30/05/2024 - La matinale de France Bleu Besançon - Vidéo Dailymotion

France Bleu Besançon

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Transcript

00:00:00 C'est bien sur France 3 Bourgogne Franche-Comté.

00:00:03 On le claire.

00:00:06 Ici, c'est France Bleu Besançon.

00:00:11 A la radio, sur l'appli Ici, tous les réseaux, et sur France 3.

00:00:16 Bonjour et bienvenue sur France 3 Franche-Comté, sur France Bleu Besançon.

00:00:20 On est ensemble jusqu'à 9h autour de la table ce matin.

00:00:23 Il y a Anne Fauvard que bonjour Anne.

00:00:25 Bonjour tout le monde.

00:00:26 Et Marion Strescher, bonjour Marion.

00:00:27 Bonjour Arnaud, bonjour à tous.

00:00:29 C'est une journée de grève, de mobilisation aujourd'hui dans les pharmacies partout en France.

00:00:34 95% d'entre elles vont rester fermées aujourd'hui.

00:00:38 Et tout cela pour dénoncer les carences en médicaments.

00:00:41 On va en parler tout au long de cette matinée, à la fois de la mobilisation,

00:00:44 et puis si vous, vous avez été victime de ce manque de médicaments,

00:00:47 si vous galérez à trouver des médicaments dans votre pharmacie,

00:00:50 n'hésitez pas à nous écrire un petit message sur la page Facebook de France Bleu Besançon,

00:00:53 ou à nous appeler au 0381 830 311.

00:00:57 Merci d'avoir choisi France Bleu, la première radio en France comptée.

00:01:00 Il est 7h.

00:01:01 Les ralentissements habituels ce matin en direction de la Suisse.

00:01:10 Vous perdez une petite dizaine de minutes depuis Villers-le-Lac jusqu'au col des Roches.

00:01:14 Et puis vous perdez à peu près 5 minutes pour passer la frontière,

00:01:17 cette fois du côté de Jounia, près Pontarlier, 0381 830 311.

00:01:22 Là aussi c'est pour nous donner vos inforoutes.

00:01:25 La météo Anne Fauvard ?

00:01:26 C'est pas génial encore aujourd'hui.

00:01:28 Gris ce matin, humide cet après-midi, orageux même pour finir.

00:01:31 13 à 17 degrés dans le Haut-Douce cet après-midi, pas plus.

00:01:34 18 à Besançon, 19 à Vesoules, 20 degrés, la maximale pour Dolle dans le Jura.

00:01:39 On en parle donc ce matin, les pharmacies qui baissent le rideau.

00:01:45 Aujourd'hui, 95% d'entre elles vont rester fermées en France comptée.

00:01:49 Ils n'en peuvent plus des pénuries de médicaments auxquels ils sont confrontés,

00:01:52 mais aussi de leurs honoraires réduits comme pot de chagrin.

00:01:55 Les deux syndicats de pharmaciens appellent à la grève et donc à baisser le rideau.

00:01:59 C'est ce que fera aujourd'hui Armelle Grandjean, pharmacienne à Frétilliers et Véloreil,

00:02:04 en Haute-Saône, Charlene Choumacher.

00:02:06 Le principal problème d'Armelle Grandjean, c'est le prix des médicaments.

00:02:09 Beaucoup trop bas selon elle.

00:02:11 Des prix fixés par l'État pour que la sécurité sociale puisse faire des économies.

00:02:15 Mais les pharmaciens sont moins rémunérés ensuite.

00:02:19 On ne gagne plus rien.

00:02:20 On a des problèmes de trésorerie pas possibles.

00:02:22 Dès qu'il y a un moindre petit souci, on est obligé de faire des travaux,

00:02:27 une dépense imprévue, on ne s'en sort pas.

00:02:29 L'autre problème évoqué depuis de nombreux mois maintenant,

00:02:32 ce sont les pénuries de certains médicaments.

00:02:34 Les gens parlent d'amoxycyline, mais il y a aussi des pomades nasales, des corticoïdes.

00:02:39 Alors les injections pour les infiltrations sous scanner, c'est régulièrement que ça manque.

00:02:45 Les insulines pour les diabétiques, alors là je plains les diabétiques.

00:02:49 Il y a quelques temps, j'étais obligée de mettre en stock pour tout le mois.

00:02:53 Au lieu d'avoir une ou deux références de chaque, mettre le stock pour un mois,

00:02:57 ça fait beaucoup d'argent dehors.

00:03:00 Armelle Grandjean se sent aujourd'hui à bout et délaissée.

00:03:03 Je ne pense pas que j'ai fait des fautes, que tout va mal dans mon officine,

00:03:07 et pourtant je ne m'en sors pas.

00:03:09 Pourquoi ? Je ne tiens plus.

00:03:11 J'ai demandé à mes parents pour la première fois de ma vie à 50 ans de m'aider.

00:03:14 Je suis toujours dans le rouge.

00:03:16 La banque voudrait revoir avec moi ce qu'il faut faire.

00:03:19 Un témoignage recueilli par Charlotte Schumacher.

00:03:22 Une manifestation est prévue à Besançon à 10h30, tout à l'heure au départ de la Place de la Révolution.

00:03:27 Alors vous, avez-vous déjà été confrontée à une pénurie de médicaments ?

00:03:31 Est-ce qu'on vous a proposé un plan B ?

00:03:33 Si justement il n'y avait pas le médicament que vous souhaitiez à la pharmacie,

00:03:36 vous nous racontez tout à l'heure 7h40 sur France Bleu Besançon au 03 88 833 111.

00:03:42 Et bien sûr comme chaque matin, vous postez vos commentaires sur la page Facebook de France Bleu Besançon.

00:03:47 Moins de médicaments donc, mais l'insoutenable creusement du déficit de la sécu.

00:03:52 C'est le terme employé par la Cour des Comptes,

00:03:54 qui fait d'ailleurs plusieurs propositions explosives pour enrayer le trou de l'assurance maladie.

00:03:59 Les dépenses liées aux arrêts de travail ont augmenté de 50% entre 2017 et 2022,

00:04:05 pour atteindre Cyril Ardault 12 milliards d'euros.

00:04:09 Attention, c'est un peu technique.

00:04:12 Première piste, pour 500 millions d'euros d'économie,

00:04:15 ne plus verser d'indemnités pour les arrêts de moins de 8 jours.

00:04:18 Au-delà, vous seriez indemnisés normalement moins les 3 jours de carence.

00:04:23 Cela ferait donc, comme c'est déjà le cas, 6 jours d'indemnité pour un arrêt de 9 jours.

00:04:28 Deuxième piste, bien plus radicale,

00:04:30 porter ce délai de carence, le nombre de jours sans indemnité,

00:04:34 à 7 jours pour près d'un milliard d'euros de dépenses en moins.

00:04:38 Le délai de carence est parfois pris en charge par les employeurs.

00:04:41 La Cour des comptes préconise donc l'instauration d'un jour de carence d'ordre public,

00:04:46 durant lequel le salarié ne toucherait rien.

00:04:50 Autre proposition, réduire la durée maximale d'indemnisation

00:04:54 pour passer à 2 ans contre 3 ans actuellement.

00:04:57 Le détail des propositions de la Cour des comptes pour enrayer le trou de la sécu

00:05:01 est à retrouver sur francebleu.fr.

00:05:03 En Aoutssoude, un incendie s'est déclaré vers 5h tout à l'heure

00:05:06 dans une maison isolée de Champagney.

00:05:08 L'habitation de 100 m2 est totalement embrasée.

00:05:11 Les pompiers sont sur place.

00:05:13 Aux assises du Doubs, à Besançon, un père de famille accusé d'avoir secoué son bébé,

00:05:17 reconnu coupable d'homicide involontaire,

00:05:19 mais acquitté pour les violences,

00:05:21 ayant empris la mort sans intention de la donner.

00:05:23 Il écope de 2 ans de prison avec sursis.

00:05:26 En juin 2018, à cesser dans le Doubs,

00:05:29 à l'âge de 19 ans, il a appelé les secours

00:05:31 puisque son bébé de 6 semaines était pâle et ne respirait plus.

00:05:34 Après plusieurs arrêts cardiaques, le bébé est mort à l'hôpital.

00:05:37 11 jours plus tard, les examens pratiqués sur le nourrisson

00:05:40 ont révélé des lésions correspondant aux syndromes du bébé secoué.

00:05:44 Le verdict prononcé hier soir, après 5h de délibéré,

00:05:48 est très inférieur aux réquisitions du ministère public

00:05:51 qui avait réclamé 6 ans.

00:05:53 L'avocat de la Défense lui avait plaidé l'acquittement.

00:05:56 - France Bleu, Besançon, 7h05,

00:05:58 et si vous preniez un stagiaire de seconde dans votre entreprise ?

00:06:02 - Vous feriez des heureux car le temps presse.

00:06:04 Désormais, stage de 2 semaines du 17 au 28 juin,

00:06:08 imposé par Gabriel Attal à cette période de l'année

00:06:11 où les secondes sont les seuls lycéens à ne pas avoir d'épreuve à passer.

00:06:15 Selon les syndicats enseignants au niveau national,

00:06:18 seul un quart d'entre eux ont trouvé le fameux stage.

00:06:21 Beaucoup de difficultés donc, et confirmation.

00:06:24 A Besançon, avec vous Claude Bruyot.

00:06:26 - Les élèves de seconde rencontrés hier devant le lycée Victor Hugo à Besançon

00:06:30 sont unanimes. Sans leurs parents,

00:06:32 ils n'auraient sans doute pas trouvé les 10 jours de stage tant recherchés.

00:06:35 Sans leurs parents, ou les amis de leurs parents,

00:06:38 assure cet élève soulagé d'avoir réglé le problème.

00:06:41 - Une semaine c'est avec mon père déjà.

00:06:42 L'autre semaine, c'est la mère d'une amie qui nous a proposé.

00:06:46 En fait, ça marche uniquement par relation.

00:06:48 Honnêtement, c'était un peu compliqué à préparer.

00:06:50 Et ceux qui ont réussi à décrocher ce fameux stage dans le milieu professionnel

00:06:54 demeurent plus que réservés sur ce qu'ils vont pouvoir en retirer

00:06:57 vu les difficultés rencontrées.

00:06:59 - On a eu certains endroits qui disaient que c'était réservé aux enfants,

00:07:03 à des personnes qui travaillaient.

00:07:04 Ça fait que du coup, il n'y a pas vraiment de découverte professionnelle.

00:07:07 Du côté des professionnels qui ont accepté d'accueillir en stage

00:07:11 un ou une élève de seconde sans que le relationnel joue un rôle,

00:07:15 le regard semble plus positif,

00:07:17 comme en témoigne cette commerçante de la Grand rue à Besançon.

00:07:20 - C'est vrai que nous, on a beaucoup de créations.

00:07:21 C'est ça qui les amène à venir ici.

00:07:23 On en prend un à la fois,

00:07:25 parce qu'il faut que moi j'ai le temps de m'occuper d'eux.

00:07:27 Moi je suis à fond pour ces stages d'observation.

00:07:30 Notre porte est ouverte.

00:07:31 Les enseignants et les parents d'élèves sont plus circonspects.

00:07:34 En revanche, en pensant surtout aux jeunes secondes sans stage

00:07:37 qu'il faudra coûte que coûte réintégrer dans leur établissement

00:07:40 durant la deuxième quinzaine de juin.

00:07:42 - Pendant que les secondes cherchent un stage,

00:07:44 les terminales eux sont aussi en stress.

00:07:47 Je ne vous dis pas comme vous avez les deux à la maison.

00:07:49 C'est ce soir que les candidats de Parcoursup,

00:07:51 élèves de Terminales donc,

00:07:53 vont découvrir les premières réponses à leur vœu.

00:07:55 Près de 950 000 ont confirmé au moins un vœu d'orientation

00:07:59 dans l'enseignement supérieur.

00:08:01 Chaque matin jusqu'au 10 juillet,

00:08:03 tous les dossiers seront mis à jour.

00:08:05 Le restaurant Le Panda,

00:08:07 c'est près de L'Onse-le-Saunier à Montmoreau précisément,

00:08:09 dans le Jura, est fermé par arrêté préfectoral

00:08:12 pour de graves manquements au respect de l'hygiène.

00:08:15 Conclusion de l'inspection du travail qui reproche également

00:08:17 au gérant le manque de dignité des logements

00:08:19 mis à disposition des travailleurs.

00:08:21 - A tout juste un mois du Tour de France,

00:08:23 le jurassien Clément Berthet a frôlé la victoire

00:08:25 dans la Mercantour classique, c'est dans les Alpes.

00:08:27 - Oui, le coureur de l'équipe d'Ecathlon AG2R,

00:08:30 installé à Montfaucon, termine 2ème,

00:08:32 devancé de 10 secondes seulement

00:08:34 par Lénie Martinez de la groupe AMA FDJ,

00:08:36 lui vainqueur pour la 6ème fois cette saison.

00:08:39 Au tournoi de tennis de Roland-Garros,

00:08:41 c'est terminé pour Richard Gasquet,

00:08:43 sorti par le numéro 2 mondial Yannick Siner,

00:08:45 fini aussi pour la numéro 1 française Caroline Garcia.

00:08:48 Les résultats de la 4ème journée sont sur francebleu.fr

00:08:53 - Ça roule comment ?

00:08:55 Est-ce que ça se fluidifie du côté de la Suisse ?

00:08:57 - Oui, on est vraiment sur la fin,

00:08:59 la plupart des frontaliers ont passé la frontière,

00:09:02 il y a toujours un petit bouchon au niveau du Col des Roches,

00:09:05 au passage de la Douane en direction de la Suisse,

00:09:07 après Villers-le-Lac, mais on est plus que sur

00:09:09 une petite dizaine de minutes,

00:09:11 et puis après Jouyne, toujours en direction de la Suisse,

00:09:14 là vous perdez 3, 4, 5 minutes, bref.

00:09:16 On va vers le mieux ailleurs, pas de soucis pour l'instant,

00:09:18 ça circule encore de manière fluide aux entrées

00:09:20 de Besançon et de Vesoules,

00:09:22 si vous constatez quoi que ce soit sur votre trajet ce matin,

00:09:24 vous nous appelez au 0380 83311.

00:09:28 La météo, avec ce temps bien indécis ce matin,

00:09:31 le soleil qui arrivera quand même parfois

00:09:33 à se frayer un petit chemin entre les gros nuages

00:09:36 et les averses, le mercure lui,

00:09:38 ne décolle pas ce matin,

00:09:40 avec seulement 11 degrés à Pontarlier,

00:09:43 il fait 15 degrés à Besançon,

00:09:45 comme à Vesoules cet après-midi,

00:09:47 pas de changement au niveau du temps,

00:09:49 en tout cas jusqu'au début de la soirée,

00:09:51 où les orages vont faire leur retour,

00:09:53 la région est placée en vigilance jaune aux orages,

00:09:56 le vent va se lever, rafale jusqu'à 70 km/h

00:09:59 cet après-midi et cette nuit,

00:10:01 forcément les températures vont faire grisemine,

00:10:03 avec 14 degrés à Pontarlier au meilleur de la journée,

00:10:06 18 degrés à Besançon comme à Beaumledam

00:10:08 ou encore à Luxeuil-les-Bains,

00:10:10 19 degrés à Vesoules, 20 degrés,

00:10:12 ce sera la maximale à Dôle.

00:10:14 La météo 100% locale, avec Riemboisson,

00:10:16 mortuasienne et sirop artisanal depuis 1921.

00:10:19 Il est 7h10.

00:10:22 On va continuer à se balader avec Thierry M,

00:10:29 qui passe la semaine à Arcs, au Sicon, dans le Doubs,

00:10:32 on est entre le Sauget, la vallée de la Loue,

00:10:35 on est à une quinzaine de kilomètres au nord de Pontarlier,

00:10:38 rencontre au supermarché, à l'épicerie de la commune,

00:10:42 ce matin, on va y aller rencontrer Jean-François,

00:10:45 qui a repris ce mini-marché il y a 3 ans,

00:10:48 rencontre avec lui, puis rencontre avec une cliente aussi tout à l'heure,

00:10:51 à 8h20.

00:10:52 À propos de commerce et de clientèle,

00:10:54 nous allons prendre pas à pas la direction de Vesoules,

00:10:57 dans un instant, pour les Codicis,

00:10:59 à la rencontre d'Estelle Garret, c'est elle qui a repris,

00:11:02 il y a un an et demi, la boutique, pas à pas,

00:11:04 une véritable institution à Vesoules,

00:11:06 on va en parler avec elle dans les Codicis,

00:11:09 juste après Michael Jackson et Black or White,

00:11:12 si en France, nous l'avons vu ce matin.

00:11:14 Bon réveil, profitez de votre journée en France quinquenne.

00:11:17 [Musique]

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00:14:14 On est à la bourre mais on s'en fout,

00:14:21 on ne coupe pas un Michael Jackson,

00:14:23 Black or White sur France Bleu Besançon à 7h15.

00:14:25 France Bleu Besançon, France Bleu Besançon, le coup de coeur.

00:14:28 France Bleu Besançon, partenaire de la Colors Life,

00:14:30 ce sera ce dimanche à La Gardo à Besançon.

00:14:32 Rendez-vous eau en couleur qui fêtera ses 10 ans cette année.

00:14:36 La Colors Life, c'est un événement qui a été co-créé

00:14:39 par la Ligue de lutte contre le cancer et les étudiants de Besançon.

