28/05/2024 - Le 6/9 de France Bleu Cotentin en vidéo

France Bleu Cotentin

il y a 7 mois

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00:00:00 Bien sur France 3 Normandie.

00:00:02 Ici c'est France Bleu Cotentin.

00:00:10 A la radio, sur l'appli Ici, tous les réseaux, et sur France 3.

00:00:15 Vous êtes sur France Bleu Cotentin et sur France 3 Normandie.

00:00:18 Il est tout juste 7h.

00:00:29 Bon et je vous vois à la partir.

00:00:31 Oui vous partez au boulot. Vous n'avez pas oublié la parka j'imagine.

00:00:34 Oui, n'oubliez pas.

00:00:36 Non parce qu'il pleut ça y est.

00:00:38 La grisaille est de retour réellement pour aujourd'hui du 10 météo France.

00:00:41 Un temps couvert, venteux, brouillard.

00:00:44 Attendez-vous sur la route à peut-être d'ailleurs croiser du brouillard si vous êtes dans la hague.

00:00:48 En ce qui concerne les températures, je vais vous donner le point positif.

00:00:51 C'est toujours assez doux.

00:00:53 13 degrés un peu partout ce matin, notamment à Cherbourg, Montbourg, encore 13 au pieu.

00:00:58 C'était Orles Infos présentée par Katia Lautroux.

00:01:01 Clap de fin sur 59 ans d'activité et 500 consultations par semaine.

00:01:06 La clinique du Dr Guillard à Coutances devrait sans surprise fermer ses portes aujourd'hui.

00:01:11 Après la liquidation prononcée par le tribunal de commerce,

00:01:15 patients personnels et médecins se disent ce matin livrés à eux-mêmes.

00:01:18 Les salariés sont même appelés à se rassembler tout de noir vêtus devant la clinique tout à l'heure à 11h30.

00:01:24 Le Dr Véronique Damourette-Leguevac est gynécologue et elle, elle a décidé de tout arrêter dès ce soir.

00:01:31 Elle qui devait prendre sa retraite dans six mois claque la porte, Lucie Tuilet.

00:01:35 J'arrête brutalement demain puisqu'en fait on n'a plus le droit de travailler.

00:01:40 Un crève-cœur, raconte le Dr Véronique Damourette-Leguevac,

00:01:43 après 28 ans d'activité dans cette clinique Coutances.

00:01:46 La gynécologue commençait à prévenir ses patients qu'elle prendrait sa retraite en fin d'année,

00:01:50 mais elle n'imaginait pas une fin aussi abrupte.

00:01:53 On nous a dit clairement qu'on n'avait plus de local.

00:01:56 On pensait qu'on aurait la possibilité de continuer au moins quelques semaines, le temps de se retourner un petit peu.

00:02:02 Et apparemment le mandataire judiciaire n'a pas anticipé le problème.

00:02:06 Moi, mon mari a beaucoup lutté pour maintenir cette clinique et je trouve ça très dommage.

00:02:12 Nous on ne vit pas ça très bien et nos patientes non plus.

00:02:15 Son mari, le Dr Dany Leguevac, a été à la tête de la clinique pendant plus de 25 ans.

00:02:19 Au secrétariat, Sophie est en train d'avertir toutes les patientes la boule au ventre.

00:02:23 Je ne suis pas bien, je ne suis pas bien du tout.

00:02:25 Comment effacer plus de 30 ans d'exercice d'un cabinet de gynécologie ?

00:02:30 Le plus dur, c'est pouvoir réorienter la patientèle correctement,

00:02:34 parce qu'on est humain et nos patientes, on les aime.

00:02:37 Elle renvoie les patientes notamment vers des sages-femmes, car il reste peu de gynécologues dans la manche.

00:02:42 Et puis de son côté, va-t-elle retrouver du travail facilement ?

00:02:45 A 54 ans, elle s'inquiète aussi pour son avenir.

00:02:48 Et ce mardi, le tribunal se prononcera aussi sur les offres de reprise des cliniques de Coutances et de Saint-Lô.

00:02:54 L'invité aussi pourra en parler tout à l'heure.

00:02:56 Ce sera le Dr Abdenrahman Azouzi, chirurgien urologue à la clinique de Coutances, à 8h45.

00:03:03 Alors que le projet de loi sur la fin de vie a été examiné depuis hier à l'Assemblée Nationale,

00:03:08 la Maison des Usagers du Centre Hospitalier Public du Cotentin organise une table ronde sur ce sujet aujourd'hui.

00:03:14 C'est à 14h30 au restaurant de l'IFSI, face à Cherbourg, et c'est ouvert à tout le monde.

00:03:19 7h03 sur France Bleu Cotentin, l'aise muselière, les propriétaires de chiens dits « dangereux » sont-ils suffisamment prudents ?

00:03:25 Trouvez-vous qu'il y a relâche ou que la loi est finalement respectée ?

00:03:29 Dites-nous ce que vous en pensez ce matin au 02 33 23 13 23.

00:03:33 Parce qu'à Benneville, dans le Cotentin, une pétition circule pour demander le placement de deux chiens dits d'attaque,

00:03:38 qui terrorisent des habitants.

00:03:40 La mère, elle, dit qu'elle est pour l'euthanasie. Elle sera avec nous dans Causes communes tout à l'heure aussi à 8h10.

00:03:46 Cette histoire à peine croyable à présent, ça se passe à Reims et c'est une information de nos confrères de France Bleu.

00:03:52 Oui, France Bleu Champagne-Ardenne. Dimanche soir, quatre enfants ont été hospitalisés au CHU et placés en observation.

00:03:58 Les pompiers et les policiers les ont retrouvés complètement laissés à l'abandon dans l'appartement familial. Antoine Jeffin.

