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Transcription
00:00Le président Kazakh est en France, Kasim Jomar Tokayef a rencontré Emmanuel Macron aujourd'hui,
00:05échange sur le nucléaire civil, mais pas que !
00:08Ce vaste pays d'Asie centrale va pouvoir servir de hub à une partie des immigrés priés de repartir de France.
00:14Bonsoir Jacques Serret.
00:15Bonsoir Pierre, bonsoir à tous.
00:16Concrètement, en quoi consiste cet accord ?
00:19Eh bien, il est censé permettre la réadmission de Kazakhstanais dans leur pays,
00:23mais pas seulement, ce document ouvre également la voie à l'expulsion de ressortissants de pays tiers
00:28ou apatrides vers la capitale, Astana, dans la mesure où ils ont un titre de séjour kazakhstanais
00:34ou s'ils ont transité par le Kazakhstan.
00:37Alors cet accord ne le dit pas explicitement, mais concrètement,
00:40l'un de ses objectifs est notamment de renvoyer les Afghans sous OQTF vers le Kazakhstan,
00:45une forme de sous-traitance dans la mesure où la France n'expulse pas vers Kaboul, tenue par les talibans.
00:51Bruno Retailleau négocie également d'autres accords semblables avec l'Irak et l'Egypte,
00:55en attendant, un conseiller de l'exécutif se félicite de cette avancée,
00:59il s'agit, je cite, « du premier accord de ce type entre la France et un pays d'Asie centrale ».
01:04Reste que tout cela n'est pas sans contrepartie, fidèle à la ligne du « en même temps »,
01:08Emmanuel Macron s'est engagé à soutenir les négociations entre Astana et l'Union européenne
01:14pour faciliter la délivrance de visas pour les ressortissants kazakhstanais.
01:19Merci, Jacques Serret du service politique d'Europe.

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