00:14:43 Au programme, un parcours de 5 km tout en couleur sur les berges du Doubs.

00:14:47 Un événement France Bleu Besançon à La Gardo,

00:14:49 ce dimanche 2 juin, la Colors Life.

00:14:51 Les coups de coeur avec Dinozo,

00:14:53 entrée au coeur de la préhistoire

00:14:55 et partez à la découverte des dinosaures grandeur nature

00:14:58 à Charbonnières-les-Sapins entre Besançon et Pontarlier.

00:15:00 Plus d'infos sur dino-zo.com

00:15:03 Les codiciers d'Etaves-Zoul, dans un instant,

00:15:05 à la boutique Passe-Zappa qui a été reprise il y a un an et demi maintenant.

00:15:09 Ici Matin, revient dans un instant.

00:15:13 Des chansons de notre région revisitées par un groupe bourguignon.

00:15:18 Vous allez découvrir avec Elsa, la Mentour.

00:15:21 Nous parlerons d'un gîte insolite en Bourgogne-France-Comté.

00:15:24 Et la profession d'abat-jouriste n'aura plus de secret pour vous.

00:15:27 Et il y aura quelques surprises, soyez là.

00:15:29 Ici, c'est le 6/9 France Bleu Besançon.

00:15:45 Il est 7h15 lors de retrouver les codiciers,

00:15:48 l'actualité de nos entreprises de la région.

00:15:52 Ce matin, l'histoire d'un passage de relais qui se passe bien.

00:15:55 A Besançon, où Estelle Garay a repris récemment la boutique Passe-Zappa,

00:15:58 magasin de chaussures.

00:15:59 Elle est avec nous ce matin.

00:16:00 Bonjour Estelle.

00:16:01 Oui, bonjour.

00:16:02 Le passage de témoins, c'était il y a un an et demi.

00:16:05 Racontez-nous comment ça s'est passé, cette aventure.

00:16:08 J'ai repris le magasin en février 2023.

00:16:11 Je suis la troisième propriétaire.

00:16:14 Le magasin a été créé en 1981.

00:16:18 Je succède à deux messieurs,

00:16:21 M. Demonnet et M. Belay.

00:16:24 J'ai tenté l'aventure.

00:16:28 C'est une institution à Vesoule,

00:16:30 ça existe depuis 1980.

00:16:32 Passe-Zappa, ça met une certaine pression quand on reprend la boutique ?

00:16:35 Oui, un petit peu.

00:16:37 J'espère y arriver, encore quelques années quand même.

00:16:41 Après, la clientèle est là.

00:16:46 J'espère ne pas prendre de risques.

00:16:49 C'est vrai qu'une boutique comme ça,

00:16:52 qui est une institution à Vesoule depuis 1981,

00:16:55 ça veut dire qu'il y a une partie de la clientèle qui est fidèle.

00:16:58 Est-ce que vous avez fait évoluer un peu la boutique ?

00:17:01 Est-ce que vous avez changé des choses à la boutique ?

00:17:03 Je vais essayer d'évoluer.

00:17:06 Je garde les marques que faisait l'ancien propriétaire.

00:17:09 Je vais essayer de trouver d'autres marques.

00:17:12 J'ai fait quelques petits travaux dans la boutique.

00:17:17 Mais avec le temps, je ferai.

00:17:21 Là aussi, il faut y aller pas à pas,

00:17:24 pour ne pas brusquer, pour ne pas heurter la clientèle qui est habituée.

00:17:27 Ça évolue très vite aussi le monde de la chaussure.

00:17:30 Est-ce qu'à ce niveau-là, pas forcément en termes de boutique,

00:17:33 mais en termes de marques de chaussures, vous avez fait évoluer les choses ?

00:17:36 Oui, j'ai trouvé quelques nouvelles marques.

00:17:39 Je vais essayer de trouver.

00:17:40 Parce qu'en fait, je fais femmes et hommes.

00:17:42 Je veux aussi un petit peu plus développer l'homme quand même.

00:17:45 Parce que je me suis aperçue qu'il y avait quand même une demande au centre-ville.

00:17:50 J'aimerais qu'on revienne un petit peu sur vous, sur votre parcours Estelle Garay.

00:17:54 Parce que vous n'étiez pas dans le monde de la bottine.

00:17:56 Avant, vous étiez secrétaire médicale.

00:17:58 Comment ça s'est passé, cette reconversion ?

00:18:00 Qu'est-ce qui vous a amené au monde du commerce ?

00:18:02 Au départ, quand j'étais toute jeune, 19-20 ans,

00:18:07 j'avais travaillé chez ma soeur en boulangerie.

00:18:09 J'avais travaillé aussi dans un hypermarché.

00:18:12 J'ai fait 20 ans dans le monde médical.

00:18:15 Il était temps que je change.

00:18:19 J'avais fait le tour de ce domaine.

00:18:22 J'ai 48 ans.

00:18:25 C'est maintenant ou jamais en fait.

00:18:27 Retrouvez aussi le contact avec la clientèle.

00:18:29 Ça, c'est toujours super sympa.

00:18:30 Oui, et puis en plus, je fais de belles rencontres.

00:18:33 J'ai mes voisins commerçants, super sympa.

00:18:38 J'ai bien été accueillie dans la rue.

00:18:40 C'est très bien.

00:18:43 C'est très bien et on sent votre sourire et votre passion

00:18:46 pour cette boutique Pazapa, boutique de chaussures à Vesoul.

00:18:50 Merci beaucoup Estelle Garay.

00:18:52 Merci, c'est gentil.

00:18:53 On vous souhaite le meilleur pour la suite.

00:18:55 Que cette institution perdure à Vesoul.

00:18:58 A très bientôt, bonne journée.

00:18:59 Merci beaucoup.

00:19:00 Merci, au revoir.

00:19:01 Au revoir.

00:19:02 France Bleu Besançon, la question du jour.

00:19:06 Les pharmaciens sont en grève.

00:19:08 Aujourd'hui, quasiment 95% des officines vont rester fermées.

00:19:13 La principale raison de cette colère, c'est les pénuries de médicaments.

00:19:17 On vous pose la question ce matin.

00:19:18 Est-ce que vous, vous avez été victime de ces pénuries de médicaments ?

00:19:22 Est-ce que vous êtes diabétique par exemple

00:19:24 et que vous avez du mal à trouver votre insuline ?

00:19:26 Est-ce que vous avez des enfants

00:19:28 et que parfois c'est difficile de trouver les médicaments, les antibiotiques ?

00:19:31 Est-ce que c'est difficile pour vous de trouver du paracétamol ?

00:19:33 Bref, dites-nous comment ça se passe pour vous pour récupérer vos médicaments.

00:19:37 On attend vos témoignages au 03 80 833 111.

00:19:41 Vous pouvez aussi nous laisser un message sur la page Facebook de France Bleu Besançon.

00:19:44 Vous avez la parole tout à l'heure à 7h40.

00:19:47 Répondez à la question du jour de France Bleu Besançon.

00:19:50 03 81 833 111.

00:19:53 On était dans le monde du commerce à Vesoul.

00:19:55 Eh bien, on va rester dans le monde du commerce.

00:19:57 Mais cette fois, à Arcs-où-Cicon, dans le doux,

00:19:59 c'est là que se trouve Thierry M, le GPS France Bleu Besançon,

00:20:02 qu'on retrouve juste après Florent Pagny, l'avenir à 7h20.

00:20:06 C'est un faisceau d'espérance, de rêves mal définis.

00:20:11 L'arénette de ces souffrances, issues de nos premiers cris.

00:20:17 C'est des projets de vacances, dans des pays merveilleux.

00:20:23 Avec des oiseaux qui dansent, dans le vert et le bleu.

00:20:29 Tout ce qu'on n'a jamais su faire, on le fera en mille fois mieux.

00:20:40 Des regrets à satisfaire, avec la chance au milieu.

00:20:46 On sera ceux qu'on espère, on ne sera jamais vieux.

00:20:52 On deviendra un bon père, on dira droit dans les yeux.

00:20:59 Tout ce qu'on n'a jamais su dire, on l'a fait pour bâtir l'avenir.

00:21:08 On l'a fait pour bâtir l'avenir, de l'avenir, notre avenir.

00:21:21 On l'a fait pour bâtir l'avenir, de l'avenir, notre avenir.

00:21:30 La société sera juste, les bons auront le pouvoir.

00:21:40 Les gentils auront leur buste, dans les allées du devoir.

00:21:46 Plus de rites, de querelles, plus de monuments aux morts.

00:21:52 Les rues deviendront si belles, qu'on vivra presque dehors.

00:21:59 Les pays pourront s'unir, il sera non violent l'avenir.

00:22:11 Il sera non violent l'avenir, de l'avenir, notre avenir.

00:22:20 Il sera non violent l'avenir, de l'avenir, notre avenir.

00:22:34 On l'a fait pour bâtir l'avenir, de l'avenir, notre avenir.

00:22:44 On l'a fait pour bâtir l'avenir, de l'avenir, notre avenir.

00:23:12 On l'a fait pour bâtir l'avenir, de l'avenir, notre avenir.

00:23:20 Laurent Pagny avec l'avenir sur France Bleu Besançon à 7h23.

00:23:25 L'heure de retrouver le GPS France Bleu Besançon.

00:23:28 Oui, Thierry M est à Arc-Soucis-Camp toute cette semaine, entre le Soget et la Vallée de la Loue, dans le Doubs.

00:23:33 Et on le retrouve ce matin dans un commerce qui est aussi un lieu de vie juste à côté de la mairie.

00:23:38 Alors oui, effectivement, je suis toujours au cœur d'Arc-Soucis-Camp avec Jean-François.

00:23:43 Jean-François qui tient ici le Vival. Bonjour Jean-François.

00:23:46 Bonjour. Alors le Vival, c'est magnifique de trouver un établissement comme celui-là ici à Arc.

00:23:52 Oui, c'est bien. Il y a trois ans que j'ai repris, c'est sympa.

00:23:55 Vous l'avez repris avec cette enseigne-là ?

00:23:57 Oui, avec Vival, oui, c'était déjà depuis une quinzaine d'années que c'est comme ça déjà, Vival.

00:24:02 Ça marche bien ?

00:24:04 Oui, oui, bien. Les gens d'Arc sont très gentils.

00:24:06 D'accord. Est-ce qu'il y a une façon, en même temps de jouer le jeu de leur part et en même temps, vous, d'offrir un maximum de services ?

00:24:13 Oui, j'essaie de fournir ce qu'on me demande. Après, les gens jouent bien le jeu aussi parce que j'ai beaucoup de clients.

00:24:19 Oui, parce que vous êtes à l'écoute de la demande.

00:24:21 Exactement.

00:24:22 C'est-à-dire ? Tiens, par exemple.

00:24:23 La petite dame qui vient commander pour la fête des mères, par exemple, elle me commande toutes les choses que je n'ai pas et je me débrouille pour les trouver.

00:24:28 Les gâteaux, les mingardises qu'on ne fait que sur commande.

00:24:31 D'accord.

00:24:32 Les toasts qu'on ne fait que vraiment sur commande.

00:24:34 Et là, vous travaillez avec un boulanger, avec un pâtissier ?

00:24:37 Oui, le fournil du Larmont à Pontarlier. Et voilà, livrées tous les matins, du pain frais.

00:24:41 C'est un vrai service, c'est important.

00:24:43 Un vrai service, oui. C'est vrai.

00:24:45 Et vous êtes venu à ce métier-là de quelle façon ?

00:24:48 Alors, vraiment comme ça, sur un coup de tête.

00:24:50 Ça vous fait rire ?

00:24:51 Oui, parce que c'est une idée folle, mais je l'ai fait quand même.

00:24:54 Moi, j'étais responsable qualité en Suisse et puis, quand j'ai su que c'était à vendre, je me suis dit, allez, je suis un petit gamin du village, je rachète le vival.

00:25:02 C'est une façon de revenir ici aussi, de votre façon ?

00:25:05 Oui, je suis un peu chauvin, moi. Je n'ai pas le même salaire, ça c'est clair.

00:25:09 Vous avez renoncé quelque part ?

00:25:11 Oui, mais bon, après, tu travailles pour toi, c'est la vie, et puis on voit tous les gens du village. C'est ça qui est bien.

00:25:16 Un peu de ski l'après-midi, ou de vélo, et puis voilà.

00:25:19 Le ski, c'est temps, c'est pas terrible.

00:25:22 C'est anime.

00:25:23 Et puis en même temps, on est un petit peu au mois de mai.

00:25:25 Oui, mais bon, vu la chaleur, c'est bon.

00:25:27 Je vous sens enthousiaste.

00:25:28 Ah oui, toujours, il faut. Toujours le bon esprit.

00:25:31 Souriante, bonne humeur.

00:25:32 Ah, pas tout le temps.

00:25:33 Ah.

00:25:34 Sale caractère.

00:25:35 Ah oui ?

00:25:36 Qu'est-ce qui vous contrarie, alors ? Racontez.

00:25:38 Tout.

00:25:39 Plein de choses. Non, non, ça va. J'ai un sale caractère, donc faut pas trop chercher les ennuis.

00:25:44 Faut pas parler de politique, par exemple, ici.

00:25:46 Ah non, surtout pas.

00:25:47 Ah ben moi, je suis pas politique. Je m'en occupe pas. C'est... Non.

00:25:51 Mais il y a des sujets qui fâchent.

00:25:53 Des sujets qui fâchent ?

00:25:54 Le foot, par exemple.

00:25:55 Ah oui ?

00:25:56 Non, c'est parce que Véros, c'est la trésorière, c'est pour ça.

00:26:00 On tire un sujet... Ah, c'est une blague ?

00:26:01 Oui, oui, c'est pour le taquiner un petit peu.

00:26:03 Parce que vous avez été footballeur, vous ?

00:26:04 Ah oui, bien sûr. Ou fonge, tout le temps.

00:26:06 Coach. Mais maintenant, avec le métier, j'ai un peu stoppé.

00:26:09 Oui, ça prend beaucoup de temps de tenir un multiservice comme ça.

00:26:12 Oui. Ouais, je compte pas mes heures, mais 7h le matin, 7h le soir. Tous les jours.

00:26:18 Ah oui, quand même.

00:26:19 Oui, quand même.

00:26:20 Merci.

00:26:21 Ben, de rien du tout. Merci à vous.

00:26:23 Continuez bien.

00:26:24 Merci.

00:26:25 Tiers-Ieme avec Jeff rencontré au Vival, donc, Dark Soucicon.

00:26:29 On va y rester, puisqu'il en a parlé il y a un instant de Véronique, la trésorière du club de foot.

00:26:34 Eh bien, Tiers-Ieme l'a croisée. Rencontre donc tout à l'heure aux alentours de 8h25.

00:26:39 À suivre, les infos à 7h30, qui arrive après Richie et Poveri.

00:26:43 Sara Perchettiamo. Yes ! J'ai réussi à le dire cette fois.

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00:28:57 Tiers-Poveri, Sara Perchettiamo sur France Bleu.

00:29:03 Besançon dans moins d'une minute.

00:29:05 Les infos à 7h30. On reviendra notamment sur cette grève.

00:29:08 Les pharmaciens partout en France et donc partout en Franche-Comté.

00:29:12 Ici Matin, revient dans un instant.

00:29:15 Certaines enquêtes demandent une totale abnégation.

00:29:22 Je sais bien que le petit Jésus c'est pas votre passion, mais faites un effort.

00:29:26 Amen.

00:29:27 Et même quand on s'appelle Cassandre...

00:29:29 Je n'ai pas de chambre séparée à vous proposer.

00:29:32 Il faut savoir entrer dans les ordres et faire acte d'humilité.

00:29:36 J'ai deux mots à dire au père Gabriel.

00:29:38 Mais renier sa foi en la justice...

00:29:40 Jamais eu de truc qui cloche.

00:29:42 Je peux vous dire que cette fois-ci, il va pas me réciter la messe le curé.

00:29:45 Commissaire Cassandre, plus qu'un métier, un sacerdoce.

00:29:48 Ce soir à 21h10 à France 3 et déjà sur la plateforme France.tv.

00:29:53 Ce programme est disponible en audio-description.

00:29:57 Toutes les solutions qu'on doit trouver, elles doivent être communes.

00:30:01 On peut apprendre autrement, on peut apprendre en bougeant, on peut apprendre en utilisant les cinq sens.

00:30:05 [Cris]

00:30:07 L'essentiel, c'est de se rencontrer, de se parler, d'être ensemble.

00:30:12 La France en vrai, c'est tous les jeudis sur France 3 Bourgogne Franche-Comté

00:30:17 et à tout moment sur la plateforme France.tv.

00:30:20 [Musique]

00:30:26 [Musique]

00:30:28 Ici, on parle d'ici.

00:30:30 Les 7h30 sur France Bleu Besançon, bienvenue à vous,

00:30:33 qui nous rejoignez, vos conditions de circulation ce matin.

00:30:35 Merci à Patrick qui nous a appelé au 0380 833 111 pour nous signaler

00:30:39 qu'entre Ferrière-les-Bois et Bertelange, un arbre est tombé sur la route.

00:30:44 Prudence, donc, n'hésitez pas à nous dire, eh bien, s'il a pu être retiré,

00:30:48 comment se passe la circulation sur place.

00:30:50 La météo, Marion Strécher.

00:30:52 Eh bien, si vous regardez dehors, vous allez peut-être vous dire que c'est là Toussaint.

