Retrouvez le replay de l'Équipe de Greg du 19/09/2024.
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00:00:00Bonsoir à toutes et à tous et bienvenue en direct sur la chaîne, l'équipe il est 19h14, j'allais dire 18h20 mais non !
00:00:05Il y a du foot sale et la victoire de nos français et c'est ça le principal.
00:00:09Le PSG c'est fait, Tonnerre de Brest et l'AS Monaco c'est ce soir, c'est l'équipe de Greg
00:00:13pendant que Dave danse la saison 4 épisode 17, ça commence maintenant.
00:00:30Bonsoir à vous, plaisir de vous accueillir, beaucoup de choses à dire, beaucoup de choses à raconter, à juger, à évoquer ce soir dans l'EDG.
00:00:42Autour de la table Alicia Dodi, bonsoir Alicia.
00:00:44Bonsoir Greg, bonsoir à tous.
00:00:46La classe, le mal. Bonsoir David Apadu.
00:00:50Une version mauricienne de Top Gun.
00:00:53Les avions en moins.
00:00:56On va le dire, c'est parce que j'ai perdu mes lunettes chez moi.
00:00:59Ça c'est vos lunettes de vue, ça vous va très bien.
00:01:01Bonsoir Loïc Tanzy.
00:01:02Merci d'être avec nous dans l'équipe de Greg.
00:01:04De l'autre côté, Jordi Castaldi.
00:01:06Bonsoir Gio.
00:01:07Vous étiez au parti, vous êtes en plateau ce soir, bienvenue.
00:01:09Je voudrais juste faire un intro à Lady Slava, la maman d'Alicia.
00:01:12Bien sûr.
00:01:13Vous êtes bien humorant.
00:01:15Bonsoir Lady.
00:01:16Merci d'être avec nous.
00:01:17La petite Lady.
00:01:18Ça évidemment, Vivien Savard.
00:01:19Ça vous regarde Greg.
00:01:20Non mais c'est une chanson, vous avez 4 ans, vous êtes trop jeune, laissez tomber.
00:01:23Bonsoir Mickaël Durasso.
00:01:24Salut Greg.
00:01:25Merci d'être là, bonsoir Raphaël Sebaouni.
00:01:29C'est tout de suite le sommaire de l'émission.
00:01:30De quoi allons-nous parler ?
00:01:31Ce soir, regardez.
00:01:32PLG, le retour des problèmes.
00:01:33Alors attention, on ne s'enflamme pas ni d'un côté ni de l'autre, mais enfin quand même.
00:01:37Hier, il y a eu deux demi-temps.
00:01:39Il y a beaucoup de choses à dire sur ce qu'on a vu hier.
00:01:41On va dire que l'essentiel, c'est les 3 points.
00:01:43Le conseil des classes, on va parler des joueurs et notamment du Smandembele,
00:01:46qui sera le premier à être jugé.
00:01:49Peut-être un petit bras de l'ébarquement quand même.
00:01:52Monaco se mesure au Barça de Yamal, la mine Yamal.
00:01:55Pourquoi le Barça a trouvé son nouveau messie ?
00:01:58On parlera évidemment de cette rencontre, ce choc exceptionnel.
00:02:01Et puis Brest, plus qu'un petit poussé, ils ont envie d'y croire.
00:02:04Est-ce qu'ils peuvent viser le top 24 ?
00:02:06Est-ce que Brest, qui fait son entrée ce soir dans le Grand Monde face à Stumgras,
00:02:09peut réussir l'exploit de se qualifier au moins pour les playoffs de cette Ligue des Champions ?
00:02:14On aura le petit filet d'Antoine Pinault.
00:02:16On jouera.
00:02:17Il y aura le zap et le hat-trick.
00:02:19Voilà pour l'émission, 19h16.
00:02:21C'est l'heure de l'immanquable du soir.
00:02:29Et ce soir, nous sommes partout.
00:02:30Karine Galli sera du côté de Monaco pour ce match entre Monaco et le FC Barcelone.
00:02:35David Aiello, comme hier déjà, est du côté de Guingamp pour ce match entre Brest et Stumgras.
00:02:41On commence avec vous, David.
00:02:43Parce qu'hier, c'était calme.
00:02:45Ce soir, ça doit être plus agité, j'imagine, pour l'arrivée de Brest en terre ennemie
00:02:49pour la première en Ligue des Champions.
00:02:54Oui, bonsoir Greg, bonsoir à tous.
00:02:55Écoutez, on ne va pas se mentir.
00:02:57Ça monte doucement, mais sûrement, on va dire, avec les Brestois qui ont commencé
00:03:00à prendre possession de la ville il y a une heure environ.
00:03:03Ils ont même pris possession des repères historiques des supporters guingampais.
00:03:06Regardez, ici, on est au Lapin Rouge, qui est le fief, le QG des supporters guingampais.
00:03:11Et là, vous l'entendez, parce qu'on est en direct.
00:03:14Ça part.
00:03:15Allez, chers Brestois.
00:03:18Voilà, l'ambiance commence à monter.
00:03:20Je vous rappelle que ce soir, ils seront environ 15 000 à être présents.
00:03:25Allez, Brest, allez !
00:03:28Eh bien, on adore, David.
00:03:29On adore ça.
00:03:31On adore.
00:03:32Bien sûr qu'on adore.
00:03:33Bon, juste un petit mot.
00:03:35On est en direct dans l'équipe de Greg.
00:03:37Ça va être chaud ce soir au stade.
00:03:38Ça va être formidable.
00:03:39C'est dommage que ce ne soit pas dans le nôtre, mais c'est une première pour le stade Brestois.
00:03:43Premier match en Coupe d'Europe et en plus dans la compétition suprême.
00:03:47Il fallait mettre le feu.
00:03:48Il faut.
00:03:49Allez, remettez-moi le feu dernière fois et on vous laisse en tête.
00:03:52Voilà, vous avez compris.
00:03:53Ça commence à monter bien comme il fait.
00:03:56Ils seront plus de 15 000 ce soir et il y aura une belle ambiance.
00:03:59J'adore.
00:04:00Merci, David.
00:04:01C'est pour ça qu'on aime les ambiances de Coupe d'Europe.
00:04:03C'est pour ça qu'on est heureux de voir Brest du côté de la Ligue des champions.
00:04:06Ça doit possiblement être un chouïa plus calme du côté de Monaco.
00:04:09Encore que sait-on jamais.
00:04:10On part voir Karine Galli.
00:04:11Monaco-Barcelone, énorme affiche ce soir, Karine, du côté de Monaco.
00:04:14Le retour en Ligue des champions après des barrages qui s'étaient mal passées les années précédentes.
00:04:18Cette fois, Monaco y est.
00:04:22Mais oui, vous êtes très mauvaise langue parce que l'ambiance sera magnifique.
00:04:25Le stade est à guichet fermé.
00:04:2718 500 personnes présentent ce soir au Stade Louis II.
00:04:30Franchement, on a une affiche de gala, une affiche de rêve, on le rappelle.
00:04:33Barcelone, le leader de la Ligue qui se déplace ici au Stade Louis II.
00:04:37On fête en plus le centenaire du club.
00:04:39Et puis, il y aura du beau monde également au Stade Louis II.
00:04:42Vous savez, je suis avec Mickaël Lefebvre et il me rappelait Didier Deschamps.
00:04:45Vous le savez, le sélectionneur de l'équipe de France et qui habite juste à côté.
00:04:49Et puis, il y aura également Claude Puel qui est entraîné ici.
00:04:51Il y aura également Abdenour, ancien joueur.
00:04:53Flavio, Romain, Aguel, Jivet.
00:04:55Donc voilà, ça va être très chouette ce soir.
00:04:57On attend une très belle ambiance.
00:04:58Et puis, ça nous rappelle des grandes soirées de Ligue des champions.
00:05:00Parce que ça faisait six ans que Monaco attendait de revivre des grandes et belles soirées.
00:05:05Merci, Karine.
00:05:06Et vous avez raison.
00:05:07Au plus calme autour de vous.
00:05:08Mais ce sera évidemment le feu ce soir du côté du Stade Louis II.
00:05:12Avant de parler du PSG qui s'est imposé laborieusement 1-0 hier.
00:05:15Voici le zap préparé ce soir par Sacha Depersin.
00:05:17Sacha Depersin, vous avez été très bon autour de vous.
00:05:19Merci pour la piche.
00:05:47Oh, il a envoyé Genet vers les magasins.
00:05:50Le référent va jouer l'avantage ici.
00:05:52C'est Lo Celso.
00:05:54Deuxième but pour Betis.
00:05:56Envoyé dans le net par Giovani Lo Celso.
00:06:01Un bon avantage joué par le référent.
00:06:04Un excellent coup vers le centre.
00:06:1850.
00:06:215-2.
00:06:225-2.
00:06:312-2, 2-2.
00:06:322-2.
00:06:40Le joueur de rôle dans ce parcours.
00:06:433-1.
00:06:44Abdi.
00:06:45Il le répare tout de suite.
00:06:46C'est presque comme s'il m'entendait.
00:06:49Doherty.
00:06:50Rodrigo Gomes est parti.
00:06:51Sur la gauche, si vous pouvez le jouer,
00:06:53ce qu'il a maintenant.
00:06:54L'extrémité de la pénalité sur la gauche.
00:06:56Doherty est toujours là.
00:06:57Il est dans la pénalité.
00:06:58Doherty l'arrête.
00:06:59Et Güeres!
00:07:02Fires Wolves, de nouveau dans ce jeu.
00:07:063 buts dans la Ligue de la Coupe de cette saison
00:07:08pour Wolverhampton Wanderers.
00:07:10Et ils sont tous venus de Gonzalo Güeres.
00:07:13Très bien travaillé au dernier moment.
00:07:16Je n'ai pas trop de compléments.
00:07:17Je vais parler de Björn.
00:07:19Peut-être que l'ultime vient.
00:07:31C'est toujours spécial de revenir à cet événement
00:07:33et de travailler avec vous.
00:07:46Allez, le couette!
00:07:47J'y arrive, je sais.
00:08:06C'est parti pour Pedersen.
00:08:07Trois trous également.
00:08:08Maths Pedersen maintenant qui lance le sprint.
00:08:10Sympa la vue d'Eliko pour pouvoir tout décrypter.
00:08:12Attention le déparrage!
00:08:13À côté de Mathieu Van Der Poel
00:08:14qui sert ainsi sur la selle Van Der Poel
00:08:16pour repasser derrière Maths Pedersen.
00:08:18Maths Pedersen pour cette deuxième étape
00:08:19du Tour du Luxembourg.
00:08:20Pas photo pour Maths Pedersen.
00:08:22Parfaitement négocié.
00:08:24Notamment, il était très bien placé
00:08:26au début de ce sprint.
00:08:28Bien sûr, juste devant Mathieu Van Der Poel
00:08:30pour cette deuxième étape
00:08:32du Tour du Luxembourg.
00:08:38Voilà pour ce Zap.
00:08:39Maintenant on ouvre le dossier Paris Saint-Germain.
00:08:40Victorieux 1-0 hier au Parc des Princes.
00:08:42Mais ça a été tout un match
00:08:44très long à se dessiner.
00:08:46Très long et un manque d'efficacité énorme
00:08:48du côté du Paris Saint-Germain.
00:08:50À l'image d'un de ses attaquants,
00:08:52Ousmane Dembélé lancé seul dans la profondeur
00:08:54par Colombo-Ani à la 54ème minute.
00:08:56Il va arriver dans la surface de réparation
00:08:58mais son vis-à-vis le défenseur Gironet
00:09:00finit par lui enlever le ballon avant sa frappe.
00:09:02Quelle occasion énorme à ce moment du match
00:09:04pour le Paris Saint-Germain.
00:09:05Dembélé encore la 62ème minute de jeu
00:09:07qui bute sur le portier de Girone
00:09:09et puis arrive la 90ème minute.
00:09:11Le débordement de Nuno Mendes
00:09:13et Gazzaniga qui se couche sur le ballon
00:09:15pour le capter mais ça passe entre les jambes.
00:09:17Il y a eu l'Arconada, il y a désormais la Gazzaniga
00:09:19au Parc des Princes.
00:09:21On va écouter Luis Henrique
00:09:23interroger après la rencontre
00:09:25sur le manque d'efficacité de son équipe.
00:09:29Un manque d'efficacité ?
00:09:31On en marque 4 en moyenne.
00:09:33Le foot, un merveilleux sport.
00:09:35Hier, il n'y a eu qu'un but.
00:09:37Je trouve injuste de voir des problèmes
00:09:39là où je n'en vois pas.
00:09:41Je vous pose la question, est-ce que c'est un accident ?
00:09:43Cette inefficacité ?
00:09:45Ou est-ce que ça risque d'être un mal profond
00:09:47pour ce PSG 2024-2025 ?
00:09:49On n'a pas les conclusions mais on s'interroge.
00:09:51Mal profond pour Alicia,
00:09:53c'est peut-être un vrai souci au niveau,
00:09:55on est plutôt là-dessus.
00:09:57Donc avec Dave, accident pour Luiz Tenzi.
00:09:59Accident pour Giovanni Casteldi.
00:10:01Mal profond pour Lucas Llorasso et...
00:10:03Mal.
00:10:05Mal dominant pour vous.
00:10:07Mal accident, oui.
00:10:09Giovanni Casteldi, bonsoir.
00:10:11Vous étiez au Parc des Princes hier.
00:10:13Vous étiez au plus près,
00:10:15donc ça m'intéresse d'aller vous voir là-dessus.
00:10:17Je vous ai vu brillant comme d'habitude.
00:10:19Je ne parle pas du sébum, je parle de vos analyses dans l'OBS.
00:10:21Le PSG, vous me dites que c'est un accident
00:10:23cette maladresse hier.
00:10:25Oui, c'est un accident parce que
00:10:27le début de saison prouve que le Paris-Saint-Germain
00:10:29est plutôt prolifique.
00:10:31Ils mettent énormément de buts.
00:10:33Le sous-texte de cette question,
00:10:35c'est que vous êtes un petit peu pervers
00:10:37et un petit peu fourbe.
00:10:39C'est en gros, il n'y a plus Mbappé,
00:10:41donc le mal est profond, etc.
00:10:43J'ai souvenirs.
00:10:45Absolument pas, sinon j'aurais dit
00:10:47est-ce qu'il y a le fantôme d'Mbappé ?
00:10:49Ça, c'est la relance.
00:10:51C'est la troisième question.
00:10:53Ce PSG-là a été extrêmement maladroit hier.
00:10:55Il n'y a pas de doute là-dessus.
00:10:57Mais ce qui m'intéresse,
00:10:59c'est la capacité qu'ils ont,
00:11:01et sur 45 minutes parce qu'ils ont raté
00:11:03à se créer énormément d'occasions
00:11:05que je trouve qu'il y a un bon nombre
00:11:07de joueurs qui sont capables
00:11:09de mettre des buts.
00:11:11Je ne suis pas inquiet plus que ça
00:11:13et qu'hier, c'est un épiphénomène
00:11:15et que le début de saison prouve
00:11:17qu'il y a beaucoup de joueurs
00:11:19qui peuvent marquer.
00:11:21C'est vrai que la première mi-temps
00:11:23était nulle, mais nulle à regarder
00:11:25en termes de plaisir pour un téléspectateur.
00:11:27Je regardais le match, 0-25,
00:11:29expected goals à zéro.
00:11:31C'est presque marqué.
00:11:33À part une superbe possession de balle
00:11:35de 2-25 de Girond, il n'y avait rien.
00:11:37Et derrière, ils ont réagi.
00:11:39Oui, je m'inquiète
00:11:41de ne pas Mbappé.
00:11:43Pas de grand joueur, pas de talent,
00:11:45pas de joueur capable.
00:11:47Il n'y a plus Messi, il n'y a plus Mbappé,
00:11:49il n'y a plus Neymar.
00:11:51Comment ils ont gagné le Ligue des Champions
00:11:53avec eux ?
00:11:55C'est aussi faire des différences
00:11:57au milieu de terrain.
00:11:59Avec les demi-espaces occupés par Asensio
00:12:01ou par Hakimi, pour écarter
00:12:03et trouver des espaces
00:12:05au milieu.
00:12:07Les autres ont aussi
00:12:09à peu près compris. Quand le niveau va s'élever,
00:12:11ils vont en avoir plus compris.
00:12:13Là, il va falloir quelqu'un capable de faire la différence.