00:04:05 Quand les pompiers et policiers, appelés par un voisin, poussent la porte de l'appartement,

00:04:09 ils trouvent les quatre enfants de deux à six ans en train de cuisiner sur une plaque par terre et il y a des excréments sur le sol.

00:04:16 Alors que les petits sont en route vers le CHU de Reims, les forces de l'ordre décident d'attendre les parents à l'appartement.

00:04:22 Ils rentrent dans la soirée, un couple, paxé, la petite trentaine.

00:04:26 Ça se passe mal avec l'homme qui n'est pas le père de la fratrie.

00:04:29 Il se rebelle et est conduit au poste, placé en garde à vue, tout comme la mère qui avait la garde des petits.

00:04:35 On ne sait pas encore pourquoi les enfants étaient seuls, ni depuis combien de temps.

00:04:39 Le juge des enfants doit statuer sur leur éventuel placement.

00:04:42 Le compagnon, lui, était déjà sous contrôle judiciaire depuis octobre dernier et des violences sur sa compagne et ses enfants.

00:04:49 Il avait l'interdiction d'entrer en contact avec la famille.

00:04:52 Les explications d'Antoine Jeffin.

00:04:54 L'enseignante agressée au couteau par un de ses élèves hier matin va bien, physiquement du moins.

00:04:59 Le lycéen de 18 ans a été placé en garde à vue.

00:05:02 Ça se passe dans le Maine-et-Loire, il est inconnu des services de police.

00:05:05 Le procès de l'ex-mère de Canteleux, près de Rouen, et de son adjoint reporté d'une semaine.

00:05:09 Avec 17 autres personnes, ils comparaissent dans une vaste affaire de trafic de stupéfiants.

00:05:13 Hier, lors de l'audience à Bobigny, les avocats de la Défense ont soulevé des problèmes de procédure.

00:05:18 Attention ce matin sur la route de Beaumont-Agues, il y a des ralentissements.

00:05:22 La CGT distribue des tracts. On fait la route ensemble dans quelques minutes avec vous Caroline.

00:05:27 L'offre de la SNCF qui s'élargit en Normandie.

00:05:30 A partir de décembre, 70 nouveaux trajets par semaine seront proposés pour faire face à l'augmentation de la fréquentation.

00:05:35 Plus 10% rien que sur les lignes normandes.

00:05:38 Des trains en journée, en semaine, mais pas aux heures de pointe, en vert et en provenance de Paris.

00:05:44 Par exemple, il y aura 4 trains supplémentaires par jour sur la ligne Paris-Cancherbourg du lundi au jeudi.

00:05:49 Pour tout savoir, c'est sur francebleu.fr

00:05:52 7h05 sur France Bleu Cotentin, opération restitution pour les élèves normands

00:05:56 qui ont participé avec France Bleu au podcast sur les vétérans.

00:06:00 Podcast que vous avez entendu sur notre antenne.

00:06:02 Beau travail de recherche pour ces 400 élèves de la 4ème à la Terminale.

00:06:06 Ils ont travaillé avec leurs professeurs et nos journalistes sur le parcours de 15 soldats méconnus de la Seconde Guerre Mondiale.

00:06:12 Émission spéciale sur France Bleu Cotentin dès midi avec Wendy Bouchard et entre 16h et 17h en direct du Mémorial de Caen.

00:06:19 Et à quelques jours maintenant des festivités du Didel et touristes affluent déjà, on le sait.

00:06:23 Les retombées économiques du 80e ne laissent planer aucun doute, Philippe Lefebvre.

00:06:28 Que ce soit dans la Manche ou dans le Calvados, il est désormais quasiment impossible de trouver un hébergement

00:06:33 non loin des lieux où se dérouleront les cérémonies du 80e anniversaire du débarquement.

00:06:38 Sur les plages et dans les villages de Normandie, entre Ouistreham et Sainte-Mère-Église,

00:06:42 on attend plus de 2,5 millions de visiteurs qui pour beaucoup séjourneront sur place.

00:06:47 Et ce qu'observe Paul-Vincent Marchand, le directeur de l'Agence d'attractivité de la Manche.

00:06:51 C'est vrai qu'il y a des taux d'occupation qui sont exceptionnels, de l'ordre de 95%.

00:06:56 On va enregistrer sur cette semaine exceptionnelle plus d'un million 200 000 nuités.

00:07:02 Ce qui est considérable puisque ça représente 5% des nuités annuelles du département de la Manche.

00:07:09 Et il n'y a pas que les hôteliers ou les restaurateurs qui se réjouissent.

00:07:12 C'est le cas de Christophe Legoubet qui, dans son atelier de la banlieue de Caen,

00:07:15 fabrique des souvenirs aux couleurs du D-Day.

00:07:18 Sur le mois de mai et le mois de juin, on est à 60-70% de notre activité sur le 80e, bien évidemment.

00:07:24 Sur notre chiffre d'affaires, c'est à peu près 30-35%.

00:07:26 Des souvenirs qui devraient représenter 30% du chiffre d'affaires annuel des 94 musées et lieux de mémoire

00:07:32 où ils seront proposés aux visiteurs.

00:07:34 Philippe Lefèvre.

00:07:35 Nadal l'extraterrien a dit au revoir mais pas encore adieu hier à Roland-Garros.

00:07:40 Rapha a été éliminé au premier tour par Alexander Zverev en 3-7.

00:07:44 Alors il a dit qu'il ne disait pas à 100% adieu à Roland-Garros.

00:07:47 On verra donc ça plus tard.

00:07:49 Aujourd'hui, en tout cas, 8 Français sont à l'affiche, dont le numéro 2,

00:07:52 Adriane Manarino et Alizé Cornet, qui à l'issue, elle aussi mettra un terme à sa carrière.

