• il y a 6 mois
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##PARLONS_VRAI_CHEZ_BOURDIN-2024-06-05##

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News
Transcription
00:00Vérissure, le numéro 1 des alarmes en France.
00:03Rendez-vous sur verissure.fr pour votre demande de vie gratuite.
00:06Vérissure présente...
00:09Sud Radio, parlons vrai chez Bourdin.
00:119h10, Jean-Jacques Bourdin.
00:14Il est 9h39, Benjamin Aiglais,
00:17vous avez quelques précisions sur le passeraille et l'île de France.
00:20Oui, je me suis fait taper sur les doigts.
00:22Et oui, c'était pas du tout clair.
00:24Sur la question de la région île de France,
00:26ce pass sera interdit, en fait,
00:30pour rejoindre une gare en région île de France
00:34à une autre gare toujours en région île de France.
00:36C'est-à-dire que si on circule en train dans la région île de France,
00:39on peut utiliser le passeraille.
00:41Par contre, on peut...
00:43Si je viens de Dijon, par exemple,
00:44si je prends un TER,
00:47je viens de Dijon à Paris, il n'y a pas de problème.
00:49Il n'y a pas de problème.
00:50Bon, d'accord.
00:51Bon, j'ai compris.
00:52J'ai compris le fonctionnement.
00:54On a compris.
00:55Allez, nous allons parler de toute autre chose maintenant.
00:57Je vous avais promis un face-à-face
00:59entre le responsable des jeunes du RN
01:02et la responsable des jeunes du PS.
01:04Mais manque de pot,
01:06à cause de ce qui se passe aujourd'hui,
01:09c'est-à-dire l'arrivée de Joe Biden,
01:10le périphérique est bouché.
01:12Et donc, ils n'ont pas pu arriver jusqu'à nos studios.
01:14Je suis clair.
01:15Donc, on va parler d'autre chose.
01:16Et puisque nous allons beaucoup parler de la commémoration,
01:19les 80 ans du débarquement sur les plages normandes.
01:23C'était en 44, le 6 juin 44.
01:25Eh bien, je vais appeler Valérie Gauthier,
01:29qui est présidente et fondatrice de l'association
01:31Retour des vétérans en Normandie.
01:33Nous sommes dans la Manche, à Pirou.
01:36Valérie Gauthier, bonjour.
01:38Bonjour.
01:39Merci d'être avec nous, Valérie.
01:41Vous avez créé votre association en avril 2012
01:44pour venir en aide aux vétérans.
01:46Désormais accompagnée de plusieurs bénévoles,
01:48votre association a permis d'aider une vingtaine de vétérans.
01:52Venus d'où ? Ils sont arrivés ?
01:54On a vu les images à la télévision.
01:56Vous avez participé à cette venue des vétérans ?
01:59Oui, oui, tout à fait.
02:01Alors, on n'en a pas 20.
02:04Je vais faire une petite précision.
02:06On n'en a pas 20.
02:08Actuellement, on en a 7 à temps complet,
02:102 à temps partiel.
02:11Et sur l'ensemble des 12 ans
02:13où on a réussi à faire revenir des vétérans,
02:16on a un peu plus de 50 vétérans
02:18qu'on a réussi à aider à revenir financièrement.
02:19Ah, bravo, bravo.
02:20Alors là, vous avez 7 vétérans.
02:22Qui viennent d'où ?
02:24Alors là, dans la voiture,
02:26j'en ai un qui vient de Pellissilvanie.
02:28Voilà, je fais le ramassage scolaire ce matin.
02:31Et sinon, j'en ai d'Alabama,
02:33j'en ai du Montana, j'en ai de...
02:37C'est extraordinaire, ça, Valérie.
02:39Oui, c'est une formidable aventure.
02:41Dites-moi, ça doit être un moment d'émotion
02:43absolument incroyable à vivre.
02:45J'aimerais vraiment être à votre place, Valérie.
02:49Alors, c'est un boulot...
02:51Alors, nous, c'est que du bénévolat,
02:52mais c'est un boulot monstrueux.
02:54Mais voilà, c'est une équipe,
02:56mais c'est que du bonheur.
02:58Mais quel âge ont-ils, ces vétérans ?
03:00Parce que ça fait 80 ans.
03:03Quel âge ont-ils ?
03:05Eh bien, le plus jeune a 90...
03:07Il va prendre 97 ans dans 3 semaines.
03:09Oui, le plus jeune, oui.
03:11Le plus jeune des garçons a 97 ans.
03:14Et les doyens ont 100 ans.
03:17Mais ils ont 100 ans, ben oui.
03:1980 ans, 20 ans, 100 ans.
03:21Évidemment.
03:23Évidemment.
03:24Dites-moi, c'est la première fois pour eux
03:27qu'ils reviennent sur les plages de débarquement ?