00:12:15C'est-à-dire d'eau au jeu,
00:12:17pas dans les bonnes positions, pas dans la bonne orientation,
00:12:19pas mis dans les bonnes dispositions.
00:12:21Capable de se retourner, de faire la différence,
00:12:23d'aller casser les lignes tout seul.
00:12:25Et ça, on ne l'a pas.
00:12:27Ramos peut être ce gars-là ou pas, quand il revient ?
00:12:29Moi, j'aime beaucoup Ramos.
00:12:31Même Kolomwani, finalement.
00:12:33Son entraînement est bon, sa prise de balle sur le but.
00:12:35Mais à part Dembélé
00:12:37qui vient créer des choses,
00:12:39je ne vois pas trop où va le PSG comme ça.
00:12:41Mais le mal, il existe déjà, finalement,
00:12:43depuis la saison dernière, je précise, en Ligue des Champions.
00:12:45Vous parliez des premières périodes.
00:12:47Greg, Paris n'a instruit qu'un seul but
00:12:49lors de ses huit derniers matchs au Parc des Princes.
00:12:51En première période, je précise,
00:12:53c'était Mbappé
00:12:55en octobre 2023 face à Lassay-Milan.
00:12:57Donc, problème sur les premières périodes.
00:12:59Avant le but, face à Gérone,
00:13:01ça faisait cinq matchs que Paris
00:13:03n'avait pas inscrit sur ses cinq derniers
00:13:05remis de temps un but.
00:13:07C'est le deuxième constat qu'on peut faire.
00:13:09Sur l'inefficacité, le dernier match qu'avait disputé
00:13:11le PSG, c'était le match contre Dortmund,
00:13:13le match retour. Ils avaient tiré déjà
00:13:1530 secondes. Ils avaient Mbappé.
00:13:17Ils n'avaient pas marqué.
00:13:19Oui, mais regardez, hier,
00:13:21on est à peu près au même nombre de tirs.
00:13:23Ils ont trouvé la solution sur un cessez.
00:13:25Donc, le mal, il était déjà présent la saison passée.
00:13:27Je suis content que vous ayez fait cette stade de première mi-temps.
00:13:29Pour tout vous dire, j'ai écrit à Raph'hier soir.
00:13:31Je lui ai dit, trouve-moi les stades de première mi-temps.
00:13:33Je suis sûr, de manière empirique, comme ça.
00:13:35Il y a des vrais problèmes de démarrage du côté du PSG.
00:13:37Ce match a été scruté partout en Europe.
00:13:39Autant vous dire que les Parisiens
00:13:41n'ont pas du tout impressionné nos voisins
00:13:43européens, un peu dans le même esprit que notre
00:13:45ouf en une de l'équipe.
00:13:47La Gazetta dello Sport en Italie a titré
00:13:49« Quelle chance pour cette victoire parisienne ».
00:13:51Ce qu'on retient partout, c'est cette bourde
00:13:53du gardien argentin Paolo Gazzaniga.
00:13:55Surtout pour les Anglais,
00:13:57une maladresse embarrassante en fin de match.
00:13:59A écrit le Daily Mail dans ses colonnes.
00:14:01Gazzaniga, on rappelle, passait par
00:14:03Southampton, Fulham ou encore Tottenham.
00:14:05Donc, il était scruté particulièrement en Angleterre.
00:14:07Une soirée qui a viré au cauchemar
00:14:09pour le gardien de Gérôme,
00:14:11comme expliqué dans ce débrief de CBS Sports.
00:14:15Emotionnellement, ce sont les montagnes russes
00:14:17pour un footballeur.
00:14:19Il y a un moment où vous êtes sur le point
00:14:21de devenir un super-héros,
00:14:23puis vous devenez le vilain ultime.
00:14:27Et on termine par l'Espagne,
00:14:29où forcément, le match a été visionné
00:14:31là aussi de près. On le verra
00:14:33dans le conseil de classe où Sman Dembele
00:14:35a été découpé par la presse espagnole.
00:14:37Et pour Dani Garrido, journaliste de Cadena Ser,
00:14:39ça finira par coincer pour ce Paris Saint-Germain.
00:14:43En quart ou en demi-finale,
00:14:45j'ai le sentiment qu'il leur manquera un buteur.
00:14:47J'espère qu'ils seront champions.
00:14:49Après, si c'est quart ou demi,
00:14:51c'est déjà très bien pour les Parisiens.
00:14:53Finalement, c'est le journal madrilène Marca
00:14:55qui se montre le plus encourageant pour ces Parisiens.
00:14:57Le PSG chasse le fantôme de Bappé.
00:14:59Vous voyez, ils ne sont pas d'accord avec nous.
00:15:01Il a eu la chance des grands
00:15:03que lui avait échappé par le passé.
00:15:05Le PSG peut se targuer d'avoir tiré 26 fois
00:15:07au but contre Gérôme, dont 11 fois au but.
00:15:09C'est le signe que l'équipe génère et marque
00:15:11généralement, malgré les problèmes d'efficacité
00:15:13dont elle a fait preuve en Ligue des champions.
00:15:15Vous étiez là hier pour l'avant-match.
00:15:17Vous me disiez avant l'émission
00:15:19qu'ils ont marqué plein de buts.
00:15:21C'est la première fois que ça arrive.
00:15:23Le niveau s'est élevé.
00:15:2516 en 4 matchs.
00:15:27Pardon, j'ai un contre Montpellier.
00:15:29Brest et Lille, deux équipes qui jouent
00:15:31la Ligue des champions.
00:15:33Ils jouent la Ligue des champions cette année.
00:15:35Ils en ont mis 6 au 2-3 à Lille.
00:15:374 défaites de suite.
00:15:39Brest, 3 défaites en 4 matchs.
00:15:41Gérôme aussi avait perdu des matchs avant.
00:15:43Pour moi, j'ai vu un PSG
00:15:45moins et un plus hier,
00:15:47mais pas un PSG où c'est catastrophique.
00:15:49Je trouve au contraire qu'il y a une ligne directrice
00:15:51et je ne suis pas d'accord avec toi.
00:15:53Il cache sur ça. Il y a une ligne directrice dans ce Paris Saint-Germain
00:15:55qu'on n'a pas vu depuis très longtemps.
00:15:57Chaque joueur sait ce qu'il doit faire.
00:15:59Je crois qu'il ne dit pas qu'il n'y a pas de ligne directrice.
00:16:01Il dit qu'il ne voit pas où va cette ligne.
00:16:03C'est pas du tout antinomique.
00:16:05Il dit qu'il ne voit pas où va cette ligne.
00:16:07C'est très scolaire.
00:16:09C'est ce que veut Louis-Heinriquet.
00:16:11À un moment, il y a un peu de talent qui fait la différence.
00:16:13C'est Ousmane Dembélé qui doit le faire hier.
00:16:15Il n'y a que lui.
00:16:17Il le fait pas mal.
00:16:19Très bien.
00:16:21S'il n'y a pas un super arrière du gardien,
00:16:23il marque un super but Ousmane Dembélé.
00:16:25C'est lui qui crée toutes les occasions du Paris Saint-Germain.
00:16:27A part le face-à-face.
00:16:29Il y a le face-à-face.
00:16:31Très bien.
00:16:33Le reste, c'est lui qui crée tout
00:16:35autour du jeu du PSG.
00:16:37On lui tombe dessus aujourd'hui. C'est terrible.
00:16:39On se demandait hier s'il fallait un carton obligatoire.
00:16:41On avait vu le Bayern dans cette nouvelle Ligue des champions.
00:16:43La différence de but, ça va jouer.
00:16:45Finalement, quand je disais à Raymond
00:16:47que vous vous contentiez d'un petit but d'Orako à la 90ème.
00:16:49Vous aviez vu juste.
00:16:51Non, pas du tout.
00:16:53En vrai, c'est ça.
00:16:55On prend les trois points du côté du PSG.
00:16:57À ce point-là, ils sont bien contents.
00:16:59Là, ils se compliquaient sérieusement l'affaire.
00:17:01Vu comme derrière, ça va s'enchaîner.
00:17:03Leur parcours de Ligue des champions
00:17:05va monter.
00:17:07Vraiment, il y a des clients.
00:17:09Celui-là, il était coché
00:17:11comme non seulement une victoire,
00:17:13mais on avait un peu dit en préambule,
00:17:15c'est un peu le match où tu peux,
00:17:17peut-être dois, soigner ta différence de but.
00:17:19Ce qu'on a un petit peu oublié
00:17:21et Raph l'a un peu rappelé,
00:17:23c'est que c'est un mal assez chronique
00:17:25à ce niveau-là
00:17:27en Ligue des champions depuis maintenant plusieurs mois.
00:17:29J'entends le fait
00:17:31qu'effectivement Dembélé est un joueur
00:17:33déséquilibrant comme peu de joueurs
00:17:35que Barcola à ça.
00:17:37Mais simplement, il n'y en a aucun qui t'a donné
00:17:39des garanties sur le fait qu'il était capable
00:17:41d'être un buteur létal.
00:17:43C'est-à-dire que si là, on en est
00:17:45à mettre tous nos espoirs sur
00:17:47Dembélé va te faire sauter la banque,
00:17:49Dembélé, ce que tu as décrit...
00:17:51Quand Mbappé était là, ce n'est pas lui qui marquait non plus.
00:17:53Si c'est un mal depuis plusieurs mois,
00:17:55il y avait Mbappé avant.
00:17:57Avec Mbappé,
00:17:59tu as 44-45 buts au compteur.
00:18:01Pas dernièrement en Ligue des champions.
00:18:03L'année où il est le plus mauvais.
00:18:05L'an dernier, il est meilleur buteur à Ligue des champions.
00:18:07Jusqu'en quart de finale.
00:18:09On est bien d'accord.
00:18:11Et le jour où Mbappé s'éteint,
00:18:13tu n'as personne pour prendre le relais dans un rapport de force
00:18:15qui normalement était favorable.
00:18:17On parlera du PSG et des joueurs tout à l'heure.
00:18:19Parce qu'il y aura le conseiller de classe,
00:18:21Dembélé, Barcola, Zérémy,
00:18:23qui semble avoir été plutôt bon hier.
00:18:25On va parler des joueurs tout à l'heure.
00:18:27Et regardez les images des supporters brestois
00:18:29du côté du Roudourou sur des images de Charles Guyard.
00:18:31Les brestois qui découvrent la Ligue des champions.
00:18:33On parlera aussi de Monaco avec le pourquoi du soir.
00:18:35Pourquoi Barcelone tient son nouveau Messie avec la Mini Amal.
00:18:55De retour sur le plateau de la chaîne équipe
00:18:57avec cette nuque exceptionnelle.
00:18:59C'est Adrien Kouroub qui arrive pour le pourquoi.
00:19:01Le gars fait 3m12 donc même la caméra grue
00:19:03est obligée de le voir.
00:19:05Voici le pourquoi d'Adrien Kouroub.
00:19:11C'est le pourquoi.
00:19:13On va parler de ça.
00:19:15On va parler du FC Barcelone.
00:19:17On va parler surtout de la pépite Barcelonaise
00:19:19qui va causer bien du tort à la défense de l'AS Monaco ce soir.
00:19:21La Mini Amal, c'est le pourquoi du jour.
00:19:23La Mini Amal.
00:19:25Pourquoi Barcelone a son nouveau Léo Messie.
00:19:27Est-ce que ça va partir ou pas ?
00:19:29Oui, ça va partir. Pourquoi Barcelone a son nouveau Léo Messie.
00:19:31Et je vous préviens, on ne va quasiment pas parler ballon
00:19:33mais vous saurez tout de la folie de la Mini Amal.
00:19:35Parce que c'est vraiment la folie autour de ce joueur.
00:19:37Chaque déplacement dans la rue occasionne des mouvements de foule.
00:19:39Regardez cette image qui nous paraît bien.
00:19:41C'était hier. Est-ce que vous le reconnaissez ?
00:19:43C'est un sosie, non ?
00:19:45Oui, c'est un sosie.
00:19:47Il peut se gargariser d'avoir un sosie.
00:19:49Vous avez un sosie, vous, Giovanni ? Vous avez un sosie, vous, Greg ?
00:19:51Absolument pas.
00:19:53J'aurais bien aimé le faire mais je suis un petit peu trop grand.
00:19:55Il a 13 ans.
00:19:57On enchaîne.
00:19:59En quoi il est comparable à Messie ?
00:20:01Parce que sur le terrain, ce n'est pas le même.
00:20:03Il est formé à La Macia. C'est une emblème du FC Barcelone.
00:20:05Il a commencé très jeune. Il marque des buts.
00:20:07Il a un poste offensif.
00:20:09Mais surtout, il est comparable à Messie parce qu'il vend.
00:20:11C'est un joueur qui permet de gagner de l'argent.
00:20:13La Mini Amal, il vend.
00:20:15Il a commencé par des maillots.
00:20:17C'est notre correspondante sur place.
00:20:19Elle est très bien placée pour le savoir.
00:20:21Elle a vu une vraie évolution sur les ventes de maillots.
00:20:23Il y a des maillots La Mini Amal partout, au stade.
00:20:25J'ai fait un test dernièrement.
00:20:27J'ai essayé de voir, en sortant de chez moi,
00:20:29tous les jours, si je croisais un maillot de La Mini Amal.
00:20:31Oui, ça fait à peu près 10 jours, 15 jours,
00:20:33qu'à chaque fois que je sors de chez moi,
00:20:35je croise au moins un maillot de La Mini Amal.
00:20:37Et pourtant, j'habite dans un quartier de l'Espagnol
00:20:39et pas du Barça.
00:20:41Il est le maillot le plus vendu de la boutique officielle
00:20:43de Barcelone depuis cet été.
00:20:45Maillot qui a subi une petite nouveauté d'ailleurs.
00:20:47Il avait le numéro 27.
00:20:49Il a changé de numéro La Mini Amal.
00:20:51Il a pris, à votre avis, numéro 19.
00:20:53Numéro 19 qui appartenait à Lionel Messi,
00:20:55à ses débuts, qu'il avait remporté jusqu'à ses 21 ans.
00:20:57Mais tout ça, c'est peut-être qu'une manière
00:20:59de raconter une histoire aux fans.
00:21:01J'ai appelé aujourd'hui Boris Radojcic.
00:21:03Boris est la compagne des athlètes en image et communication
00:21:05pour une grosse agence sport marketing.
00:21:07Il vous expliquera ça mieux que moi
00:21:09avec un parallèle qui va vous parler.
00:21:11Je me rappelle à une époque de Manchester United
00:21:13quand Beckham était parti
00:21:15et qu'il cherchait absolument à avoir un nouveau numéro 7.
00:21:17Ce sont des histoires de storytelling.
00:21:19Qu'est-ce qu'on raconte comme histoire
00:21:21et qu'est-ce qu'on va trouver comme angle
00:21:23pour pouvoir mettre en avant le profil
00:21:25et capitaliser dessus.
00:21:27Que ce soit un club ou une marque,
00:21:29on essaie de faire des ponts
00:21:31parce qu'on a besoin de rassurer le consommateur
00:21:33en disant que la nouvelle star est là.
00:21:35C'est nous qui l'avons et il faut continuer
00:21:37à acheter des chaussures chez nous.
00:21:39Il nous parle beaucoup de storytelling.
00:21:41C'est quoi exactement le storytelling
00:21:43dans le foot ou ailleurs ?
00:21:45C'est une technique de communication politique,
00:21:47qui consiste à promouvoir une idée,
00:21:49un produit, une marque, à travers le récit que l'on fait
00:21:51pour susciter l'attention, séduire
00:21:53et convaincre par l'émotion
00:21:55plus que par l'argumentation.
00:21:57Pour quelle marque, la Minyamal, vend-il des chaussures ?
00:21:59La marque aux trois bandes qu'on va nommer.
00:22:01C'est Adidas. C'est ce qu'il a signé chez Adidas.
00:22:03Il a été shippé par Adidas alors qu'il l'avait signé
00:22:05chez Nike au début. Puis en janvier dernier,
00:22:07il est passé chez Adidas pour un contrat.
00:22:09Pour un contrat de 10 ans,
00:22:1132 millions d'euros pour la Minyamal.
00:22:13Alors Adidas, comment ils vont l'annoncer ?
00:22:15Ils vont publier une vidéo.
00:22:17Au moment où il va signer son contrat là-bas.
00:22:19On est à Barcelone, on se dirige dans sa chambre d'enfance.
00:22:21Ça va toujours être la rhétorique d'ailleurs.
