• le mois dernier
Depuis plus d'une semaine, l'indice de la qualité de l'air a atteint des pics inédits à Lahore, il a quasiment tous les jours dépassé 1.000, alors qu'à 300, l'air est considéré comme "dangereux" pour l'homme. Résultat, les hôpitaux ne désemplissent pas.

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Transcription
00:00La fumée a été faite dans ces deux-trois ans, mais depuis l'année dernière, le nombre d'embouts s'est diminué.
00:07On voit des cambrioles dans les murs.
00:11Les murs sont construits par la chaleur du vent, qui nous permet de voir d'un côté le vent qui souffre et de l'autre la chaleur qui s'extrime.
00:17La fume a été faite pendant ce temps, mais je ne sais pas combien d'années cela a duré.
00:21On voit quand même des chaleurs qui tombent.
00:23C'est la première fois que la fumeuse a été faite, mais c'est une chose qui se fait depuis des années.
00:28Mais cette fois-ci, le nombre de patients est beaucoup plus élevé que l'année dernière.
00:33On demande aux gens de porter des masques,
00:36de se consulter,
00:39de ne pas sortir de la maison sans raison,
00:41et les maladies d'esthématisme et de respiration augmentent.
00:59On ne peut pas sortir, on ne peut pas prendre les enfants n'importe où,
01:02on ne peut même pas ouvrir les portes et les fenêtres,
01:04parce que la fumée arrive et c'est terrible.
01:08Il y a des options pour toner la fumée,
01:14au moins à la maison.
01:16Mais je ne pense pas qu'il y ait une bonne solution.
01:20C'est une proposition coûteuse,
01:22n'est-ce pas ?
01:23Tout le monde n'en a pas.
01:25On n'en a pas.

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