00:30:54 Ce n'est pas faux, parce qu'effectivement, une fois encore aujourd'hui,

00:30:57 il va pas mal pleuvoir, on aura quelques éclaircies, mais elles seront rares.

00:31:01 Alors, on se console avec les températures,

00:31:03 puisqu'il fera doux aujourd'hui, jusqu'à 18°C pour les maxis.

00:31:07 J'espère que vous n'aurez pas mal aux dents ou à la tête, aujourd'hui.

00:31:10 Oui, parce que ce n'est pas le jour pour chercher des médicaments en urgence.

00:31:13 Les pharmacies sont en grève pour réclamer une meilleure rémunération,

00:31:17 autrement dit, une augmentation du prix des médicaments.

00:31:20 Des pharmaciens qui demandent aussi au gouvernement un véritable plan d'attaque

00:31:23 pour lutter contre les pénuries.

00:31:25 À la pharmacie de Port-sur-Saône, près de Vesoul,

00:31:28 les clients sont plutôt solidaires de leurs pharmaciens en grève,

00:31:31 comme Rachel, qui a été l'une des premières,

00:31:34 c'est ce qu'elle nous dit à signer la pétition de soutien.

00:31:36 J'ai déjà signé la pétition, une des premières.

00:31:40 Je suis d'accord, parce qu'il y a beaucoup moins de pharmacies qu'avant,

00:31:44 et les ruptures de médicaments, moi j'ai été confronté à une rupture de médicaments.

00:31:50 Après, ce n'était pas vital, mais quand même.

00:31:53 On a attendu, et puis finalement, ils sont arrivés bien, bien, bien après,

00:31:57 et au final, le problème était résolu, donc c'était les infiltrations,

00:32:00 et je ne les ai pas faites.

00:32:01 Mais s'il avait fallu les faire, on a attendu bien deux mois,

00:32:06 parce qu'entre temps j'ai fait des séances de clinique,

00:32:08 donc voilà, je soutiens à fond.

00:32:10 Voilà, Rachel qui soutient à fond.

00:32:12 Dites-nous, tiens, si comme Rachel, vous avez vous aussi subi,

00:32:15 en franche comptée, des pénuries de médicaments,

00:32:17 si vous avez dû attendre avant de pouvoir renouveler votre ordonnance,

00:32:20 c'est Anis qui vous répond et qui vous attend au 03883311.

00:32:24 Et avec l'invité du 6-9, le responsable du syndicat USPO,

00:32:28 Arnaud Verdenay, qui est pharmacien, s'invite avec lui.

00:32:30 Nous verrons ce que tout ça a comme conséquence,

00:32:33 aussi concrètement sur le quotidien des pharmaciens.

00:32:36 On parle de pénurie de médicaments ce matin,

00:32:38 mais il est aussi question de moins bien indemniser les arrêts maladie.

00:32:41 Oui, la Cour des comptes préconise effectivement d'arrêter d'indemniser

00:32:45 les arrêts maladie de moins de huit jours,

00:32:47 ou encore d'augmenter le délai de carence à sept jours au lieu de trois.

00:32:51 Ce sont des préconisations à la Cour des comptes

00:32:54 qui veut enrayer le déficit de la sécurité sociale.

00:32:57 Dans l'actu ce matin, on a un incendie en Haute-Saône

00:33:00 qui s'est déclenché vers 5h du matin du côté de Champagny.

00:33:03 Une habitation de 100m2 isolée de la commune de Champagny est totalement embrasée.

00:33:08 Aux assises du doux, deux ans de prison avec sursis prononcés

00:33:11 contre un père de famille accusé d'avoir secoué son bébé.

00:33:14 C'était à cesser dans le doux.

00:33:15 Le 8 juin 2018, cet homme avait appelé les secours

00:33:18 parce que sa petite fille de six semaines était toute pâle,

00:33:21 elle ne respirait plus.

00:33:22 L'enfant était décédé quelques jours plus tard

00:33:24 et les examens avaient révélé qu'elle présentait tous les symptômes du bébé secoué.

00:33:28 Le père était donc jugé ce début de semaine aux assises du doux.

00:33:31 Le ministère public avait requis six ans de prison à son encontre.

00:33:35 Son avocat avait lui plaidé l'acquittement

00:33:37 en mettant en avant notamment le très jeune âge du père

00:33:40 qui n'avait que 19 ans à l'époque des faits.

00:33:42 Les jurés l'ont visiblement entendu avec cette peine de deux ans avec sursis de prononcés.

00:33:47 France Bleu Besançon, 7h33, une pensée pour les lycéens ce matin Marion.

00:33:50 Oui, déjà les élèves de terminal qui devraient recevoir d'ici ce soir

00:33:54 leur première réponse pour leur vœu de parcours sup.

00:33:58 Voilà, réponse positive ou négative, c'est toujours un stress.

00:34:01 Pour les terminales de PIX, ce parcours sup a été installé.

00:34:03 Je sais pas, moi j'ai fait ça en mini-tel.

00:34:05 Avec une connexion improbable.

00:34:08 Voilà, mais le stress est toujours le même.

00:34:10 Voilà, mini-tel ou parcours sup, le stress traverse les âges.

00:34:13 Donc une petite pensée pour eux.

00:34:15 Petite pensée aussi pour les élèves de seconde

00:34:17 qui n'ont plus que quelques jours pour trouver un stage de fin d'année

00:34:19 puisque vous le savez, Gabriel Attal veut désormais

00:34:22 que les élèves de seconde passent leurs derniers 15 jours scolaires

00:34:26 en stage en entreprise, dans un commerce ou une association.

00:34:29 Le problème c'est qu'un stage, ça ne se trouve pas comme ça.

00:34:32 D'après les syndicats enseignants au niveau national,

00:34:35 il y a seulement un quart des lycéens de seconde qui auraient trouvé ce stage.

00:34:39 Alors chez nous en Franche-Comté, on a passé pas mal de coups de filière

00:34:42 aux différents lycées, c'est un petit peu mieux

00:34:44 puisqu'on a un petit peu plus de la moitié des élèves de seconde

00:34:47 qui ont trouvé ce fameux stage de fin d'année.

00:34:49 Reste que ça veut quand même dire que l'autre moitié ne l'a pas trouvé.

00:34:53 Pour Jean-François Hénard, le secrétaire adjoint de la FCPE,

00:34:56 la Fédération des conseils de parents d'élèves dans le Doubs,

00:34:58 cette mesure est donc un échec.

00:35:00 Nous sommes en colère, les parents sont en colère,

00:35:03 nous comprenons le désarroi des jeunes,

00:35:05 les jeunes sont aussi, je dirais pas en colère, mais déçus.

00:35:07 C'est pas bon pour la relation de la jeunesse avec le monde économique.

00:35:12 Parce qu'ils vont dire "ah, ils veulent pas de nous".

00:35:14 Mais c'est pas qu'ils veulent pas de nous,

00:35:15 c'est qu'ils peuvent pas prendre une multitude de jeunes qui viennent comme ça.

00:35:18 C'est quand même une charge d'encadrer un jeune dans une entreprise, quelle qu'elle soit.

00:35:21 Et ça ne s'improvise pas comme ça dans une idée

00:35:23 qui consistait à reconquérir le mois de juin pour l'école.

00:35:26 On le reconquiert pour la moitié des élèves,

00:35:28 dont la plupart sont d'ailleurs des enfants de famille plutôt favorisés,

00:35:31 qui ont pu faire jouer leur réseau.

00:35:32 En tout cas, la moitié des autres élèves vont revenir dans les lycées.

00:35:35 Mais comment va-t-on les accueillir ?

00:35:37 Puisque les enseignants n'y seront pratiquement pas,

00:35:39 puisqu'ils seront pris par les examens, par les corrections.

00:35:41 Donc on se pose la question.

00:35:43 On attend de voir avec impatience

00:35:45 comment ces, disons, 50% de jeunes vont être accueillis.

00:35:48 Et nos chefs d'établissement, eux-mêmes, nous disent

00:35:51 "On est un petit peu inquiets, on sait pas trop comment ça va se passer."

00:35:54 Voilà, pour quelles raisons c'est si compliqué de trouver un stage ?

00:35:57 On parle beaucoup ce matin du fameux réseau des parents,

00:36:00 mais il y a d'autres raisons que celles-là.

00:36:02 Ce sera l'objet du plus de l'info tout à l'heure, à 8h15.

00:36:05 En cyclisme, pas de chance, c'est passé tout près à 10 petites secondes

00:36:09 pour Clément Berthet, le jurassien,

00:36:11 qui termine 2e derrière Léni Martinez,

00:36:13 de la Bercan Tour classique des Alpes.

00:36:17 Sur le parvis du CHU de Besançon, il n'y a pas eu de vainqueur hier,

00:36:20 mais il n'y a eu que des sourires, que du bonheur,

00:36:22 puisque les enfants hospitalisés ont eu la joie

00:36:27 de recevoir quelques handballeuses de l'SBF

00:36:29 qui sont venues partager quelques ballons,

00:36:31 et un petit peu de leur passion.

00:36:33 De passion, il en sera question.

00:36:34 Dans le journal de 8h, avec Charlotte Schumacher,

00:36:36 nous prendrons des cours de généalogie.

00:36:39 Visiblement, c'est une occupation, une passion de plus en plus tendance.

00:36:43 Dans le ciel, je vois...

00:36:49 Je vois que j'essaye de rafraîchir la page Facebook

00:36:52 pour voir ce que le temps fait chez vous, et que ça rame ce matin.

00:36:55 Voilà, donc c'est bon.

00:36:57 Qu'est-ce que ça nous raconte ?

00:36:59 Eh bien, moi j'ai envie de vous dire que...

00:37:01 Il pleut !

00:37:03 Je vous avais failli nous faire peur.

00:37:05 J'ai cru que vous alliez nous dire, je ne sais pas,

00:37:07 que vous étiez un peu fifou.

00:37:09 Voilà. "Plic-Ploc" nous dit tout simplement Philippe,

00:37:12 qui nous écoute à Ornans.

00:37:14 Il fait 15 degrés, 14 degrés à Villers-Gueuleau,

00:37:18 chez Séverine, où il fait 14 degrés.

00:37:21 La pluie est fine à Aubonne.

00:37:24 Ça c'est dans le sud de la France, non ?

00:37:26 Ah non, c'est dans le nord, non ?

00:37:27 Aubonne, c'est dans le Doubs.

00:37:28 Il fait 12 degrés, et il pleut ce matin.

00:37:30 C'est dans le Doubs, en direction de Pont-Arlé, là, sur la droite.

00:37:33 Quand on va vers Lalou.

00:37:35 Je vois bien.

00:37:37 Ah bah oui, il y a au virage.

00:37:38 Là, il y a le poteau.

00:37:40 On prend à droite au cd le passage, et on y est.

00:37:42 Voilà, tout simplement.

00:37:43 Bref, temps indécis ce matin,

00:37:45 avec surtout de la grisaille et de la pluie.

00:37:47 Des températures qui ne montent pas bien haut cet après-midi.

00:37:49 Le temps ne devrait pas changer,

00:37:51 jusqu'en début de soirée,

00:37:53 avec les orages qui vont faire leur retour dans la région.

00:37:55 Le vent va souffler en rafale, 70 km/h.

00:37:58 Attention, de fortes averses sont annoncées par Météo France.

00:38:02 Les températures cet après-midi, la maximale 20 degrés.

00:38:04 Ce sera pour Dol, 19 degrés.

00:38:06 Avezoul, 18 degrés.

00:38:08 Agrée, Luxeuil, Beaumledam, Besançon,

00:38:10 ou encore Lonce-le-Saunier, 17 degrés à Morteau.

00:38:12 14 degrés pour Pont-Arlé, cet après-midi.

00:38:15 Sur la route, ce matin, prudence.

00:38:17 Donc, si vous circulez entre Ferrière-les-Bois et Bertelange,

00:38:20 c'est Patrick qui nous a appelés au 0380 833 111,

00:38:23 pour nous prévenir qu'il y avait un arbre qui était tombé sur la route,

00:38:26 à cet endroit-là.

00:38:27 Est-ce qu'il a été dégagé ?

00:38:28 N'hésitez pas à nous le dire, au 0380 833 111,

00:38:31 du côté des entrées de Besançon.

00:38:33 C'est tout à fait classique.

00:38:34 C'est la voie des Mercureaux, le bas de la côte de l'Arnaud,

00:38:36 où ça coince à 7h6.

00:38:37 Et puis, au niveau des ronds-points de Deufcet,

00:38:39 au niveau des travaux du haut du rond-point,

00:38:41 lorsque vous venez de Rio.

00:38:42 L'infotrafic 100% local, avec Aquadoux,

00:38:45 appareil contre le calcaire, sans sel, sans entretien.

00:38:48 À Besançon, 96D, rue de Belfort.

00:38:51 Plus d'infos sur aqua-doux.fr.

00:38:54 7h38.

00:38:56 269, France-Bleu-Besançon, Arnaud-Fromage, Anne-Faubarque.

00:39:01 Le théâtre La Cerbacane, à Pontarlier,

00:39:03 organise le week-end prochain son festival,

00:39:07 le Pont des Arts.

00:39:08 On va mettre le focus sur ce théâtre,

00:39:10 cette association et ce festival,

00:39:12 donc tout à l'heure, juste avant 8h.

00:39:15 Le dossier du jour est bien évidemment concentré,

00:39:17 consacré aux pharmaciens qui sont en grève,

00:39:20 qui se mobilisent.

00:39:21 Aujourd'hui, l'un d'entre eux,

00:39:22 représentant du syndicat UPSO,

00:39:25 dans le Doubs sera notre invité,

00:39:27 Arnaud Verdonnet, pharmacien également,

00:39:29 à Saint-Vite,

00:39:31 j'ai mal prononcé Anne-Faubarque ?

00:39:32 Je crois qu'on dit les initiales, je vais vérifier.

00:39:34 USPO ?

00:39:35 Oui, je pense.

00:39:36 Syndicat USPO.

00:39:37 Donc, des pharmaciens,

00:39:39 et puis vous, est-ce que vous êtes concernés

00:39:41 par ces pénuries de médicaments ?

00:39:42 Est-ce que vous galérez à trouver des médicaments

00:39:44 chez votre pharmacien ?

00:39:45 C'est le bon moment pour nous appeler au 0380 833 11,

00:39:48 pour nous laisser votre petit message

00:39:50 sur la page Facebook de France Bleu,

00:39:52 France Galela.

00:39:53 Alors, écartez-vous, elle arrive,

00:39:55 et elle nous emmène.

00:39:56 À 7h39, France Bleu, on réveille.

00:39:59 Toi qui a posé les yeux sur moi,

00:40:03 toi qui me parles pour que j'aie moins froid,

00:40:08 je te donne tout ce que j'ai à avoir,

00:40:12 la clé d'un monde qui n'existe pas.

00:40:17 Viens, je t'emmène,

00:40:21 où les étoiles trouvent la lune au secret.

00:40:26 Viens, je t'emmène,

00:40:30 où le soleil soir va se reposer.

00:40:34 J'ai tellement fermé les yeux,

00:40:37 j'ai tellement rêvé

00:40:39 que j'y suis arrivée.

00:40:42 Viens, je t'emmène,

00:40:46 où les rivières vont boire et vont se cacher.

00:40:51 Viens, je t'emmène,

00:40:55 où les nuages grises vont s'amuser.

00:40:59 J'ai tellement fermé les yeux,

00:41:02 j'ai tellement rêvé

00:41:04 que j'y suis arrivée.

00:41:07 Plus loin, plus loin,

00:41:09 plus loin que la mer de Yétail.

00:41:14 Plus loin, plus loin,

00:41:17 plus loin que la mer de Corail.

00:41:22 Viens, je t'emmène,

00:41:26 derrière le miroir de l'autre côté.

00:41:31 Viens, je t'emmène,

00:41:35 pays du vent, pays des fées.

00:41:39 J'ai tellement fermé les yeux,

00:41:42 j'ai tellement rêvé

00:41:44 que j'y suis arrivée.

00:41:47 Viens, je t'emmène,

00:41:51 viens, je t'emmène.

00:42:00 J'ai tellement fermé les yeux,

00:42:07 j'ai tellement rêvé

00:42:09 que j'y suis arrivée.

00:42:12 Plus loin, plus loin,

00:42:14 plus loin que la mer de Yétail.

00:42:19 Plus loin, plus loin,

00:42:22 plus loin que la mer de Corail.

00:42:27 Viens, je t'emmène,

00:42:32 où l'illusion devient réalité.

00:42:36 Viens, je t'emmène,

00:42:40 derrière le miroir de l'autre côté.

00:42:45 J'ai tellement fermé les yeux,

00:42:47 j'ai tellement rêvé

00:42:49 que j'y suis arrivée.

00:42:52 Viens, je t'emmène,

00:42:56 viens, je t'emmène.

00:43:09 J'ai tellement fermé les yeux,

00:43:12 j'ai tellement rêvé

00:43:14 que j'y suis arrivée.

00:43:17 Viens, je t'emmène,

00:43:21 viens, je t'emmène.

00:43:29 J'ai tellement fermé les yeux,

00:43:36 j'ai tellement rêvé

00:43:38 que j'y suis arrivée.

00:43:41 Viens, je t'emmène,

00:43:45 viens, je t'emmène.

00:43:53 - France Gal avec "Viens, je t'emmène" sur France Bleu Besançon à 7h43.

00:43:58 La question du jour qu'on vous pose sur la page Facebook de France Bleu Besançon

00:44:02 et au 03 80 833 111

00:44:04 concerne les officines, les pharmacies, elles sont en grève aujourd'hui

00:44:08 pour une bonne raison, on manque de médicaments.

