• il y a 2 mois
DMG MORI : Former les skippers de demain | Vendée Globe 2024

Après sa participation au Vendée Globe 2020, Kojiro Shiraishi, avec son sponsor DMG MORI, a décidé de transmettre son expérience en créant une écurie de course au large. Leur mission ? Former de jeunes skippers talentueux à relever les défis les plus fous de la voile en solitaire !

En leur offrant des outils de pointe et un accompagnement de haut niveau, cette écurie permet aux futurs champions de se former sur des courses emblématiques, de développer leurs compétences techniques, et peut-être, de viser un jour le sommet : le Vendée Globe.

After his participation in the 2020 Vendée Globe, Kojiro Shiraishi, along with his sponsor DMG MORI, decided to share his experience by creating an offshore racing team. Their mission? To train young, talented skippers to take on the most extraordinary challenges of solo sailing!

By providing cutting-edge tools and high-level support, this team allows future champions to gain experience in iconic races, develop their technical skills, and perhaps one day aim for the ultimate goal: the Vendée Globe.

Category

🥇
Sport
Transcription
00:00Kojiro Shirashi est devenu en 2020, pour sa deuxième tentative, le premier asiatique à boucler le Vendée Globe.
00:08A son retour au sable de l'Aune, son sponsor, le Dr Mori, PDG d'une société de fabrication de machines-outils industrielles,
00:15lui a demandé de promouvoir la voile et la course au large au Japon,
00:19de travailler à la promotion de la jeunesse en transmettant son expérience maritime.
00:30Nous avons eu l'idée de créer une équipe de machines-outils industrielles,
00:36et nous avons donc créé deux équipes de machines-outils industrielles,
00:40afin d'améliorer l'académie.
00:43Une académie a donc été montée par l'équipe d'DMG Mori,
00:47en parallèle du projet pour le Vendée Globe 2024 de Kojiro Shirashi.
00:51Quatre jeunes marins français et japonais ont été sélectionnés,
00:55et une antenne japonaise est développée pour former des navigants sur le plus petit bateau de la course au large en solitaire,
01:00le Mini, une embarcation de 6,5 mètres.
01:03Deux Minis ont été construits en interne, en partie par les jeunes marins,
01:07pour leur donner une connaissance intime de ces bateaux sur lesquels ils participeront à la prochaine Mini Transat en 2025.
01:13J'ai eu l'occasion de voir un petit peu ce qu'il y avait à faire,
01:17et j'ai eu l'occasion de voir un petit peu ce qu'il y avait à faire,
01:22J'ai eu l'occasion de voir un petit peu tout le panel et les divers corps de métier d'une écurie de course au large,
01:28que ça soit du composite, comme du bureau d'études, comme maintenant de la navigation elle-même.
01:34C'est des petites structures, donc quant à nos bureaux d'études,
01:37on voit un petit peu tout l'éventail des compétences qu'il peut avoir un ingénieur.
01:41J'arrive avec une spécialisation en conception mécanique,
01:44mais j'ai fait à peu près tout sauf de la conception mécanique,
01:46la simulation, l'analyse des données, l'électronique, du dimensionnement composite.
01:52Donc oui, c'est super intéressant.
01:55Laure Gallet, la première des académiciens ingénieurs de formation,
01:59a navigué pendant deux ans en Mini et termine actuellement sa première saison en Figaro,
02:03un bateau plus gros et une deuxième étape dans son parcours de formation.
02:07Pour l'académie d'EMG Maury, la performance sportive n'est pas recherchée à tout prix.
02:11L'essentiel reste l'apprentissage et la progression de jeunes
02:14qui, sans son soutien, n'auraient pas pu accéder à ce milieu de la course large
02:18et mettre en pratique leur rêve de Vendée Globe.
02:21Oui, je rêve de la Vendée Globe.
02:23Tout le temps.
02:24Tout le temps.
02:25Et j'espère que ça va se réaliser.
02:27Je suis 30 ans maintenant,
02:28et j'aimerais le faire le plus vite possible.
02:32Mais pour le faire, j'ai besoin de travailler dur,
02:34j'ai besoin d'apprendre beaucoup,
02:36et après le mini-transat,
02:38j'aimerais revenir sur le bateau avec André Imoka,
02:42et j'aimerais apprendre beaucoup.
02:44Pour moi, c'est un but.
02:48Si la route est encore longue,
02:49jusqu'à disputer un tour du monde sur un Imoka,
02:52c'est le but ultime de cette démarche.
02:55L'académie est là pour développer la voile au Japon,
02:57enfin en tout cas pour développer cette envie d'eux,
03:00et c'est vrai qu'à terme, l'idéal,
03:03dans un futur proche, moins proche, lointain,
03:06qu'on puisse aligner un nouveau Japonais au départ du Vendée Globe,
03:09je pense que ce serait la vraie réussite de cette académie.

Recommandations