00:22:23Adidas, c'est un enfant, c'est un jeune
00:22:25qui est dans la chambre d'ado. Il va enlever ses écouteurs.
00:22:27Il est 15h, c'est l'heure d'aller partir
00:22:29à l'entraînement pour la Minyamal.
00:22:31Et il va s'entraîner avec sa tenue Adidas.
00:22:33Il y a quelque chose qui m'a frappé. J'ai fait pause
00:22:35et je suis revenu en arrière. Un petit détail qui m'a frappé
00:22:37dans cette vidéo, dans ce spot publicitaire publié
00:22:39pour montrer qu'il a signé chez Adidas.
00:22:41C'est le maillot qui est accroché.
00:22:43Le maillot de Léo Messi avec Argentine.
00:22:45Parce que Barcelone est chez l'autre.
00:22:47On a mis le maillot pour montrer
00:22:49et pour raconter une histoire.
00:22:51Adidas, ils vont toujours appuyer sur ce storytelling-là.
00:22:53Il y a Messi, le GOAT.
00:22:55Le GOAT, ça veut dire quoi ?
00:22:57Greatest of all time.
00:22:59Ça veut dire aussi la chèvre.
00:23:01Quand on va publier des publicités du côté d'Adidas,
00:23:03on va montrer le GOAT, la chèvre.
00:23:05Il y a toujours ce lien entre le numéro 10
00:23:07et le numéro 19.
00:23:09Il y a toujours cette filiation.
00:23:11Même Barcelone va surfer là-dessus
00:23:13avec une série de photos virales,
00:23:15mystiques, prophétiques.
00:23:17C'est assez dingue cette série de photos que vous avez sûrement vues.
00:23:19Léo Messi qui donne le bain
00:23:21à l'ami Nyamal. On est en 2008.
00:23:23À l'époque, il pose pour le calendrier Unicef.
00:23:25Il partage la scène avec un petit poupon
00:23:27de 4 mois qui répond au nom de l'ami Nyamal.
00:23:29La rencontre entre Léo Messi,
00:23:31meilleur joueur de l'histoire, et Nyamal
00:23:33qui bat tous les records de précocité
00:23:35était l'un des plus beaux hasards du football actuel.
00:23:37On est vraiment dans cette histoire
00:23:39pour Adidas comme pour le Barça.
00:23:41L'enfant le quitte d'un côté,
00:23:43de l'autre, Léo Messi.
00:23:45Et encore une fois, c'est un calendrier très précis
00:23:47auquel on répond, comme nous l'explique Boris Radojic.
00:23:49La communication des athlètes
00:23:51est construite comme la communication
00:23:53d'une marque, selon que tu fais du cours,
00:23:55du moyen ou du long terme. Pour l'ami Nyamal,
00:23:57il y a un truc de temporalité. Il part à une certaine tranche d'âge
00:23:59qui va faire rêver
00:24:01les consommateurs potentiels qui sont plus jeunes.
00:24:03Tu vas avoir un truc qui est basé
00:24:05non seulement sur ses performances actuelles
00:24:07mais aussi sur un storytelling
00:24:09peut-être de plus de jeunes prometteurs,
00:24:11de futurs stars, de futurs cracks, de futurs pépites
00:24:13qui ne sera pas le même storytelling
00:24:15quand il sera un peu plus confirmé
00:24:17dans deux ou trois ans et qu'il aura
00:24:19empilé des trophées. Tu pourras avoir un storytelling
00:24:21qui évolue où les objectifs vont être de
00:24:23baser la confirmation.
00:24:25On gère un athlète comme on gère une marque.
00:24:27Ça obéit à un calendrier très précis.
00:24:29Et on voit que les athlètes savent aussi communiquer.
00:24:31Exemple parfait, l'ami Nyamal est invité
00:24:33il y a cinq jours sur le plateau d'El Hormiguero.
00:24:35C'est le talk show le plus suivi d'Espagne.
00:24:37Et ça c'est du pain béni pour l'UFC Barcelone.
00:24:59La folie de Nyamal,
00:25:01plus l'eau d'or pour Adidas et Barcelone mais pour l'Espagne.
00:25:03L'émission que je vais vous montrer a cartonné.
00:25:05C'est 23% de part d'audience.
00:25:07C'est le meilleur score, le meilleur résultat
00:25:09de toute l'année parce qu'il y avait justement
00:25:11l'ami Nyamal. Donc ça montre finalement qu'en Espagne
00:25:13aussi, on ne va pas seulement s'attarder à la Catalogne.
00:25:15Ça va marcher. D'ailleurs, petit sondage
00:25:17d'El País après l'Euro. Quel est le joueur
00:25:19préféré des Espagnols ? En troisième,
00:25:21Dani Carvalho, regardez, 14,9%.
00:25:23En deuxième, arrive
00:25:25le joueur de Bilbao, Nico Williams,
00:25:2723,7%. Et devant,
00:25:29largement devant, score de dictateur,
00:25:3146,2% pour l'ami Nyamal.
00:25:33La folie, elle a même envahi les plateaux
00:25:35télé madrilènes. Vous connaissez le fameux
00:25:37programme El Chiringuito.
00:25:39Un programme de télévision
00:25:41pro-madrilène avec notamment un homme qui s'appelle
00:25:43Thomas Ronsero et lui vraiment, c'est le supporter
00:25:45madrilène de base. Il déteste Barcelone.
00:25:47Il joue toujours ce rôle-là à la télévision
00:25:49mais là, il est obligé de s'avouer vaincu
00:25:51face à Nyamal.
00:25:59...
00:26:25Ils mettent la musique derrière, j'adore.
00:26:27Même pour la Liga
00:26:29et même pour le Real Madrid,
00:26:31je le dis bien, le Real Madrid,
00:26:33c'est du pain béni d'avoir l'ami Nyamal en Liga.
00:26:35Et le fait que
00:26:37Kylian Mbappé soit arrivé à Madrid, il faut
00:26:39forcément trouver son penchant
00:26:41du côté du Barça pour créer ce
00:26:43fameux duel que beaucoup de médias
00:26:45ici cherchent à recréer depuis le
00:26:47Cristiano Ronaldo-Messi. Ça aussi, ça fait vendre
00:26:49parce que forcément, on va pouvoir en faire des titres et des émissions
00:26:51et des podcasts et des vidéos, etc.
00:26:53Donc on a aussi le duel Nyamal-Mbappé
00:26:55et finalement, la Liga qui va retrouver
00:26:57ses lettres de noblesse, ça c'est bon pour les gros télés.
00:26:59Oui, ils attendaient Alain Mbappé, ce sera peut-être
00:27:01l'ami Nyamal-Mbappé. Mais alors, il y a quand même un revers de la médaille
00:27:03à tout ça. Allez demander à un gamin qui n'est même pas
00:27:05majeur, qui a 17 ans, d'être épié comme ça
00:27:07de partout par les médias, forcément,
00:27:09la presse people va faire ses choux gras
00:27:11de toutes les affaires qui vont concerner de près
00:27:13ou de loin l'ami Nyamal. Premier exemple, cet été
00:27:15avec sa petite copine qui est prise dans un live
00:27:17Instagram alors qu'elle est sur les genoux d'un autre garçon.
00:27:19Toute la presse people en a fait les choux gras.
00:27:21Sa copine aurait trompé l'ami Nyamal.
00:27:23Je rappelle quand même à tout point d'utile qu'on est en 2024
00:27:25et qu'on a le droit de s'asseoir sur les genoux de quelqu'un
00:27:27sans être cloué au pilori comme l'a fait la presse espagnole.
00:27:29Autre grosse usine à polémique,
00:27:31c'est le papa de l'ami Nyamal.
00:27:33Sur Instagram, on l'appelle
00:27:35Hustle Hard. Il a 700 000 followers.
00:27:37C'est un vrai personnage dont la presse
00:27:39espagnole décortique tout de ses faux pas.
00:27:41Comme cette photo qui avait été prise
00:27:43devant le Santiago Bernabeu.
00:27:45Il avait le maillot du Real Madrid
00:27:47avec le drapeau du Real Madrid. Petite erreur,
00:27:49il avait les faux pas.
00:27:51Moins drôle aussi, comme quand il va se bagarrer
00:27:53avec des militants d'un parti
00:27:55d'extrême droite espagnole, Vox.
00:27:57Il n'a pas forcément peur d'aller au contact
00:27:59mais ça peut lui causer du tort parfois.
00:28:01L'été dernier, il a été victime d'un coup de couteau
00:28:03poignardé dans un parking à Barcelone.
00:28:05J'ouvre les guillemets, sans gravité.
00:28:07C'est ce qu'il a confirmé au téléphone
00:28:09à El Chiringuito qui est toujours avide de scoop
00:28:11surtout quand ça parle de l'ami Nyamal.
00:28:19Vous l'aurez compris, tout ce qui touche de près
00:28:21ou de loin à l'ami Nyamal, ça fait marcher,
00:28:23ça fait parler, ça fait gagner de l'argent aussi
00:28:25pour Adidas comme pour Barcelone
00:28:27qui peut enfin, après des années compliquées,
00:28:29retrouver les sommets sportifs et financiers surtout.
00:28:31Et marketing, vous avez raison.
00:28:33Très bon pourquoi, Adrien, bravo.
00:28:35C'est super. Vous allez travailler avec qui aujourd'hui ?
00:28:37Avec Arthur.
00:28:39Voilà, on embrasse.
00:28:41On embrasse.
00:28:43On embrasse.
00:28:45On embrasse.
00:28:47Avec Arthur !
00:28:49On embrasse Arthur, évidemment, bien bossé.
00:28:51Dave, je vous voyais, vous avez appris des choses.
00:28:53Pourtant Dave, on ne vous la fait pas sur le Barçak,
00:28:55Transoot, l'ami Nyamal, Messy.
00:28:57Franchement je vous ai vus
00:28:59regarder de manière un peu
00:29:01totalement captivée.
00:29:03Oui tout a fait déjà, cette photo
00:29:07où il est bébé avec Messy.
00:29:09Et en plus dans le prolongement,
00:29:11ça marche parce qu'en plus c'est quasi christique
00:29:13le truc, il est né le divine enfant
00:29:15par Messi. Et là, ça renvoie aussi à plein de trucs. C'est des sociétés très croyantes,
00:29:21l'Espagne, les pays latins, etc. Et ça, ça réveille des trucs. De la même façon
00:29:25que Messi, il y avait un lien au-delà du foot avec Maradona.
00:29:29Celle-là, vous ne vous emmettez pas de cette photo.
00:29:31Non, mais c'est incroyable. C'est le hasard. Et le hasard, là, pour le coup, fait incroyablement
00:29:36bien les choses. Ou alors c'est un plan marketing très, très, très, très, très, très, très
00:29:40bien. Le mec, c'est pire que Vénus et Serena Williams. Mais par contre, la grande différence,
00:29:45et on le voit, c'est que Messi, quand il a grandi, il a grandi dans un environnement
00:29:49hyper calme, hyper protégé. On ne l'a appris que très tard qu'il était Messi finalement.
00:29:54Pendant longtemps, il a été protégé. Pendant longtemps, c'était Ronaldinho qui prenait
00:29:58la lumière, etc. On l'a laissé grandir. Ce n'est pas la même chose avec l'Aminhamal
00:30:03dont tu as rappelé l'âge, 17 ans. Mais alors attention, parce que 17 ans, il y a eu des
00:30:08footballeurs espagnols de 17 ans, de 16 ans, qui ont aujourd'hui la moitié des genoux
00:30:13et les jambes coutumes. Et ça m'inquiète un peu, moi, ça.
00:30:16C'est vraiment le seul truc qui me fait peur sur l'Aminhamal, puisque là, on a beaucoup
00:30:20parlé de Lionel Messi. Mais il y a quelques saisons, celui qui avait récupéré le numéro
00:30:2410 au FC Barcelone de Lionel Messi, c'était Ansu Fati, qui devait être un phénomène
00:30:30qui n'a eu que des blessures, qui a été prêté à Brighton. On l'a aujourd'hui qui
00:30:33est retourné à Barcelone, mais qui est tout le temps blessé. Gavi, Pedri se sont gravement
00:30:37blessés. Fermin Lopez, qui a gagné les Jeux Olympiques avec l'Espagne, lui aussi est blessé.
00:30:43Moi, le côté médiatique, je pense que les jeunes d'aujourd'hui sont beaucoup plus préparés
00:30:47qu'avant, donc ça ne me dérange pas. En France, on a connu le phénomène Mbappé.
00:30:50On se rappelle que son père a fait une interview parce qu'il ne jouait pas assez à l'époque
00:30:54à Monaco et ça avait basculé sa saison. Donc je pense qu'aujourd'hui, ces gamins-là,
00:30:58ils ont l'habitude de ça. Ce qui me fait peur, c'est qu'on ne les protège pas sportivement
00:31:02et qu'on ne laisse pas… Parce que les jeunes, ils s'en foutent.
00:31:04Oui, mais le corps, c'est important qu'il se développe correctement. On parlait de Messi.
00:31:08Messi, malgré son talement…
00:31:09Pas forcément tous les deux jours.
00:31:10Le Barça, tous les deux ans, il en sortait un.
00:31:12Le Barça, c'est autre chose. Le but qu'il met contre la France, je n'en ai pas vu
00:31:15beaucoup des gamins capables d'en mettre à ce moment-là.
00:31:18C'est pour ça que c'est important de préserver les joueurs. Et surtout, ce qui m'étonne,
00:31:22c'est que Barcelone, avec Pedri, ils l'ont expérimenté. Je ne comprends pas qu'ils
00:31:26refassent pareil sur le temps de jeu.
00:31:28C'est vrai. Cela dit, là, c'est le danger numéro un ce soir pour Monaco.
00:31:32Là, on est d'accord qu'on est sur un joueur qui devrait remporter le trophée
00:31:36Copa au Ballon d'Or.
00:31:37Je veux dire, quand on a présenté…
00:31:38Ne regardez pas.
00:31:39Non mais, Dave, vous êtes de France 2 Balls, je ne vais pas vous demander le tout, mais
00:31:41je ne vois pas comment il peut y avoir une concurrence. On espère qu'il va avoir une
00:31:44ZRMRI l'an prochain.
00:31:45Il a sa chance.
00:31:46Bien sûr.
00:31:47Et c'est même quelqu'un qui peut être top 10, top 5 Ballon d'Or, sans débat.
00:31:51Il est champion d'Europe avec l'Espagne, ça compte quand même. En plus, il a tenu
00:31:55un rôle très important avec l'Espagnol.
00:31:56Top 3, pourquoi pas.
00:31:58Mais il peut faire top 3, carrément. Il peut faire podium Ballon d'Or.
00:32:01Oui, c'est un joueur du coin, mais ce que je voulais dire, c'est que dans la société
00:32:04aujourd'hui dans laquelle on est, ils s'en foutent de savoir s'il va se péter dans
00:32:08six mois, dans un an, s'il ne sera plus là dans cinq ans. Ils profitent de lui maintenant.
00:32:11Je ne suis pas sûr, là, quand même. Là, on voit qu'il y a quand même un plan différent.
00:32:13Les autres n'étaient pas tarifiés autant. Aucun des trois.
00:32:16Ils le tarifient comme ça, pourquoi ? Pour en tirer le maximum maintenant.
00:32:19En se disant peut-être qu'il sera là dans dix ans.
00:32:21Non, ça, c'est une réflexion d'agent. Parce que le club, il a tout intérêt.
00:32:26Ils n'ont qu'à le protéger, alors. Ils n'ont qu'à ne pas le faire jouer le week-end.
00:32:28Ils ne le font pas.
00:32:29Oui, mais parce qu'ils sont en galère.
00:32:31Si tu ne veux pas qu'il se pète, aujourd'hui, tu lui fais un calendrier.
00:32:33C'est en mesure, parce qu'il est jeune. Tu dis, il y a un match de Ligue 1 par mois
00:32:36que tu ne feras pas pour te reposer. Ils ne le font pas.
00:32:38Mais parce qu'aujourd'hui, ils tiennent sur ses épaules. Mais ils ont tout intérêt
00:32:40à capitaliser sur lui.
00:32:41Pourquoi ils tiennent ? Pour l'oseille.
00:32:42Ils ont besoin de sous, le Barça. Il faut qu'il gagne des matchs.
00:32:45Il peut être champion avec lui.
00:32:47Je vous donne une chronique, d'ailleurs.
00:32:49Vous êtes surpris par le phénomène, l'Amin Yamal.