03:30Alors, j'en ai quelques-uns...
03:32Oui et non, je vais vous dire franchement,
03:34parce que oui, courant mois de juin, pour Alan.
03:39Parce qu'Alan, il était déjà revenu,
03:42mais il pleuvait.
03:43C'était en octobre-novembre.
03:45Il n'y avait pas un chat.
03:47Il n'y avait aucune manifestation.
03:49Donc il s'est dit, mais pourquoi revenir finalement ?
03:51Et puis, quand on avait posté différents articles
03:55dans les journaux aux Etats-Unis
03:57pour proposer qu'on pouvait les inviter
03:59à venir en Normandie pour le 80e,
04:01Alan s'est remanifesté en disant,
04:03peut-être qu'en faisant partie d'un groupe,
04:05on aura la chance de partager autre chose.
04:08Oui, bien sûr.
04:10Donc Alan, pour lui, c'est le premier grand retour.
04:13Oui. Valérie !
04:15Valérie, ah, on a été coupé.
04:17Ça peut arriver, vous savez,
04:19c'est pas facile, Valérie est en voiture
04:21avec ses vétérans, donc pas évident.
04:23Les vétérans qui retournent là où ils ont combattu,
04:26c'est la première chose.
04:27Valérie, vous êtes là ?
04:29Oui, oui, je suis là.
04:30Je disais, la première chose qu'ils vous demandent,
04:33j'imagine, la première chose qu'ils vous demandent,
04:35c'est de retourner là où ils ont combattu,
04:37à l'endroit même où ils ont combattu.
04:40Alors oui, pour certains, oui.
04:43Pour d'autres, je m'excuse.
04:45Non, mais ça peut arriver, vous êtes fatigué, c'est normal.
04:48Non, c'est que le début, pour certains.
04:50Pour certains, oui.
04:52Pour d'autres, c'est pas forcément nécessité.
04:55C'est-à-dire que pendant les premiers jours où ils arrivent,
04:57ce serait plutôt en fin de séjour,
04:59quand l'attention est partie,
05:02quand l'appréhension, tout ça,
05:04et puis quand ils vivent d'autres expériences
05:06avec les vétérans de notre groupe
05:08ou avec d'autres vétérans d'autres groupes,
05:10ça les décompte un petit peu,
05:12parce que le retour n'est pas forcément évident pour le vétéran.
05:16Ils désirent découvrir aussi les monuments
05:18dédiés à leurs unités, j'imagine.
05:20C'est important, leurs unités.
05:22Oui, il y a ça aussi,
05:24mais ce qu'on organise aussi,
05:26c'est des échanges pédagogiques dans les écoles.
05:28Donc on va dans les écoles primaires, collèges, etc.
05:30Et c'est ce qui les marque le plus.
05:32Enfin, c'est ce qui les marque, entre autres, énormément,
05:34parce que...
05:36Partagez leur vécu,
05:38partagez ce qu'ils ont vécu.
05:40C'est ça. Et dès les écoles.
05:42Donc là, ils me disent, comment est-ce que vous faites
05:44pour étudier la Seconde Guerre mondiale dans vos livres
05:46alors qu'ils sont tout petits, quoi ?
05:48On a fait des écoles primaires, comme les écoles primaires de Créance.
05:50Ils ont 8-9 ans.
05:52Ils posaient des questions.
05:54Les vétérans étaient sidérés,
05:56parce qu'ils me disaient, comment est-ce qu'ils peuvent savoir tout ça ?
05:58Même nos enfants ne le savent pas.
06:00Ils sont tout petits.
06:02Les vétérans sont en admiration devant les gamins.
06:04Je comprends.
06:06Et les gamins, en admiration devant les vétérans ?
06:08C'est des échanges extraordinaires.
06:10Evidemment.
06:12Valérie, je vous laisse, parce que vous avez beaucoup de choses
06:14à faire avec tous vos vétérans.
06:16Ça va durer combien de temps ? 5 jours ?
06:183-4 jours ?
06:20Ils sont là pour 15 jours.
06:2215 jours ? Dites-moi !
06:24Il faut que je les ménage. Je ne peux pas leur faire faire du 7h le matin
06:26à 23h le soir.
06:28J'en ai un peu plus, là.
06:30Au bout de quelques jours, encore moins.
06:32Vous voyez, le programme commence là,
06:34tranquillement, ce matin, jusqu'au milieu d'après-midi.
06:38Il faut y aller doucement, aussi.
06:40Je veux qu'ils en profitent un maximum,
06:42sans qu'ils soient trop fatigués.
06:44Je rappelle le nom de votre association.
06:46Retour des vétérans en Normandie.
06:48Vous êtes accompagnée de nombreux bénévoles.
06:50C'est assuré.
