24de ne pas être dans l'état d'esprit
01:01:26alors que tout le monde tient le résultat
01:01:28parce que tout le monde sait que ça peut être
01:01:30la première place en Ligue des Nations.
01:01:32Je ne sais pas ce qui lui est arrivé.
01:01:34Je ne le lui en veux pas parce que, encore une fois,
01:01:36je l'adore et je pense qu'il n'y a pas de problème.
01:01:38Mais vous l'avertissez quand même.
01:01:40Non, mais c'est bizarre parce que je pense que Ménihan,
01:01:42à la fin du match, est allé le voir pour lui dire
01:01:44tu ne peux pas nous faire ça.
01:01:46Pendant le match, il lui a fait la réflexion.
01:01:48Je ne sais pas ce qui va se passer pour lui.
01:01:50Il a 22 ans, bientôt 23.
01:01:52Il va apprendre, mais je ne l'ai pas reconnu.
01:01:58Camille, la ligne de l'équipe.
01:02:00On ouvre par quoi ?
01:02:02Sans surprise, Raphaël Nadal.
01:02:04La dernière coupe de Rapha
01:02:06qui va essayer de décrocher la Coupe Davis
01:02:08avec son équipe l'Espagne.
01:02:10Début demain face aux Pays-Bas.
01:02:14Mes amis, nous allons jouer.
01:02:16Je pense que c'est Jo qui va avoir les jokers.
01:02:18Non, il a tout gagné.
01:02:24En hommage à Adrien Rabiot,
01:02:26j'ai marqué un doublé en équipe de France.
01:02:28Avec plaisir.
01:02:30Des joueurs français
01:02:32qui ont marqué un doublé avec les Bleus.
01:02:34Un doublé ?
01:02:36Debut dans un match.
01:02:38Je l'ai bien compris.
01:02:40Seulement un doublé.
01:02:42Non, pas seulement un doublé.
01:02:44Je restais le dernier joueur de l'OM
01:02:46à avoir signé un doublé en bleu.
01:02:52Jean-Pierre Papin.
01:02:54C'était en 1992.
01:02:56Et c'est bien Jean-Pierre Papin.
01:02:58Bravo.
01:03:00Avant Adrien Rabiot,
01:03:02j'étais le dernier bleu à avoir inscrit
01:03:04un doublé en équipe de France.
01:03:06Sacco ? Non.
01:03:08Mbappé ? Non.
01:03:10C'était il y a un an
01:03:12contre Gibraltar.
01:03:14Giroud ?
01:03:16Excellente réponse.
01:03:18Olivier Giroud.
01:03:20Contre Gibraltar.
01:03:223 points supplémentaires.
01:03:24Attention les amis.
01:03:26Je compte 5 doublés
01:03:28en équipe de France au total.
01:03:30Mbappé ?
01:03:32Mauvaise réponse.
01:03:34Je compte 2 doublés
01:03:36lors d'un Euro.
01:03:38Platini ?
01:03:40Zidane ?
01:03:42Non.
01:03:44Je termine d'ailleurs meilleur buteur
01:03:46de la compétition.
01:03:48Griezmann ?
01:03:50Bonne réponse de Claude Leroy.
01:03:52C'était à l'Euro 2016.
01:03:542 points pour papa Claude.
01:03:58Attention les amis.
01:04:00Ça peut aller très rapidement.
01:04:02Je n'ai marqué que 2 buts
01:04:04en équipe de France.
01:04:06Thuram ?
01:04:08Il ne peut pas s'éliminer.
01:04:10Il me l'a enlevé de la bouche.
01:04:12Oui mais bon.
01:04:14C'est combien là ?
01:04:1611.
01:04:18Il y a 10.
01:04:20Il n'a pas marqué que 2 buts
01:04:22en équipe de France.
01:04:24Là c'était Lilian Thuram.
01:04:26Je m'élimine.
01:04:28Vous êtes enliminé.
01:04:30C'est horrible.
01:04:32C'est de la classe
01:04:34et de l'arrogance.
01:04:36On joue sans Johan
01:04:38et on s'amuse les amis.
01:04:40Des doublés, j'en ai signé 4
01:04:42avec l'équipe de France.
01:04:44Ne vous précipitez pas mes amis.
01:04:46Attention, j'ai aussi inscrit
01:04:48un quadruplet.
01:04:504 triplets pardon.
01:04:52Papa s'était donné avant.
01:04:54Vous êtes éliminé Claude.
01:04:584 triplets.
01:05:00Non ce n'est pas Karim.
01:05:02Henry ?
01:05:04Non.
01:05:06J'ai inscrit 4 triplets.
01:05:08Autre indice dont un
01:05:10lors de ma première sélection.
01:05:12Juste Fontaine ?
01:05:14Tout le monde est éliminé.
01:05:16Juste Fontaine.
01:05:18Je croyais qu'il était éliminé aussi.
01:05:20Pas du tout.
01:05:22C'est cadeau.
01:05:24Dernier ou non ?
01:05:26Non c'est notre ami
01:05:28Johan Mikou qui gagne.
01:05:30Les mains en haut du guidon.
01:05:32Mercredi dans l'équipe du soir.
01:05:34Le président ne sera pas
01:05:36Roland Courbis,
01:05:38mais le président de notre
01:05:40mercredi prochain.
01:05:42C'est le candidat à la présidence
01:05:44de la fédération française.
01:05:46Il va vivre ses premières élections.
01:05:48C'est le président Philippe Diallo.
01:05:50Vous avez envie de lui poser des questions ?
01:05:52Sur le foot amateur,
01:05:54sur le foot de club,
01:05:56sur le foot fédéral et de sélection.
01:05:58L'équipe connecte.
01:06:00Il sera très pertinent.
01:06:02Merci beaucoup.
01:06:04On vous embrasse et on vous dit à demain.