00:44:11 On vous a demandé vos témoignages sur la page Facebook de France Bleu Besançon.

00:44:14 - Oui, alors cette pénurie de médicaments interroge en tous les cas,

00:44:18 par exemple Jérôme qui nous dit "je ne comprends pas pourquoi on est en pénurie en 2024,

00:44:23 surtout que c'est un marché très lucratif, dit-il.

00:44:26 Faudra-t-il être riche pour s'en procurer ?

00:44:28 Faut-il ne pas faire tomber certains brevets pour que d'autres entreprises puissent fabriquer ces médicaments ?

00:44:33 Donc voilà, c'est les médicaments manquants, c'est le petit message de Jérôme.

00:44:38 Philippe qui lui est plutôt en colère puisqu'il dit

00:44:41 "en fait quand il n'y a plus de générique, on nous donne le médicament original avec le supplément à payer"

00:44:46 donc là Philippe lui s'interroge plutôt sur le prix des médicaments.

00:44:50 "Est-ce normal ? dit-il. Par ailleurs les conditionnements ne correspondent pas à la prescription,

00:44:54 on a souvent trop de médicaments qui finissent dans le placard ou de retour chez le pharmacien."

00:44:59 Donc le pharmacien qui répondra à ces questions, à ces interrogations,

00:45:03 est-ce qu'il sera l'invité dans un instant du 6/9 ?

00:45:06 C'est ça, ce sont des questions qu'on va pouvoir poser à notre invité Arnaud Verdonnet,

00:45:10 pharmacien, assinvite et responsable du syndicat USPO dans le Doubs.

00:45:14 A tout de suite.

00:45:25 À Joigny, dans Lyon, les habitants s'engagent pour le climat.

00:45:29 Retrouvez votre série documentaire "Carbonisé" tous les vendredis à 9h05 sur France 3 Bourgogne-Franche-Comté.

00:45:52 Il est 8h moins le quart, c'est difficile de trouver aujourd'hui une pharmacie ouverte.

00:45:55 Les pour-causes, les pharmaciens sont en grève.

00:45:57 Ils alertent notamment sur les risques de pénurie de médicaments,

00:46:01 mais aussi sur la libéralisation de la vente des médicaments en ligne.

00:46:05 Arnaud Verdonnet, bonjour.

00:46:07 Vous êtes vous, installé assinvite, vous êtes responsable aussi du syndicat USPO du Doubs,

00:46:12 Union des syndicats de pharmacien d'officine, pour traduire.

00:46:15 Cette pénurie de médicaments, c'est véritablement insupportable, c'est ce que vous dites ?

00:46:20 Oui, ça dure depuis déjà plusieurs années, et c'est vrai que ça complique notre travail au quotidien.

00:46:26 Et il n'y a rien qui est fait actuellement pour y remédier.

00:46:30 Donc ça met en premier lieu les patients en difficulté.

00:46:33 Nous, ça alourdit notre charge de travail, et on ne voit pas le bout de tout ça.

00:46:39 Donc aujourd'hui, on est en grève avec l'ensemble de la profession.

00:46:42 Alors justement, cette pénurie, elle est due à quoi ?

00:46:45 Parce que c'est vraiment la question que tout le monde se pose finalement.

00:46:48 Moi aujourd'hui, je vais avec mon ordonnance, donc le médecin, choisir un médicament.

00:46:53 Et puis j'arrive chez le pharmacien, et là on me dit "bah non, finalement, là j'en ai pas".

00:46:58 Oui, c'est ça, c'est qu'aujourd'hui vous venez pour un antibiotique, des médicaments de base,

00:47:03 et on est incapable de vous les fournir, ou alors c'est très compliqué, et ça nous prend beaucoup de temps.

00:47:09 Écoutez, principalement, c'est une histoire de prix.

00:47:12 C'est que les différentes politiques de santé, depuis des années, ont baissé les prix des médicaments.

00:47:16 Et en France, on se retrouve avec des médicaments les moins chers en Europe.

00:47:19 Alors, les industriels, qu'est-ce qu'ils font ? Ils vendent ailleurs, et ça dure depuis plusieurs années.

00:47:27 Donc il y a 10 ans, c'était 500 médicaments qui étaient en rupture, aujourd'hui c'est plus de 5000.

00:47:32 Et donc, c'est vraiment des situations compliquées.

00:47:36 C'est quoi ? Ça veut dire qu'en France, en fait, on est servi en dernier ?

00:47:39 Exactement, on est la dernière roue de la charrette.

00:47:41 Et donc, c'est pour ça qu'il y a d'autres pays, comme l'Allemagne, qui ont monté les prix pour éviter ce genre de soucis.

00:47:48 Et donc, c'est vrai que c'est compliqué pour nous au quotidien, et c'est pour ça qu'on manifeste aujourd'hui.

00:47:54 Mais est-ce que c'est la solution, justement, par exemple, que vous donnez l'exemple de l'Allemagne ?

00:47:59 Donc, est-ce que, pour vous, la solution c'est ça, augmenter le prix ?

00:48:02 Oui, oui, alors il y a plein de solutions qui sont un peu plus techniques, mais à la base, c'est ça.

00:48:06 C'est surtout jouer sur le prix du médicament.

00:48:08 Et après, il y a d'autres soucis, les médicaments pour le diabétique aussi, qui sont beaucoup en tension.

00:48:14 Donc, c'est vrai qu'il y a un ensemble de problèmes qui, pour l'instant, ne donnent pas de solution.

00:48:20 Et c'est pour ça qu'on voudrait que ça avance un peu et qu'au niveau des instances, ça bouge.

00:48:25 Et donc, concrètement, vous, vous faites comment ?

00:48:27 C'est-à-dire que, voilà, le patient arrive, il a son ordonnance, vous n'avez pas le médicament.

00:48:31 Vous faites quoi ?

00:48:32 Alors, concrètement, on essaie déjà, soit on rappelle le médecin et c'est pareil, on les dérange pour essayer de changer de classe de médicament.

00:48:40 Ou alors, on essaie de trouver en appelant différents fournisseurs.

00:48:44 Enfin, nous, en moyenne, ça nous prend une heure par jour pour tous ces soucis-là.

00:48:50 Et c'est vrai qu'on a autre chose à faire et ce n'est pas notre cœur de métier.

00:48:53 Et justement, alors, vous dites "ça nous prend une heure par jour".

00:48:56 Ça veut dire que finalement, quand le patient arrive, déjà, d'emblée, vous lui dites "bah non, c'est non".

00:49:02 "C'est peut-être tout à l'heure, c'est peut-être demain".

00:49:07 Et aujourd'hui, pour des médicaments de base, tels que les antibiotiques, ne pas pouvoir délivrer le médicament, c'est scandaleux.

00:49:13 Donc, ça fait maintenant la troisième année, le troisième hiver.

00:49:17 Là, ça risque encore de se reproduire l'hiver prochain.

00:49:20 Donc, c'est vrai que c'est là où on veut vraiment appuyer et dire, en France, aujourd'hui, ne pas pouvoir avoir les médicaments de base, c'est pas possible.

00:49:29 C'est pas possible.

00:49:30 Alors, au mois de janvier, Gabriel Attal a annoncé également la libéralisation de la vente en ligne de médicaments.

00:49:36 Alors, dites-nous ce que ça veut dire et puis, pourquoi vous dites non à cette libéralisation de la vente en ligne ?

00:49:42 Alors déjà, il y a énormément de pharmacies qui sont en difficulté.

00:49:46 On a subi, comme dans de nombreux autres secteurs, une hausse des charges depuis plusieurs années.

00:49:51 Et il y a beaucoup de pharmacies qui sont en difficulté.

00:49:53 Oui, qui ferment aussi.

00:49:54 Voilà, les fermetures s'accélèrent. Il y en a eu 300 l'année dernière.

00:49:57 Depuis 10 ans, c'est 2000 pharmacies qui ont baissé le rideau.

00:50:01 Donc, c'est vrai qu'on alerte aussi sur une situation en difficulté.

00:50:05 Et face à ça, on nous propose un projet de loi qui va faciliter la vente des médicaments sur Internet.

00:50:11 Alors, on ne comprend pas trop et ça nous inquiète parce qu'on est en colère aussi.

00:50:16 Parce qu'il y a quelques années, on avait un système de santé qui faisait la fierté nationale,

00:50:21 qui était animéré par de nombreux pays.

00:50:23 Et aujourd'hui, on voit le système qui se délite.

00:50:26 Et aujourd'hui, il y a des déserts médicaux.

00:50:28 Mais d'ici quelques temps, vous aurez des déserts pharmaceutiques

00:50:32 parce qu'il n'y aura plus de pharmacies dans les petits villages.

00:50:35 Oui, on entendait ce matin le témoignage de l'une de vos collègues

00:50:38 qui est dans une petite commune de Haute-Saône, qui est vraiment à bout,

00:50:41 qui dit "je suis dans le rouge, je suis obligée de demander de l'aide à mes parents".

00:50:45 Or, cette dame a 50 ans.

00:50:47 C'est un cri du cœur vraiment des pharmaciens aujourd'hui ?

00:50:50 Oui, oui, c'est vraiment... Il y a beaucoup de pharmaciens en difficulté.

00:50:53 Et face à ça, l'assurance maladie ne propose pas de mesures qui sont en lien avec ce qu'on attend.

00:51:01 Et c'est pour ça qu'on alerte et on dit "le réseau pharmaceutique, il est important".

00:51:06 On a eu la chance que les Français, les francs-comptois soient vraiment attachés à leur pharmacie.

00:51:11 Mais c'est vrai que si on ne fait pas attention, le réseau va petit à petit devenir de plus en plus compliqué.

00:51:18 Et on alerte sur nos difficultés.

00:51:20 Merci beaucoup en tous les cas pour votre témoignage Arnaud Verdeney.

00:51:24 Pharmacien à Saint-Vite, membre du syndicat USPO Dudou, l'union des syndicats de pharmaciens d'officine.

00:51:30 Donc deux syndicats en tous les cas qui appellent à la grève aujourd'hui. 95% des officines fermées en franche-comté.

00:51:38 Aujourd'hui, bien sûr, il y a la pharmacie de garde.

00:51:40 Évidemment, on ne vous laissera pas sur le carreau si jamais il y a un grave, grave problème.

00:51:44 Évidemment, interview à retrouver sur francebleu.fr/besonsons.

00:51:49 Continuez évidemment à nous laisser vos témoignages aussi sur la page Facebook de France Bleu.

00:51:53 À suivre, une très belle association, la Cerbacane à Pontarlier, juste après Icare et Clos du Café.

00:51:59 [Musique]

00:52:26 Allô du ciel, allô de vie, allô de chavelle, allô de pluie.

00:52:33 La vie est belle, le temps s'enfuit, on crie pas peine que c'est déjà fini.

00:52:40 La la la, la la la, la la la la la la la la.

00:52:46 On sait construire une vie en rose, il y a des choses qui prennent du temps.

00:52:50 Il y a le temps qui prend ces choses auxquelles on tient cruellement.

00:52:53 Et puis je me l'enferme chez les autres, que le mien vient de l'intérieur.

00:52:57 Faut éteindre le feu sous mes côtes, quitte à noyer mon cœur.

00:53:01 Allô du ciel, allô de vie, allô de chavelle, allô de pluie.

00:53:07 La vie est belle, le temps s'enfuit, on crie pas peine que c'est déjà fini.

00:53:14 La la la, la la la, la la la la la la la la la.

00:53:27 Est-ce que quelqu'un paiera un jour le prix de toute ma solitude ?

00:53:31 Tout ce que je fais c'est par amour, même si cette vie n'a qu'une brute.

00:53:34 J'apprendrai à me réjouir, c'est sûr, du temps que cette vie me lasse.

00:53:41 Au lieu de pleurer le temps perdu, j'arroserai celui qui resterait.

00:53:48 Allô du ciel, allô de vie, allô de chavelle, allô de pluie.

00:53:55 La vie est belle, le temps s'enfuit, on crie pas peine que c'est déjà fini.

00:54:02 Allô du ciel, allô de rose, allô de tout ce que tu me proposes.

00:54:09 Je passe ma main dans tes cheveux, mon enfer s'éteint.

00:54:15 Allô de tes yeux, la la la, la la la, la la la la la la la la la.

00:54:32 Le nouveau titre d'Ika rendu avec Claudio Capeo, "Eau de Javel" sur France Bleu Besançon

00:54:37 à 7h54 ici en Franche-Comté, les associations se présentent à nous.

00:54:42 Et ce matin on avait envie de mettre en avant cette belle association,

00:54:46 la Sarbacane c'est à Pontarlier, bonjour Antoine-Nicole Ancin.

00:54:50 - Bonjour Arnaud.

00:54:51 - La Sarbacane c'est avant tout un théâtre, mais pas n'importe quel théâtre,

00:54:55 puisque c'est une scène buissonnière.

00:54:57 Racontez-nous un petit peu ce que c'est la Sarbacane.

00:54:59 - Alors effectivement c'est un théâtre particulier, puisque c'est un théâtre sans théâtre.

00:55:02 Nous n'avons pas notre propre théâtre.

00:55:04 Et pourquoi c'est une buissonnière ? Parce qu'on emprunte les chemins

00:55:07 qui ne sont pas toujours tout à fait tracés,

00:55:09 pour se balader à travers le territoire du Haut-Doubt,

00:55:13 pour proposer effectivement du théâtre, pas seulement,

00:55:16 mais en tout cas du spectacle vivant un petit peu à toutes les sauces,

00:55:20 et surtout dans tous les lieux.

00:55:22 Donc voilà, on utilise quelques fois les théâtres de la ville de Pontarlier,

00:55:25 mais la plupart du temps on utilise des lieux non dédiés,

00:55:27 donc ça peut être des salles des fêtes, un hangar, et puis très bientôt la rue.

00:55:33 - Voilà, la rue dans le cadre du festival du Pont des Arts,

00:55:36 qui va donc avoir lieu du 5 au 9 juin, c'est pas ce week-end mais le week-end d'après,

00:55:40 à Pontarlier, Arts de rue spectacle,

00:55:43 qui va être en plus une rue partagée cette année pour vous à Pontarlier.

00:55:46 - Oui, c'est une rue partagée, donc Jeux Olympiques obligent,

00:55:50 on va partager la scène et l'espace public,

00:55:54 avec les Jeux... - Les Championnats de France de Paracyclisme !

00:56:00 - Oui, les Championnats de France de Paracyclisme.

00:56:01 J'allais dire les Jeux Paralympiques, pas encore,

00:56:03 mais en tout cas ça en fait partie, puisque c'est précurseur des Jeux Paralympiques.

00:56:07 - Et puis en plus ce sera un championnat qui va permettre de savoir

00:56:10 quels seront nos athlètes qui vont nous représenter la France aux Jeux Paralympiques,

00:56:14 donc c'est très important.

00:56:15 Comment est-ce qu'on mêle justement la culture, le théâtre, l'art de la rue et le sport ?

00:56:21 - Et bien c'est pas forcément simple au départ,

00:56:23 parce qu'il faut partager l'espace public,

00:56:26 et en même temps c'est le projet de Pont des Arts.

00:56:28 Il faut s'adapter, et puis en même temps, très rapidement,

00:56:32 on se rend compte quand on a cette contrainte-là,

00:56:34 que ça va devenir un atout,

00:56:36 puisqu'on se dit qu'on va pouvoir mélanger les publics,

00:56:38 se faire rencontrer des publics qui n'ont pas forcément l'habitude

00:56:41 d'aller fréquenter les événements de l'un et de l'autre organisation.

00:56:46 Donc voilà, ça devient une opportunité,

00:56:49 et puis on est convaincu à la Sarbacane

00:56:51 qu'il y a une nécessité de décloisonner aussi un petit peu la culture et les arts vivants,

00:56:55 pour aller s'ouvrir vers d'autres horizons,

00:56:59 que sont le sport, que sont d'autres secteurs d'actualité.

00:57:02 Donc c'est vrai que régulièrement, on tend la main à des associations

00:57:05 dans d'autres secteurs, et cette année c'est le sport,

00:57:08 et puis le théâtre il est aussi politique,

00:57:10 donc il est là aussi pour aller se coller à l'actualité,

00:57:14 et donc là on a une actualité nationale qu'on ne peut pas ignorer.

00:57:17 - Et oui, forcément, les Jeux Olympiques qui vont teinter tout cet été 2024,

00:57:21 le Festival du Pont des Arts,

00:57:23 donc c'est huit compagnies qui vont être réunies,

00:57:26 et puis c'est vraiment dans tous les styles,

00:57:28 il y a vraiment à la fois du spectacle de rue,

00:57:31 et puis des concerts aussi qui vont être organisés.

00:57:33 - Oui, il y a une grosse partie concert cette année,

00:57:36 on a reconcentré un petit peu le festival

00:57:38 pour justement s'adapter à cette cohabitation,

00:57:41 et puis on voulait le rendre le plus festif possible,

00:57:44 parce que ça fait partie du projet de Sarbacane aussi,

00:57:46 c'est de rendre le spectacle vivant le plus festif possible.

00:57:50 Donc il y a deux... en tout cas il y a une fin de journée du samedi

00:57:54 très festif et très concert, très musical.

00:57:57 - Un festival donc festif et curieux,

00:58:01 le Festival du Pont des Arts,

00:58:03 ce sera le week-end du 5 au 8...

