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Transcription
00:00Ça veut dire que c'est la sphère d'influence, semble-t-il, du président de la République.
00:03On rappelle que lui en particulier avait été nommé au conseil présidentiel des villes.
00:07Ah non, vous croyez que c'est juste de la communication ?
00:09Je crois qu'il n'a pas de sphère d'influence parce qu'il sait toujours le jour, il ne sait pas où il va.
00:13Et c'est pour ça qu'il a abîmé la France, parce que c'est quelqu'un qui n'a pas de ligne, il n'a pas de continuité.
00:18Il faudrait qu'il s'achète un corpus idéologique sur Internet, vous voyez, pour avoir un minimum de conviction.
00:24On voit très bien, c'est l'absence de conviction, ça c'est la preuve qu'il n'y a zéro conviction.
00:28Parce que demain, ça va être autre chose, et c'est pas grave, il s'en fout.
00:32Et il recommence parce qu'il est dans la com', ça fera parler, ça fait le buzz, tout ça est absurde.
00:37Ça fait parler, ça peut blesser, ça peut avoir des conséquences très importantes quand il s'agit, évidemment, de propos sur la scène internationale.
00:44Les mots d'Emmanuel Macron ne passent toujours pas.
00:46Nous avons un reportage ce matin, notamment sur CNews, de franco-israéliens qui disent, pour certains,
00:52François-Olivier Gisbert, que Emmanuel Macron n'est même plus leur président.
00:56Les mots, quand même, sont forts, ils ont un sens.
00:59Comment vous analysez cela ? C'est encore cette stratégie sans GPS, sans corpus ?
01:04Je crois que c'est une absence totale de stratégie.
01:06Vous savez, gouverner, de Gaulle disait ça, c'est être dur.
01:10Je crois que gouverner aussi, c'est savoir à peu près où l'on va, même si c'est difficile par les temps qui courent.
01:14Et lui, il n'est pas du tout là-dedans. Il est au jour le jour.
01:16Quand on parle de court-termisme, oui, c'est au jour le jour.
01:20Et c'est une opération de com' après une opération de com'.
01:23Donc on peut passer d'une coalition contre le Hamas, aujourd'hui, à ne même plus parler du Hezbollah dans une phrase pour dénoncer un terroriste.
01:30C'est fou, bien sûr. Et puis là, voilà, on se couche devant le Premier ministre, peut-être sur l'influence du Qatar.
01:37Parce que vous savez, l'endettement de la France, parce que c'est quand même monsieur 1000 milliards d'endettement, plus de 1000 milliards, 1200 milliards d'endettement.
01:43En reconnaissant qu'il n'est pas...
01:44Emmanuel Macron. Oui, oui, mais il y a eu de l'endettement.
01:47Il y a eu une situation qui dure depuis des années, oui.
01:49Oui, enfin, cette situation, excusez-moi, il n'a rien arrangé.
01:52Et il faut parler de l'endettement.
01:53C'est très intéressant, d'ailleurs, parce que ce n'est pas très bon pour notre indépendance et notre souveraineté.

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