C'est une prise de position qui a pu surprendre certains téléspectateurs hier soir mais ps ceux qui connaissent bien l'animateur vedette de C8. Cyril Hanouna a pris la défense de "Quotidien" après l'enquête qui accuse l'émission de TMC de tous les maux :
"Franchement, ces témoignages anonymes je prends je jette ! Franchement arrêtez, il y a rien dans ses enquêtes. C'est comme le Complément d'Enquête sur moi. Ces journalistes veulent quoi ? Il veulent que Quotidien s'arrêtent ? Cette société de production c'est au moins 200 personnes. Alors, ils veulent quoi, que ces gens là se retrouvent au chômage ? Ces méthodes là, je ne les supporte pas. C'est pas du tout ma façon de penser. Qu'on aime pas leur ligne éditoriale, c'est une chose, mais franchement, on ne s'attaque pas à eux comme ça !"
Dans une enquête publiée par Télérama, plusieurs salariés anonymes de Quotidien dénoncent leur environnement de travail toxique. “Souffrance au travail, burn-out, management défaillant, accusations de harcèlement” ou encore “intimidations, critiques acerbes, gratuites, publiques et incessantes”...
“C’est marche ou crève”, expliquent ainsi certains employés de Bangumi, la société de production en charge de l’émission. “C’est une entreprise de dingue avec des moyens de dingue… mais qui peut aussi très facilement vous broyer”, raconte un ancien cadre. “J’allais bosser avec une boule au ventre jusqu’au jour où je me suis dit que ce n’était plus possible”, confie à son tour une salariée.
Pour illustrer ces propos, Télérama évoque la récente éviction d’un graphiste qui, décidant de participer au mouvement des intermittents de l’audiovisuel, avait débrayé « une petite heure » ; dès le lendemain, sa responsable lui avait signifié mettre fin à leur collaboration car il aurait « trahi sa confiance et mis l’émission de la veille en danger ».
"Franchement, ces témoignages anonymes je prends je jette ! Franchement arrêtez, il y a rien dans ses enquêtes. C'est comme le Complément d'Enquête sur moi. Ces journalistes veulent quoi ? Il veulent que Quotidien s'arrêtent ? Cette société de production c'est au moins 200 personnes. Alors, ils veulent quoi, que ces gens là se retrouvent au chômage ? Ces méthodes là, je ne les supporte pas. C'est pas du tout ma façon de penser. Qu'on aime pas leur ligne éditoriale, c'est une chose, mais franchement, on ne s'attaque pas à eux comme ça !"
Dans une enquête publiée par Télérama, plusieurs salariés anonymes de Quotidien dénoncent leur environnement de travail toxique. “Souffrance au travail, burn-out, management défaillant, accusations de harcèlement” ou encore “intimidations, critiques acerbes, gratuites, publiques et incessantes”...
“C’est marche ou crève”, expliquent ainsi certains employés de Bangumi, la société de production en charge de l’émission. “C’est une entreprise de dingue avec des moyens de dingue… mais qui peut aussi très facilement vous broyer”, raconte un ancien cadre. “J’allais bosser avec une boule au ventre jusqu’au jour où je me suis dit que ce n’était plus possible”, confie à son tour une salariée.
Pour illustrer ces propos, Télérama évoque la récente éviction d’un graphiste qui, décidant de participer au mouvement des intermittents de l’audiovisuel, avait débrayé « une petite heure » ; dès le lendemain, sa responsable lui avait signifié mettre fin à leur collaboration car il aurait « trahi sa confiance et mis l’émission de la veille en danger ».
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00:00Je vais vous dire la vérité, franchement, les gars, moi, un gars anonyme qui dit « on m'a dit que j'avais pas de stylo un jour en réunion et que j'ai fumé un peu trop longtemps »
00:13Je suis désolé les gars, moi, ces enquêtes pour moi, je vous dis la vérité, pour moi, je prends, je jette.
00:20Je suis désolé les gars, je suis désolé, arrêtez les gars, moi, ces enquêtes, pour moi, il n'y a rien dedans, excusez-moi, un anonyme qui dit « j'ai travaillé un jour chez Quotidien »
00:33et il y a un mec un jour, il a dit « ouais, pourquoi t'as mis des baskets alors qu'il fallait être en beaucassin ? » je suis désolé, excusez-moi, c'est comme le complément d'enquête sur moi, excusez-moi.
00:43Je vais vous dire, moi, je suis désolé, et en plus, les gens vont être étonnés qu'il dit ça, mais moi, je ne suis pas pour la mort de Quotidien, en fait, ces journalistes veulent quoi ?
00:53Excusez-moi, ils veulent quoi ? Ils veulent faire mal à Quotidien, ils veulent que Quotidien peut-être s'arrête, il y a combien de personnes qui travaillent chez Quotidien ?
01:00Parce que Quotidien, mine de rien, cette société de production, la Bangoumi, aujourd'hui, il y a combien de personnes qui doivent travailler ?
01:06C'est 200 personnes, donc ces 200 personnes, elles vont faire quoi aujourd'hui ? Aujourd'hui, il faut que vous sachiez, parce que je parle aussi pour nous, aujourd'hui, dans l'audiovisuel,
01:15des émissions quotidiennes, ça fait travailler énormément de monde, les mecs, il n'y en a pas beaucoup, aujourd'hui, en télé, il y a de moins en moins de travail, on ne va pas se mentir,
01:23donc les gars, moi, je veux Quotidien qui s'arrête, moi, je ne pourrais pas les récupérer demain, les 200 personnes, on a déjà des gens, donc moi, je ne pourrais pas les récupérer,
01:32on va les mettre tous, ces 200 personnes, donc je suis désolé, excusez-moi, pour dire, à un moment, l'enquête, il y a des post-clops, on s'est fait engueuler parce qu'on a clopé 10 minutes au lieu de site,
01:43je suis désolé, les gars, franchement, moi, ça, ces méthodes-là, je vous jure, je ne supporte pas. – Ils ont 128 permanences.
01:51– Oui, mais 128 permanences, moi, je ne supporte pas, je ne supporte pas ça, franchement, je vous le dis, ce n'est pas du tout ma façon de penser,
01:59et voilà, moi, je ne les connais pas, ces gens-là, je vous dis la vérité, je ne les connais pas, mais voilà, en tout cas, les mecs, ils font travailler des gens,
02:07moi, je n'ai pas envie, voilà, qu'on soit d'accord avec eux sur des trucs, qu'on n'aime pas leur ligne éditoriale, ça, il n'y a pas de problème, ça, franchement.