• il y a 3 mois
Transcription
00:00Hi, this is Glenn Mitchell co-author of Popeye the 60th Anniversary collection, welcoming
00:22you to this audio commentary for soccer by baby.
00:25Il a été lancé le 19 janvier 1934 et a été réalisé, comme d'habitude, par Dave Fleischer.
00:31Il a été animé par Seymour Neitl et Roland Dock Crandall, qui ont réalisé un grand nombre de pop-eyes.
00:37Neitl a marié Ruth Fleischer, la fille de Max, et a été ensuite mis en charge après avoir perdu le contrôle de leur studio.
00:44Alors, voici Popeye chantant son chanson de thème, toujours en voix de l'artiste originale, Billy Costello.
00:50Le petit infincte dans le pram n'est pas, comme certains l'ont supposé, son fils adopté, Sweepy,
00:56qui a été introduit dans la rue des Cigars le 7 juillet précédent.
00:59Au moins, il ne ressemble pas à moi.
01:02Une source dit que c'est en fait le petit frère de Betty Boop, Billy,
01:05même si je confesse que je ne me souviens pas de Billy Boop dans les cartoons.
01:09En tout cas, Popeye est en train de le chercher et doit s'assurer qu'il reste dormant.
01:15Le premier ennemi que Popeye rencontre n'est que Harpo Marks, qui joue dans un coin de rue.
01:20Les personnages de film étaient communs dans les cartoons des années 30 et 40,
01:24et à ce moment-là, les frères Marks étaient encore des stars de Paramount.
01:27Leur cinquième et dernier film de Paramount, Duck Soup, a été lancé il y a seulement quelques mois plus tôt.
01:38Vous remarquerez que tout dans le fond est déchiré.
01:41Les bâtiments sont pliés sous leur propre poids, comme s'ils allaient collapser,
01:45la paville est cassée et les lampes sont pliées.
01:48C'était le paysage de Fleischer lors de ses jours à New York,
01:51un bourrinage urbain.
01:53En tant qu'enfant de l'urbanisation, ces environnements m'ont toujours l'air plus familier
01:57que les endroits de la fermière de tant de cartoons d'autres studios.
02:01Pas que mon quartier ne ressemble pas à ce bourrinage.
02:12Mon bébé,
02:14va dormir mon bébé,
02:17mon bébé.
02:20Donc Billy Costello, comme Popeye, va dans le lullaby,
02:24et je remarque qu'il change entre son propre voix de chanteur et celle de Popeye,
02:28plutôt que ce qu'il fait sur certains des records de 78 RPM qu'il a fait.
02:42Tout dans les cartons de Fleischer d'ancien temps était un peu askew.
02:46Même les roues sur le pram ont été écrasées,
02:49donnant à la contraption une sorte de mouvement de caméra.
02:52En passant par une école de musique bruyante,
02:54voici un autre exemple de l'ancien Popeye insolent.
02:58Il a déjà envoyé des marques à l'ange,
03:00et là encore, il se prépare à tuer quelqu'un ou quelque chose qui se trouve dans son chemin.
03:05Popeye demande au moins politement, avant de résorter à la violence,
03:09mais il y a un trombone qui ne va plus jamais s'éloigner.
03:15C'est un gag de Popeye reculant,
03:17l'idée de tuer un objet grand en de plus petits versions de lui-même,
03:20comme il l'a fait avec un ancre dans la première cartouche.
03:24Cello dans la violoncelle, dans une leçon facile.
03:32Cette persistance de pianiste est assez admirable.
03:34Voici une variation sur le gag miniature,
03:36avec des pianos qui ne s'éloignent jamais et qui s'arrangent comme des dolls russes.
03:49Au dessus du toit, si ce n'est pas un coup pour une chanson en elle-même,
03:53Popeye démontre l'application de l'automation à Fisticuffs.
03:56Les flashes ont toujours introduit de nouvelles manières ingénieuses de tuer les gens.
04:00Cette musique, par ailleurs, s'appelle Tararabumdiye.
04:04C'est de l'âge de la musique anglaise du XIXe siècle
04:06et a été joué comme une danse fréquente d'une fille nommée Lottie Collins.
04:10Un coup d'épaule nous emmène vers l'autre côté du toit,
04:12où l'avion de l'océan sonne son houter.
04:15J'adore la façon dont Popeye est en mesure de déchirer ses mains d'en dessous de l'eau.
04:19Une affaire assez réductive, vu qu'elles doivent déjà être assez mouillées.
04:22Les cartouches de Popeye sont remplies de gags élaborés,
04:25conçus pour montrer à quel point il est fort,
04:28même si tirer un avion jusqu'au bout de l'océan est l'une des choses les plus exceptionnelles.
04:33Encore une fois, ce jeune Popeye n'a pas de souci de la quantité de dégâts qu'il a fait
04:36en cherchant un moyen d'un fin.
04:38Dans un cartoon plus tard, il aurait fait quelque chose d'également drôle,
04:41mais moins déstructif, comme, disons,
04:43faire un knot dans le tunnel de l'avion.
04:48Marconi a peut-être été impressionné par l'apprentissage
04:50que Popeye était le premier à envoyer un coup de poing en son téléphone.
04:53Dans ces jours-ci, les radio-crews étaient souvent les sujets de ridicule,
04:56au moins entre ceux qui n'étaient pas des fans,
04:58ce qui, j'imagine, signifie tout le monde sauf pour les filles adolescents.
05:02En tant que radio-créateur moi-même,
05:04je me demande parfois si quelqu'un a voulu faire ça à moi.
05:09Un site de bâtiments bruyants présente encore une fois l'opportunité pour Popeye
05:12de montrer sa puissance et sa ruthlesse d'avant.
05:16J'ai remarqué que tous les travailleurs de construction ont disparu
05:18à la fois où tout le lot s'est cassé, et c'est pareil.
05:27Popeye, distraité, a laissé le Pram à une intersection
05:30et a créé un dérapage de trafic.
05:32Popeye, encore une fois, essaie une persuasion amicale,
05:35mais réalise que ça ne marche pas.
05:37Rappelez-vous comment les voitures s'élongent vers leur objectif,
05:40une blague typique de Fleischer,
05:41où les choses inappropriées acquièrent l'élasticité
05:44et une mesure impliquée d'autonomie.
05:46Donc, le moment de manger de la spinache climatique, et...
05:49Wham !
05:50Pas de fanfare de Popeye, ce qui est étrange.
05:52Et après tout ce bruit qui n'arrive pas à réveiller l'enfant,
05:56tout ce qu'il lui reste à faire est d'être le seul à s'occuper d'elle avec...
05:59un pin.
06:05Et comme Popeye signe avec sa chanson de thème,
06:08je signe aussi.
06:09Au revoir et...
06:10Tic-tac !

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