• il y a 4 mois
La journaliste Françoise Laborde était l’invitée ce samedi 17 août de l’Heure Des Pros été sur CNEWS. Sur les fusillades liées au trafic de stupéfiants qui touchent Grenoble, elle a rappelé l’hostilité d’Eric Piolle envers la police : «Le maire de Grenoble fait partie des élus qui considèrent qu’il faut se méfier de la police (...) Quand il y a moins de forces de l’ordre, ça ne peut pas s’arranger.»

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Transcription
00:00on a enlevé une partie des forces de l'ordre pour les sécuriser Paris pendant les Jeux Olympiques,
00:06mais il y a aussi dans certaines municipalités, dans ces villes de taille moyenne,
00:11des élus qui eux-mêmes n'ont pas voulu avoir une police municipale
00:15qui soit capable d'être armée, d'être suffisamment nombreuse, d'avoir des caméras.
00:21Le maire de Grenoble, Éric Piolle, qui est toujours élu à ma connaissance et qui est un élu écolo,
00:28fait partie de cette branche des élus qui a toujours considéré qu'il fallait se méfier de la police
00:34et a laissé, et a accueilli d'ailleurs dans sa municipalité,
00:42un certain nombre d'encouragés, les mouvements de clandestins.
00:47Et donc, à un moment donné, ça pose aussi problème.
00:51Et on sait bien que dans ces villes qui sont tenues par des mairies qui sont plutôt anti-police et anti-flic,
00:58si vous me passez cette expression familière,
01:00des problèmes de sécurité qui, évidemment, surgissent dès que la police nationale
01:05ou la gendarmerie n'est plus présente pour assurer la sécurité.
01:08Donc Grenoble est depuis très très très très longtemps l'objet, en effet, de trafic en tout genre.
01:13Mais si la municipalité ne met pas tous ses efforts pour essayer d'y mettre le haut-là,
01:18forcément, quand il y a moins de forces de l'ordre national, ça ne peut pas s'arranger.

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