00:07:57 Entrée également en liste de Novak Djokovic, numéro 1 mondial opposé en session de nuit au français Pierre Ruggerberg.

00:08:03 Pour terminer, ce rapport de l'ONG Oxfam France qui affirme que des entreprises du CAC 40

00:08:08 ont versé en 2022 près de 4 fois plus de dividendes à leurs actionnaires

00:08:12 qu'elles n'ont investi dans la transition écologique.

00:08:14 On les appelle les CAC 40 degrés.

00:08:17 Et les mauvais élèves sont Total ou encore Airbus.

00:08:20 Sur ce, bonne journée, c'est la météo.

00:08:22 La météo 100% locale avec Jimazan à Bologne,

00:08:26 le spécialiste du sur-mesure, mobilier, salon, lit, tri, cuisine,

00:08:30 et sur jimazan.fr.

00:08:32 Et une météo gris-souris.

00:08:34 Oui, gris-souris aujourd'hui.

00:08:35 Mais on sourit pas.

00:08:36 Non, mais on va essayer quand même.

00:08:38 Dit-elle en rigolant.

00:08:40 Mais voilà, la bonne humeur, le soleil, c'est chez nous.

00:08:43 Venez, venez, venez.

00:08:44 Mais tout à fait.

00:08:45 Et puis il faut du gris de temps en temps aussi.

00:08:46 Comme ça, ça nous fait apprécier encore plus quand il y a des éclaircies.

00:08:49 Ce matin, la journée va se dérouler effectivement sur une grande partie du département,

00:08:54 sous des nuages, avec aussi par contre, on note du brouillard sur l'ouest du département,

00:08:58 a priori, pour l'instant, principalement dans la hague, mais aussi toute la côte ouest.

00:09:01 On fait donc attention quand on prend la voiture.

00:09:03 Des petites pluies ce matin.

00:09:05 Elles seront moins présentes logiquement dans l'après-midi, mais il y aura toujours du gris.

00:09:09 Un vent de secteur ouest à sud-ouest modéré, 50 à 60 km/h jusqu'à ce soir.

00:09:14 Par contre, douceur.

00:09:15 On peut sourire, pas positif.

00:09:16 13 déjà à Vranche ce matin.

00:09:18 13 à Chancen, Germain-Dévau, 40 ans, Mont-de-Bourg, Mont-Farville.

00:09:22 Dans l'après-midi, entre 17 et 20 degrés.

00:09:25 17 pour Vallone, Barneville, Haut-Puy aussi, ou encore 17 à Cherbourg.

00:09:29 Température toujours entre 17 et 18 degrés.

00:09:32 Demain après-midi, nous dit Météo France, et peut-être l'espoir de voir des éclaircies.

00:09:36 On sait jamais.

00:09:37 Ça pourrait.

00:09:38 7h09 sur France Bleu Cotentin.

00:09:40 Vous prenez peut-être la voiture, donc notez bien.

00:09:43 Brouillard possible sur votre route.

00:09:44 Et puis, vous l'avez dit, ralentissement ce matin.

00:09:47 Ralentissement d'ailleurs qui s'élargit de plus en plus.

00:09:50 Entre Sainte-Croix et Erkeville, sur toute la départementale, vous êtes ralentis.

00:09:55 Il y a déjà du brouillard sur toute la route, sur toute la départementale, il y a beaucoup de brouillard.

00:10:01 Et puis, en plus, vous l'avez dit, il y a une distribution de tracts de la CGT dans le secteur de Beaumont.

00:10:05 Donc, ce qui fait que vous êtes ralentis sur toute la départementale.

00:10:08 Pour le reste, ça circule plutôt bien.

00:10:10 Mais effectivement, il y a encore du brouillard du côté de Souville, par exemple, Lépieux, Barneville aussi.

00:10:15 Donc, on fait attention. Vous constatez quoi que ce soit ?

00:10:18 Pensez à nous, 0233 2313 23.

00:10:21 C'est le numéro de votre radio-trafic. La radio-trafic, c'est France Bleu Cotentin.

00:10:25 Je suis contente, c'est le printemps. Et je gambade dans les champs.

00:10:40 Ce serait logique, la suite de la visite.

00:10:42 Oui, c'est clair.

00:10:43 On voit un petit peu de soleil, là. On s'y croit.

00:10:45 On s'y croit en printemps sous le sol, vous avez raison.

00:10:47 Et donc, on va aller dans les champs.

00:10:49 Les champs de Fleurs Bleues, vous ne connaissez peut-être pas. C'est une entreprise.

00:10:52 Et c'est surtout une créatrice derrière qui vous fait de très très beaux bouquets

00:10:56 avec des fleurs cueillies directement aux champs.

00:10:59 On découvre ça à 7h15. Un petit peu de printemps. Il est 7h10.

00:11:02 C'est un ordinateur.

00:11:06 Tobichan.

00:11:07 Tobichan, oui.

00:11:08 L'ancêtre du réseau social, c'est le bistro.

00:11:11 Ouf, je m'en vais sur Internet.

00:11:13 Merci Internet.

00:11:14 Pas de quoi, bébé.

00:11:15 À 7h10, à 7h00, si on se branche sur Internet, les réseaux à la recherche de ce qui fait parler,

00:11:20 votre rendez-vous, c'est très net.

00:11:22 Et Katia, quand l'intelligence artificielle se fait peut-être un peu bête...

00:11:25 Alors, vous savez l'IA dont tout le monde parle.

00:11:28 Et bien, depuis quelques temps, Google l'expérimente.

