Ce mercredi au Parc des Princes, le PSG s’est incliné en Ligue des champions devant l’équipe espagnole (1-2). Une défaite « inexplicable », selon l’entraîneur parisien.
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00:00Je devrais pouvoir regarder le match de nouveau pour pouvoir analyser en profondeur mais c'est inexpliquable ce qu'il s'est passé dans ces 3 matchs de Champions League.
00:16Les 3 matchs que nous avons joués à la maison, je dirais que la parole qui le définit le mieux, inexpliquable, peut aussi être injuste.
00:27C'est très difficile d'expliquer une course comme celle-ci de 3 matchs en Champions, étant si supérieurs aux 3 adversaires et ayant 4 points, c'est presque une blague.
00:41Mais aujourd'hui, je suis très bien, mes joueurs aussi, mais demain sera le moment d'analyser le match avec froid, de se lever.
00:52Il nous reste 4 matchs de Champions, difficiles, et en regardant la dynamique, très difficiles, mais jusqu'au bout, nous allons essayer, jusqu'au dernier jour, jusqu'au dernier minute.
01:03Chacun peut prendre les conclusions qu'il veut, mais je ne crois pas qu'il y ait personne qui a vu le match qui puisse dire que c'est un résultat juste.
01:10C'est totalement injuste, mais le football est injuste, comme la vie, la vie n'est pas juste.
01:16À partir d'ici, en quoi je peux m'améliorer ? À partir de demain, aujourd'hui non, parce que c'est un jour de merde, à partir de demain, nous allons commencer à penser
01:25à ce que nous pouvons améliorer, si nous pouvons améliorer certaines choses, que c'est certain, parce qu'il y a des aspects d'amélioration,
01:33et préparer les matchs qui restent de Champions comme 4 finales, parce que pour nous, ce sont 4 finales, sans aucun doute.
01:40Mais je le répète, il y a une inévitable fierté dans mes joueurs. Ils font ce que je leur demande, évidemment, nous tous voulons marquer des buts,
01:47eux les premiers, moi aussi, et nos fans, mais dans le Parc des Princes, il n'y a pas de fans, et je les entends chanter jusqu'à la minute 90,
01:57nous, jusqu'à la minute 90 des 4 matchs qui restent, nous essayons.
02:02Avec la course que nous avons, je ne peux pas garantir qu'on va se classifier, c'est la réalité.
02:08Les numéros sont là et marquent notre situation.