• il y a 3 mois
Transcription
00:00Un, trois, deux, un, zéro.
00:04Je suis en mort.
00:20Très, très bien.
00:34J'ai débuté avec Jean-Paul, puis on a fait Borsalino, et maintenant, 28 ans après, ce film ensemble, c'est comme un signe, je veux dire, je pense que c'est une boucle qui se ferme.
00:43Et puis j'ai toujours dit que j'étais contre le combat de trop, c'est-à-dire contre le film de trop. J'ai déjà failli quelquefois peut-être faire ce film de trop, ça n'est pas fallu ici.
00:50On va peut-être arrêter là, non ?
00:52Je crois que j'ai tout dit au cinéma, je ne me sens plus... J'ai plus envie de dire des choses, je crois que je n'ai plus rien à dire dans le cinéma.
00:58Dans ces cas-là, pour ne pas être vis-à-vis de mon public, que je respecte et qui me suit depuis de nombreuses années, je préfère me retirer peut-être.
01:04Ça va, plus ça sera de la gourmandise.