00:11:31 Avec pas encore disponible chez nous, et tant mieux car c'est pas franchement au point,

00:11:35 une espèce de moteur de recherche qui travaille avec justement cette intelligence artificielle.

00:11:39 Et on a découvert que cette IA donnait des conseils catastrophiques.

00:11:44 Par exemple, quand vous faites de la recherche, on vous dit que manger des cailloux, c'est bon pour la santé.

00:11:49 Que fumer pendant la grossesse, aussi, c'est très grave.

00:11:53 Ou encore, mettre de la colle sur sa pizza, c'est très bon.

00:11:56 Bref, du grand n'importe quoi.

00:11:59 Alors, face à ce tollé en ligne, Google s'est défendue en disant que,

00:12:02 en majorité quand même, tout ce qui était sorti de l'IA était fiable,

00:12:06 qu'il y avait quand même des choses qui l'étaient pas, qu'ils allaient corriger le tir.

00:12:10 L'ironie suprême, c'est que pour vérifier ces infos, il faut encore passer par Google.

00:12:14 Bref, restez vigilants, n'hésitez pas en tout cas, on vous le répète,

00:12:18 à recouper vos informations glanées sur Internet, avec des sources fiables.

00:12:22 Pour avoir des sources fiables, de toute façon, il n'y a qu'une adresse, c'est francebleu.fr,

00:12:26 francebleu.fr, francebleu.fr, cotentin. Là, vous êtes sûr que chez nous, tout ira bien.

00:12:29 On vous dira pas de manger des cailloux.

00:12:31 - Manger des cailloux quand on est un dinosaure, ça passe, mais bon...

00:12:34 - Ou une poule !

00:12:36 - Ça marche pas très bien. - Il y a beaucoup de poules qui utilisent Google.

00:12:40 - Allez, Caroline, on connaît l'appel du 18 juin, là on s'intéresse à l'appel du cyber-juin.

00:12:45 - Du cyber-juin, ouais ouais. - Qu'est-ce qu'il y a de connecté ?

00:12:48 - Eh bien justement, je vais vous expliquer.

00:12:50 Au moins, vu le nom, vous allez le retenir, ça c'est sûr et certain.

00:12:53 C'est sur le site appelsyberjuin.science.conf.org.

00:12:57 En fait, tout simplement, c'est un peu lié avec vous, justement,

00:13:00 on fait un petit peu le débroussaillage d'internet et on sait que là,

00:13:04 avec tous les événements qui se passent, le 80e anniversaire bien sûr,

00:13:07 mais les JO à Paris, tous les grands événements,

00:13:09 il y a plus de menaces sur internet, menaces informatiques.

00:13:12 Donc, là, Normandie s'est dit pourquoi pas faire l'appel du cyber-juin.

00:13:16 C'est dès le 10 juin 2024, ça va durer très longtemps, jusqu'à la fin du mois de juin à peu près,

00:13:21 et jusqu'au 5 juillet à peu près.

00:13:23 Il va y avoir plein d'événements un peu partout en Normandie

00:13:25 pour pouvoir justement nous sensibiliser à tout ce qui pourrait être un attaque sur internet,

00:13:30 que ce soit votre compte Facebook, Instagram, ou alors si vous êtes professionnel,

00:13:33 votre compte professionnel, ça peut aussi être très important,

00:13:36 votre site par exemple.

00:13:37 Notez, par exemple, le 13 juin, qu'il y a un atelier de découverte de la cybersécurité

00:13:41 et de ses métiers, c'est pour les collégiens, les lycéens,

00:13:43 puisqu'il m'a aussi un peu fait tilter.

00:13:45 Le 27 juin, ils vont faire une journée entière où vous allez vivre une attaque de hackers,

00:13:50 comme si vous y étiez.

00:13:51 Un peu flippant.

00:13:52 D'accord !

00:13:53 Vous pouvez tout découvrir.

00:13:54 Alors j'ai regardé, le programme est intéressant,

00:13:56 mais il n'y en a pas dans la manche, mais par contre il y en a en ligne.

00:13:58 Donc vous pouvez directement aller taper "Appel du cyber-juin",

00:14:02 découvrir tout ça.

00:14:03 Si vous êtes professionnel, vous allez peut-être avoir des petites pistes

00:14:05 pour pouvoir protéger vos comptes.

00:14:06 Et puis on sait qu'en ce moment, il y a des piratages sur Facebook,

00:14:08 aussi il y en a plein.

00:14:09 Donc justement, allez faire l'appel du cyber-juin.

00:14:12 7h14 sur France Bleu, coton-tente.

00:14:14 On retrouve notre cyber Yannick tout à l'heure,

00:14:17 entre 10h et 11h, pour parler cuisine avec lui, comme tous les jours.

00:14:21 Bienvenue chez vous, quel est le programme ?

00:14:23 Bonjour Yannick !

00:14:24 Bonjour madame !

00:14:25 Alors là, j'aime bien le programme, "Rhubarbe et framboises".

00:14:28 Exactement, avec un monsieur qui s'appelle Valentin Dorafee.

00:14:31 J'aime beaucoup ce garçon, parce que déjà, il est éminemment sympathique,

00:14:34 et il ne cesse de se remettre en question.

00:14:36 Il a d'abord été cuisinier, il a travaillé dans de très très grandes maisons,

00:14:39 et désormais il est pâtissier à 40 ans.

00:14:41 Il a purement et simplement remplacé son restaurant par une pâtisserie.

00:14:45 Et il fait des pâtisseries exceptionnelles.

00:14:47 Et entre autres, des pâtisseries avec...

00:14:49 De la rhubarbe et des framboises !

00:14:51 Madame a tout compris.

00:14:52 On va parler de rhubarbe, de framboises,

00:14:54 et arrive un événement qui s'appelle le 80e anniversaire du débarquement.