00:58:07 8 au... c'est ça, 8 juin prochain !

00:58:10 - Voilà, c'est écrit 9 juin sur l'affiche,

00:58:12 mais il y a eu une petite rétractation,

00:58:14 donc tout est essentiel,

00:58:15 alors l'Anjou Diès est essentiellement concentré sur le samedi,

00:58:17 il y a déjà eu une amorce aussi le mercredi,

00:58:19 dans le quartier des Pareuses.

00:58:20 C'est important de le signaler,

00:58:21 puisque c'est un quartier dans lequel on n'allait pas jusque-là,

00:58:24 donc c'est un peu une nouveauté,

00:58:26 le public va être un petit peu baladé

00:58:28 à différents endroits de la ville aussi durant la semaine,

00:58:30 notamment aux Pareuses le mercredi,

00:58:32 et puis ensuite, le temps fort le samedi,

00:58:35 avec un final avec la Kumbia Boombox des Gabachas,

00:58:39 c'est un groupe uniquement de filles

00:58:41 qu'on avait déjà accueillies il y a quelques années en sortie de Covid,

00:58:44 qui avaient déjà mis le feu au Pont des Arts,

00:58:46 et on espère qu'elles vont réveiller avec un nouveau répertoire,

00:58:50 un petit peu plus électro.

00:58:51 Et vous retrouvez tout le programme évidemment sur le site festivalpontdesarts.com,

00:58:55 c'est un partenariat France Bleu Besançon.

00:58:57 Merci beaucoup Antoine-Nicole Ancin, à bientôt.

00:58:59 À bientôt, bonne journée.

00:59:00 Tous les samedis, partez à l'aventure avec Guillaume Pierre.

00:59:10 Une aventure 100% féminine avec les gazelles de Dijon.

00:59:13 - Allez Valentin ! - Qu'est-ce qu'il y a ?

00:59:16 Zéro pointé pour Guillaume, qui se rattrape sur la danse libre.

00:59:20 Toutes tes épaules Guillaume !

00:59:22 Je peux danser, mais je préfère danser les os.

00:59:24 De la danse libre au cheerleading, il n'y a qu'un pas.

00:59:27 La Tête à l'endroit, le samedi à 19h, sur France 3 Bourgogne-Franche-Comté,

00:59:33 et sur la plateforme France.tv.

00:59:35 ...

00:59:50 Certaines enquêtes demandent une totale abnégation.

00:59:55 Je sais bien que le petit Jésus, ce n'est pas votre passion,

00:59:58 mais faites un effort.

00:59:59 Amen.

01:00:00 Et même quand on s'appelle Cassandre...

01:00:02 Je n'ai pas deux chambres séparées à vous proposer.

01:00:05 Il faut savoir entrer dans les ordres et faire acte d'humilité.

01:00:09 J'ai deux mots à dire au Père Gabriel.

01:00:11 Mais renier sa foi en la justice...

01:00:13 Jamais !

01:00:14 Y a un truc qui cloche.

01:00:15 Je peux vous dire que cette fois-ci, il va pas me réciter la messe le curé.

01:00:18 Commissaire Cassandre, plus qu'un métier, un sacerdoce.

01:00:22 Ce soir à 21h10 sur France 3, et déjà sur la plateforme France.tv.

01:00:26 Ce programme est disponible en audio-description.

01:00:30 [Musique]

01:00:40 Ici, c'est France Bleu Besançon.

01:00:42 Merci d'écouter France Bleu, la première radio en franche-comté, les 8h.

01:00:47 8h, l'heure du journal. On commence par vos conditions de circulation.

01:00:56 C'est difficile d'entrer à Vesoules ce matin lorsque vous arrivez par la National 19,

01:00:59 une bonne dizaine de minutes de bouchons.

01:01:01 Ça coince aussi lorsque vous arrivez par Noidans-les-Vesoules à Besançon.

01:01:05 C'est la voie des Mercureux où ça bouche le plus ce matin.

01:01:08 Du côté de la météo, Marion Strécher...

01:01:11 C'est pas le jour pour envisager un pique-nique, puisqu'une fois encore, il fera gris.

01:01:15 Il va pleuvoir, on aura quelques éclaircies, mais elles seront assez rares.

01:01:20 Ce qui est bien, c'est que même si vous faites un pique-nique,

01:01:22 le beurre ne va pas fondre puisqu'il ne fera pas plus de 18°C aujourd'hui.

01:01:26 Météo complète juste après, les infos, les croix vertes.

01:01:29 Les pharmacies ne vont pas beaucoup s'allumer aujourd'hui.

01:01:31 Oui, à part les pharmacies réquisitionnées, sinon la quasi-totalité des pharmacies en France,

01:01:37 comme partout en France, ont décidé de se mettre en grève aujourd'hui.

01:01:40 Étienne Salomé est pharmacien à Port-sur-Saône, près de Vesoules, en grève aujourd'hui.

01:01:45 Comme tous ses confrères, il nous dit pourquoi.

01:01:47 La première, c'est les pénuries de médicaments.

01:01:49 Il y a eu une étude qui a démontré que les pharmacies passaient 12 heures par semaine

01:01:52 à trouver des solutions aux pénuries de médicaments, donc trouver des remplacements quand c'est possible.

01:01:57 La deuxième, c'est des motifs économiques.

01:01:59 Nos syndicats ont calculé que l'inflation avait coûté un milliard d'euros au réseau depuis quelques années.

01:02:05 Nos charges de personnel et les frais généraux cumulés ont augmenté de 25% en post-Covid.

01:02:10 Et sur le un milliard qu'on demande, la Sécu nous propose à peine 100 millions.

01:02:14 Donc on est très loin du compte.

01:02:15 Ce n'est pas uniquement pour notre confort.

01:02:17 Il en va de la survie du réseau.

01:02:19 Il faut savoir que l'année dernière, il y a 300 pharmacies qui ont fermé en France.

01:02:22 Et rien que sur le mois de janvier, il y en a 36, plus d'une par jour.

01:02:25 Pendant longtemps, ce phénomène de fermeture de pharmacie, ça touchait surtout les grandes villes où il y en a beaucoup.

01:02:29 Donc quelque part, il y avait une rationalisation du réseau.

01:02:32 Aujourd'hui, on n'observe plus.

01:02:34 C'est des pharmacies en plein milieu du rural qui ferment.

01:02:37 Et parfois, un endroit où il n'y a déjà plus de médecins,

01:02:39 on ajoute la désertification pharmaceutique à la désertification médicale.

01:02:42 La France est en fait le pays d'Europe où les médicaments sont les moins chers.

01:02:46 C'est ce que nous a appris il y a quelques minutes l'invité du 6/9, Arnaud Verdenay,

01:02:50 responsable du syndicat USPO et pharmaciens Saint-Vite.

01:02:53 Et puisque nous sommes les moins chers, c'est ce qu'il nous a expliqué,

01:02:56 les fabricants de médicaments, du coup, nous servent en dernier.

01:02:58 Ce qui explique la pénurie.

01:03:00 Actuellement, on a 5000 références de médicaments qui sont en pénurie en France.

01:03:04 L'invité du 6/9, c'est comme chaque matin, a réécouté Henri Play sur francebleu.fr.

01:03:10 Besançon.

01:03:11 Et pendant que les pharmaciens font la grève, la Cour des comptes épluche les comptes de la Sécu.

01:03:15 Et face au déficit abyssal, les préconisations sont explosives.

01:03:19 Oui, puisque la Cour des comptes préconise par exemple d'arrêter d'indemniser les arrêts maladie de moins de 8 jours,

01:03:25 d'augmenter le délai de carence à 7 jours,

01:03:28 ou encore de réduire la durée maximale d'indemnisation de 3 à 2 ans pour les arrêts longs.

01:03:33 Voilà, ce sont les préconisations de la Cour des comptes pour enrayer le déficit de la Sécu.

01:03:37 Cette histoire terrible en Alsace, où un bébé de 16 mois est mort,

01:03:41 son père avait oublié de le déposer à la crèche en partant travailler mardi dernier.

01:03:45 Le bébé est resté toute la journée dans la voiture.

01:03:47 C'est la maman qui a donné l'alerte lorsqu'elle est allée à la crèche le soir pour récupérer son enfant,

01:03:52 qu'il n'y était pas, mais il était déjà trop tard.

01:03:54 Le bébé était décédé.

01:03:56 Mardi en Alsace, un petit peu comme en Franche-Comté,

01:03:59 les températures n'ont pas forcément dépassé les 22 degrés, ça paraît pas énorme,

01:04:03 mais il faut savoir que cela peut grimper jusqu'à 47 degrés dans l'habitacle d'une voiture.

01:04:08 Aux Assises-du-Douf, un père de famille accusé d'avoir secoué son bébé à cessez

01:04:13 a été condamné à deux ans de prison avec sursis.

01:04:16 Les jurés ont visiblement été convaincus par son avocat qui a plaidé son jeune âge.

01:04:21 Il n'avait que 19 ans au moment des faits.

01:04:23 Le ministère public avait requis à son encontre six ans de prison.

01:04:26 France Bleu, vous en sont 8h04, c'est une occupation.

01:04:29 Dans l'ère du temps, on le remontait justement ce temps.

01:04:31 Oui, remonter le temps à la recherche de ses ancêtres, de ses origines,

01:04:35 comprendre d'où vient son nom de famille.

01:04:38 La généalogie est tendance.

01:04:40 Et si vous voulez vous lancer, sachez qu'en Haute-Saône, du côté de Corbenet,

01:04:43 près de Saint-Louis-sur-Semouze, Aurélia Bénace,

01:04:45 la responsable des fonds historiques aux archives départementales,

01:04:48 propose une initiation à la généalogie.

01:04:51 Trois cours sur trois vendredis d'affilée.

01:04:54 Charlotte Schumacher a assisté au premier de ces cours, c'était le 24 mai dernier.

01:04:58 Dans la salle, deux écrans géants reliés à un ordinateur.

01:05:02 On peut aussi commencer d'aller fouiller dans les éventuels papiers de famille

01:05:05 qui ont pu être retransmis.

01:05:07 Aurélia Bénace détaille aux sept participants quelques astuces

01:05:10 pour trouver des indices sur sa famille,

01:05:12 en fouillant les actes de naissance, actes de décès, de mariage,

01:05:16 des données qu'on trouve aujourd'hui en un clic sur Internet.

01:05:19 Le cas, c'est les prénoms qui ont été donnés à la naissance de l'enfant.

01:05:22 Seulement, l'ancêtre que vous recherchez, vous ne le connaissez peut-être pas

01:05:25 sous ces deux prénoms-là.

01:05:26 Mais la généalogie, c'est aussi un petit cours d'histoire.

01:05:28 On va trouver des noms de métiers bizarres, qu'est-ce qu'un taquiller ?

01:05:31 On n'a aucune idée quand on tombe la première fois sur ce nom de métier.

01:05:33 On ne sait pas ce que c'est.

01:05:34 On va tomber aussi sur des prénoms particuliers.

01:05:36 On va se rendre compte qu'en fonction des zones géographiques,

01:05:38 on n'a pas tout à fait le même stock de prénoms.

01:05:40 Un cours qui ravit Aurore et Jean-François.

01:05:42 Ce que je voudrais savoir, c'est surtout aussi un peu l'histoire de ma famille

01:05:45 et l'écriture de mon nom de famille.

01:05:46 Parce que mon nom de jeune fille, c'est Dechamps,

01:05:48 mais il y en a qui écrivent Deschamps, il y en a qui mettent des accents,

01:05:50 il y en a qui mettent des S.

01:05:51 Et à un moment, c'est savoir jusqu'où on peut remonter

01:05:53 et jusqu'où on peut découvrir l'écriture originale du nom de famille.

01:05:55 Moi, je suis un faux débutant.

01:05:57 J'ai commencé avec des bases faites par d'autres membres de ma famille.

01:06:00 Et ce qui m'intéresse maintenant, c'est de faire le lien avec les cousins,

01:06:04 d'élargir.

01:06:05 Je regrette de ne pas avoir mieux enregistré ce que mes parents,

01:06:08 mes arrière-grands-parents ont pu me dire il y a 30 ans,

01:06:11 parce que je n'avais pas la tête à ça.

01:06:13 Même s'il n'y a pas de note familiale, au moins de votre famille Arnaud,

01:06:16 on sait que vous n'étiez pas bouché.

01:06:18 Exactement.

01:06:19 Et ça, c'est déjà pas mal.

01:06:20 Quand on voit que ma famille est originaire du secteur de Camembert...

01:06:23 Il y a des indices.

01:06:25 Il y a un fort doute.

01:06:26 En tous les cas, la généalogie, c'est aussi sur francebleu.fr/besançon

01:06:30 où Charlotte vous a mis toutes les infos pratiques.

01:06:32 Si vous voulez participer, par exemple, au deuxième cours,

01:06:34 on n'est pas obligé d'avoir participé au premier.

01:06:36 On ne peut en faire qu'un seul sur les trois.

01:06:37 Et le deuxième cours, justement, à Corbenet, c'est demain, vendredi,

01:06:42 avec toutes les infos pratiques sur francebleu.fr/besançon.

01:06:45 Voilà la généalogie.

01:06:46 C'est dur à dire, la généalogie en Haute-Saône.

01:06:49 Ambiance moins cosy, en revanche, sur le parvis du CHU de Besançon.

01:06:52 Oui, c'est un petit peu moins calme que dans les ateliers de généalogie.

01:06:56 Sur le parvis du CHU de Besançon, hier, les enfants hospitalisés

01:06:59 ont eu la visite des handballeuses de l'ESBF,

01:07:02 au programme des dédicaces, des ateliers.

01:07:04 Quelques passes aussi avec au milieu de tout ça, le micro de Noé Chaillot.

01:07:08 Les enfants hospitalisés sont en plein match de hand devant le CHU.

01:07:13 Ils s'éclatent.

01:07:14 On sort, on bouge.

01:07:15 Et franchement, les handballeuses étaient vraiment super sympas.

01:07:18 Ça nous a mis vraiment dans une bonne ambiance.

01:07:20 Moi, qui ai tendance à être un peu hyper active, à avoir besoin de bouger,

01:07:22 franchement, ça m'a fait beaucoup bouger.

01:07:24 Et c'était super bien pour ça.

01:07:26 Ça leur permet de penser à autre chose qu'à l'hôpital

01:07:28 et de sortir de leur quotidien.

01:07:30 On n'a plus l'impression d'être en psychiatrie.

01:07:31 Ça nous vide la tête, bien sûr, ça change des activités de marche.

01:07:34 Ce partage sportif remplit aussi de joie les joueuses de l'ESBF.

01:07:38 Là, on profite du plein air.

01:07:39 Nous, on se prête au jeu, ils s'y prêtent aussi.

01:07:42 Ça nous permet d'avoir un moment d'échange aussi avec eux.

01:07:44 Clarisse Méraud, arrière à l'ESBF.

01:07:46 On les voit rigoler, ça nous fait rigoler aussi de faire des petits exercices comme ça.

01:07:50 Pour elle, ça permet au club de véhiculer les valeurs du sport.

01:07:53 Une démarche très sociale, mais c'est ça qu'on veut mettre en avant.

01:07:56 Et en plus, nous, étant donné qu'on est un sport collectif,

01:07:58 où le social est primordial, qu'on puisse faire découvrir notre sport

01:08:02 de manière ludique à ces personnes-là, c'est super sympa, ça fait plaisir.

01:08:05 Mais c'est quand même physique pour ces enfants qui n'ont pas l'habitude d'autant se dépenser.

01:08:08 Ah bah, j'ai bien bougé, ouais.

01:08:10 C'était sport, mais c'est quand même une bonne ambiance.

01:08:12 On va mettre la citronnette, s'il te plaît.

01:08:14 Comment dire, prendre fort le réconfort.

01:08:16 Exactement.

01:08:17 Voilà la citronnette qui n'a pas suffi, malheureusement, à Clément Bertel,

01:08:20 le cycliste jurassien, pour gagner la Mercantour Classique des Alpes.

01:08:24 Il termine deuxième à 10 secondes, 10 petites secondes, de Léni Martinez.

01:08:28 C'est lui qui a gagné, même scénario que dans le Grand Besançon, il y a de cela quelques semaines.

01:08:32 On suivra, si on aime le tennis, aujourd'hui Roland Garros.

01:08:36 Qui est-ce qu'on a ? On a 7 Français à l'affiche, notamment aujourd'hui,

01:08:40 dont Gaël Monfils, qui sera opposé à l'Italien Musetti.

01:08:43 Ça promet donc une très longue sieste.

01:08:45 Ce qui est bien, parfois en tennis, on peut s'endormir au début de la balle,

01:08:52 se réveiller et l'échange n'est pas terminé.

01:08:54 Oui, ça c'est là aussi, on fait des micro-siestes.

01:08:56 Le match est vraiment très très long.

01:08:59 Alors, pluie ou pas pluie ?

01:09:00 Pluie.

01:09:01 Pluie toute la matinée, puis une bonne partie de l'après-midi.

01:09:05 Fine pluie dans un premier temps, avec un ciel qui va alterner entre nuages, grisailles.

01:09:11 Un petit rayon de soleil de temps en temps pour nous laisser un espoir.

01:09:13 Puis hop, de la pluie.

01:09:14 Avant qu'on retrouve un début de soirée sous les orages, cette fois,

01:09:20 avec un vent qui va se lever.

01:09:21 Ça va souffler en rafale jusqu'à 70 km/h cet après-midi.