06:54Comment vous êtes aidée financièrement ?
06:56On a eu la chance, cette année,
06:58d'avoir le conseil départemental de la Manche,
07:00qui nous a donné une belle enveloppe.
07:02On a fait une demande de subvention. Ils nous ont bien aidé.
07:04On aide aussi d'autres associations américaines.
07:06C'est de différents vétérans,
07:08vétérans de la Seconde Guerre mondiale,
07:10qu'on aide, à d'autres associations,
07:12parce que nous, on veut rester tout petits,
07:14par rapport à nos familles d'accueil,
07:16par rapport à notre qualité.
07:18Parce qu'ici, on logeait où ? Dans des familles d'accueil ?
07:20Oui. Tout le monde est bénévolat, chez nous.
07:22C'est du 100 %...
07:24C'est génial, ça.
07:26C'est 100 %
07:28la main au cœur.
07:30C'est génial, ça.
07:32Ça, c'est la France.
07:34C'est la France, qui râle sans cesse,
07:36mais qui peut être d'une générosité exceptionnelle.
07:40Les vétérans, en 3 jours,
07:42je crois qu'ils ont déjà rempli une valise de cadeaux.
07:46Merci, Valérie.
07:48Merci, Valérie.
07:50Bonne journée, ma chère Valérie.
07:52Vraiment, bravo.
07:549h46, on va faire une nouvelle page de pub.
07:56De témoignages. À ce propos,
07:58vous allez voir, Jacques est à Saint-Lô,
08:00et Paul est à Louvier.
08:02Saint-Lô dans la Manche, Louvier dans l'heure.
08:04A tout de suite.
08:18Les cérémonies, les commémorations
08:20du 93ème anniversaire du débarquement
08:22du 6 juin 1944.
08:24Emmanuel Macron, donc,
08:26reçoit le président américain,
08:28qui est arrivé, là.
08:30Accueilli, lui, par
08:32le Premier ministre. Emmanuel Macron, lui,
08:34est à Plumélec,
08:36dans le Morbihan, pour rendre hommage aux maquisards
08:38et aux parachutistes.
08:40SAS, spécial Air Service français.
08:42Et puis, tout à l'heure,
08:44de 16h à 17h,
08:46il sera au Hara de Saint-Lô
08:48pour une cérémonie dédiée aux victimes
08:50civiles de la guerre. Parce qu'on oublie souvent,
08:52on parle beaucoup des soldats qui ont été
08:54tués, de tous les côtés d'ailleurs,
08:56lors du débarquement, mais on oublie
08:58souvent les civils qui ont été tués lors de ce débarquement.
09:00Il y en a eu beaucoup. Saint-Lô,
09:02justement, où se trouve Jacques ? Bonjour Jacques.
09:04Bonjour.
09:06Que vouliez-vous dire ce matin avec nous,
09:08sur l'antenne de Sud Radio, Jacques ?
09:10Eh bien, rapidement,
09:12un formidable respect pour ceux qui
09:14nous ont libérés, ça c'est évident.
09:16Deuxièmement,
09:18je suis de 49,
09:20donc 75 ans. Comme moi !
09:22Eh bien, écoutez,
09:24nous pouvons être fiers, parce que nous avons
09:26connu, avec nos parents
09:28et nos grands-parents, ces périodes.
09:30Je me rappelle très bien
09:32que notre père avait tenu à nous
09:34emmener au cinéma, voir
09:36le jour le plus long. Bon, il est évident
09:38que c'est un film romancé.
09:40C'était
09:42attachant, parce que
09:44ses parents qui avaient vécu,
09:46nous étions sûrement à l'époque,
09:48des bombardements
09:50formidables, qui ont été
09:52un petit peu un massacre aussi.
09:54Et sur Saint-Lô,
09:56Saint-Lô, oui,
09:58j'adore l'histoire,
10:00et je peux vous dire que Saint-Lô,
10:02ça a été une cata.
10:04Vous savez combien de civils sont morts
10:06au moment de ce débarquement ?
10:08Non, je ne me rappelle plus, je suis désolé.
10:10Dans la région ?
10:12Oui, dans la région.
10:14Les bombardements sur le débarquement,
10:16et puis aussi sur ce qui a suivi,
10:18justement, cette guerre en Normandie,
10:20dans le bocage normand.
10:22Combien de morts dans la région Normande ?
10:24Vous avez le chiffre ?
10:26Pratiquement 20 000 civils.
10:28Pratiquement 20 000 ?
10:3020 000 civils ? Je parle des civils,
10:32je ne parle pas des soldats.
10:3420 000 civils ?
10:36Et en plus, chez nous, ils avaient la chance,
10:38à Saint-Lô, d'avoir
10:40une grotte
10:42taillée dans la roche,
10:44qui avait été taillée d'ailleurs, je crois, par les Allemands,
10:46et ils ont pu s'abriter là
10:48pendant les bombardements.