00:14:58 Voilà où vous suivez, c'est merveilleux.

00:14:59 Il va donc créer une pâtisserie essentiellement dédiée à ce même débarquement,

00:15:03 et on parlera de tout ça avec lui à 10h.

00:15:05 Intéressant ! Et bien à tout à l'heure !

00:15:07 Et pour l'instant, je vais vous faire gagner l'objet qui manque à vos séances bronzettes,

00:15:10 ce sera dans 5 minutes.

00:15:12 Ici Matin, revient dans un instant.

00:15:38 Le 6/9, France, le Cotentin.

00:15:41 C'est l'image peut-être de vos journées, des champs tout verdis,

00:15:47 quelques pâquerettes, des couleurs partout grâce aux fleurs.

00:15:49 Et avec la pluie, ce qui est bien, c'est que c'est sûr, ça va être vert.

00:15:52 C'est le point positif.

00:15:53 À 7h15, c'est l'éco d'ici, votre rendez-vous économique du matin.

00:15:56 Ce matin, nous sommes avec Caroline Faribault.

00:15:58 Bonjour Caroline !

00:15:59 Bonjour !

00:16:00 D'une Caroline à une Caroline, ça va être bizarre.

00:16:02 Vous avez créé votre entreprise, les Fleurs Bleues dans le Cotentin,

00:16:05 c'est à Saint-Pierre-Église.

00:16:07 Vous avez cultivé des fleurs de saison locales

00:16:10 dans votre champ entouré de verdure.

00:16:13 J'ai envie de vous demander la passion des fleurs.

00:16:15 On aime tous un peu ça, mais quand même, de là en faire un métier,

00:16:17 il faut le faire.

00:16:18 Ça vient d'où cette passion des fleurs, Caroline ?

00:16:21 Eh ben, tout simplement,

00:16:24 quand j'étais petite,

00:16:26 ma maman jardinait beaucoup, ma grand-mère aussi.

00:16:30 Après, je dois avouer que je ne comprenais pas trop

00:16:32 le plaisir que ma mère prenait.

00:16:34 Quand on est plus jeune, on ne comprend pas trop, puis après ?

00:16:37 Oui, voilà.

00:16:38 Je pense que c'est resté.

00:16:40 Après, étudiante, j'avais toujours un petit bouquet à la maison.

00:16:43 C'est toujours quelque chose qui m'a plu.

00:16:45 Et puis, ça arrivait dans ma vie, comme ça.

00:16:48 Il y a eu une envie de reconversion, je crois bien.

00:16:51 Oui, c'est ça.

00:16:52 Expliquez-nous un petit peu.

00:16:54 J'étais professeure d'italien.

00:16:56 J'ai enseigné, d'ailleurs, trois ans à Cherbourg.

00:16:59 Après, je suis partie à Marseille.

00:17:02 Et puis, je pense que je m'étais toujours dit

00:17:06 que j'aurais aimé faire autre chose après,

00:17:08 sans savoir trop quoi.

00:17:10 Et puis, je ne sais pas, un moment, j'ai pensé aux fleurs.

00:17:13 J'adorais regarder les gens composer des bouquets,

00:17:15 des choses comme ça.

00:17:16 Et puis, je me suis lancée, d'abord en passant dans CAP,

00:17:20 fleuriste.

00:17:22 Et puis, rapidement, je me suis rendue compte

00:17:24 que la boutique, ce n'était pas trop mon truc.

00:17:28 Et puis, en faisant des stages dans des fermes florales,

00:17:30 j'ai découvert tout un monde.

00:17:32 Et c'est devenu un peu une obsession.

00:17:35 Donc, voilà.

00:17:36 Il fallait être, effectivement, au champ,

00:17:38 entourée de verdure, dans la nature.

00:17:40 Oui, c'est ça, être dehors.

00:17:42 Et puis, j'aime bien faire plusieurs choses à la fois.

00:17:47 Et là, c'est vrai que travailler de la graine jusqu'au bouquet,

00:17:51 c'est quelque chose qui me plaît beaucoup

00:17:53 parce que c'est très varié.

00:17:54 Et puis, c'est aussi des fleurs différentes,

00:17:57 de celles avec lesquelles on peut travailler en boutique.

00:18:00 Et voilà.

00:18:01 Composition pour des mariages, fêtes, cérémonies,

00:18:04 décorations florales, avec donc, effectivement,

00:18:06 des fleurs des feuillages que vous prenez directement

00:18:08 dans votre champ.

00:18:09 C'est ce qui change forcément par rapport à d'autres endroits.

00:18:12 On peut tout découvrir.

00:18:13 C'est une petite exploitation de production de fleurs locales.

00:18:16 Mais alors, ce que je sais, c'est qu'on peut vous voir aussi

00:18:18 sur les marchés, après y aller.

00:18:19 Vous vous baladez un petit peu par où, justement ?

00:18:22 Alors, l'année dernière, j'étais sur le marché de Saint-Val.

00:18:25 J'avais très envie de tenter le marché de Cherbourg

00:18:28 parce que c'est un marché que j'aime beaucoup.

00:18:30 Et samedi dernier, j'ai fait mon premier marché à Cherbourg.

00:18:34 C'était super chouette.

00:18:35 J'ai eu un bon accueil.

00:18:37 Et voilà, l'idée, c'est jusqu'à la fin de la saison.

00:18:42 Donc, ici, avec le temps qu'on a, ce qui est chouette,

00:18:45 c'est que la saison démarre un petit peu tard

00:18:47 par rapport à ailleurs.

00:18:48 Mais elle est prolongée.

00:18:49 En revanche, voilà, elle est prolongée.

00:18:50 Il y a plusieurs floraisons.

