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«Le pronostic vital de la France est engagé», déplore Philippe de Villiers, sur CNEWS lundi 28 octobre.

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Transcription
00:00Le pronostic vital de la France est engagé, je le maintiens, pour deux raisons.
00:05D'abord parce que la survie biologique du peuple français n'est plus assurée.
00:09Quand un peuple sous-traite la fabrication des enfants aux populations immigrées
00:14et qu'il n'a plus la volonté de se reproduire et de reprogrammer la vie,
00:21il se prépare à sortir de l'histoire.
00:26Et puis la survie culturelle, la survie culturelle d'un peuple
00:30puisqu'il n'y a plus de transmission.
00:33C'est le problème de l'école, il n'y a plus de transmission à l'école.
00:37Vous savez, les gens qui disent qu'il faut réformer l'école,
00:41il y a une phrase de Peggy qui dit que la crise de l'école c'est une crise de vie.
00:47Et donc vous ne pouvez pas avoir d'un côté une école qui redonne les repères
00:52et d'autre côté une société qui les abandonne.
00:55L'école c'est le miroir calétoscopique de la société.
00:59Et donc une société violente produit une école violente,
01:03une société déculturée produit une école déculturée,
01:06une société décoloniale produit une école décoloniale.
01:09Et donc qu'est-ce qu'on a au bout ?
01:11Des petits démis qui acceptent la censure,
01:15avec des demi-profs qui sont eux-mêmes des démis,
01:18ou alors des zombies, c'est-à-dire des plantes d'élbitude
01:21qui promènent leurs étourdissements dans l'air du temps.
01:25Sous-titrage Société Radio-Canada

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