10:50Oui, parce que la ville a été
10:52grande partie détruite.
10:54Ah oui, oui.
10:56Et il faut se rappeler, j'ai une anecdote,
10:58il faut se rappeler que Léni Escudero,
11:00Oui, le chanteur.
11:02avait participé
11:04à l'époque, comme
11:06maçon, je crois, pour la
11:08reconstruction. Voilà.
11:10C'est un grand chanteur, Léni Escudero.
11:12Oui, parce que
11:14c'est formidable.
11:16Voilà. Bien sûr.
11:18Alors, merci, Jacques.
11:20Je vais terminer avec Paul, autre témoignage.
11:22Paul, qui est à Louviers dans l'heure.
11:24Bonjour, Paul. Bonjour,
11:26Jean-Jacques. Qu'est-ce que vous
11:28aviez envie de dire, mon cher Paul ?
11:30Eh bien, je suis
11:32pour, effectivement, cette commémoration
11:34que je trouve indispensable,
11:36indispensable à tout le monde,
11:38pour bien comprendre ce qui peut
11:40se passer. Je déplore
11:42une chose, quand même, c'est que notre
11:44diplomatie
11:46n'ait pas invité Vladimir
11:48Poutine. Je suis
11:50pas pour, pas du tout.
11:52Bien sûr, c'est lui qui aurait refusé.
11:54Dans ce cas-là, c'était lui qui était en situation
11:56difficile. La diplomatie,
11:58c'est pas une affaire de cœur, c'est une affaire
12:00de raisonnement. Et je déplore
12:02qu'il soit très mauvais chez nous.
12:04Oui. Vous pensez qu'on aurait
12:06dû inviter Vladimir Poutine, même
12:08si, lors du débarquement, alors les
12:10Russes ont joué un grand rôle dans
12:12la victoire contre les nazis, mais
12:14mais n'ont pas joué de rôle
12:16dans le débarquement.
12:18Je sais bien, mais c'est global, parce que
12:20ça intéresse tout le monde, toute l'alliance.
12:22On parle bien des alliés.
12:24Et quand il y a des alliés, on peut
12:26pas les exclure, et c'est une...
12:28Je pense très sincèrement que c'est une bêtise.
12:30Lui aurait été obligé
12:32de refuser, mais c'était lui qui était en difficulté
12:34à ce moment-là. La diplomatie,
12:36tout ça aussi.
12:38C'est vrai, Paul, ça se défend. Votre raisonnement
12:40se défend. Il n'aurait pas accepté,
12:42je le dis tout de suite. Il n'aurait pas accepté.
12:44Oui, oui. Je suis bien
12:46convaincu, mais c'était lui qui était obligé
12:48de refuser. Il pouvait pas dire
12:50qu'il avait pensé.
12:52Et c'est bien embêtant, parce qu'à ce
12:54moment-là, c'est lui qui est obligé de discuter.
12:56Oui, oui.
12:58Mais aujourd'hui, il n'a pas la volonté de discuter.
13:00Peut-être l'aura-t-il dans quelques temps,
13:02cette volonté de discuter.
13:04Quand il sera en position de force.
13:06Mais justement, on a
13:08oublié la diplomatie dans cette
13:10triste aventure.
13:12Merci beaucoup, mon cher Paul. Merci
13:14d'être avec nous, le matin, sur
13:16Sud Radio. Ça me fait plaisir.
13:18Et je voudrais saluer toutes celles et ceux
13:20demain. Nous allons beaucoup parler
13:22de la commémoration, parce qu'il
13:24ne faut pas oublier notre histoire. Parce que
13:26nous avons besoin de savoir ce qui s'est passé
13:28avec nos parents,
13:30avec nos grands-parents.
13:32Je recevrai demain à 8h30
13:34un historien qui est un spécialiste
13:36du 6 juin
13:3844, du débarquement, qui va nous
13:40expliquer. Parce que j'ai plein de questions
13:42à lui poser. Comment a été décidé ce débarquement ?
13:44Il y a eu des hésitations.
13:46Il faisait mauvais le jour du débarquement.
13:48Ça a failli être retardé.
13:50Il y a eu des leurres pour
13:52faire croire aux Allemands qu'on allait débarquer ailleurs
13:54en Europe. Enfin, etc.
13:56Il y a mille choses à raconter.
13:58Demain matin, sur l'antenne de Sud Radio,
14:00de 8h30 à 9h, nous quitterons un peu la politique
14:02et nous parlerons d'histoire.
14:04Ça fait du bien.
14:06A demain. Dans un instant, nous sommes avec
14:08Valérie Expert et
14:10Gilles Gansman, qui reçoivent
14:12le réalisateur Jérôme Revond.

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