00:18:51 L'année dernière, je faisais des bouquets

00:18:53 jusqu'au mois de novembre.

00:18:54 Donc, là, voilà, l'idée, c'est d'être sur les marchés de Cherbourg

00:18:57 le samedi matin, à part, évidemment,

00:19:00 les week-ends où j'installe des mariages,

00:19:02 ce qui est le cas d'ailleurs samedi qui vient.

00:19:04 Mais j'espère faire le marché de Cherbourg dans deux semaines.

00:19:07 On est en pleine saison, forcément, des mariages.

00:19:09 Vous pouvez tout retrouver directement.

00:19:11 Vous tapez tout simplement les fleurs bleues.

00:19:13 C'est votre nom, donc, le nom de votre entreprise

00:19:16 et de votre petit champ magnifique.

00:19:18 Merci beaucoup, Carine.

00:19:19 Merci à vous.

00:19:20 À très très bientôt sur France Bleu Cotentin, 7h19.

00:19:22 Ici, il y a 80 ans, avec la ville de Cherbourg-en-Cotentin,

00:19:25 commémorer et célébrer le 80e anniversaire de la Libération.

00:19:29 Retrouvez le programme sur Cherbourg.fr.

00:19:32 Il y a 80 ans, des villes du centre-Manche

00:19:34 étaient bombardées par les Alliés à la suite du débarquement.

00:19:37 Sous les bombes des Manches,

00:19:38 Chouac, Claude Paturel et Janine Le Bourgeois,

00:19:40 Lucie Tuilet, nous racontent toute cette semaine

00:19:42 l'histoire de ces deux enfants dans la guerre.

00:19:50 On a entendu les avions, le bourdonnement d'avions,

00:19:53 et M. Ruffaut, le boucher d'en face,

00:19:55 qui avait une voix de stenteur, a crié "C'est pour nous".

00:19:58 Alors là, ça a été le bombardement.

00:20:00 Nous sommes en juin 1944.

00:20:02 Claude Paturel a 12 ans, Janine Le Bourgeois 10.

00:20:05 Il habite Perrier, elle Saint-Lô,

00:20:07 deux villes ciblées par les bombardements alliés

00:20:09 qui accompagnent le débarquement

00:20:11 et vont détruire de nombreuses communes du centre-Manche.

00:20:14 Deux enfants dans la guerre, épisode 2, sous les bombes.

00:20:19 Prenons un petit peu en arrière.

00:20:20 Le 5 juin au soir, Janine est chez elle, rue des Petits Noyés à Saint-Lô.

00:20:24 Où on habitait, il y avait une école normale d'instituteurs au-dessus

00:20:27 et il y avait une DCA.

00:20:28 On l'a entendu tirer, puis il y a eu les sirènes qui se sont déclenchées.

00:20:32 Donc on est partis en chemise de nuit avec un gilet,

00:20:36 dans un abri sous la route.

00:20:38 Et on a vu l'avion qui passait au-dessus de nous en flamme.

00:20:41 Un avion allié abattu par la défense antiaérienne allemande

00:20:44 qui va s'écraser un petit peu plus au sud, à Baudre,

00:20:46 le lendemain matin, le jour du débarquement,

00:20:48 en milieu de matinée, sa famille décide de quitter Saint-Lô

00:20:51 pour se rendre à Kibou, à une dizaine de kilomètres de là.

00:20:54 Quand on est arrivés à Candole, les avions nous ont survolés

00:20:57 et les bombes sont tombées sur l'usine électrique.

00:20:59 On a été projetés quand même par la déflagration dans un petit ruisseau.

00:21:03 Puis on est arrivés chez ma grand-mère à Kibou le soir.

00:21:06 On voyait toutes les lueurs de Saint-Lô.

00:21:08 Et le ciel était tout rouge, des morceaux de papier brûlés qui arrivaient.

00:21:13 On nous disait que c'était des papiers qui étaient brûlés,

00:21:15 qui venaient des archives départementales.

00:21:17 Et puis mon oncle et ma tante, on n'avait pas de nouvelles d'eux du tout,

00:21:21 le frère de papa.

00:21:22 Tout d'un coup, on les a vus arriver tous les deux avec une aile,

00:21:25 avec une écharpe sur la tête.

00:21:27 Une vieille imperméable.

00:21:28 Pourtant c'était une belle femme, mais elle était toute voûtée.

00:21:31 À Perrier, c'est le 8 juin que se produit le premier bombardement aérien sur la ville.

00:21:36 Ça a été quelque chose d'horrible.

00:21:38 On était donc en plein dessous.

00:21:40 La maison tanguait.

00:21:41 Peu après 8h30, première vague de bombes.

00:21:44 Claude est chez lui avec ses soeurs et sa mère.

00:21:47 Son père, parti au bureau de tabac, parvient à se protéger dans une tranchée.

00:21:50 Et lorsqu'il revient, les avions bombardiers font un nouveau passage.

00:21:54 Il nous a repoussés sous l'escalier dans le coin de la petite pièce

00:21:58 qui était derrière le magasin de ma mère.

00:22:00 D'abord, c'était un bruit effrayant.

00:22:02 Les portes, les fenêtres, tout ça nous passait devant le nez.

00:22:05 Tout dégringolait, tout tombait, les cailloux passaient.

00:22:08 L'obscurité, c'est presque fait.

00:22:11 Il y avait la poussière.

00:22:12 Et puis alors, on avait du mal, j'ai l'impression, à respirer

00:22:15 avec cette odeur, cette encre d'odeur de poudre et tout ça.

00:22:19 Et puis, après, je ne sais combien de temps ça a pu durer,

00:22:23 ça a été un grand silence.

00:22:26 Alors là, c'était étonnant.