00:32:54Est-ce qu'on peut parler de phénomène, pour vous ?
00:32:56Oui, à 16 ans, être champion d'Europe. 16 ans et demi, 17 ans.
00:33:00Oui, c'est incroyable. Je ne sais pas. Mais s'il était à quel âge ?
00:33:0418 ans ? 19 ans ?
00:33:06C'est à 9 ans qu'il était champion.
00:33:08Vous étiez comment à 16 ans et demi, vous ?
00:33:10J'étais chez ma mère. Elle me faisait mon lit.
00:33:12La vie normale.
00:33:15J'étais au lycée. Ma meuf me trompait.
00:33:18Personne ne me dérangeait de personne.
00:33:21Ce n'était pas si grave que ça.
00:33:25C'est un peu en rapport avec la question de foot.
00:33:29C'est à peu près normal. Ça vous est arrivé aussi ?
00:33:33Bien sûr. Comme tout le monde.
00:33:35Il ne va pas avoir de jeunesse non plus.
00:33:37C'est une drôle de construction.
00:33:39Il est dans le monde des adultes, du business, des grands joueurs de football.
00:33:42En même temps, il est jeune. Il a cet âge-là.
00:33:46Je pense qu'en préparation, on a beaucoup progressé.
00:33:49On fait travailler les joueurs. Ils font attention.
00:33:51Il y a la croissance.
00:33:53Ils sont informés de ce qu'il faut faire et ne pas faire.
00:33:56En récupération aussi.
00:33:57Maintenant, oui, il doit sauter des matchs de coupe de Ligue des Nations.
00:34:01Il doit aller sauter ces rendez-vous-là.
00:34:03Parce que c'est un vrai moment pour récupérer.
00:34:05L'ami Djamal, on va en parler. Il devrait être titulaire avec le FC Barcelona.
00:34:08Il est titulaire.
00:34:10La compo de Brest et de Monaco dans un instant.
00:34:13Parce qu'il y a de la Ligue des champions.
00:34:15Ça, c'est une classe du match du PSG.
00:34:16Le survivant, le petit filet.
00:34:17A tout de suite. Merci Adrien.
00:34:27De retour dans l'équipe de Greg.
00:34:28Merci d'être avec nous.
00:34:29On attaque la dernière heure avant le coup d'envoi de la Ligue des champions.
00:34:32Première dans l'histoire pour Brest.
00:34:33Et Monaco de retour après six ans.
00:34:35Monaco, Karine Guény, notre envoyée spéciale.
00:34:37Brest, du côté de Guingamp, c'est David Aiello.
00:34:39Karine, on est avec vous.
00:34:40Oui, on vient vous voir en tout premier.
00:34:42Vous avez les compos.
00:34:43Karine, des Monégasques et des Barcelonais.
00:34:45On vous écoute.
00:34:46On a déjà vendu la mèche.
00:34:47L'Amin Yamal est titulaire.
00:34:48Ce n'est pas non plus la surprise du siècle.
00:34:51Oui, ça ne sert à rien de teaser des choses qui sont une évidence.
00:34:54Mais je vous rassure, il est bien là, le petit jeune de 17 ans.
00:34:57Je vais vous parler de Monaco.
00:34:59Parce que nous sommes évidemment côté Monégasques ce soir.
00:35:02Avec Mika Lefebvre qui me rappelait que c'est le premier match de l'adducteur en Ligue des champions.
00:35:06L'entraîneur de Monaco.
00:35:07Donc, ça a évidemment aussi une importance.
00:35:09Et ce qui est assez plaisant, c'est qu'il va rester sur une composition offensive.
00:35:12On retrouve Keun, évidemment, dans les buts.
00:35:15Alors, excusez-moi, parce qu'il y a Romain Aran qui m'appelle en double appel.
00:35:17Alors qu'il voit bien que je suis en train de travailler.
00:35:19Donc, il faudrait qu'il comprenne le petit supporter monégasque.
00:35:21Je ne peux pas répondre.
00:35:23Nous avons Venderson et Caillou-Henri qui sont sur les côtés.
00:35:25Kerrère et Salissou en défense.
00:35:28Nous avons Zaccaria et Camara au milieu de terrain.
00:35:31Minamino est en numéro 10.
00:35:33Et il a mis les deux jeunes titulaires ce soir.
00:35:36Acliouche et Benseguir.
00:35:38Donc, vous l'aurez compris, c'est Golovin qui est sur le banc.
00:35:40Et Mbolo devant.
00:35:42Du côté du FC Barcelone, je vous dis juste quelques noms.
00:35:44Mais évidemment, il y a du talent.
00:35:46Lamine Yamal va donc jouer son premier match de Ligue des Champions à 17 ans.
00:35:49Il y aura également Rafinha ou encore Lewandowski.
00:35:51Et puis, Jules Koundé, notre français, est bien évidemment titulaire.
00:35:55Et si vous voyez Romain Aran prochainement dans les émissions,
00:35:57vous lui dites d'arrêter de bipper.
00:35:59Parce que là, il continue de m'appeler pendant mon duplex.
00:36:01Vous savez ce qu'on va faire ? On va le licencier.
00:36:03Ce sera encore plus rapide.
00:36:04Je suis désolé, Romain, c'est une faute grave.
00:36:05On n'embête pas Karine Galli en duplex.
00:36:07Enfin, jamais la légende Galli, on ne l'y touche pas.
00:36:10On part en Bretagne.
00:36:11On retrouve du côté de Guingamp au stade du Roudourou
00:36:13pour le premier match de Brest en Ligue des Champions.
00:36:16David Aiello, vous avez la compo de Brest.
00:36:20J'ai la compo de Brest.
00:36:21Vous allez le voir, une petite surprise.
00:36:23Par contre, ce qui était prévu, c'est que c'est le même 11 quasiment
00:36:26que celui qui a perdu face à Paris.
00:36:28Mais c'est vrai qu'on était plutôt satisfait du côté d'Erykroix, du contenu.
00:36:31Dans les buts, Bizotte, Charnière, classique avec Chardonnay et le Cardinal.
00:36:36Sur les côtés, Haidara, Lalla.
00:36:38On reste sur le 4-3-3.
00:36:39Ça veut dire que le milieu de terrain, on n'y touche pas non plus
00:36:41avec Fernandez, Camara et Magneti.
00:36:44La surprise, elle est devant la demi-surprise
00:36:46puisqu'on rappelle que Del Castillo avait manqué l'entraînement hier.
00:36:50Il est sur la feuille de match, mais ne débute pas.
00:36:52Il est remplacé par Feff qui accompagnera donc Ajorque et Simas sur le côté.
00:36:56Merci David d'avoir resté bien en place.
00:36:58On va venir vous revoir.
00:36:59Une info concernant la compo de Monaco.
00:37:02On l'a vu s'afficher, Van Der Son, single et les deux latéraux.
00:37:05On va faire exprès de jouer côté Monégasque par Van Der Son à gauche
00:37:10pour aller peut-être aller titiller Amine Yamal.
00:37:13Je vous propose qu'on parle de ça.
00:37:14On fera le foutoir un peu après.
00:37:15Mais là, on est sur les compos.
00:37:16C'est chaud. Il est 20h.
00:37:17Je vous vois hocher la tête de manière un peu...
00:37:20Vous êtes un peu circonspect sur la compo Monégasque.
00:37:22Oui, oui.
00:37:23Soyez agacés là.
00:37:25Peut-être qu'il y a une info qui m'échappe.
00:37:27Golovin sur le banc, c'est quand même extrêmement surprenant
00:37:29parce que pour moi, c'est le meilleur joueur à Monaco.
00:37:32Il a été blessé un petit peu sur le début de saison.
00:37:34Mais même s'il n'est pas à 100%, je pense quand même qu'il est bien plus fort.
00:37:38Il doit jouer dans cette équipe Monégasque.
00:37:40Et je ne suis pas du tout content des deux latéraux.
00:37:42Pour moi, Van Der Son, il doit jouer à droite.
00:37:45Même si on peut comprendre pour l'histoire de vitesse par rapport à Yamal, etc.
00:37:49Mais ce n'est pas du tout son poste à gauche.
00:37:52Déjà qu'à droite, défensivement, il a beaucoup de mal
00:37:55parce que c'est un latéral ultra offensif.
00:37:57À gauche, sur son mauvais pied, j'imagine mal faire mal à Yamal.
00:38:02Pourquoi il fait ça ?
00:38:04C'est la vitesse.
00:38:06Il se dit qu'il peut suivre à la course.
00:38:10Il se dit qu'il va pouvoir le gêner.
00:38:12C'est aussi une histoire de pressing.
00:38:14Sur ces joueurs-là, il faut essayer de leur laisser le moins de vitesse possible.
00:38:17Donc, aller les chercher un petit peu plus haut.
00:38:20Moi, je rejoins Loic.
00:38:22Quand tu es en pied inversé comme ça face à un mec qui va aussi vite,
00:38:25ça me paraît extrêmement compliqué.
00:38:27Après, on sait qu'en défense, sur les côtés, ils n'ont pas beaucoup de...
00:38:30Il a une qualité de centre qui est supérieure à la moyenne.
00:38:32Donc, il ne va pas pouvoir l'utiliser parce qu'il va arriver sur son pied gauche.
00:38:35Après, Vicky-Age de Rassault, on est concentré sur les latéraux.
00:38:37Vous avez raison, les garçons.
00:38:39Mais l'attaque, elle est quand même sexy et assez jeune.
00:38:42Très jeune, avec Ben Sirac qui fait des grosses différences ces derniers temps.
00:38:46Puis après, l'entraîneur, il sent des choses aussi.
00:38:48Il tente des choses.
00:38:50C'est son métier, ça veut dire.
00:38:52Il est aux entraînements, lui.
00:38:54Il voit des choses dans le groupe.
00:38:56Et puis aussi, de bousculer parfois son équipe,
00:38:58sur des gros matchs comme ça, il peut peut-être se passer quelque chose.
00:39:00C'est peut-être aussi un entraîneur qui peut tenter des coups.
00:39:03Moi, je ne le connais pas assez pour savoir ce qu'il a fait dans ce genre de match.
00:39:06C'est son premier match avec des champions.
00:39:08Donc là, c'est le baptême du feu.
00:39:10Moi, j'ai connu des entraîneurs qui changeaient des choses le jour du match
00:39:13parce qu'ils sentaient quelque chose et ils avaient envie de tenter.
00:39:15On finit sur Monaco avec vous, Dave.
00:39:17Et puis, un petit mot sur Brest après.
00:39:19Le truc, c'est que là, tenter, tester, jouer presque avec le feu au niveau des latéraux,
00:39:24c'est un Barça en pleine bourre en face.
00:39:26Et ça compte déjà, quand on a vu que les gros avaient gagné.
00:39:29Il ne faut pas avoir de retard à l'allumage.
00:39:31Oui, après, est-ce qu'on a toutes les informations sur le potentiel athlétique de Golovin ?
00:39:37On sait que c'est un joueur fragile.
00:39:39C'est un joueur qui manque trop souvent à l'ASM et qui te change cette équipe.
00:39:43Je ne pense pas que ce soit une partie de plaisir pour lui de s'en passer.
00:39:46Il n'est pas fou, il n'est pas suicidaire.
00:39:48Il est sur le banc.
00:39:49Oui, il est sur le banc.
00:39:50Il y a eu une entente à la Chy pour la préparation.
00:39:53Peut-être qu'il se dit, je n'ai pas envie de me perdre trop de suite.
00:39:57Il ne veut pas cramer cette cartouche-là.
00:39:59Elle est quand même sympa, cette équipe.
00:40:01Moi, j'aime bien aussi.
00:40:02Elle est belle, bien sûr.
00:40:03Ils chipotent parce qu'ils sont sur le plan défensif.
00:40:05Mais nous, on est contents.
00:40:06J'allume la télé, je vois cette compétition.
00:40:08Mais si tu en prends cinq, ça compte un peu la défense.
00:40:10C'est dans les six, ce n'est pas grave.
00:40:12Le Benseguir Koundé, j'ai envie de le voir, par exemple, ce duel.
00:40:15En ce moment, Benseguir, c'est un client.
00:40:17Evidemment, ce n'est pas l'Aminyamal.
00:40:19Mais franchement, c'est un client.
00:40:20Et c'est un joueur qui peut provoquer des choses.
00:40:23En ce moment, Koundé, c'est bien que tu dis ça.
00:40:25Parce que moi, j'ai beaucoup craché sur le jeu de Koundé.
00:40:27Mais il est monstrueux.
00:40:28En ce moment, à droite…
00:40:29Il y a eu une bascule depuis quelques semaines.
00:40:31L'Euro, j'ai l'impression que ça a tout changé.
00:40:33Je ne les ai pas tous en tête là maintenant.
00:40:35Mais je pense qu'il n'est pas loin d'être le meilleur latéral droit d'Europe en ce moment.
00:40:39Oui, bien sûr.
00:40:40Mais Koundé, moi, je le trouve stratosphérique.
00:40:43Il est de l'être le meilleur latéral droit d'Europe quand même.
00:40:45On ne va pas se faire un débat Koundé tout de suite.
00:40:49Non, non, il a le droit de penser des choses.
00:40:54On enchaîne avec une belle archive à vous montrer.
00:40:57Regardez cette photo avec l'entraîneur de Monaco et du Barça.
00:41:01Ça date de la dernière fois.
00:41:02Le dernier match entre les deux groupes olympiques champions.
00:41:05C'était en 1994 exactement.
00:41:06Dave avec Arsène Wenger et Johan Cruyff.
00:41:08Vous les aurez reconnus.
00:41:09J'aime beaucoup le style de l'époque.
00:41:11Le Barça de Cruyff qui était allé jusqu'en finale cette saison-là face au Milan.
00:41:15C'est vraiment une image mythique.
00:41:17Sur Brest également.
00:41:18On peut remettre la compo de Brest ce soir contre Sturm Graz.
00:41:21C'était la compo donnée par David Ayelou.
00:41:23Avec une équipe, j'allais dire, classique.
00:41:28Mais il n'y a pas d'El Castillo ?
00:41:29Je ne sais pas Dave, qu'est-ce qu'elle vous inspire cette compo ?
00:41:32Pour Brest, par contre, je suis plus inquiet.
00:41:37Idara aussi ?
00:41:38Je suis plus inquiet.
00:41:39Il y a des choix forts quand même de la part d'Eric Roy.
00:41:41Je vais dire classique, mais je vous suis un peu enflammé.
00:41:43Il y a des choix forts quand même.
00:41:44Oui, il y a des choix forts.
00:41:45Jordan Amavi, c'est compliqué à ce poste-là.
00:41:49Honnêtement, c'est compliqué.
00:41:50Ceux qui ont vu ses dernières prestations quand il a été relancé,
00:41:53parce qu'il y avait des blessés.
00:41:55Honnêtement, ça a été très dur pour lui.
00:41:57Mais Del Castillo n'est pas là.
00:41:58Il y avait un doute sur sa participation.
00:42:00Il est sur le banc.
00:42:01Et Del Castillo, c'est un peu le joueur plus plus en termes de talent.
00:42:06En gros, si vous n'êtes pas à 100%, vous jouez pas avec des champions.
00:42:08C'est aussi simple que ça.
00:42:09Le message est clair.
00:42:10425, ça ne suffit pas.
00:42:11C'est ça.
00:42:12Et cette équipe, parce qu'on finit par oublier,
00:42:13parce que ça fait maintenant plusieurs semaines qu'il est out,
00:42:15ce n'est pas la même équipe sans Lesmélou.
00:42:17C'est vrai.
00:42:18Bien sûr.
00:42:19Je trouve qu'on finit par ne plus le mettre dans l'équation
00:42:22quand on parle des prestations de Brest.
00:42:24Ce n'est pas du tout la même équipe.
00:42:26On parle d'un joueur qui était…
00:42:27Mickaël Jaurasso, il y a beaucoup qui jouent leur premier match à l'Olympique des Champions.
00:42:30Pour le coach aussi, c'est son premier match à l'Olympique des Champions.
00:42:32Vous avez joué à un moment donné votre premier match à l'Olympique des Champions.
00:42:35Il y a la musique qui arrive.
00:42:37Vous jouez en plus à Guingamp, qui est l'ennemi normalement,
00:42:39mais ici, le stade sera aux couleurs brestoises.
00:42:42Il y a beaucoup de choses qui doivent se passer dans la tête, dans le ventre.
00:42:45Comment on gère ça ?
00:42:46Il faut essayer de lâcher la pression.