01:09:25 Le tout accompagné de fortes averses.

01:09:28 Alors forcément, les températures ne seront pas bien hautes cet après-midi.

01:09:31 14 degrés à Pontarlier, 17 à Morteau, 18 à Besançon, comme à Baumledam.

01:09:35 19 degrés à Vesoul, 20 degrés à Dôle.

01:09:38 La météo 100% locale, avec Riem Boisson, limonade mortuasienne et sirop artisanal depuis 1921.

01:09:45 N'hésitez pas à nous dire ce qui se passe sur la départementale 486,

01:09:49 lorsque vous arrivez de Corselmielo en direction de Champoux de Marchaud,

01:09:53 à la hauteur de Chaux-de-Fontaine, gros bouchon ce matin.

01:09:56 Une bonne vingtaine de minutes de ralentissement.

01:09:59 N'hésitez pas à nous dire ce qui se passe sur place.

01:10:01 Ailleurs, on a vraiment les ralentissements habituels.

01:10:03 Aux entrées de Besançon, au niveau de la voie des Mercureaux,

01:10:06 vous perdez une petite dizaine de minutes pour passer le pont de Bregy.

01:10:09 Lorsque vous venez dans les douze sens, vous mettez à peu près 5 minutes.

01:10:13 Ça ralentit aussi.

01:10:14 Sur la nationale 57, à hauteur des ronds-points de Deufcey et puis à Vesoul,

01:10:19 circulation bien difficile.

01:10:20 Aussi lorsque vous arrivez par la nationale 19, depuis Lure, 0380, 83311.

01:10:26 Pour toutes vos inforoutes.

01:10:27 Il est 8h10.

01:10:30 Le 6/9, France Bleu Besançon, Arnaud Fromage, Anne Fauvard,

01:10:35 et Thierry M. qu'on va retrouver toujours au Vival Dark Souci Con.

01:10:39 C'est le GPS France Bleu Besançon.

01:10:41 Rencontre avec la trésorière du club de foot du coin, l'ES Les Fonges.

01:10:46 Elle s'appelle Véronique et elle sera au micro de Thierry M. tout à l'heure.

01:10:49 On va jouer aussi au Comté ou pas Comté,

01:10:52 pour vous offrir ce matin des places pour le fameux Festival de caves.

01:10:56 Festival un petit peu secret.

01:10:57 Il y a des créations théâtrales originales qui sont jouées dans des caves de la région.

01:11:02 Moi, je peux juste vous donner la ville.

01:11:03 Ce sera à peine.

01:11:04 Par contre, je ne peux pas encore vous donner le lieu exact,

01:11:05 puisque vous serez contacté évidemment au dernier moment pour savoir où exactement.

01:11:10 A peine.

01:11:11 Le Festival de caves vous donne rendez-vous pour la pièce Contrôle X.

01:11:14 On va jouer au Comté ou pas Comté après.

01:11:17 Le plus de l'info ce matin, on parle de ces stages de secondes.

01:11:21 C'est un petit peu la galère pour les collégiens pour trouver ces fameux stages.

01:11:26 Les lycéens en l'occurrence en secondes.

01:11:27 Le plus de l'info, c'est juste après George Benson pour se réveiller.

01:11:30 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

01:11:34 La ville de Bordeaux.

01:11:36 Le plus de l'info, c'est juste après George Benson pour se réveiller.

01:11:39 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

01:11:42 La ville de Bordeaux.

01:11:43 Le plus de l'info, c'est juste après George Benson pour se réveiller.

01:11:46 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

01:11:49 La ville de Bordeaux.

01:11:50 Le plus de l'info, c'est après George Benson pour se réveiller.

01:11:53 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

01:11:56 La ville de Bordeaux.

01:11:57 Le plus de l'info, c'est après George Benson pour se réveiller.

01:12:00 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

01:12:03 La ville de Bordeaux.

01:12:05 Le plus de l'info, c'est après George Benson pour se réveiller.

01:12:08 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

01:12:11 La ville de Bordeaux.

01:12:12 Le plus de l'info, c'est après George Benson pour se réveiller.

01:12:15 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

01:12:18 La ville de Bordeaux.

01:12:19 Le plus de l'info, c'est après George Benson pour se réveiller.

01:12:22 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

01:12:25 La ville de Bordeaux.

01:12:26 Le plus de l'info, c'est après George Benson pour se réveiller.

01:12:29 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

01:12:32 La ville de Bordeaux.

01:12:33 Le plus de l'info, c'est après George Benson pour se réveiller.

01:12:36 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

01:12:39 La ville de Bordeaux.

01:12:40 Le plus de l'info, c'est après George Benson pour se réveiller.

01:12:43 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

01:12:46 La ville de Bordeaux.

01:12:47 Le plus de l'info, c'est après George Benson pour se réveiller.

01:12:50 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

01:12:53 La ville de Bordeaux.

01:12:54 Le plus de l'info, c'est après George Benson pour se réveiller.

01:12:57 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

01:13:00 La ville de Bordeaux.

01:13:01 Le plus de l'info, c'est après George Benson pour se réveiller.

01:13:04 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

01:13:07 La ville de Bordeaux.

01:13:08 Le plus de l'info, c'est après George Benson pour se réveiller.

01:13:11 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

01:13:14 La ville de Bordeaux.

01:13:15 Le plus de l'info, c'est après George Benson pour se réveiller.

01:13:18 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

01:13:21 La ville de Bordeaux.

01:13:22 Le plus de l'info, c'est après George Benson pour se réveiller.

01:13:25 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

01:13:28 La ville de Bordeaux.

01:13:29 Le plus de l'info, c'est après George Benson pour se réveiller.

01:13:32 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

01:13:35 La ville de Bordeaux.

01:13:36 Le plus de l'info, c'est après George Benson pour se réveiller.

01:13:39 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

01:13:42 La ville de Bordeaux.

01:13:43 Le plus de l'info, c'est après George Benson pour se réveiller.

01:13:46 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

01:13:49 La ville de Bordeaux.

01:13:50 Le plus de l'info, c'est après George Benson pour se réveiller.

01:13:53 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

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01:13:57 Le plus de l'info, c'est après George Benson pour se réveiller.

01:14:00 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

01:14:03 La ville de Bordeaux.

01:14:04 Le plus de l'info, c'est après George Benson pour se réveiller.

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01:14:10 La ville de Bordeaux.

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01:14:24 La ville de Bordeaux.

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01:14:35 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

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01:14:56 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

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01:15:00 Le plus de l'info, c'est après George Benson pour se réveiller.

01:15:03 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

01:15:06 La ville de Bordeaux.

01:15:07 Le plus de l'info, c'est après George Benson pour se réveiller.

01:15:10 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

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01:15:14 Le plus de l'info, c'est après George Benson pour se réveiller.

01:15:17 Give me the night à sur France Bleu Besançon à 8h11.

01:15:20 Au château d'Horicourt, donc les 30 et 31 août prochains.

01:15:24 Le festival plein les cieux.

01:15:25 Un festival France Bleu Besançon.

01:15:27 Les coups de cœur avec Dinozo.

01:15:29 Entrez au cœur de la préhistoire et partez à la découverte des dinosaures grandeur nature.

01:15:33 A Charbonnières les sapins entre Besançon et Pontarlier.

01:15:36 Plus d'info sur dinotirezo.com

01:15:38 C'est la galère du moment pour les secondes.

01:15:41 Trouvez un stage pour cette fin juin.

01:15:44 On en parle dans le Plus de l'info avec Marion Stréchard dans un instant.

01:15:47 Ici Matin, revient dans un instant.

01:15:51 Tous les samedis, suivez Julie Andrieus sur France 3.

01:15:55 Incroyable, je n'avais jamais vu ça.

01:15:57 Mais où sont les elfes ?

01:15:59 Cultiver les rencontres.

01:16:01 Dis-moi comment tu jardines, je te dirai qui tu es.

01:16:03 Cueillir les astuces.

01:16:04 Un secret pour faire pousser les tomates.

01:16:06 Tu utilises une potion magique ?

01:16:08 Que d'expérience !

01:16:09 Partager les goûts et les couleurs.

01:16:11 Hum, ah oui, ça fait du bien de jardiner quand même.

01:16:14 Ah bah oui.

01:16:15 Bon, on file en cuisine alors ?

01:16:17 Oui, n'y a plus qu'à.

01:16:18 Régalez-vous dans les potagers de Julie.

01:16:21 Tous les samedis à 15h35 sur France 3 et sur la plateforme France.tv.

01:16:26 [Générique]

01:16:39 Les 8h16, c'est l'heure du Plus de l'Info.

01:16:41 C'est une nouveauté voulue par Gabriel Attal, le Premier ministre.

01:16:44 Les stages de secondes du 17 au 28 juin pour éviter le désœuvrement en fin d'année

01:16:49 pour ces lycéens qui n'ont pas d'épreuve à passer sur le papier.

01:16:52 C'est pas mal, sauf que dans la réalité, Marion Stracher, c'est pas aussi simple que ce que pensait le ministre.

01:16:56 Oui, tout simplement parce qu'en fait, les jeunes se heurtent à beaucoup de refus.

01:17:00 Au niveau national, les syndicats enseignants parlent d'un quart seulement des élèves de seconde

01:17:04 qui auraient trouvé un stage à ce jour.

01:17:06 Alors, chez nous en Franche-Comté, c'est un petit peu mieux.

01:17:09 J'ai fait le tour hier avec Claude Bruaud, un petit peu des principaux lycées en Franche-Comté.

01:17:13 Ce qu'on peut dire, c'est que chez nous, dans notre région,

01:17:15 c'est un petit peu plus de la moitié des élèves de seconde

01:17:18 qui ont trouvé un stage à ce jour, un stage pour la fin d'année.

01:17:22 On a par exemple 58% des élèves de Xavier Marmier à Pontarlier qui en ont trouvé un,

01:17:27 62% des élèves de seconde de Pergau, le plus gros lycée de l'Académie,

01:17:31 qui est à Besançon, qui ont trouvé leur stage.

01:17:33 La Palme, pour le lycée Courneau à Grès,

01:17:36 on a presque du mal à y croire, là-bas il y a qu'un seul élève

01:17:40 qui à ce jour n'a pas trouvé deux stages.

01:17:42 Bon, il y a le quart des élèves là-bas qui feront le service national universel,

01:17:46 mais quand même, on a un seul élève qui n'a pas trouvé deux stages au lycée Courneau à Grès.

01:17:51 Bravo les haussonnois !

01:17:53 - Si vous écoutez ce matin !

01:17:54 - Mais il va trouver grâce à nous !

01:17:55 Si les élèves ont du mal à trouver un stage,

01:17:57 c'est parce que ce n'est pas si facile de le décrocher ce fameux stage,

01:18:00 il ne suffit pas de traverser la route, Marion.

01:18:02 - Oui, pour plusieurs raisons.

01:18:03 Déjà parce que Gabriel Attal, il veut ce stage pour tous les élèves de seconde,

01:18:07 au même moment, ça fait forcément beaucoup de monde à caser sur ces 15 derniers jours de juin.

01:18:11 Et pour ne rien arranger, les élèves de seconde se retrouvent en concurrence

01:18:14 avec à la fois les bacs pro, mais aussi les étudiants,

01:18:17 qui sont eux, à cette époque-là, en stage professionnalisant.

01:18:21 Et ils sont donc prioritaires par rapport à des élèves de seconde

01:18:24 qui eux, ne sont qu'en stage d'observation.

01:18:26 L'autre souci, c'est la mobilité.

01:18:28 Un jeune de seconde à 16 ans, autrement dit, il est moyennement autonome en question de transport,

01:18:32 donc il faut qu'il trouve un stage dans le rayon des transports en commun.

01:18:36 Et c'est encore plus compliqué quand on habite à la campagne, en zone rurale,

01:18:39 parce que ce n'est pas toujours facile de passer d'un village à un autre.

01:18:42 Forcément, les horaires de stage, ça ne coïncide pas forcément toujours

01:18:45 avec les horaires de travail des parents.

01:18:47 Et enfin, et surtout, ce qui fait la différence,

01:18:49 beaucoup de monde en parle depuis plusieurs jours,

01:18:51 depuis qu'on parle de cette galère des stages de seconde,

01:18:53 c'est le fameux réseau.

01:18:55 Le réseau des parents, c'est évidemment plus facile

01:18:57 quand les parents ont un carnet d'adresse,

01:18:59 ou qu'ils ont une entreprise, ou que le tonton tâta un commerce

01:19:02 et qu'il peut accueillir l'enfant.

01:19:04 Ceux qui n'ont pas cette chance, ils vont galérer à trouver.

01:19:08 - Oui, mais alors du coup, qu'est-ce qui va se passer pour eux ?

01:19:10 - Il y a des textes. Le texte dit que le jeune qui n'a pas trouvé de stage

01:19:13 doit se présenter au lycée, qui aura l'obligation de l'accueillir.

01:19:17 Dans certains lycées, comme à Xavier Marmier, à Pontarlier,

01:19:20 on assure qu'il n'y aura pas de problème pour les encadrer,

01:19:22 ces jeunes qui n'auront pas trouvé de stage.

01:19:24 Dans d'autres lycées, notamment ceux qui ont beaucoup d'élèves,

01:19:27 et qui préfèrent d'ailleurs ne pas le dire à voix haute,

01:19:30 on reconnaît que ce ne sera quand même pas facile

01:19:32 de trouver du personnel pour s'en occuper de ces jeunes désoeuvrés.

01:19:35 - Le plus de l'info à retrouver sur francebleu.fr

01:19:38 ou sur l'appli ici, par France Bleu et France 3.

01:19:40 - Question terrible, le compter ou pas compter,

01:19:46 mais c'est surtout l'heure de la récré, Anne-Foy Marck.

01:19:48 Aujourd'hui, on vous offre vos deux places pour assister au spectacle

01:19:54 "Contrôle X", ce sera à Pem dans le cadre du Festival de Caves.

01:19:58 - Il y a une limite d'âge ? "Contrôle X", c'est-à-dire que c'est autorisé pour tous les âges ?

01:20:01 - C'est autorisé pour tous les âges.

01:20:02 - Ça n'a rien à voir avec le X de... ?

01:20:03 - Non, ça n'a rien à voir avec le X.

01:20:05 Le petit pitch, j'ai le petit pitch.

01:20:08 C'est l'histoire d'une femme qui se balade sur Internet

01:20:10 et qui tombe sans cesse sur le même nom, celui d'un certain Pierre K.

01:20:14 Mais alors c'est qui ce mystérieux personnage ?

01:20:16 Eh bien voilà, c'est tout l'enjeu de cette pièce "Contrôle X".

01:20:19 - Ah, Pierre K, "Contrôle X", ok.

01:20:23 - Pierre K, "Contrôle X", Kinvée M et Bonnet M également.

01:20:28 Bref, on a deux places à vous offrir pour cette pièce.

01:20:32 Quelque part, à peine, c'est le principe du Festival de Caves.

01:20:35 Pour vous inscrire, vous appelez à Enlis au 0380 833 111.

01:20:40 Trois propositions.

01:20:41 Si c'est vrai, vous me dites "comptez".

01:20:43 Si c'est pas vrai, vous me dites "pas comptez".

01:20:44 Deux bonnes réponses et paf, les deux entrées, elles sont pour vous.

01:20:47 C'est à vous de jouer et de nous appeler.

01:20:48 Surtout pendant le nouveau titre d'Hervé.

01:20:50 Voici "Sémaphore" sur France Blob aux Ensons à 8h20.

01:20:54 Le footing asthmatique a couru dans la carrière

01:21:00 Sur un filon traverse alors, sur un vent de travers

01:21:05 Parce qu'on reste ce que nous sommes

01:21:10 Soigner les rhumatismes en échappé bête

01:21:18 Les sortilistes, les sortilèges, ce qui nous borde, ce qui nous pèse

01:21:23 Parce qu'on reste ce que nous sommes

01:21:29 Réveillés par les tiques, on fait des causses, on fait des cliques

01:21:36 On s'émeut face à la mort, on se remet, m'enroncinant

01:21:41 Parce qu'on reste ce que nous sommes

01:21:46 Ce que nous sommes

01:21:49 Prends-moi la main, serre la fente, c'est ma faute, c'est ma fête

01:21:54 Je me perds dans la psychose hexagonale

01:21:59 Prends-moi la main, serre la fente, c'est ma faute, c'est ma fête

01:22:04 Je suis perdu là, je suis pas bien, je m'arrache

01:22:09 Parce qu'on reste ce que nous sommes

01:22:14 (Guitare)

01:22:23 Une ampule, ça bascule, on avance sans recul

01:22:28 La matrice qui m'aterme, alors c'est moi le plus fort, c'est moi le plus fort

01:22:33 Je reste ce que nous sommes

01:22:41 On se détend, on se déclic, on fait des causses, on fait des cliques

01:22:46 On s'émeut plus face aux morts, on s'ignore, laissé, c'est ignoble

01:22:51 Parce qu'on reste ce que nous sommes

01:22:56 Prends-moi la main, serre la fente, c'est ma faute, c'est ma fête

01:23:01 Je me perds dans la psychose hexagonale

01:23:06 Prends-moi la main, serre la fente, c'est ma faute, c'est ma fête

01:23:11 Je suis perdu là, je suis pas bien, je m'arrache

01:23:16 Parce qu'on reste ce que nous sommes

01:23:21 (Guitare)

01:23:24 Parce qu'on reste ce que nous sommes

01:23:28 R.V. son nouveau titre "C'est ma faute" sur France Bleu Besançon 8h23

01:23:32 France Bleu Besançon, compter ou pas compter ?