00:22:28 Après l'enfer qui se déchaînait.

00:22:30 Ce n'est qu'au bout d'un certain temps

00:22:32 qu'on a commencé à entendre les cris des blessés.

00:22:35 Je vous dis, il n'y avait plus de magasin, il n'y avait plus rien.

00:22:38 On a amené chez nous, sur une porte d'armoire, la charcutière.

00:22:42 Elle avait le mollet arraché.

00:22:44 Et puis, on a amené son petit-fils, qui lui avait un trou dans la jambe

00:22:48 et qui ne voulait pas qu'on y touche.

00:22:50 Sa tante est arrivée avec un pied qui pendait.

00:22:53 Alors, on n'a eu là aucun Allemand blessé.

00:22:56 Mais les pertes collatérales, comme on aime dire maintenant,

00:22:59 ça a été près de 100 morts.

00:23:01 Ces bombardements aériens vont souffler des maisons,

00:23:04 provoquer des incendies et entraîner la fuite

00:23:07 de nombreux habitants.

00:23:08 C'est ce que vont vivre Claude Paturel et Janine Le Bourgeois.

00:23:11 Et vous retrouvez donc cet épisode "Deux enfants dans la guerre" sur francebleu.fr.

00:23:16 Ici, il y a 80 ans, avec la ville de Cherbourg-en-Potentin,

00:23:20 commémorez et célébrez le 80e anniversaire de la Libération.

00:23:24 Retrouvez le programme sur cherbourg.fr.

00:23:27 C'est l'heure de jouer ensemble au 0233 23 13 23

00:23:32 à gagner l'objet qui vous manque pour la bronzette.

00:23:35 La serviette microfibre France Bleu Cotentin.

00:23:38 Serviette aux couleurs de votre radio.

00:23:40 A gagner avec OK France Bleu. Salut !

00:23:42 Enfin, c'est pas tant une commune que plutôt...

00:23:57 un fleuve ! Vous l'aurez compris.

00:24:00 Un fleuve qui serpente.

00:24:02 0233 23 13 23 à gagner la serviette microfibre.

00:24:07 Vous l'avez compris, elle traverse Saint-Lô et Isigny-sur-Mer.

00:24:11 Avec un seul fleuve.

00:24:12 Bimma baï.

00:24:13 0233 23 13 23 à gagner la serviette microfibre.

00:24:18 0233 23 13 23 à gagner la serviette microfibre.

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00:24:48 0233 23 13 23 23 à gagner la serviette microfibre.

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00:25:03 0233 23 13 23 23 23 à gagner la serviette microfibre.

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00:26:48 0233 23 13 23 23 23 23 23 23 23 23 23 à gagner la serviette microfibre.

00:26:53 0233 23 13 23 23 23 23 23 23 23 23 à gagner la serviette microfibre.

00:26:58 0233 23 13 23 23 23 23 23 23 23 à gagner la serviette microfibre.

00:27:03 0233 23 13 23 23 23 23 23 23 à gagner la serviette microfibre.

00:27:08 Dis ma baby, va laisser pas rallier sur France Bleu Cotentin !

00:27:13 On joue ensemble pour la serviette microfibre ce matin ! La serviette a gagné aux couleurs de France Bleu Cotentin !

00:27:22 Et on joue avec aucune idée, qui êtes vous ?

00:27:25 Qui j'ai à l'appareil ? Jean-Luc c'est ça ?

00:27:29 Oui alors parce que moi sur l'écran il y a rien du tout et je ne savais pas comment vous appeler. Jean-Luc vous nous venez d'où ?

00:27:37 A Décoraville !

00:27:38 Très bien ça me va ! On joue ensemble pour la serviette microfibre et pour ça une énigme, on la réécoute !

00:27:45 Je serpente paisiblement, de ma source à la manche, je m'écoule lentement. Je traverse Saint-Lô et Isigny-sur-Mer.

00:27:51 Jean-Luc quelle fleuve ?

00:27:53 La Vierne !

00:27:54 Impressionnant, encore plus impressionnant que le wifi gratuit. La Vierne nous voilà !

00:27:59 C'est pas faux ça ! La serviette microfibre elle est pour vous, bravo Jean-Luc !

00:28:03 Merci beaucoup !

00:28:04 Avec grand plaisir, passez une bonne journée Jean-Luc !

00:28:07 Oui tant que vous venez !

00:28:09 Vous avez bien raison !

00:28:11 A très bientôt Jean-Luc !

00:28:15 A bientôt !

00:28:16 7h28 sur France Bleu, contentin retrouve notre baladeur comme chaque matin, Emmanuel Gouache, en direct de Barneville-Carteret, puisqu'on allume la flamme avec vous, salut Manu !

00:28:26 Hello Caroline, Joannot, bonjour tout le monde, oui oui, Barneville-Carteret, on est place du Terminus, quand on est dans le coin on connait forcément le Terminus.

00:28:37 Je suis avec Sylvain Le Touzé du comité départemental olympique et sportif, qui mobilise des comités sportifs dans le département,

00:28:44 qui mobilise également des écoles et qui allume la flamme dans la manche, puisque vendredi elle sera dans notre département cette flamme.

00:28:52 Bonjour Sylvain !

00:28:53 Bonjour à toutes et à tous !

00:28:54 Bon alors, pas trop de stress autour de l'organisation de cette semaine où on allume la flamme avec le comité olympique départemental ?

00:29:01 C'est surtout passionnant et c'est surtout un grand moment qu'on est en train de vivre, le stress, non il n'y a pas de stress, parce que le travail était fait en amont,

00:29:07 on a, comme vous l'avez dit, mobilisé 8 comités, le réseau canopé, à peu près 50 bénévoles par jour sur chaque date, des 4 déplacements que nous aurons à faire,

00:29:17 et puis tout ça pour environ 300 enfants de moyenne à voir faire du sport et à offrir ces journées de découverte, donc non, c'est avant tout une mission très agréable et pas stressante.