00:42:49L'entraîneur, normalement, dans sa causerie, dans sa préparation,
00:42:52il est là justement pour donner confiance
00:42:54et que les joueurs soient le plus détendus possible.
00:42:56Mais c'est un grand moment unique
00:42:58et c'est une vraie différence quand on est Brest.
00:43:01En plus, ils ne jouent pas chez eux.
00:43:02Il y a une grosse pression.
00:43:04Ça peut être formidable comme ça peut être complètement loupé.
00:43:07C'est une équipe qui a de la chance de jouer contre une petite équipe aussi.
00:43:10Ce n'est pas non plus tout de suite un monstre.
00:43:12Mais d'où la pression supplémentaire ?
00:43:14Parce que j'ai l'impression que c'est là-dessus qu'il faut se verser.
00:43:16On continue d'en parler dans un instant.
00:43:17On parle de l'adversaire.
00:43:18Je tombe grâce à ce que Brest a passé le moment de prendre les points.
00:43:20C'est là, c'est ce soir, pour lancer pleinement cette Ligue des Champions.
00:43:23On se demandera s'ils sont plus qu'un petit pousset.
00:43:25Peu d'espoir d'un top 24 pour les Brestois.
00:43:27Monaco, Brest, le conseil de classe du PSG,
00:43:29le petit filet d'Antoine Pinault et le survivant.
00:43:32A tout de suite.
00:43:38De retour.
00:43:39On est ensemble jusqu'à 20h50.
00:43:40Sans interruption désormais.
00:43:41Avec Alicia, avec Dave, avec Loïc, avec Turban, avec Raphaël.
00:43:48Raphaël qui bosse pour le hat-trick avant de nous plonger dans la Ligue des Champions.
00:43:51Et pour vous aussi, Greg.
00:43:52Bien sûr, Raphaël.
00:43:57Coup du chapeau.
00:43:58Ou pas.
00:43:59En plus, j'ai des buts pas mal à vous montrer.
00:44:01Allez, on va filer en Angleterre.
00:44:03Le EFL Cup, Thomas Doyle pour le deuxième but de Brighton face aux Wolves.
00:44:07La frappe, regardez, gardien, imparable.
00:44:10En tout cas, il était sorti de sa cage, il était peut-être un petit peu déstabilisé.
00:44:13Mais la frappe là, sous la barre, ça fait mal.
00:44:15Numéro 2 de ce hat-trick, c'est le but de Carlos Baleba.
00:44:18C'est toujours dans les matchs.
00:44:19C'était pour le 1-0 de Brighton.
00:44:21Vous savez que j'aime les frappes de loin.
00:44:23Oui, pas mal.
00:44:24Elle est vicieuse.
00:44:25Vous êtes ému visiblement.
00:44:26Visiblement le gardien.
00:44:27Je suis ému, j'ai envie de pleurer.
00:44:29Regardez.
00:44:30Hop là.
00:44:31Avec le rebond là.
00:44:32Il est beau celui-là.
00:44:33Et numéro 1 de ce hat-trick, le but de Alexey Miranschuk.
00:44:36Le Russe de 28 ans, passé par l'Atalanta Bergane,
00:44:39qui égalise pour Atlanta contre Miami en MLS.
00:44:42Patata, frappe de loin, lucarne, lulu, imparable.
00:44:45Très beau but.
00:44:46Bien, c'est un bon hat-trick.
00:44:47C'est un bon hat-trick.
00:44:48Ça fait plaisir de voir des images.
00:44:50Triple left-hand.
00:44:51Regardez, nous sommes partout.
00:44:52Nous sommes avec David Aiello du côté de Guingamp.
00:44:53Brest qui fait son entrée et Karine Galli.
00:44:55Oui, Karine, vous êtes à l'antenne.
00:44:56On y va maintenant.
00:44:57Mettez-moi cet écouteur car je viens vous voir, Karine,
00:44:59pour la compo de Monaco, pour ceux qui viennent de nous rejoindre.
00:45:02Rebonsoir, Karine.
00:45:03On vous écoute.
00:45:06Oui, mais déjà, vous voyez, tout à l'heure, vous disiez
00:45:09est-ce qu'il y a vraiment de l'ambiance à Monaco ?
00:45:11Et là, vous allez rêver, monsieur, parce qu'en plus,
00:45:13je sais que vous adorez l'NBA.
00:45:14Michael Jordan est présent dans les tribunes.
00:45:16Voilà, il n'y a qu'à Monaco qu'on voit des choses comme ça.
00:45:18Bon, je vais vous donner également la composition d'équipe.
00:45:21Mais en tout cas, voilà.
00:45:23Bien évidemment.
00:45:24Écoutez, je peux vous dire qu'il est déjà dans les tribunes.
00:45:26Les tribunes, c'est déjà pas mal.
00:45:27Et on ira voir Michael dans quelques secondes.
00:45:29Donc, la composition d'équipe, moi, j'aime beaucoup
00:45:31parce qu'il est resté dans une composition offensive.
00:45:33Hutter avec Koehn dans les buts.
00:45:35Nous avons Venderson et Singo sur les côtés.
00:45:37Kerrère, Salissou dans l'axe central de la défense.
00:45:40Kamara et Zakaria au milieu de terrain.
00:45:42Et puis, le quatuor offensif, c'est donc
00:45:45Akliouche et Benseguir sur les côtés.
00:45:47Minamino en 10 et donc Mbolo en pointe.
00:45:50Et je trouve qu'il faut vraiment insister sur cette composition d'équipe
00:45:52qui est vraiment offensive parce qu'il a décidé
00:45:55de garder les mêmes principes qu'on a vus depuis le début de la saison en Ligue 1.
00:45:58Des principes qui fonctionnent.
00:46:00C'est une équipe qui est plaisante à voir jouer,
00:46:01qui est tournée vraiment vers l'offensive
00:46:03et qui n'a aussi encaissé qu'un seul but.
00:46:05On le rappelle, c'était sur coup de pied arrêté contre Lens.
00:46:07Et c'est une nouveauté parce que l'an dernier,
00:46:09le problème aussi majeur de Monaco,
00:46:11c'était qu'ils encaissaient beaucoup de buts.
00:46:13Ils ont réglé ce problème majeur.
00:46:15Et donc, j'ai hâte de voir, notamment,
00:46:17nos deux jeunes joueurs héliés face à cette belle équipe de Barcelone.
00:46:20Du côté de Barcelone, je vous donne juste quelques noms, évidemment.
00:46:22Lamini Amal est bien là.
00:46:23Rafinha aussi.
00:46:24Lewandowski est titulaire.
00:46:26Et puis, Jules Koundé, notre français,
00:46:28sera bien présent ce soir dans le 11 de départ.
00:46:31Merci, Karine.
00:46:32David Aiello, vous êtes à Guingamp
00:46:34pour le premier match de Brest en Ligue des Champions.
00:46:36La surprise, c'est Romain Fèvre qui est titulaire ce soir.
00:46:41Effectivement, Romain Fèvre qui remplace Del Castillo.
00:46:44Romain Fèvre qui revient de blessure.
00:46:45Del Castillo, lui, c'est assez sombre
00:46:47autour de sa présence ou pas.
00:46:49Puisqu'hier, Éric Roy a maintenu le suspense
00:46:51en disant qu'il postulait.
00:46:52Mais voilà, il ne débute pas la rencontre.
00:46:54Il est bien présent dans le groupe, en revanche.
00:46:56Donc, il épaulera Ajorque et Sima en attaque.
00:46:58Pour le reste, deux changements également en défense
00:47:00avec Amavi et Koulibaly
00:47:02qui ont finalement été titularisés par Éric Roy.
00:47:05Pour le reste, c'est du classique.
00:47:06C'est l'équipe qui s'est inclinée au parc des princes.
00:47:10Puisque Karine a fait un petit clin d'œil à Michael Jordan,
00:47:12je voulais dire que moi, ici, j'ai croisé Michel Jourdain.
00:47:14Ce qui est quand même pas mal aussi.
00:47:15Est-ce qu'il y en a quelques-uns qui voient,
00:47:17sur ces deux matchs,
00:47:18merci David de vous rester aussi avec nous,
00:47:20un doublé français, double victoire ce soir ?
00:47:22Pas du tout.
00:47:23Est-ce qu'il y a des optimistes, très optimistes, autour de la table ?
00:47:25Victoire Monaco à domicile, Victoire de Brest à domicile.
00:47:27Oui Loïc ?
00:47:28Oui, c'est possible.
00:47:29Franchement.
00:47:30Oui, mais c'est possible, oui.
00:47:31Ah ben oui.
00:47:32Est-ce que tu le vois ?
00:47:33Est-ce que tu le vois ?
00:47:34Ah, si je dois parier, non.
00:47:35Mais c'est possible.
00:47:40Il n'y a plus de bingo, tout est possible si vous voulez.
00:47:43Donnez-moi les raisons d'espérer pour les deux.
00:47:45C'est un match de foot, tout peut arriver.
00:47:46C'est 11 concours, il y a deux bras, deux jambes.
00:47:49Il y a des blessés à Monaco.
00:47:50Monaco ne perd pas depuis le début de saison.
00:47:52C'est une équipe qui est très offensive.
00:47:53C'est une équipe qui a marqué des buts ce soir.
00:47:54C'est des blessés à Barcelone.
00:47:55À Barcelone, pardon.
00:47:56À Barcelone, oui.
00:47:57Et donc c'est une équipe qui est capable de ne pas prendre deux buts contre ce Barcelone-là.
00:48:00Donc ils peuvent gagner 1-2-0.
00:48:02Je pense que c'est possible.
00:48:03Et derrière Brest, pour moi c'est presque plus difficile pour Brest, bizarrement, que pour Monaco.
00:48:08Parce que Brest, ils ne connaissent pas trop l'équipe en face.
00:48:10C'est quand même le champion d'Autriche devant Salzbourg, qui n'est pas n'importe qui dans le championnat autrichien.
00:48:15Et ce n'est pas évident pour eux, pour un premier match de Ligue des Champions, de commencer face à une équipe comme ça.
00:48:19C'est mieux que l'Oréal, non ?
00:48:21Pour commencer, je ne sais pas.
00:48:22Oui, mais je ne suis pas sûr.
00:48:24Vos arguments sont bons.
00:48:25Je veux dire, moi, je tombe grasse, je veux bien.
00:48:26Mais je ne me lève pas tous les matins en me disant, ah, ils vont marcher sur l'Europe, vous voyez.
00:48:29Non, mais ils ne vont pas marcher sur l'Europe.
00:48:30Mais je vous rassure, Brest ne va pas marcher sur l'Europe non plus.
00:48:32Et pour le coup, le mot des clubs français en Ligue des Champions, c'est souvent de se dire face à ce type d'adversaires, c'est bon, ça va le faire.
00:48:41Je ne l'ai pas entendu à Brest, là.
00:48:42Thierry Croix l'a dit après le match du PSG en conférence de presse.
00:48:44Qu'est-ce qu'il a dit ?
00:48:45Il a dit, en gros, si on n'est pas capable de prendre des points contre Stumgart, ce n'est même pas la meilleure option.
00:48:49Vous lui reprochez de l'ambition, maintenant.
00:48:50Non, mais il a raison.
00:48:51Il a raison de dire ça.
00:48:52Mais il ne faut pas croquer.
00:48:54Ça va être facile, ce soir.
00:48:55Non, non.
00:48:56Ils ne vont pas se balader.
00:48:57Ça va être compliqué, parce que je trouve que Brest, effectivement, a un début de saison poussif.
00:49:02Moi, je suis navré.
00:49:03On peut m'expliquer ce qu'on veut, mais ne pas débuter la Ligue des Champions dans ton stade pour un premier match, ça compte.
00:49:08Même si Gingan, je ne dis pas que c'est horrible de jouer à Gingan, mais tu t'es battu toute la saison passée pour disputer avec des champions,
00:49:15et tu ne le disputes pas dans ton stade.
00:49:17Je pense que c'est une donnée qui est importante.
00:49:19Et les équipes autrichiennes, c'est les équipes qui jouent, c'est les équipes qui mettent beaucoup de capacités athlétiques, physiques.
00:49:25Et donc, pour Brest, ça va être très difficile.
00:49:28Pour Monaco, je n'y crois pas un seul instant.
00:49:30Mais je n'y crois pas du tout.
00:49:32Parce que Barcelone, même s'il y a des blessés, moi, ils m'ont bluffé sur ce début de saison.
00:49:37Donc, on te demandait si tu voyais deux victoires, toi, tu vois carrément deux défaites, finalement.
00:49:40Je vois deux défaites, parce que le Barça, je ne les voyais pas à ce niveau-là.
00:49:45Ils ont une qualité de pression.
00:49:47Il y a trois, quatre journées.
00:49:48On ne nous dit pas de nous enflammer sur Paris, on s'enflamme sur le Barça.
00:49:50Je n'ai pas très confiance en ce Barça.
00:49:52Je les sens capables de s'effondrer, de se faire exploser par Monaco.
00:49:57Moi, j'aime beaucoup Monaco.
00:49:58Donc, je suis persuadé qu'ils sont capables de faire un résultat.
00:50:00Brest, on ne se poserait pas la question si c'était le Real.
00:50:02On se poserait la question parce qu'il y a un vrai duel.
00:50:04Soumgras, c'est une équipe qui joue la Ligue des Champions, la Coupe d'Europe,
00:50:07qui a de l'expérience aussi à ce niveau, au niveau du club et de l'équipe.
00:50:10Dans tes années, ils étaient beaucoup en Coupe d'Europe.
00:50:12Tu regardes leur palmarès.
00:50:16Je ne sais plus combien de matchs de Ligue des Champions, de Coupe d'Europe.
00:50:19Mais attention, personne n'a dit que c'était des toccards.
00:50:21On est en train de dire que c'est mieux que le Real Madrid pour commencer.
00:50:23Brest, c'est zéro.
00:50:27C'est une équipe qui a de l'expérience, qui sait aborder.
00:50:29C'est un match de poules.
00:50:30Ils ne joueront pas la huitième de finale.
00:50:31Mais le match de poules, ils savent l'aborder.
00:50:33Honnêtement, l'équipe de Brest, c'est une équipe moyenne.
00:50:35Contre Paris, tu enlèves l'ES Melou.
00:50:39Le terrain, c'est faible.
00:50:41Devant Del Castillo à droite qui ne joue pas.
00:50:44C'est quand même le seul joueur capable de faire des grosses différences.
00:50:47C'est vrai que le souci, c'est qu'en fait…
00:50:49Ce n'est pas une grosse équipe, Brest.
00:50:50On a le cœur, on a l'affect.
00:50:52Oui, il y a ça.
00:50:53Et puis, ils nous ont tellement enthousiasmés l'année dernière.
00:50:55Du coup, on les regarde encore avec ces yeux-là.
00:50:56La réalité, c'est que c'est une autre réalité pour eux cette saison.
00:50:59On le voit d'ailleurs chaque week-end.
00:51:01Alors, ils en ont passé quatre contre Saint-Etienne.
00:51:05Parce qu'il y a un rapport de force qui est favorable.
00:51:07Pour le reste, on voit bien que c'est une équipe qui est rentrée dans le rang.
00:51:09Vous avez un doute ce soir.
00:51:10Un vrai gros doute.
00:51:11Oui, franchement.
00:51:12Quand on se dit…
00:51:14Parce que je regardais un peu leur calendrier de nuit.
00:51:17Justement, c'est maintenant.
00:51:18Je voulais vous le montrer.
00:51:19Parce que justement, c'est peut-être là où on va être fixé sur le niveau de cette équipe de Brest.
00:51:22Puisque Brest va jouer les deux clubs autrichiens qualifiés pour cette Ligue des champions.
00:51:27Il y aura le déplacement à Salzbourg le 1er octobre.
00:51:29Donc, c'est peut-être là, sur ces deux premiers matchs.
00:51:31Avant qu'ils enchaînent sur l'Evercouzen ou encore le Barça, etc.
00:51:34En dernière journée de Réal.
00:51:36Mais ces deux premiers matchs, on va avoir une indication face à deux clubs autrichiens
00:51:40sur le véritable niveau de Brest cette saison.
00:51:42Et on se projette à Brest.
00:51:43Parce que s'il y a éventuellement barrage, le président brestois, Denis Le Sen,
00:51:47aimerait délocaliser au Stade de France.
00:51:49Pas n'importe où.
00:51:50La plus grande enceinte de France.
00:51:52Regardez ce qu'il a déclaré au Figaro.