01:23:37 C'est pour gagner 2 places pour la pièce "Contrôle X" du Festival de Caves

01:23:42 C'est pour gagner 2 places pour la pièce "Contrôle X" du Festival de Caves

01:23:47 C'est pour gagner 2 places pour la pièce "Contrôle X" du Festival de Caves

01:23:52 C'est pour gagner 2 places pour la pièce "Contrôle X" du Festival de Caves

01:23:57 Le lieu est tenu secret pour l'instant, on y reviendra au dernier moment

01:24:02 (G.M. a eu le courage de nous appeler, bonjour Jean-Michel)

01:24:07 (C.M. a eu le courage de nous appeler, bonjour Jean-Michel)

01:24:12 (C.M. a eu le courage de nous appeler, bonjour Jean-Michel)

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01:30:47 Il est 8h30, merci d'avoir choisi France Bleu Besançon ce matin pour vous réveiller vos conditions de circulation

01:30:53 avec cette zone de travaux entre Marchot et Chaux de Fontaine dans le Doubs

01:30:58 ça crée pas mal de ralentissement, une bonne vingtaine de minutes de bouchons sur place

01:31:03 sinon on a les ralentissements habituels avec la descente de la Côte de Mort où c'est bien bouchonné ce matin à Besançon

01:31:08 ou encore la voie des Mercureaux, la météo Anne Fauvard qui a...

01:31:12 C'est pas l'automne mais pas loin puisque c'est gris ce matin, c'est humide ensuite

01:31:16 et puis même orageux en fin de journée, 13 à 17°C pas plus dans le Haut-Doux, 18 à Besançon, 19 à Vezoul

01:31:22 20°C la maximale pour Dolle dans le Jura

01:31:25 Ils ne peuvent plus délivrer certains médicaments tout simplement parce qu'ils ne les ont pas

01:31:31 la quasi-totalité des pharmaciens est en grève aujourd'hui pour protester contre cette pénurie de médicaments

01:31:36 Les deux syndicats de pharmaciens appellent à la grève et en France comptez 95% des officines seront fermées aujourd'hui

01:31:43 exemple à Fretigny et Véloreil en Haute-Saône où Armel Grandjean sera en grève

01:31:48 la pharmacienne est au bout du rouleau, elle s'est confiée à Charlotte Schumacher

01:31:51 Le principal problème d'Armel Grandjean c'est le prix des médicaments, beaucoup trop bas selon elle

01:31:56 des prix fixés par l'Etat pour que la sécurité sociale puisse faire des économies

01:32:01 mais les pharmaciens sont moins rémunérés ensuite

01:32:04 On ne gagne plus rien, on a des problèmes de trésorerie pas possibles

01:32:08 dès qu'il y a un moindre petit souci, on est obligé de faire des travaux, une dépense imprévue, on s'en sort pas

01:32:15 L'autre problème évoqué depuis de nombreux mois maintenant ce sont les pénuries de certains médicaments

01:32:20 Les gens parlent d'amoxycyline mais il y a aussi des pomades nasales, des corticoïdes

01:32:25 alors les injections pour les infiltrations sous scanner c'est régulièrement que ça manque

01:32:31 les insulines pour les diabétiques, alors là je plains les diabétiques

01:32:35 Il y a quelques temps j'étais obligée de mettre en stock pour tout le mois

01:32:39 au lieu d'avoir une ou deux références de chaque, mettre le stock pour un mois

01:32:43 ça fait beaucoup d'argent dehors

01:32:45 Armel Grandjean se sent aujourd'hui à bout et délaissé

01:32:49 Je ne pense pas que j'ai fait des fautes, que tout va mal dans mon officine

01:32:53 et pourtant je ne m'en sors pas, pourquoi ? Je ne tiens plus

01:32:56 J'ai demandé à mes parents pour la première fois de ma vie à 50 ans de m'aider

01:33:00 Je suis toujours dans le rouge, du coup la banque voudrait revoir avec moi ce qu'il faut faire

01:33:05 Une manifestation est prévue à Besançon, manifestation des pharmaciens

01:33:09 à 10h30 au départ de la place de la Révolution

01:33:12 L'invité du 6/9 à 8h moins le quart tout à l'heure nous donnait les raisons de la pénurie

01:33:17 La France est le pays d'Europe où les médicaments sont les moins chers

01:33:20 nous disait Arnaud Verdeney du syndicat USPO

01:33:23 et comme nous sommes les moins chers, les fabricants nous servent en dernier

01:33:26 Selon le pharmacien, 5000 médicaments sont actuellement en pénurie dans notre pays

01:33:31 Son interview est à retrouver en replay sur francebleu.fr

01:33:34 Alors il n'y a plus de médicaments disent les pharmaciens

01:33:36 Il y a trop d'arrêts, maladie dénonce de son côté la Cour des comptes

01:33:40 qui fait des propositions choc pour enrayer, dit-elle, l'insoutenable creusement du déficit de la sécu

01:33:47 Entre 2017 et 2022, les dépenses liées aux arrêts de travail ont augmenté de 50%

01:33:53 pour atteindre 12 milliards d'euros

01:33:56 Attention, c'est un peu technique

01:33:59 Première piste, pour 500 millions d'euros d'économie

01:34:02 ne plus verser d'indemnité pour les arrêts de moins de 8 jours

01:34:05 Au-delà, vous seriez indemnisés normalement moins les 3 jours de carence

01:34:10 Cela ferait donc, comme c'est déjà le cas, 6 jours d'indemnité pour un arrêt de 9 jours

01:34:15 Deuxième piste, bien plus radicale

01:34:17 porter ce délai de carence, le nombre de jours sans indemnité, à 7 jours

01:34:23 pour près d'un milliard d'euros de dépenses en moins

01:34:26 Le délai de carence est parfois pris en charge par les employeurs

01:34:29 La Cour des comptes préconise donc l'instauration d'un jour de carence d'ordre public

01:34:34 durant lequel le salarié ne toucherait rien

01:34:37 Autre proposition, réduire la durée maximale d'indemnisation

01:34:41 pour passer à 2 ans contre 3 ans actuellement

01:34:44 Le détail des propositions de la Cour des comptes

01:34:47 pour enrayer le trou de la sécurité sociale est à retrouver sur francebleu.fr

01:34:51 En Haute-Saône, il y a eu un incendie vers 5h ce matin dans une maison isolée de Champagner

01:34:56 L'habitation de 100m2 s'est totalement embrasée

01:34:59 Pendant que les secondes cherchent un stage, les terminales sont au taquet avec Parcoursup

01:35:04 C'est ce soir que les élèves de terminal vont découvrir les premières réponses à leur vœu

01:35:09 Près de 950 000 ont confirmé au moins un vœu d'orientation dans l'enseignement supérieur

01:35:14 Chaque matin jusqu'au 10 juillet, tous les dossiers seront mis à jour

01:35:18 Quant aux élèves de seconde, censés être en stage mi-juin, c'est pas top

01:35:21 Tous n'ont pas encore trouvé, on y reviendra tout à l'heure à 9h

01:35:25 En France Bleu, besoin 108h35, c'est passé pas loin en fait à 10 secondes près

01:35:28 Bah oui, le chorassien Clément Berthé a frôlé la victoire hier dans la Mercantour classique

01:35:33 donc dans les Alpes, deuxième à 10 secondes

01:35:36 du vainqueur Léni Martinez qui signe sa sixième victoire déjà cette saison

01:35:40 Au tournoi de tennis de Roland-Garros, sept Français sont à l'affiche

01:35:44 Aujourd'hui, Donga et le Monfils, opposés à l'Italien Lorenzo Musetti

01:35:47 Sur les cours également Novak Djokovic et Alexander Zverev

01:35:50 C'est terminé en revanche pour Richard Gasquet, sorti par le numéro 2 mondial Yannick Siner

01:35:56 Pour la numéro 1 française également, Caroline Garcia, sortie hier

01:36:00 Les résultats de la quatrième journée sont sur France Bleu.fr

01:36:04 Alors, c'est un temps à être devant la télé, encore une fois

01:36:08 C'est un temps à être devant la télé, pas un temps à aller au marché, c'est jour de marché aujourd'hui

01:36:12 Alors, c'est un jour de marché sous la pluie ce matin

01:36:17 On salue également Jean-Luc qui est au Luyé, 11 degrés ce matin

01:36:22 Et puis c'est la pluie aussi, un peu de pluie partout dans la région ce matin

01:36:27 où en tout cas un ciel couvert, ça va durer une bonne partie de la journée

01:36:30 jusqu'en début/milieu d'après-midi

01:36:33 Et ensuite ce sera le tour des orages avec un vent qui va se lever, qui va souffler fort

01:36:37 accompagné de fortes averses, toute la région est placée en vigilance jaune

01:36:41 donc au coup de tonnerre, forcément avec ce temps pâlo

01:36:46 les températures font grisemines avec 14 degrés seulement cet après-midi

01:36:50 A Pontarlier, 17 degrés à Mortaux, 18 degrés à Lons-le-Saunier, à Besançon ou encore à Luxeuil

01:36:55 19 degrés à Vesoules, comptez 20 degrés ce sera la maximale

01:36:59 Les vols sur la route ce matin, les ralentissements habituels pour entrer à Besançon

01:37:03 sont par la descente de Mort, où vous perdez à peu près 5 minutes

01:37:06 par la voie des Mercureaux, là c'est une petite dizaine de minutes de perdues

01:37:09 tout comme dans la descente de l'Arnaud en direction des Ronds-Points-de-Beurre

01:37:13 Mais il y a cette zone de travaux qui pose pas mal de soucis ce matin

01:37:16 ça se passe entre Marchaud et Chaudefontaine sur la départementale 486

01:37:20 Il y a une zone de travaux à cet endroit-là et ça génère quasiment 20 minutes de bouchons sur place

01:37:25 soyez donc prudents, patients et surtout ne vous faites pas avoir à vous retrouver coincés dans les bouchons à cet endroit-là

01:37:30 à Vesoules, et bien à part le secteur de Noix donc ça coince encore un petit peu

01:37:33 ça va mieux sur la nationale 19

01:37:36 L'infotrafic 100% local avec Aquadoux, appareil contre le calcaire, sans sel, sans entretien

01:37:42 à Besançon, 96 des rues de Belfort

01:37:45 Plus d'infos sur aqua-doux.fr

01:37:48 Il est 8h37

01:37:50 Le 6/9, France Bleu Besançon, Arnaud Fromage, Anne Fauvard

01:37:54 et Louis Pin qui vient de faire son apparition dans le studio

01:37:56 Bonjour Louis !

01:37:57 Bonjour Arnaud, bonjour à tous

01:37:58 Avec vous on sort en Franche-Comté chaque matin

01:38:00 Vous nous emmenez pour une drôle d'enquête aujourd'hui

01:38:04 Oui, oui, oui, cher local, ce matin, un cas à bien se tenir

01:38:07 Aujourd'hui on part au Saline Royale d'Arkézenan, il y a eu un meurtre, le directeur a été assassiné

01:38:11 Et on va devoir retrouver qui a assassiné notre directeur

01:38:14 Grand jeu donc à venir tout au long de l'été à la Saline Royale d'Arkézenan

01:38:19 Présentation donc avec vous

01:38:21 On est le 30 mai aujourd'hui, c'est la Saint-Ferdinand

01:38:23 Alors on va rejouer à notre grand jeu de "Qui peut retrouver qui est le Ferdinand ?"

01:38:28 Je vous laisse un petit peu le temps de réfléchir

01:38:31 Je vais vous faire des petites bios et le but du jeu ce sera de retrouver de quel Ferdinand je parle

01:38:36 Donc faites-vous dans votre tête des listes de Ferdinand

01:38:38 Déjà il faut trouver, voilà, Louis vous cherchez

01:38:41 Ce sera l'info expresso juste après Tasmin Archer ce matin avec "Sleeping Satellite"

01:38:48 Et évidemment le sorté en Franche-Comté, le Dr Kiersegg qui nous rejoindra juste avant 9h

01:38:53 Belle matinée en Franche-Comté !

01:38:56 "Sleeping Satellite"

01:39:01 "I blame you for the moonlit sky"

01:39:04 "And the dream that died"

01:39:07 "With the eagles' flight"

01:39:10 "I blame you for the moonlit night"

01:39:14 "When I wonder why"

01:39:17 "Are the seas still dry"

01:39:20 "Don't blame this sleeping satellite"

01:39:25 "Did we fly to the moon too soon"

01:39:29 "Did we squander the chance"

01:39:31 "In the rush of the race"

01:39:33 "The reason we chase is a lost in romance"

01:39:37 "And still we try"

01:39:41 "To chase it by the weights for it takes a man's"

01:39:45 "Greatest adventure"

01:39:47 "I blame you for the moonlit sky"

01:39:52 "And the dream that died"

01:39:54 "With the eagles' flight"

01:39:58 "I blame you for the moonlit night"

01:40:01 "When I wonder why"

01:40:04 "Are the seas still dry"

01:40:07 "Don't blame this sleeping satellite"

01:40:12 "Have we lost our way to the past"

01:40:16 "Have we got too soon"

01:40:18 "If the world is so big"

01:40:20 "Then why does it scream under a blue moon"

01:40:25 "We wonder why"

01:40:29 "If the earth took the price for a price"

01:40:31 "Of its greatest treasure"

01:40:34 "I blame you for the moonlit sky"

01:40:39 "And the dream that died"

01:40:41 "With the eagles' flight"

01:40:45 "I blame you for the moonlit night"

01:40:49 "When I wonder why"

01:40:51 "Are the seas still dry"

01:40:55 "Don't blame this sleeping satellite"

01:41:00 "I blame you for the moonlit sky"

01:41:03 "And the dream that died"

01:41:06 "With the eagles' flight"

01:41:10 "I blame you for the moonlit night"

01:41:15 "When I wonder why"

01:41:18 "If the world is so big"

01:41:21 "Then why does it scream under a blue moon"

01:41:25 "We wonder why"

01:41:28 "If the earth took the price for a price"

01:41:32 "Of its greatest treasure"

01:41:35 "I blame you for the moonlit night"

01:41:39 "When I wonder why"

01:41:42 "Are the seas still dry"

01:41:46 "Don't blame this sleeping satellite"

01:41:50 "I blame you for the moonlit night"

01:41:54 "When I wonder why"

01:41:58 "If the world is so big"

01:42:02 "Then why does it scream under a blue moon"

01:42:06 "We wonder why"

01:42:09 "If the world is so big"

01:42:13 "Then why does it scream under a blue moon"

01:42:17 "We wonder why"

01:42:20 "I blame you for the moonlit night"

01:42:24 "When I wonder why"

01:42:27 "Are the seas still dry"

01:42:30 "Don't blame this sleeping satellite"

01:42:34 "The Sleeping Archer"

01:42:35 "With Sleeping Satellite"

01:42:36 "On France Bleu Besançon"

01:42:37 "8h42"

01:42:38 "We're going out"

01:42:39 "In France I count with you"

01:42:40 "Louis Pain"

01:42:41 "And we're going out"

01:42:42 "Our magnifying glass"

01:42:43 "And our investigator's hat"

01:42:44 "This morning"

01:42:45 "Yes, we're going right now"

01:42:46 "To the Arkes Nant Royal Saline"

01:42:47 "We're going to find out"

01:42:48 "Who killed the director of the Salines"

01:42:50 "Actually, at the moment"

01:42:51 "There's a fiction that's being set up"

01:42:53 "At the Arkes Nant Royal Saline"

01:42:54 "In the form of an investigation"

01:42:55 "A game of chess"

01:42:56 "And to talk about it"

01:42:57 "It's Adeline Delis who's with us"

01:42:58 "She's in charge of the Saline Royal"

01:43:00 "Hello Adeline"

01:43:01 "Hello"

01:43:02 "We're happy to be with you"

01:43:03 "It's a real giant Cluedo"

01:43:05 "Who's waiting for us at the Arkes Nant Royal Saline"

01:43:08 "Who killed the director"

01:43:09 "Actually, with this investigation"

01:43:11 "What are we discovering, Adeline?"

01:43:13 "So, with this investigation"

01:43:14 "We're going back in the history of the Saline"

01:43:17 "At the time of the factory"

01:43:19 "We're going to meet the inhabitants of the Saline"

01:43:22 "The workers of the Saline"

01:43:24 "And then we're trying to elucidate this investigation"

01:43:27 "To try to find the or the murderers of Mr. Montclar"

01:43:31 "So, the director of the time"

01:43:34 "Former director, he existed"

01:43:36 "Well, it's a fiction, he wasn't murdered"

01:43:38 "But here, in the story, he is"

01:43:40 "How does the investigation work?"

01:43:42 "So, the investigation"

01:43:43 "We're making teams"

01:43:45 "Of investigators"

01:43:46 "And then, each team goes"

01:43:49 "To meet these workers, these inhabitants"

01:43:52 "To collect their testimonies"

01:43:54 "In any case, what they could have seen or heard"

01:43:58 "At the time when the director could have been murdered"

01:44:03 "To try to elucidate all this"

01:44:05 "So, it's maybe a suicide"

01:44:07 "A suicide caused by other people"

01:44:09 "It's maybe a murder"

01:44:10 "There's a whole intrigue to discover with this event"

01:44:13 "It happens where, actually, in the Royal Salines?"

