Guillaume Bigot, éditorialiste sur la chaîne CNews, défendra les couleurs du Rassemblement national (RN) lors des prochaines élections législatives dans la seconde circonscription du Territoire-de-Belfort, actuellement aux mains de La France insoumise, a annoncé jeudi le parti lepéniste. Guillaume Bigot, 54 ans et originaire de Paris, se présente désormais sur son compte X comme "Candidat RN dans la seconde circonscription du Territoire-de-Belfort".
La candidature du politologue, essayiste et éditorialiste de CNews, après être passé notamment par BFM Business, a été annoncée jeudi par le délégué départemental RN du Territoire-de-Belfort, Christophe Soustelle, qui sera son suppléant.
"Il n'est pas encarté au RN, mais se présente pour nous. Nous connaissons bien ses idées", a déclaré M. Soustelle qui avait dès mardi fait part de sa propre candidature, avant de céder sa place au chroniqueur.
"Cela va épaissir la fédération (du Territoire-de-Belfort) et va nous donner plus de chances de gagner", a-t-il ajouté.
Lors du deuxième tour des élections législatives de 2022, le RN avait été battu (48,63%) par le candidat de LFI Florian Chauche (51,37%), qui devrait se représenter.
Le RN est en revanche arrivé largement en tête dans le département, ancien fief de Jean-Pierre Chevènement, lors des élections européennes du week-end dernier, avec 36,85% des suffrages, loin devant le parti Renaissance (12,77%).
La candidature du politologue, essayiste et éditorialiste de CNews, après être passé notamment par BFM Business, a été annoncée jeudi par le délégué départemental RN du Territoire-de-Belfort, Christophe Soustelle, qui sera son suppléant.
"Il n'est pas encarté au RN, mais se présente pour nous. Nous connaissons bien ses idées", a déclaré M. Soustelle qui avait dès mardi fait part de sa propre candidature, avant de céder sa place au chroniqueur.
"Cela va épaissir la fédération (du Territoire-de-Belfort) et va nous donner plus de chances de gagner", a-t-il ajouté.
Lors du deuxième tour des élections législatives de 2022, le RN avait été battu (48,63%) par le candidat de LFI Florian Chauche (51,37%), qui devrait se représenter.
Le RN est en revanche arrivé largement en tête dans le département, ancien fief de Jean-Pierre Chevènement, lors des élections européennes du week-end dernier, avec 36,85% des suffrages, loin devant le parti Renaissance (12,77%).
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00:00Alors vous avez complètement raison, Madame Van der Leyen, elle bénéficie comme tout un chacun de la présomption d'innocence, ce n'est pas le sujet.
00:05Mais on peut se dire que même si Madame Van der Leyen est totalement innocente à l'arrivée, même si elle n'a rien à se reprocher,
00:13de toute façon ce qu'on apprend au travers de cette affaire est très intéressant parce qu'on comprend que tout le narratif qu'on nous a servi
00:20pour justifier l'Union Européenne, ce kidnapping démocratique permanent, c'est-à-dire que sans l'Union Européenne on n'aurait pas eu de vaccins,
00:26on ne les aurait pas eus à temps, on ne les aurait pas eus suffisamment, on les aurait payés beaucoup plus cher, etc.
00:31Tout ça se déballonne intégralement, ça fait pchit. Par exemple, on a eu des vaccins plus vite grâce à l'Union Européenne.
00:38C'est intéressant parce qu'en décembre 2020, entre décembre et janvier disons, pour être honnête, les États-Unis d'Amérique, la Grande-Bretagne,
00:46Israël, mais aussi les Émirats Arabes Unis, mais aussi Singapour, tous ces gens-là commencent des campagnes de vaccination pour la population générale.
00:53Tout de suite. Et ce n'est que six mois plus tard, en France notamment, et dans l'Union Européenne, avec là encore une excuse qui est de dire
00:59« oui mais on veut privilégier certains par rapport à d'autres ». Non, c'est juste qu'on n'avait pas les doses, tout simplement.
01:03Donc c'est déjà un premier mensonge. Deuxième mensonge, oui mais on les a eus moins cher grâce à l'Union Européenne.
01:08Quand on a acheté ensemble, on a eu un prix de gros, si vous voulez, pour faire simple. Et donc on a dit au début, regardez, aux États-Unis,
01:14ils payent leur dose Pfizer 16 euros en taux de change de l'époque, et nous on va les payer 12 euros.
01:21Ah oui, sauf qu'on ne les a même pas payés 16 euros en fait. Non seulement on ne les a pas payés 12, on ne les a pas payés 16, on a fini par les payer 19,50 euros.
01:29Donc en fait, grâce à l'Union Européenne, beaucoup plus cher. Donc en fait, tout est faux de ce qu'on nous raconte.
01:34Alors pas tout, non. Parce qu'en effet, on les a eus les doses, alors ça c'est sûr, et on a passé comment ? De 4 milliards de doses, record mondial.
01:424 milliards de doses, soit 10 doses par Européen. Ah donc on y a été, on a chargé la dose, ça fait plaisir à mon ami Marc, je le vois sourire.
01:50Et on a des doses, c'est ça qui est fantastique, merci Madame van der Leyen, jusqu'en 2027. Alors il n'y a plus de Covid, mais on a toujours les doses, ça c'est intéressant.
01:58Alors évidemment, c'est un gâchis monumental, on a déjà 215 millions de doses qui sont inutiles, inutilisables, pour un montant, c'est une bagatelle, 4 milliards, ce n'est pas bien grave.
02:08Merci Madame van der Leyen. Et alors il y a des pays qui quand même sont un peu rebellés, ils sont encore des démocraties, la Hongrie, la Pologne, ces gens-là disent
02:15attendez, on refuse de payer ces doses, ça suffit, il n'y a plus de Covid. Et là, Pfizer les attaque, évidemment, pour les faire crasher au bassinet.
02:24Donc je pense que c'est une parabole très intéressante de ce qu'est l'Union européenne, une machine d'aplaventrisme face au grand capital.