00:51:54Je l'ai fait rigoler en disant que si on est dans les 24,
00:51:56on fera notre demande à la FFF et à l'UFA pour évoluer à Saint-Denis,
00:52:00en barrage Paris et la deuxième ville bretonne de France.
00:52:03Si on a la chance d'être dans les 24, 80 000 personnes au Stade de France,
00:52:07ce serait génial.
00:52:08C'est un vœu pieux.
00:52:09Le football n'est pas une science exacte.
00:52:10Il y a beaucoup de surprises.
00:52:11Rien n'est perdu.
00:52:12Loin de là.
00:52:13Merci Alicia.
00:52:14Mais moi, je trouve ça vraiment...
00:52:15Je suis surpris que vous disiez que c'est une bêtise.
00:52:17C'est une bêtise.
00:52:18Pourquoi ?
00:52:20Le rapport de force de Brest, même s'il ne joue pas à Brest mais à Guingamp...
00:52:25C'est le petit stade, le petit piège, la Coupe de France tout ça.
00:52:28C'est le côté traquenard.
00:52:30Bien sûr.
00:52:31Là, vous allez les foutre au Stade de France contre je ne sais pas qui.
00:52:33Parce que ce sera la fête.
00:52:34Oui, c'est la fête.
00:52:35Mais s'ils en prennent 4 ou 5...
00:52:37Ils seront top 16 ou top 24 européens.
00:52:40Mais voilà.
00:52:41Ça en dit plus sur vous que sur nous finalement.
00:52:43Votre ambition, elle est vraiment...
00:52:45Si on arrive aux barrages, on a touché le Graal.
00:52:48Brest ne va pas soulever l'équipe des champions.
00:52:50Brest, top 24 européens, c'est fantastique.
00:52:52Ils en prennent 4 à Guingamp ou au Stade de France.
00:52:55C'est un peu la même chose.
00:52:57Oui, mais arrêtez de dire qu'ils vont en prendre 4 tout le temps.
00:52:59Financièrement, ce n'est pas la même chose.
00:53:02Il y a plus de recettes au Stade de France, pardon.
00:53:04Pourquoi ils ne vont pas à Rennes ?
00:53:06Mais attendez.
00:53:07Ils ont Selgourge, Tournegrasse, Prague.
00:53:09Mais c'est toutes des équipes qui sont plus fortes que Brest.
00:53:11Ils ont un meilleur calendrier que le PSG.
00:53:13Brest a un meilleur calendrier que le PSG.
00:53:15Ce n'est pas grave.
00:53:16Ils sont tous plus forts que Brest.
00:53:18On met une pression folle sur Brest en parlant déjà de barrage.
00:53:21Laissez-les kiffer un petit peu.
00:53:23La différence avec l'équipe des champions, c'est que tu joues 2 équipes de ton chapeau.
00:53:26C'est la vraie différence.
00:53:28Tu joues contre 2 équipes qui sont normalement de ton niveau.
00:53:30A 3 victoires, vous êtes top 24.
00:53:32Ça a été calculé statistiquement.
00:53:34On va voir Karine et David.
00:53:35Vous êtes bons.
00:53:36On va parler du concept de classe du PSG dans un instant avec des joueurs sur le gris.
00:53:39Karine, comme vous allez devoir rentrer dans le Stade Louis II, David pareil,
00:53:43je voudrais un petit pronom sur ce Monaco contre Barcelone.
00:53:46Parce que vous voyez, ils ne sont pas d'accord.
00:53:48On vous écoute, vous allez mettre tout le monde d'accord.
00:53:50Et puis après, vous irez papoter avec Michael Jordan.
00:53:52Karine, on vous écoute.
00:53:55Mais justement, je vais mettre tout le monde d'accord.
00:53:57Parce que c'est le pronostic de Michael Jordan que je vais vous confier tout de suite.
00:54:00Michael voit une victoire de Monaco.
00:54:023 buts à 1.
00:54:03Il voit évidemment du spectacle ce soir.
00:54:05Il ne se déplace pas pour rien, Michael.
00:54:07Donc ce soir, il a misé sur une victoire de Monaco.
00:54:09S'il voulait les buteurs, parce qu'il me les a même donnés.
00:54:11Je suis très offé de la Ligue.
00:54:14Les deux petites pépites de Monaco.
00:54:16Et Denis Zakaria, le milieu de terrain.
00:54:19Capitaine de l'Est Monaco.
00:54:21Donc ça, c'est les pronoms de Michael.
00:54:22Ce n'est pas les miens.
00:54:23Merci Karine.
00:54:24Elle échappe aux pronoms d'une manière ou d'une autre.
00:54:25Elle est très forte.
00:54:26Et David Aiello, de votre côté, que dit le capitaine Haddock ?
00:54:28On vous écoute.
00:54:29Je dis Michel Jordan.
00:54:32Michel Jordan surtout.
00:54:33Bien sûr.
00:54:34Michel Jordan que je viens de croiser.
00:54:35Il dit 2-1.
00:54:36Non mais je vous trouve très pessimiste.
00:54:37Oui, exactement.
00:54:39Je vous trouve très pessimiste en plateau.
00:54:42Bref, ça a quand même fait une bonne première période face au Paris Saint-Germain.
00:54:44Ils ont montré des choses assez consistantes.
00:54:46Le résultat n'était pas forcément là.
00:54:48Mais avec la magie de la Ligue des Champions qui va les transporter ce soir.
00:54:50Je les vois s'imposer 2-1.
00:54:52Merci David.
00:54:53Merci Karine.
00:54:54A tout à l'heure dans l'équipe du soir.
00:54:55Évidemment pour les débriefs.
00:54:56On vous regardera pour savoir si vos pronoms étaient bons.
00:54:58Et ceux de Michael Jordan et de Michel Jordan en particulier.
00:55:01Il est 20h25.
00:55:03Avant le petit filet d'Antoine Pinault.
00:55:05Avant de jouer aux survivants.
00:55:06Appréciez le conseil de classe.
00:55:08Il revit.
00:55:12Il y a deux secondes.
00:55:13Je veux dire ne parle pas pendant les jingles.
00:55:15Et les trois me parlent pendant les jingles.
00:55:17Si j'avais des dorasso, c'est vrai que des A+.
00:55:19Mais alors, mais...
00:55:20Dembélé a pas d'où démarrer.
00:55:21C'est sa première émission de télé.
00:55:22Je suis pour rien.
00:55:23Conseil de classe.
00:55:24On va commencer.
00:55:25Vous n'embêtez pas.
00:55:26Faites votre propre émission.
00:55:27Ousmane Dembélé.
00:55:28Ecoutez-moi un petit peu.
00:55:29Vous êtes occupés.
00:55:30Parce que je vais vous montrer les images du match.
00:55:32Et de la non-efficacité de Ousmane Dembélé.
00:55:34Face à cette équipe de Géron.
00:55:35Tout d'abord, ce contre-parti.
00:55:38Cette passe dans la profondeur de Colomoigny.
00:55:40On pense qu'il va filer seul au but.
00:55:41Qui va marquer.
00:55:42Et bien non.
00:55:43Puisqu'il est repris au dernier moment.
00:55:44Par son vis-à-vis.
00:55:45Le défenseur Géronais.
00:55:46Qui lui enlève le ballon.
00:55:47Avant cette frappe.
00:55:48Qui aurait dû aller au fond des filets.
00:55:49Puis à cette occasion énorme.
00:55:50A la 62ème minute.
00:55:51Le gardien de Géron.
00:55:52David Lamingauche.
00:55:53Sur sa barre.
00:55:54Regardez le match.
00:55:555 dribbles tentés.
00:55:56Mais seulement un seul réussi.
00:55:57La note de 5 sur 10.
00:55:58Dans le joint à l'équipe.
00:55:59Mais le chiffre qui nous a frappés.
00:56:00Durant ce match.
00:56:01On l'a isolé.
00:56:02C'est le nombre de tirs tentés.
00:56:03Contre Géron.
00:56:048 tirs.
00:56:05Dont 2 cadrés.
00:56:06C'est son plus haut total.
00:56:07Dans un match de Ligue des Champions.
00:56:08Non plus sur 52 matchs.
00:56:09Qui a disputé en C1.
00:56:10Il a pris ses responsabilités.
00:56:11Pas toujours bien.
00:56:12Mais il les a prises.
00:56:13Alors vous dites quoi ?
00:56:14Au niveau des appréciations ?
00:56:15Doit mieux faire pour Dave.
00:56:16Peu mieux faire et agaçant.
00:56:17Pour Vikas et Giovanni.
00:56:18Et encouragement.
00:56:19Pour Loic Tenzi.
00:56:20Franchement.
00:56:21Là on la revoit l'action.
00:56:22Il y a évidemment à son niveau.
00:56:23Mieux à faire.
00:56:24Il ne se met même pas aux positions de frappe.
00:56:25Ça rend dingue.
00:56:26Autant la frappe d'après était belle.
00:56:27Mais celle-là.
00:56:28Je ne sais pas.
00:56:29Passer.
00:56:30Frapper.
00:56:31Accélérer.
00:56:32Il décélère.
00:56:33On ne ressent que ça de son match en fait.
00:56:34Mais ça change tout non ?
00:56:35Ben non.
00:56:36Ça aurait tout changé.
00:56:37Si Paris n'avait pas gagné le match.
00:56:38Paris gagne.
00:56:39Donc ça ne change pas tout.
00:56:40C'est un miracle.
00:56:41C'est pas un miracle.
00:56:42Le but est un miracle.
00:56:43La victoire n'est pas le double.
00:56:44La victoire est méritée.
00:56:45Je trouve que tout ce qu'il fait dans le match aujourd'hui.
00:56:46Et dans un match généralement.
00:56:47Est banalisé.
00:56:48On trouve ça normal aujourd'hui.
00:56:49Qu'Ousmane Dembélé.
00:56:50Tente autant de choses.
00:56:51Dribble autant de joueurs.
00:56:52Crée autant d'occasions.
00:56:53Ben non.
00:56:54C'est un joueur à part.
00:56:55Il est la star du PSG.
00:56:56Mais juste.
00:56:57Ce n'est pas normal de le voir faire des trucs comme ça.
00:56:58Mais il a cinq ans de sélection en équipe de France.
00:56:59Il a joué au Barça.
00:57:00Il a été un des joueurs les plus chers.
00:57:01Il a signé au PSG.
00:57:02Il est un star.
00:57:03Il a encore montré hier que c'est le meilleur joueur de l'équipe.
00:57:04Indépendamment de ça.
00:57:05Je pense que tu te trompes de débat.
00:57:06Mais ce n'est pas grave.
00:57:07En fait.
00:57:08Le problème c'est que.
00:57:09Ousmane Dembélé.
00:57:10Sur cette qualité-là.
00:57:11En fait.
00:57:12Qu'il dribble.
00:57:13Qu'il soit déstabilisant.
00:57:14Que ce soit un joueur qui crée des choses.
00:57:15Personne ne lui fera ce procès-là.
00:57:16Mais non.
00:57:17Le problème.
00:57:18Mais ce n'est pas normal qu'il le fasse en fait.
00:57:19Non.
00:57:20Au bout d'un moment.
00:57:21C'est ses caractéristiques.
00:57:22Ben oui.
00:57:23Mais il est bon sur ça.
00:57:24Mais il n'y a pas de souci.
00:57:25Mais tu as raison de le dire.
00:57:26Quand il fait un match normal.
00:57:27Simplement Loic.
00:57:28Simplement Loic.
00:57:29Comme tous les joueurs offensifs.
00:57:30Et c'est normal.
00:57:31On parlait.
00:57:32On parlait de l'Amin Yamal.
00:57:33Mais c'est pas normal.
00:57:34C'est pas normal.
00:57:35Moi je ne m'attends pas à ce qu'il mette 20 buts par saison.
00:57:44Il n'y a pas de souci.
00:57:45Il en mettra peut-être 15.
00:57:46Il est bien lancé.
00:57:47Non mais juste qu'on ait par moment un sentiment de progression sur la gestion de ses moments
00:57:51clés.
00:57:52Typiquement.
00:57:53Sur l'action qu'il y a.
00:57:54Ok.
00:57:55Il veut aller.
00:57:56Il veut aller fixer etc.
00:57:57Pas de problème.
00:57:58C'est un grand passeur.
00:57:59Pourquoi il ne décale pas à Barcola ? Pourquoi il ne décale pas à Barcola ? Et sur plein
00:58:02de moments, il est agaçant parce que tu te dis qu'il est capable de choses exceptionnelles.
00:58:08Mais dans les choix, dans la réflexion, il y a une absence de progression.
00:58:11Et ça c'est frustrant.
00:58:12La presse catalane aussi virulente que Giovanni après la prestation d'Ousmane Dembélé hier.
00:58:17La pire version de Dembélé réapparaît en Ligue des champions.
00:58:20Il a une nouvelle fois montré son côté irrégulier qui ternit l'éclat de ses performances lors
00:58:24de certaines rencontres.
00:58:26Non seulement le Français n'a pas réussi devant le but.
00:58:28Mais il a même désespéré ses coéquipiers comme Zahir Emry en laissant échapper un
00:58:33ballon sur la ligne de touche sans se rendre compte que la passe venait de ses propres
00:58:36rangs pour As.
00:58:37L'international français a commis l'un des ratés les plus grossiers.
00:58:41C'est vrai que c'est peut-être injuste de retenir que ça.
00:58:44Il a été quand même détonateur dans bien des occasions.
00:58:46C'est un poil violent.
00:58:47Ils sont beaucoup trop violents.
00:58:48Pour le coup, ils sont beaucoup trop violents.
00:58:50Micka Chedet, vous avez parlé sur le joueur suivant et il s'agit de Bradley Barcola.
00:58:54Oui, qui a eu la note de 3 sur 10 ce matin dans le journal L'Equipe.
00:58:58Très peu de ballons touchés, 31, zéro tir, zéro occasion créée, 11 ballons perdus
00:59:03par Bradley Barcola.
00:59:05On a rencontré, en tout cas, nos envoys spéciaux après la rencontre, Louis Sénriquet
00:59:09qui nous parle de l'ancien joueur olympique.
00:59:12Allez, écoutez.
00:59:13Bradley est toujours ce même joueur formidable.
00:59:16Il y a deux semaines, vous l'idolâtriez tous.
00:59:18Et aujourd'hui, c'est pourtant le même joueur très jeune avec beaucoup de qualités
00:59:21offensives et défensives.
00:59:23Il veut s'améliorer.
00:59:25Moi, je ne fais pas de comparaison.
00:59:26Le passé ne m'intéresse plus.
00:59:28Le présent m'intéresse.
00:59:29Après le début de saison que nous venons de vivre et la réponse de nos supporters
00:59:33à chaque match, ce qui m'importe, c'est le présent.
00:59:35J'aime l'attitude de mes joueurs qui luttent jusqu'à la fin.
00:59:38Voilà pour Louis Sénriquet.
00:59:40On garde vos appréciations.
00:59:41Giovanni en plateau, c'est…
00:59:44Non, parce qu'en fait, c'était juste sur le contexte de la question, parce qu'on
00:59:46lui a encore posé une question sur Mbappé et ça l'a gonflé en opposition à Barcola.
00:59:50C'est pour ça qu'il était…
00:59:51Avertissement de travail pour Dave.
00:59:53Manque de sérieux pour Vikash.
00:59:54Encouragement pour Giovanni et peu mieux faire pour Loic.
00:59:57Alors Vikash et Dave, c'est vous qui allez y aller parce que nos deux compères ont
01:00:00parlé sur Dembélé.
01:00:02Vikash, vous mettez manque de sérieux.
01:00:04Non, mais j'ai choisi…
01:00:06Oui, mais en fait, ce qu'il veut dire, c'est qu'il est parmi les appréciations
01:00:09qui existent.
01:00:10Il fallait trouver un truc.
01:00:11Mais il n'a pas été bon contre Brest non plus.
01:00:14Et c'est la première fois que je le voyais rater un match en équipe de France, ses rentrées
01:00:21ou pendant les matchs.
01:00:22C'est la première fois qu'il a été sorti, d'ailleurs, et même pendant le match,
01:00:25on le sent qu'Henrique, il allait le sortir.
01:00:27Et là, il est passé deux fois au tout début, puis après sur cette passe où Hakimi laisse…
01:00:31Voilà, il est lui aussi un jeune joueur qui peut rater des matchs.
01:00:34Moi, je pensais qu'il allait survoler, continuer comme ça avec son insouciance.