01:44:15 "So, it's an investigation that allows to discover"

01:44:19 "The former workers of the Salines"

01:44:21 "So, we go from building to building"

01:44:24 "So, we discover their uses"

01:44:28 "We discover the workers or the inhabitants"

01:44:31 "Of these buildings, as the investigation progresses"

01:44:35 "So, the buildings, the gardens"

01:44:36 "We're going to be able to walk around the Salines"

01:44:38 "It's so good, I know there's a particularity"

01:44:40 "And we have to clarify it"

01:44:41 "It's actually about who this event is for"

01:44:43 "Who can come, who can participate?"

01:44:45 "So, at the moment, it's a proposal that's made to our groups"

01:44:50 "So, our groups that come to the seminar of companies"

01:44:54 "Here, in the Monument"

01:44:55 "Because we also rent meeting rooms"

01:44:58 "But also to groups that wish to organize themselves together"

01:45:01 "And then, enjoy this activity"

01:45:04 "On a day of discovery of the Salines"

01:45:07 "Ok, it's for groups, we have to warn before coming"

01:45:09 "By the way, I specify, it's 15 people minimum"

01:45:11 "10 euros per head"

01:45:12 "There are the information, reservations to be found on the website of the Salines Royal Darkest Nights"

01:45:16 "I thank you Adeline for this investigation presentation"

01:45:18 "And we're going to find this big bad guy"

01:45:20 "Who killed our director of the Salines Royal Darkest Nights"

01:45:22 "All of that with pleasure, thank you very much"

01:45:24 "See you soon Adeline, goodbye, have a good day"

01:45:26 "Great, I want to try it now"

01:45:28 "It looks so good"

01:45:29 "Let's book a small bus at 15 there with the colleagues"

01:45:32 "We're going to go there"

01:45:33 "We're on May 30th today, it's the Saint-Ferdinand"

01:45:35 "We're going to check what you know about the famous Ferdinand"

01:45:39 "It's coming in 30 seconds, see you in a bit"

01:45:42 "Here morning, come back in a moment"

01:45:46 "The next day"

01:45:49 "The next day"

01:45:51 "The next day"

01:46:09 "The next day"

01:46:11 "The next day"

01:46:13 "Here is the 6/9"

01:46:20 "France Bleu Besançon"

01:46:22 "It's 9h45 on France Bleu Besançon"

01:46:26 "It's time for the L'info expresso"

01:46:28 "The info you're going to talk about at La Machine à Café"

01:46:30 "This morning we're going to do a little test"

01:46:32 "Because today it's the Saint-Ferdinand"

01:46:34 "And we're going to check if you know some famous Ferdinands"

01:46:39 "You're obviously playing at home"

01:46:41 "Anne Fauvard is here, Louis Pint is here"

01:46:43 "And Alexis is going to participate too"

01:46:45 "Because there are one or two that are for you"

01:46:48 "And so let's go for a new episode of Questions for a Ferdinand"

01:46:53 "Be careful, who is it, what famous Ferdinand is it?"

01:47:06 "I'm a French artist, born on April 19th 1836"

01:47:10 "With a charm on the grass in the Drôme"

01:47:12 "From a family of farmers, according to some psychiatrists"

01:47:15 "I'm suffering from an autistic disorder"

01:47:17 "That pushes me, in a monomaniac way"

01:47:19 "To build a huge palace in my own garden"

01:47:21 "I spend 33 years of my life building my ideal palace"

01:47:24 "Visited today by more than 150 000 people a year"

01:47:27 "Before building my own tomb"

01:47:29 "Factor of my state, I die in August 1924"

01:47:33 "I'm Ferdinand"

01:47:35 "Ferdinand, Factor"

01:47:37 "Le facteur cheval"

01:47:39 "Oui, le facteur cheval"

01:47:41 "Ferdinand cheval"

01:47:43 "Non, non, non"

01:47:45 "Le facteur cheval, c'est très connu"

01:47:47 "Un point pour Louis Pain, attention"

01:47:49 "Seconde personnalité qu'on cherche"

01:47:51 "Top ingénieur, inventeur, industriel, designer"

01:47:55 "Je suis né en septembre 1875 en Autriche"

01:47:59 "Surdoué, je me passionne très jeune pour les inventions"

01:48:02 "Je commence ma carrière à 18 ans dans la compagnie d'électricité autrichienne"

01:48:06 "Bella Egger & Co de Vienne"

01:48:08 "Où j'imagine déjà des moteurs automobiles en 1929"

01:48:11 "Je l'ai, je l'ai"

01:48:12 "Ferdinand Porsche"

01:48:14 "Ça fait 2 points pour Louis Pain"

01:48:17 "Mais moi c'est un animal"

01:48:20 "Ah oui, du coup il n'y est pas"

01:48:22 "Oh mais non, c'est un super dessin animé"

01:48:25 "Mais c'est Ferdinand, c'est un taureau"

01:48:29 "Je pensais que vous parliez de Franklin"

01:48:31 "Parce qu'il n'a rien à voir"

01:48:32 "Attention, 3ème Ferdinand célèbre"

01:48:34 "Top militaire français"

01:48:36 "Je suis né le 2 octobre 1851 à Tarbes"

01:48:39 "Je m'illustre lors de la première guerre mondiale"

01:48:41 "Comme généralissime des forces"

01:48:43 "Ferdinand Foch"

01:48:44 "Et ben oui, voilà"

01:48:45 "Il a eu toutes les réponses"

01:48:46 "Bravo, élevé à la dignité de maréchal de France"

01:48:49 "En août 1918"

01:48:52 "De nombreuses rues portent mon nom"

01:48:54 "Comme à Vesoult, je m'inscris aussi dans le jeu de Monopoly"

01:48:56 "Le général Ferdinand Foch"

01:48:58 "Attention, il nous en reste un"

01:49:00 "Monopoly, c'est écrit Avenue Foch"

01:49:02 "Avenue Ferdinand Foch"

01:49:04 "Et ben maintenant on saura qui s'appelait Ferdinand"

01:49:06 "Dernière proposition"

01:49:08 "Top militaire et ingénieur allemand"

01:49:09 "Je suis né comte le 8 juillet 1838 à Constance"

01:49:12 "J'entre dans l'armée très jeune à l'école militaire"

01:49:14 "Avant de devenir lieutenant à l'âge de 20 ans"

01:49:16 "Dans les années 1880"

01:49:18 "Je m'intéresse à l'aviation"

01:49:19 "Et plus particulièrement au ballon dirigeable"

01:49:22 "En 1899, je construis mon premier ballon dirigeable"

01:49:25 "Entièrement financé par des dons"

01:49:27 "Et issu d'une loterie"

01:49:29 "En 1908, je fonde la société qui porte mon nom"

01:49:32 "Je meurs en 1917"

01:49:35 "Et ne connais donc pas la catastrophe du Hindenburg"

01:49:37 "Qui met fin à mon rêve"

01:49:39 "Un groupe de rock'n'roll porte mon nom"

01:49:41 "Je suis Ferdinand"

01:49:42 "Ferdinand"

01:49:43 "Ballon dirigeable"

01:49:44 "Ballon dirigeable"

01:49:45 "Zeppelin"

01:49:46 "Voilà, un point pour Alexis"

01:49:48 "Et ben il n'empêche que vous avez écrasé le jeu"

01:49:51 "Oui, pour une fois, franchement, ça fait plaisir"

01:49:53 "C'est pas tous les jours, profitons de l'envie"

01:49:55 "Exactement, c'était votre jour, c'était votre info expresso"

01:49:57 "Ferdinand Zeppelin, c'est ça ?"

01:49:59 "Ferdinand Von Zeppelin"

01:50:00 "Ah ok, moi je ne l'avais pas celui-ci"

01:50:02 "Inventeur du Zeppelin, le ballon dirigeable"

01:50:05 "Il y en avait d'autres mais j'étais un petit peu moins connu"

01:50:07 "Il y avait Ferdinand Marcos"

01:50:09 "Non, je ne l'avais pas"

01:50:10 "Qui était un homme politique taille dansé"

01:50:12 "Non, il y avait le taureau du dessin animé"

01:50:15 "Bon, la prochaine fois, on fera les personnages de dessins animés"

01:50:18 "C'est promis, à l'Info Park, il est 8h50"

01:50:21 "Toute autre chose à présent avec le Dr Kiersek"

01:50:25 "Qui nous rejoint comme chaque matin, bonjour"

01:50:27 "Aujourd'hui, on s'intéresse à la sclérose en plaques, docteur"

01:50:30 "Bonjour à toutes et à tous"

01:50:31 "C'est une maladie dont on entend souvent parler"

01:50:33 "J'allais dire de plus en plus"

01:50:34 "La sclérose en plaques, c'est une maladie neurologique"

01:50:36 "Qui va toucher tout le système nerveux"

01:50:38 "Le cerveau, la moelle épinière et les nerfs"

01:50:40 "Et ça s'appelle sclérose en plaques"

01:50:42 "Parce qu'en fait, il faut imaginer nos nerfs comme étant"

01:50:44 "Comme des câbles électriques, autour d'un câble électrique"

01:50:46 "Il y a une gaine en plastique"

01:50:48 "En plastique, elle n'est pas en plastique sur les nerfs"

01:50:50 "Elle est en myéline"

01:50:52 "Et en fait, quand cette myéline est détruite"

01:50:54 "Pour différentes raisons, en plaques"

01:50:56 "Et bien, c'est la cause de la sclérose en plaques"

01:50:59 "C'est cette gaine un peu autour du nerf"

01:51:01 "Et donc, ça explique tous les problèmes neurologiques"

01:51:04 "C'est-à-dire que quand vous n'avez plus la gaine de myéline autour"

01:51:06 "Ça va poser problème en termes de conduction de l'influx nerveux"

01:51:10 "Alors, c'est des plaques qui vont s'enlever"

01:51:11 "Mais ça va repousser aussi"

01:51:12 "Voilà pourquoi cette maladie évolue en poussée et en rémission"

01:51:16 "Et on peut stabiliser, diminuer les poussées"

01:51:19 "Au début, les symptômes sont progressifs"

01:51:21 "C'est plutôt discret, c'est un trouble de la sensibilité"

01:51:23 "Des petits picotements, des petits fourmillements"

01:51:25 "Donc n'ayez pas peur, c'est pas parce que vous avez des fourmillements dans les mains"

01:51:27 "Que c'est une sclérose en plaques"

01:51:29 "Mais ça peut démarrer comme ça"

01:51:30 "Et puis après, il y a des contractures, une faiblesse des jambes"

01:51:32 "Une perte de force ou des problèmes de vue"

01:51:34 "Une baisse de l'acuité visuelle"

01:51:36 "Et tous ces petits signes comme ça qui s'allument sur le plan neurologique"

01:51:39 "Peuvent conduire à faire des examens"

01:51:41 "Une IRM, une ponction lombaire"

01:51:43 "Et poser le diagnostic de sclérose en plaques"

01:51:45 "Et les troubles vont malheureusement s'aggraver"

01:51:47 "Avec des paralysies, des difficultés à marcher"

01:51:49 "Mais heureusement, je le disais, il y a des poussées"

01:51:51 "Mais il y a surtout des rémissions"

01:51:52 "Et les traitements permettent d'augmenter ces rémissions"

01:51:55 "Et quand on a plus de rémissions que de poussées"

01:51:57 "La maladie est un peu stabilisée"

01:51:59 "Je vous ai dit que ça touche quand même pas mal de personnes"

01:52:01 "C'est une personne sur 2000, c'est plus les femmes que les hommes"

01:52:03 "Et généralement, c'est un début de la maladie"

01:52:05 "Entre 20 et 40 ans"

01:52:07 "Mais docteur, est-ce que ça se soigne la sclérose en plaques ?"

01:52:10 "Cette maladie, elle ne se soigne pas"

01:52:12 "Parce qu'on ne connait pas la cause"

01:52:14 "Il y a plusieurs causes, une cause génétique probablement"

01:52:16 "Il y a peut-être des causes virales"

01:52:18 "En revanche, on peut ralentir considérablement la maladie"

01:52:20 "Et la stratégie thérapeutique, elle est en fonction de votre type de sclérose en plaques"

01:52:24 "On peut traiter la poussée"

01:52:26 "C'est par exemple la cortisone quand vous êtes en pleine poussée inflammatoire"

01:52:28 "C'est un traitement de fond de la maladie là aussi"

01:52:31 "Et puis il y a tout ce qui est autour des techniques non médicamenteuses"

01:52:34 "C'est important sur la gêne musculaire, la rééducation"

01:52:37 "Ou même des troubles dépressifs qui existent"

01:52:39 "Et là aussi, il ne faut pas les négliger"

01:52:41 "Et je vous parle souvent de prévention"

01:52:43 "La sclérose en plaques n'a pas de cause identifiée"

01:52:45 "Donc il n'y a pas de prévention qui est possible"

01:52:47 "Mais je voudrais quand même tordre le coup encore à une polémique qui continue"

01:52:49 "Ce n'est pas le vaccin, et en particulier le vaccin contre l'hépatite B"

01:52:52 "Qui donne la sclérose en plaques"

01:52:54 "Toutes les études sont formelles sur le sujet"

01:52:56 "Voilà, d'ici là, portez-vous bien"

01:52:58 "Merci beaucoup docteur Kirzak"

01:53:00 "Pour une nouvelle consultation, on retrouve évidemment toutes vos chroniques sur l'appli"

01:53:04 "Ici par France Bleu et France 3"

01:53:06 "Un rendez-vous à vous donner tout à l'heure à partir de 16h et jusqu'à 17h"

01:53:09 "L'Invité Patrimoine"

01:53:11 "On revient sur les 600 ans de l'université de Franche-Comté"

01:53:14 "Une sacrée histoire racontée à partir de 16h et jusqu'à 17h"

01:53:19 "Dans l'Invité Patrimoine"

01:53:21 "Vous retrouvez là aussi tous les épisodes sur le site France Bleu.fr Besançon"

01:53:26 "Et puis on joue évidemment tout au long de cette semaine"

01:53:29 "Pour gagner dans le top chrono entre 11h et midi"

01:53:32 "Un super séjour à Bulles-Etoiles"

01:53:34 "Une nuit avec l'hébergement dans ces bulles un petit peu en plastique"

01:53:40 "On voit les nuages, on voit le ciel, on voit les étoiles"

01:53:44 "On vous offre donc ce séjour tout à l'heure, 11h midi avec Cyril Seguin"

01:53:49 "A suivre, les infos arrivent à 9h"

01:53:51 "Juste après Cyndi Lauper, Time after Time sur France Bleu Besançon"

01:53:56 "Merci d'être là et bonne journée à vous"

01:53:58 "Bonne journée à vous"

01:54:00 "C'est un peu comme un jeu de jeu"

01:54:02 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:04 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:06 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:08 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:10 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:12 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:14 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:16 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:18 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:20 "On va se faire un petit déjeuner"

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01:54:24 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:26 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:28 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:30 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:32 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:34 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:36 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:38 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:40 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:42 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:44 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:46 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:48 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:50 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:52 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:54 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:56 "On va se faire un petit déjeuner"

01:54:58 "On va se faire un petit déjeuner"

01:55:00 "On va se faire un petit déjeuner"

01:55:02 "On va se faire un petit déjeuner"

01:55:04 "On va se faire un petit déjeuner"

01:55:06 "On va se faire un petit déjeuner"

01:55:08 "On va se faire un petit déjeuner"

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01:55:20 "On va se faire un petit déjeuner"

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01:55:24 "On va se faire un petit déjeuner"

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01:55:28 "On va se faire un petit déjeuner"

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01:55:32 "On va se faire un petit déjeuner"

01:55:34 "On va se faire un petit déjeuner"

01:55:36 "On va se faire un petit déjeuner"

01:55:38 "On va se faire un petit déjeuner"

01:55:40 "On va se faire un petit déjeuner"

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01:55:44 "On va se faire un petit déjeuner"

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01:57:04 "On va se faire un petit déjeuner"

01:57:06 "On va se faire un petit déjeuner"

01:57:08 "On va se faire un petit déjeuner"

01:57:10 "On va se faire un petit déjeuner"

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01:57:14 "On va se faire un petit déjeuner"

01:57:16 "On va se faire un petit déjeuner"

01:57:18 "On va se faire un petit déjeuner"

01:57:20 "On va se faire un petit déjeuner"

01:57:22 "On va se faire un petit déjeuner"

01:57:24 "On va se faire un petit déjeuner"

01:57:26 "On va se faire un petit déjeuner"

01:57:28 "On va se faire un petit déjeuner"

01:57:30 "On va se faire un petit déjeuner"

01:57:32 "On va se faire un petit déjeuner"

01:57:34 "On va se faire un petit déjeuner"

01:57:36 "On va se faire un petit déjeuner"

01:57:38 "On va se faire un petit déjeuner"

01:57:40 "On va se faire un petit déjeuner"

01:57:42 "On va se faire un petit déjeuner"

01:57:44 Time after time sur France Bleu Besançon

01:57:46 On n'a pas envie de le dire trop fort

01:57:48 Merci beaucoup d'avoir suivi cette émission avec nous ce matin

01:57:50 Merci d'avoir été fidèles à France Bleu Besançon

01:57:52 à France 3 Franche-Comté

01:57:54 Merci Anne Fauvard

01:57:56 Mais je vous en prie à demain

01:57:58 On se retrouve demain même heure même endroit

01:58:00 7h à la télé et à partir de 6h

01:58:02 à la radio sur France Bleu Besançon

01:58:04 Belle journée à tous

30/05/2024 - La matinale de France Bleu Besançon

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