• il y a 2 mois
Un homme avait été agressé en bas de chez lui à Nice après avoir demandé à des jeunes alcoolisés de quitter sa cage d'escalier. En litige avec l'épicerie qui fournissait ces jeunes en alcool et en cigarettes, la victime et sa femme ont obtenu gain de cause après des années de procédures. La supérette est désormais fermée et le calme a fait son retour dans le quartier de Nice. 

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Transcription
00:00Franck Aspart et son épouse ont gagné leur combat.
00:03Après deux ans et demi de litige avec la supérette en bas de chez eux,
00:06celle-ci a définitivement baissé son rideau.
00:09Ses propriétaires ont quitté les lieux à la suite d'une fermeture administrative de 15 jours.
00:15C'est une satisfaction parce que le quartier a retrouvé son âme d'antan,
00:19c'est-à-dire sa quiétude, et les gens se baladent sans avoir peur de faire une mauvaise rencontre.
00:25Un soulagement pour eux ainsi que pour les commerçants du quartier.
00:29C'était un peu le chantier devant, qu'il y avait des papiers partout,
00:32que ça chamaillait, qu'il y avait un boucan pas possible, donc on est plus au calme.
00:36Il faut dire que pendant des mois, ces riverains ont vécu l'enfer,
00:39nuisances sonores, jeunes alcoolisés, contrebandes.
00:42Pour lutter activement contre ce fléau, la municipalité de Nice formule cette demande à l'État.
00:47Je souhaiterais qu'on simplifie la loi pour que les maires puissent eux-mêmes
00:51fermer d'autorité un commerce qui commettrait une infraction extrêmement grave
00:57car ils sont souvent à l'origine aussi des atteintes aux biens et aux personnes
01:02que nous pouvons connaître sur la voie publique.
01:04Selon la mairie, ces actions permettraient chaque année la fermeture
01:07d'une centaine de commerces qui posent problème.

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