01:00:38Et en fait, non.
01:00:39Voilà, c'est maintenant qu'on va voir ce qu'il va pouvoir faire, réagir.
01:00:42Dans sa capacité de rebond ?
01:00:43Oui, il est en difficulté.
01:00:44Il n'est pas passé.
01:00:45Et il n'est pas passé sur des 1 contre 1.
01:00:47Il ne sait pas être défensif, trois jeux.
01:00:49Alors qu'habituellement, il n'avait pas peur d'y aller.
01:00:52C'était injouable.
01:00:53Et là, il a été repris un peu par… Il n'est pas passé par ses feintes de corps.
01:00:57Moi, j'ajoute que ça fait suite donc au match de Brest.
01:01:01Oui.
01:01:02Et qui faisait suite à une mauvaise entrée lors du deuxième match contre les Bleus.
01:01:06Contre la Belgique.
01:01:07Voilà.
01:01:08L'an dernier, il a eu un creux de quatre matchs aussi à un moment.
01:01:10Oui, oui.
01:01:11Et il avait surbondir en février.
01:01:12Bien sûr.
01:01:13Alors, attention, moi, quand je dis ça, je n'enterre pas, effectivement.
01:01:15Moi, je trouve que c'est quand même une des belles promesses de ce début de saison,
01:01:20de la deuxième partie de saison dernière.
01:01:22Mais je trouve que sur les premiers matchs, il y avait quelque chose qui générait, même
01:01:27physiquement.
01:01:28Je me suis dit « Waouh, il a pris un volume, il a pris une assurance, il y avait quelque
01:01:33chose d'un peu animal dans sa puissance, dans ce qu'il générait ». Et je trouve
01:01:37qu'il faisait peur.
01:01:38Et là, ça fait deux matchs des poussières où je le trouve plus dilettante, un peu plus
01:01:45indolent.
01:01:46J'aimerais pas qu'il tombe dans une espèce de truc où il se croit arrivé et où il
01:01:50se dit « Bon, c'est bon, maintenant, je suis Bradley Barcolat, je suis un peu installé,
01:01:54etc.
01:01:55» Peut-être que c'est bien qu'il soit un petit peu chahuté, ça va lui servir,
01:01:58je suis sûr.
01:01:59Là, il l'a vu.
01:02:00Là, il l'a vu.
01:02:01Il l'entend.
01:02:02Il a eu une manière de travail terrible.
01:02:03Bien sûr.
01:02:04Troisième joueur dont on va parler, c'est un international français, lui aussi, Warren
01:02:07Zahir Emery.
01:02:08Oui, qui a été plutôt intéressant dans son milieu de terrain, beaucoup d'activités,
01:02:11beaucoup de ballons touchés, quatre récupérés, quatre duels gagnés, propre dans ses relances,
01:02:17114% de passes réussies, la note de 6 sur 10, c'est déjà beaucoup de matériauté
01:02:20chez lui puisque, ça y est, il a passé la barre des 15 matchs en Ligue des champions
01:02:23et à 18 ans et 194 jours, il est devenu le deuxième joueur le plus jeune à atteindre
01:02:28cette barre des 15 matchs derrière un certain, le premier, c'était Kylian Mbappé.
01:02:31Alors, on regarde les appréciations.
01:02:32Et ça dit quoi du côté de nos chroniqueurs ? De bonnes intentions, encouragements, élèves
01:02:37moteurs, encouragements.
01:02:38Giovanni, vous ne l'annonciez pas titulaire.
01:02:40Voilà.
01:02:41Bravo.
01:02:42Bien vu.
01:02:43On a eu l'impression que c'est comme à Newcastle quand le PSG s'était noyé l'an dernier,
01:02:47comme à Dortmund quand il marque, quand ça s'élève, physiquement déjà, il répond
01:02:51mieux que les autres, moi, je trouve.
01:02:53Physiquement, hier, il a été énorme.
01:02:54Il n'y a personne qui l'a bougé.
01:02:55Le déménageur Roméo qui est assez impressionnant, c'est le seul qu'il n'a pas fait peindre
01:03:00le daguerre.
01:03:01Moi, ce que j'ai aimé, c'est pour ça que je mets élèves moteurs, c'est que dans
01:03:03un milieu de terrain, alors Vittinia, il revenait de blessure, je vais un peu l'épargner,
01:03:07mais Fabian Ruiz, ça a été un fantôme, manque de personnalité totale.
01:03:10Vittinia, il n'a pas du tout compté dans ce match.
01:03:12J'ai aimé parce qu'il a mis de la personnalité dans le cœur du jeu.
01:03:14Et le match de Giron, peut-être qu'à la télé, ça n'a pas bien rendu, mais ils
01:03:17ont été très forts parce qu'ils ont mis beaucoup de densité dans l'axe.
01:03:20Pour le coup, ils avaient bien quadrillé.
01:03:22Et le seul qui a fait des différences, qui a pété des lignes, balle aux pieds, c'est
01:03:25Warren Zaheri.
01:03:26Il y a été.
01:03:27Il a été aussi parfois un peu véhément avec ses coéquipiers.
01:03:30Je trouve qu'il me l'a montré, sa personnalité, en n'étant pas d'accord sur des choix
01:03:33de passes.
01:03:34J'adore cette attitude et c'est un profil que n'a pas le PSG, donc c'est important
01:03:38qu'il soit à ce niveau-là.
01:03:39Il a presque gagné à coup sûr sa place de titulaire dans ce milieu, quand on voyait
01:03:42qu'il y avait quatre joueurs pour remplacer.
01:03:43Et voilà, la boulette.
01:03:44Et c'est une question à laquelle nous ne répondrons pas.
01:03:49C'est l'élévateur 34 et qu'il faut qu'on parle maintenant de Louis-Henri Kerr avant
01:03:52de jouer au Survivant et d'avoir Pinault.
01:03:55L'équipe l'a noté à 6 sur 10 et on note peut-être ce moment marquant.
01:03:59C'est trois changements à la 63e minute où Vitinha, Ruiz, Giovanni viennent en parler
01:04:04et Bradley Barcola n'était pas bon, donc il a osé faire trois changements, un triple
01:04:07changement d'un coup à la 63e minute avec Neves, Lee et Doué qui sont rentrés.
01:04:11Et justement, on a regardé en Ligue des Champions, s'il avait déjà fait ça, changer trois
01:04:14joueurs simultanément avec le PSG en Ligue des Champions, c'est la première fois que
01:04:17c'était arrivé.
01:04:18On a regardé souvent deux fois, souvent à la 63e, 65e minute, mais un triple changement
01:04:23simultané, ça n'est jamais arrivé avec le PSG.
01:04:25Il n'a pas fait Neymar, Suárez ?
01:04:27Non, je parle vraiment au PSG, je précise, c'est au PSG, ce n'est pas avec le FC Barcelona.
01:04:32C'est plus dur, quoi.
01:04:33Quand on le change trois fois, c'est-à-dire qu'on s'est trompé de compo ?
01:04:35Oui, mais là, il a mis une compo qu'on attendait plus ou moins, à part Neves, d'habitude,
01:04:39il nous surprend beaucoup plus que ça.
01:04:41Il l'avait fait tourner pour normalement faire cette compo, il aurait pu Colombo-Aigny
01:04:46devant.
01:04:47Voilà, il a un système, on comprend vraiment clairement ce qu'il veut faire, d'ailleurs
01:04:53il s'est obstiné avec son pressing qui ne marchait pas, il leur a dit allez-y, allez-y,
01:04:56allez-y.
01:04:57C'est quand même mieux en seconde mi-temps, il y a eu quand même un coup de gueule à
01:04:59la mi-temps.
01:05:00Les premières, ils se sont plongés.
01:05:01Il n'y a pas eu de bon foot à voir.
01:05:04Il y a eu un coup de gueule à la mi-temps, il a remobilisé ses gars, vous avez vu quoi
01:05:07comme écologie ?
01:05:08C'est un entraîneur qui parle à ses joueurs et durement quand il faut, il leur parle durement.
01:05:12Hier, il a dû le faire à la mi-temps sans aucun problème.
01:05:14Ça s'est vu assez vite, cela dit Neves qui a eu deux mi-temps du PSG, mais jusqu'à
01:05:19un manque d'efficacité, il a fallu attendre la dernière minute quand même pour que ça
01:05:22paye.
01:05:23Il a fait un bon match Enrique ou il s'est entêté un peu trop longtemps ?
01:05:25Non, moi je trouve que quand on parle du coach, on parle toujours uniquement de la composition
01:05:30d'équipe.
01:05:31Moi, ce qui m'a frappé, c'est que pendant, allez, pas loin d'une heure, la qualité
01:05:36de pressing qu'on a envie de voir du PSG, parce que ça va être quelque chose d'un
01:05:41peu nouveau par rapport au PSG, un peu caricaturo qu'on a vu par le passé, c'est là-dessus
01:05:45qu'ils doivent progresser.
01:05:46Et pendant, allez, une bonne partie du match, avant qu'effectivement ils prennent le dessus
01:05:50au gré des changements, au gré de la fatigue aussi en face, parce que c'est une équipe
01:05:53limitée, je trouve qu'on sent qu'il y a encore du travail à faire là-dessus.
01:05:57Quand je dis « au revoir Sakopye », ce n'est pas tellement dans le dispositif,
01:05:59mais c'est dans la capacité de progression sur l'intensité dans le pressing pour bien
01:06:04plus s'écouter.
01:06:05Il l'attribue à la préface, il l'a dit en confière, il a dit « on n'a pas eu
01:06:08une bonne préface ».
01:06:09Ils seront peut-être plus forts en février alors ?
01:06:10Il n'a pas refusé en février Greg, mais il a dit « on n'a pas eu une préparation
01:06:14complète, on va monter en puissance sur le pressing ».
01:06:16Il l'a dit en conférence de presse aussi, Luis Enrique, qu'il avait beaucoup souffert
01:06:19pendant ce match.
01:06:20Je ne sais pas si vous avez d'ailleurs en tête sa réaction sur le raté de Dembélé,
01:06:23il a aussi osé une comparaison pas terrible.
01:06:29Je crois que le match a été lourd, dur pour nous, car nous avons été imprécis.
01:06:33J'ai beaucoup aimé notre seconde période, le rythme technique et physique a été bien
01:06:38supérieur, et on a eu deux ou trois occasions.
01:06:41Mais j'ai beaucoup souffert pendant ce match, plus que pendant un accouchement.
01:06:46C'est une comparaison cataclysmique.
01:06:48Il faut savoir ce qu'il se passe, il ne peut pas savoir.
01:06:51Une info énorme concernant le sport français, une légende du sport français, un joueur
01:06:58double champion olympique, Erwin Engapet, que vous avez vu régulièrement sur la chaîne
01:07:03équipe avec l'équipe de France Signe, dans le championnat de France, il revient chez
01:07:06nous à Poitiers pour la saison 2024-2025.
01:07:09C'est exceptionnel, Engapet à Poitiers.
01:07:12Erwin Engapet, star majeur du sport français, je pense que personne ne le reprendra ici,
01:07:17revient en France, alors qu'il était dans les plus grands clubs étrangers, notamment
01:07:21en Italie.
01:07:22Il signe à Poitiers, et on va le revoir dans les salles françaises.
01:07:26Erwin Engapet revient en France à Poitiers, c'est chouette.
01:07:31C'est un coup de tonnerre majeur, comme l'autre coup de tonnerre, c'est Antoine Pinault
01:07:34qui sera pour le petit filet, après le survivant.
01:07:40Je vais gagner le jeu aujourd'hui.
01:07:42Question de rapidité pour savoir qui démarre.
01:07:45Michael Jordan.
01:07:461-0.
01:07:48Par contre, qui joue Monaco ?
01:07:49Je t'embrasse.
01:07:53C'est Giovanni, on y va.
01:07:54Alors c'est Giovanni, vous êtes deuxième, ça va aller.
01:07:57Trouvez-moi les 14 joueurs internationaux français qui ont joué un match de Coupe d'Europe
01:08:04avec Monaco et le PSG.
01:08:06Ils sont 14 à avoir joué Coupe d'Europe avec le maillot de Monaco et le maillot du PSG.
01:08:10Giovanni.
01:08:11Jérôme Rotten.
01:08:12Jérôme Rotten, c'est bon.
01:08:13C1 avec les deux, C3 avec Paris.
01:08:15Loic.
01:08:17Non mais vous êtes sérieux ?
01:08:18Non mais j'ai plus rien avec cette histoire là.
01:08:20Mais, mais...
01:08:21Oh là là, t'es vite déstabilisé quand même, t'es fragile.
01:08:23Loic.
01:08:24Vous êtes un enfant, vous êtes odieux.
01:08:26Écoutez-moi.
01:08:2714 internationaux français ayant joué un match de Coupe d'Europe avec Monaco et le PSG.
01:08:32Je sais pas.
01:08:33Vous êtes sérieux ?
01:08:34Oui.
01:08:36Mais vous êtes en deuxième à parler.
01:08:38Ça dégage.
01:08:39Je peux vous entendre.
01:08:40Il me saoule avec les jeux.
01:08:41Depuis le matin à 8h, il m'écrit.
01:08:43Au moment du jeu, c'est Kéfi.
01:08:44Fragile.
01:08:45Devapadou.
01:08:46Georges Ouéa.
01:08:47Georges Ouéa, bien évidemment.
01:08:49Ah bah non, français.
01:08:50Ça dégage aussi.
01:08:53Ah merde.
01:08:54Allez, deux nuls.
01:08:55C'est la libération.
01:08:56C'est pareil.
01:08:57Alicia.
01:08:58Alicia, allez-y.
01:08:59Tiens.
01:09:00Mais, Kylian Mbappé.
01:09:01Mais oui, Kylian Mbappé.
01:09:02Le Kix.
01:09:03Mais c'est incroyable.
01:09:04Bon, il faut qu'on arrête.
01:09:05Allez-y, Raphou.
01:09:07Mais, Ludo Giuli.
01:09:08Oui.
01:09:09Monaco et le PSG.
01:09:10C'est quand c'est dur, là.
01:09:11Déjà.
01:09:13Daniel Bravo.
01:09:14Daniel Bravo, bien sûr.
01:09:15Il a joué avec Paris et Monaco.
01:09:17Bien joué.
01:09:19Giovanni.
01:09:20Lévin Kurzawa.
01:09:21Lévin Kurzawa, c'est bon.
01:09:22Il est fort.
01:09:23Alicia.
01:09:26Vous avez Gravelaine ?
01:09:27Gravelaine, bien sûr, ça marche.
01:09:28Les jeux partout.
01:09:29Monaco et le PSG.
01:09:30Raphou.
01:09:31Les jeux partout.
01:09:33Lucas Digne.
01:09:34Lucas Digne.
01:09:35C'est non.
01:09:36Pas Monaco.
01:09:37Ah oui, il n'a pas joué en Monaco.
01:09:38Vicage d'Orasso.
01:09:39Ça n'a rien à dire que de dire un truc comme ça.
01:09:42Vous n'êtes même pas foutus de me dire Mbappé.
01:09:43Je ne veux plus vous entendre.
01:09:47Vicage 3.
01:09:48José-Pierre Fanfan.
01:09:49José-Karl Pierre Fanfan.
01:09:50C'est non.
01:09:51Non.
01:09:52Ce n'est pas international.
01:09:53Ce n'est pas international.
01:09:54Donc, c'est non.
01:09:55Giovanni Seltami.
01:09:56Allez, Diogo.
01:09:58Il faut que ça soit international.
01:10:00Non, il n'a pas un cap.
01:10:01Il n'a pas un cap.
01:10:02Il n'a pas un cap.
01:10:03Dio.
01:10:04Il n'a pas un cap.
01:10:053, 2, 1.
01:10:07Allez, Alicia.
01:10:08Oh, il te l'est.
01:10:09Le steak.
01:10:10Youri Djorkaevi.
01:10:11C'est bien joué, Alicia.
01:10:12PSG et Monaco.
01:10:13Bravo.
01:10:14Belle victoire.
01:10:15C'est un peu plus dur pour les plus anciens.
01:10:16Alain Courguel.
01:10:17Il y avait également Yvon Lerouche.
01:10:18Champion d'Europe avec la 484.
01:10:19Michael Madard.
01:10:20Christian Perez.
01:10:21PSG et Monaco.
01:10:22Fabrice Poulin.
01:10:23Là, on est pour les plus anciens.
01:10:24Et Amara Simba.
