Bousculés par une équipe de Stuttgart collectivement séduisante, les Madrilènes ont fini par s'imposer (3-1) grâce à des buts tardifs d'Antonio Rüdiger et d'Endrick, ce mardi en Ligue des champions.
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00:00Il y a le résumé, il est extrêmement trompeur parce qu'on a l'impression que comme il y a une offrande pour Mbappé qu'il y a eu une connexion entre les trois,
00:10il y avait zéro connexion entre les trois, il y avait zéro connexion entre Mbappé et les deux autres, il y avait zéro connexion ou quasiment, j'exagère un peu mais quasiment,
00:17même entre les deux Brésiliens. La force du Real l'année dernière, c'est qu'il y avait un bloc extrêmement compact et puis il y avait les deux de devant qui jouaient ensemble à une vitesse...
00:28Ils étaient plus proches. Là, ils sont quand même chacun de leur groupe.
00:31Mais donc c'était aussi une des forces du Real, c'était les deux de devant et leur capacité à créer à deux des actions de folie. Aujourd'hui, à trois, ils arrivent à créer dix fois moins d'actions.
00:41Ils ont eu des occasions, ils ont eu des opportunités. Tu ne peux pas dire qu'il n'y a pas eu d'occasion du côté du Réal. Ils en ont eu aussi. Mbappé a eu deux, trois occasions, trois frappes.
00:49Sur des actions individuelles, oui, mais pas ensemble.
00:53Ah oui, mais sur des actions individuelles, des actions à la Mbappé. Moi, je n'ai pas dit qu'ils n'étaient pas capables de se créer des actions individuellement, mais la connexion entre les trois, je l'ai trouvé très, très limitée.