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00:00Pourquoi on est sanctionné aussi ?
00:02Maintenant, sachez que l'ARCOM il y a en place un truc, vous allez direct sur Twitter et vous faites un signalement.
00:07Ça déjà c'est n'importe quoi, excusez-moi.
00:09C'est n'importe quoi, ça veut dire que n'importe qui peut faire des signalements toute la journée.
00:12Je suis sûr qu'un robot peut faire des signalements toute la journée sur TPMP.
00:17Et on sait très bien, Jean-Marc Sylvestre, on en parlait il y a un instant, que c'est vraiment n'importe quoi.
00:21Et l'ARCOM se base sur ça. L'ARCOM se base aussi parfois sur des articles de presse.
00:26La dernière fois, l'ARCOM a dit, ah bah non, Libération a écrit que c'était pas bien, donc on va vous sanctionner.
00:30Voilà, donc si Libération a dit que c'était pas bien, il faut nous sanctionner.
00:33D'autre part, l'ARCOM, sachez-le, adore aller sur les plateaux.
00:38Puisque le président de l'ARCOM, la décision est-elle juste ? Non pour moi.
00:42Puisque le président de l'ARCOM, moi il ne m'a jamais rencontré.
00:44Je ne l'ai jamais rencontré, enfin je l'ai vu, je l'ai croisé une fois.
00:46J'ai dit, voilà, c'était au tennis, mais je ne l'ai pas vu, on n'a pas parlé de ça, c'était par hasard.
00:50Mais il n'a jamais demandé à me rencontrer, à me parler, ils ne sont jamais venus ici.
00:53Alors que le président de l'ARCOM, Roch-Olivier Mestre, était venu en tant qu'invité chez Quotidien.
00:58On l'a invité tout le temps, Roch-Olivier Mestre, il n'est jamais venu.
01:01Donc on le voit sur le plateau de Quotidien, on le voit sur le plateau de Transinter.
01:04Et donc déjà, comment voulez-vous que le président de l'ARCOM,
01:09sur le plateau du concurrent et qu'il puisse prendre une décision derrière ?
01:12Excusez-moi, c'est quand même très problématique.