01:10:25Monsieur Bicyclette.
01:10:26C'est dur celui-là.
01:10:27Le petit filet.
01:10:28The little filet.
01:10:29Comme on dit dans le métier.
01:10:30Evidemment.
01:10:31Je m'en veux sur Youri, là.
01:10:32Il n'a joué ni à Monaco, ni à Paris.
01:10:33Il a joué à Thoire.
01:10:34Et c'est déjà pas mal.
01:10:35Tout le monde va bien ?
01:10:36On est sur un gros pull, là.
01:10:37Très joli, le pull, Antoine.
01:10:38Oui, mais alors, il fait très chaud, aujourd'hui.
01:10:39Très joli.
01:10:40Et ça ne va pas, le démarrage.
01:10:41C'est déjà pas mal.
01:10:42C'est déjà pas mal.
01:10:43C'est déjà pas mal.
01:10:44C'est déjà pas mal.
01:10:45C'est déjà pas mal.
01:10:46C'est déjà pas mal.
01:10:47C'est déjà pas mal.
01:10:48C'est déjà pas mal.
01:10:49C'est déjà pas mal.
01:10:50C'est déjà pas mal.
01:10:51C'est déjà pas mal.
01:10:52C'est déjà pas mal.
01:10:53C'est déjà pas mal.
01:10:54C'est déjà pas mal.
01:10:55C'est déjà pas mal.
01:10:56C'est déjà pas mal.
01:10:57C'est déjà pas mal.
01:10:58C'est déjà pas mal.
01:10:59C'est déjà pas mal.
01:11:00C'est déjà pas mal.
01:11:01C'est déjà pas mal.
01:11:02C'est déjà pas mal.
01:11:03C'est déjà pas mal.
01:11:04C'est déjà pas mal.
01:11:05C'est déjà pas mal.
01:11:06C'est déjà pas mal.
01:11:07C'est déjà pas mal.
01:11:08C'est déjà pas mal.
01:11:09C'est déjà pas mal.
01:11:10C'est déjà pas mal.
01:11:11C'est déjà pas mal.
01:11:12C'est déjà pas mal.
01:11:14Tu vas enchaîner s'il te plaît.
01:11:15Oui exactement.
01:11:16Bon dans quelques secondes on trouvera le docteur Gros-Molet.
01:11:17On l'avait quitté.
01:11:18Donc spécialiste des maladies en lien avec le PSG mais pour l'instant on s'échauffe
01:11:22comme on dit dans le milieu avec un petit on a vu, on regarde.
01:11:24On adore le compte Pitch Addict, le principe des concours de frappe au loin et c'est une
01:11:34vraie régalade pour pile de disdaines.
01:11:36Regardez.
01:11:37Ah oui.
01:11:38Ah ouais.
01:11:39Oh la la.
01:11:40Ils sont en train de jouer.
01:11:41Ah ils sont plaisants.
01:11:42Mais bon ils tirent 500 fois aussi.
01:11:43Ah.
01:11:44Oh le rageux.
01:11:45Oui bien sûr.
01:11:46Je suis une boule de haine jalouse.
01:11:48Et désormais on se fait tiens tous les buts d'Ousmane Demorand.
01:11:50Ah non.
01:11:51Ah non.
01:11:52Ousmane, la preuve avec cet artiste.
01:11:55Clark Briel.
01:11:56Regardez.
01:11:57Ah ouais c'est génial.
01:11:58Alors c'est un truc.
01:11:59Il met du Nutella sur des petits lus et il fait des visages.
01:12:01Ouais.
01:12:02Le ous.
01:12:03Tiens Paris contre Gérôme en Espagne et cet Espagnol qui ne jouera jamais pro comme
01:12:07moi.
01:12:08Regardez ce qu'il fait pendant le match.
01:12:09Il récupère une clope.
01:12:10Voilà.
01:12:12Alors c'est dangereux pour la santé.
01:12:13C'est métu.
01:12:14On l'a marqué.
01:12:15Regardez.
01:12:16Mais ça n'empêche pas de dribbler.
01:12:17Il continue avec sa clope.
01:12:18Il est très fort.
01:12:19Mais je le dis quand même.
01:12:20Ces 4 là seront All-Star Game peut-être en basket tout d'abord.
01:12:21Regardez.
01:12:22Chez les juniors en amateur.
01:12:23Il récupère le ballon.
01:12:24Hop.
01:12:25Ah oui.
01:12:26Mais non.
01:12:27C'était une expérimentation.
01:12:28Et en ping-pong aussi.
01:12:29Énorme coup.
01:12:30Check it out.
01:12:31Hop.
01:12:32Ah ouais tu me la mets.
01:12:33Tiens.
01:12:34Oh.
01:12:35Et en moto désormais.
01:12:36Alors lui il dévale la colline tranquillement.
01:12:39Mais non.
01:12:41Non non.
01:12:42Tu mens.
01:12:43Il ne faut pas s'arrêter là.
01:12:44Il ne faut pas s'arrêter comme on dit effectivement.
01:12:45Non mais même comme on ne dit pas.
01:12:46C'est filmé à l'envers.
01:12:47C'est filmé à l'envers.
01:12:48Ah.
01:12:49Peut-être que c'est pas.
01:12:50Je ne pense pas.
01:12:51Et on termine avec ce sport qui sera je l'espère au JO 2028.
01:12:52Non.
01:12:53Non.
01:12:54Non.
01:12:55Ah oui.
01:12:56Ah oui.
01:12:57Je dis monsieur moi.
01:12:58Je dis monsieur.
01:12:59C'est chide.
01:13:00C'est chide.
01:13:01Oui écoutez.
01:13:02C'était très chide.
01:13:03Franchement on apprécie la performance.
01:13:04Tes parents te regardent.
01:13:05Oui.
01:13:06Ils ont fait des études en fait.
01:13:07Oui.
01:13:10Ils ont fait des études en fait.
01:13:11Oui.
01:13:12Ils ont fait des études en fait.
01:13:13Oui.
01:13:14Ils ont fait des études en fait.
01:13:15Oui.
01:13:16Ils ont fait des études en fait.
01:13:17Oui.
01:13:18Ils ont fait des études en fait.
01:13:19Oui.
01:13:20Ils ont fait des études en fait.
01:13:21Oui.
01:13:22Ils ont fait des études en fait.
01:13:23Oui.
01:13:24Ils ont fait des études en fait.
01:13:25Oui.
01:13:26Ils ont fait des études en fait.
01:13:27Oui.
01:13:28Ils ont fait des études en fait.
01:13:29Oui.
01:13:30Ils ont fait des études en fait.
01:13:31Oui.
01:13:32Ils ont fait des études en fait.
01:13:33Oui.
01:13:34Ils ont fait des études en fait.
01:13:35Oui.
01:13:36Ils ont fait des études en fait.
01:13:37Oui.
01:13:38Ils ont fait des études en fait.
01:13:39Oui.
01:13:40Ils ont fait des études en fait.
01:13:41Oui.
01:13:42Ils ont fait des études en fait.
01:13:43Oui.
01:13:44Ils ont fait des études en fait.
01:13:45Oui.
01:13:46Ils ont fait des études en fait.
01:13:47Oui.
01:13:48Ils ont fait des études en fait.
01:13:49Oui.
01:13:50Ils ont fait des études en fait.
01:13:51Oui.
01:13:52Ils ont fait des études en fait.
01:13:53Oui.
01:13:54Ils ont fait des études en fait.
01:13:55Oui.
01:13:56Ils ont fait des études en fait.
01:13:57Oui.
01:13:58Ils ont fait des études en fait.
01:13:59Oui.
01:14:00Ils ont fait des études en fait.
01:14:01Oui.
01:14:02Ils ont fait des études en fait.
01:14:03Oui.
01:14:04Ils ont fait des études en fait.
01:14:05Oui.
01:14:06Ils ont fait des études en fait.
01:14:07Oui.
01:14:08Ils ont fait des études en fait.
01:14:09Oui.
01:14:10Ils ont fait des études en fait.
01:14:11Oui.
01:14:12Ils ont fait des études en fait.
01:14:13Oui.
01:14:14Ils ont fait des études en fait.
01:14:15Oui.
01:14:16Ils ont fait des études en fait.
01:14:17Oui.
01:14:18Ils ont fait des études en fait.
01:14:19Oui.
01:14:20Ils ont fait des études en fait.
01:14:21Oui.
01:14:22Ils ont fait des études en fait.
01:14:23Oui.
01:14:24Ils ont fait des études en fait.
01:14:25Oui.
01:14:26Ils ont fait des études en fait.
01:14:27Oui.
01:14:28Ils ont fait des études en fait.
01:14:29Oui.
01:14:30Ils ont fait des études en fait.
01:14:31Oui.
01:14:32Ils ont fait des études en fait.
01:14:33Oui.
01:14:34Ils ont fait des études en fait.
01:14:35Oui.
01:14:36Ils ont fait des études en fait.
01:14:37Oui.
01:14:38Ils ont fait des études en fait.
01:14:39Oui.
01:14:40Ils ont fait des études en fait.
01:14:41Oui.
01:14:42Ils ont fait des études en fait.
01:14:43Oui.
01:14:44etc.
01:14:45trop même ! Trop, trop trop là ! C'est vrai que je me disais, ouais ! C'est pas
01:14:47être simple à soigner ça.
01:14:48Allez...
01:14:49J'aimerais bien te voir quand tu tapes costume pigeon !
01:14:51Ouais Bah euh.
01:14:52Ça doit exister...
01:14:53Ouais Bah euh.
01:14:54Ça doit exister...
01:14:55Ça doit exister...
01:14:56Ça existe u p peu.
01:14:57Ouais Bah euh.
01:14:58Ça doit exister...
01:14:59C'est ça qui est le pire.
01:15:00C'est que vraiment j'ai même pas eu à forcer en page 3.
01:15:01Mais non, de la grande soirée, Greg ! Vous bossez pour quelle chaîne ?
01:15:04Ah oui, la grande soirée, c'est nous, bien sûr !
01:15:05La grande soirée avec Benoît Fossé !
01:15:07Et ce soir, d'ailleurs !
01:15:08Et Candice Roland et Johan Rio en cabine, donc on a fait un petit bilan, c'est parti !
01:15:13On était tous excités, heureux comme jamais, retour de la sienne, nouvelle formule comme Bernard Mendy !
01:15:18Bonsoir, mon chien !
01:15:20Waouh, c'est la fête !
01:15:22Bernard, fiesta boum boum, de la joie aux beaux, il est heureux, hein !
01:15:27Bernard Mendy, parisien de cœur, mais qui a bien vécu le transfert de Rabiot à l'OM.
01:15:32Vous vous rappelez, Adrien Rabiot, l'ancien joueur du Paris Saint-Germain ?
01:15:38Johan Rio en cabine, Johan qui a maigri, qui a essayé de le placer discretos !
01:15:43Montrez-nous, Johan ! Montrez-nous le geste !
01:15:44Tu vois, c'est comme avec le talon !
01:15:46Non mais je suis trop maigre, maintenant, on n'arrive plus à me voir !
01:15:55Il a peu peur à Candice, je crois, Johan, encore !
01:16:02Pour l'entendre, ma soirée, il est pour le 16 juillet !
01:16:08Johan qui nous a régalé, encore niveau vitesse de phrase, écoutez bien, celle-ci est merveilleuse !
01:16:13L'OM est à sa phase de réparation, sur le côté gauchi, Roméo ne voudrait pas qu'Angline y aille,
01:16:15il peut s'attendre, c'était bon sang, on est dans sa phase de réparation avec Dembélé !
01:16:18Et enfin, Ceylon Ndimi en plateau, il était énervé contre Ousmane Dembélé,
01:16:21et il s'est vraiment cru, bah, lâcher sa maman !
01:16:23Ousmane Dembélé, qu'on le voit, évidemment, un peu plus en deuxième période,
01:16:27mais surtout sur l'action de tout à l'heure, il fait oublier aussi les défenseurs,
01:16:30qu'il y avait un carton jaune, donc il y va quand même !
01:16:34On est à l'antenne !
01:16:38Allez, mais parfois, on sait pas !
01:16:39Exactement, bon, on termine avec quoi, Greg ?
01:16:41C'était pas son heure, avec ce monsieur qui fait un saut, et c'était pas son heure !
01:16:44Oh, j'ai peur !
01:16:46Non !
01:16:48C'est inquiétant, j'appelle le pas !
01:16:49Non !
01:16:53Oui, il l'a fait, oui, il l'a fait !
01:16:55On peut le revoir ou pas ?
01:16:56On peut ?
01:16:57Je sais pas, c'est vous qui gèrez le timing !
01:16:58On peut le revoir vite fait, là ?
01:16:59Je crois qu'on a une trentaine de secondes !
01:17:00Il arrive, ils sont sur le dynamo, on est en train d'y arriver, là, Greg !
01:17:03En bobine, en bobine !
01:17:04En bobine, la cassette !
01:17:05Ah, si c'était pas la musique !
01:17:10C'est désagréable !
01:17:12Ne faites pas ça chez vous !
01:17:13Bah, bien sûr !
01:17:14Non, ne faites jamais ça !
01:17:15Merci, Antoine, Antoine !
01:17:17Vous avez lancé la grande soirée, on va tout de suite retrouver Yoann et Candice !
01:17:21Moi, j'aime quand la musique de Magnum se fige sur le regard des gens qui sont prêts,
01:17:24Yoann et You !
01:17:25Bonsoir, Yoann !
01:17:26Bonsoir, Candice !
01:17:27Bonne chance, Candice !
01:17:28C'est un double match !
01:17:29Vous allez nous commenter Monaco-Barcelone et Éric Huet sera sur le Brest-Chambas,
01:17:33c'est ça ?
01:17:34Exactement !
01:17:35On ne ratera rien des soirées des clubs français, évidemment, dans cette édition !
01:17:37Il est là, Magnum !
01:17:38Vous voyez ?
01:17:39Il est là !
01:17:40La petite moustache, bientôt !
01:17:41Oui !
01:17:42Ah bon, la moustache aussi, c'est une annonce de la part de Yoann Riou !
01:17:44Bon, on vous retrouve en quelques secondes, Yoann et Candice, pour cette grande soirée
01:17:48pleine de folie, on l'espère, de victoire encore pour nos clubs français, maintenant,
01:17:52c'est l'heure du prono !
01:17:53Bien sûr, prono n'est pas un faux, ça va donner quoi ?
01:17:55Vous me mettez les deux scores, Monaco-Barcelone-Brest-Jetongrasse, on regarde ce que vous me dites !
01:18:00Pour Alicia, 2-1 pour Barcelone à Monaco et 2-0 pour Jetongrasse du côté de Brest,
01:18:05ok ?
01:18:063-1 pour Barcelone et 2-2 de l'autre côté pour Dev Apadou !
01:18:09Un football sur pine, quand même !
01:18:11Bien sûr !
01:18:12Il est là, l'optimiste !
01:18:13Alors, il est meilleur, peut-être, j'espère, en prono qu'en jeu, parce qu'en jeu, c'est
01:18:15une...
01:18:16Je vais vous dire, celle-là, c'est le pire moment de votre carrière dans l'émission !
01:18:192-1 et 1-0, Loic !
01:18:21On y croit !
01:18:24C'est de votre faute, c'est de votre faute !
01:18:25Pour Giovanni, 3-1 pour Barcelone et 2-0 pour Jetongrasse !
01:18:30Mauvais français, c'est Giovanni ! Mauvais français !
01:18:32Pour Lucas Doraço, 2-1 pour Monaco contre Barcelone et 4-1 pour Jetongrasse contre Brest !
01:18:39Et pour Raphou, 2-1 pour Monaco et 2-1 pour Jetongrasse contre Brest !
01:18:43Vous allez vivre ça sur la chaîne Équipe, en mode grande soirée !
01:18:45Benoît Cossé, ici, en maître de cérémonie, et puis en cabine,
01:18:49Johan Riu et Candice Roland, puis toute la bande autour de la table !
01:18:52Un dernier regard sur le Top Gun !
01:18:53Comme il l'a dit, vous êtes qui, Dave ?
01:18:55Vous l'avez dit en début d'émission ?
01:18:56Le Top Gun...
01:18:57Mauritien !
01:18:58Le Top Gun mauritien !
01:18:59Les amis en moi !
01:19:01Vous êtes une belle soirée !
01:19:02Ça part dans tous les sens !
01:19:03On revient demain 18h20, c'est Benoît Cossé qui vous l'accompagnera !
01:19:06Ciao !