00:29:27 Et donc là, on est en train de se poser, on va s'installer, il y a une grande tente dans laquelle on se trouve parce qu'il y a quelques gouttes de pluie,

00:29:34 mais Sylvain est sûr et certain que ça va s'arrêter dans pas longtemps, et puis donc on va installer les terrains de foot, on va installer les terrains de tir à l'arc,

00:29:42 qu'est-ce qui nous attend pour cette matinée de sport avec les enfants de Barnouil-Cartret ?

00:29:45 Alors du foot, vous l'avez dit, effectivement, avec le district de la Manche, du handball, du judo, du golf, du tennis de table, de la pétanque, du tir à l'arc,

00:29:53 l'atelier culture et éducation avec canopé, et puis évidemment, on ne peut pas les rater, le handisport sera parmi nous aussi,

00:29:59 parce que les Jeux Olympiques, c'est pas seulement les Jeux Olympiques, il y a les Jeux Paralympiques juste après.

00:30:03 Rendez-vous dans une dizaine de minutes avec le maire de Barnouil-Cartret pour parler de tout ça aussi.

00:30:06 C'est parfait, rendez-vous donc dans une dizaine de minutes, toute la semaine on suit donc ces communes,

00:30:11 on allume la flamme et vendredi ce sera en direct aussi sur votre radio préférée.

00:30:15 Il y a des héros et des histoires méconnues. Dans l'Orne, une armée de l'ombre s'est levée la résistance.

00:30:37 Parmi ces figures de l'histoire, découvrez celle d'Anette Lajon.

00:30:41 C'était instinctif, on ne pouvait pas l'accepter et le premier nom, c'était d'abord "Écoutez Radio Londres".

00:30:48 Rien n'est perdu pour la France.

00:30:51 Il fallait faire sauter les ponts, les routes, plus rien ne comptait que le résultat final, la réussite du débarquement.

00:30:59 Londres avait reçu une carte qui indiquait l'emplacement exact de toutes les batteries côtières à Londres.

00:31:06 Un engagement synonyme de victoire qui résonne encore aujourd'hui.

00:31:10 Si vous deviez laisser un message à nous les jeunes.

00:31:12 On n'a pas fini la lutte, on l'amènera au temps qu'il faudra pour arriver justement à faire triompher ces valeurs qui sont les valeurs essentielles de l'homme.

00:31:21 L'Orne résistante en quête de mémoire, jeudi à 23h10 sur France 3 Normandie.

00:31:31 Excellente matinée, 7h30 passée sur France Bleu Cotentin et du gris du gris pour toute la journée nous dit Météo France.

00:31:37 Avec peu d'espoir, quelques rares éclaircies mais elles sont tellement rares qu'on ne va pas les compter.

00:31:42 Des nuages donc partout, du brouillard aussi dans la hague ce matin et puis quelques gouttes de pluie qui sont prévues comme ça ici et là toute la journée.

00:31:49 Il fait 13° à Cherbourg ou encore 13° à Montebourg.

00:31:52 Les infos présentées par Jacqueline Fardel, c'est une cohabitation difficile à forcer en milieu rural.

00:31:59 Celle des chiens susceptibles d'être dangereux avec le voisinage.

00:32:03 Dans la Manche à Benneville, petite commune entre Port-Baille et Saint-Sauveur-le-Vicomte, 136 habitants viennent de signer la pétition d'une administrée, Aurélie Léger, qui demande le placement de deux chiens de sa voisine.

00:32:15 L'un d'eux est catégorisé, un chien susceptible donc de représenter un danger.

00:32:19 Or cette mère de famille assure qu'en mars, elle, son mari et son fils de 4 ans ont été attaqués.

00:32:25 Elle raconte au micro d'Antoine Lifoux.

00:32:27 Avec mon fils, nous étions partis nous promener parce qu'on avait notre petit chiot et mon grand garçon de 4 ans et il avait été invité à un anniversaire en dessous de chez nous, donc en dessous de chez ma voisine.

00:32:36 Et à ce moment-là, au moment qu'on est passés, j'ai vu qu'elle était assise, elle, devant son mobilhome et j'ai vu d'un coup un boulet de canon arriver, donc Léon, son Rottweiler.

00:32:43 Le chien s'est jeté sur notre chiot, donc il avait à ce moment-là 4-5 mois.

00:32:47 Et pendant ce temps-là, le Rottweiler, donc Léon, m'a mis un coup de tête dans les genoux et au moment où je suis tombée, il m'a mordu à la cuisse aussi.

00:32:53 Donc je suis retrouvée à terre avec mon labrador et pendant que j'étais à terre, j'ai entendu hurler mon fils de 4 ans.

00:32:58 Je me suis retournée et en fait, le Dobermann était en train de le choper, il l'a fait voler au sol.

00:33:02 J'ai vu mon petit garçon essayer de s'agripper à la route pour se protéger et pendant ce temps-là, le Dobermann l'a mordu dans le dos.

00:33:07 Donc je ne vous raconte pas déjà l'état de mon petit garçon à ce moment-là, c'était compliqué.

00:33:11 Parce qu'après l'attaque, il ne voulait plus dormir. C'est un petit garçon de 4 ans qui s'est remis à faire pipi au lit, qui pleurait énormément.

00:33:15 Donc bon, en tant que parent, on essaie de le rassurer au maximum, mais c'est compliqué pour nous.

00:33:19 Aurélie, léger habitante de Benneville, qui vient donc de lancer une pétition.

00:33:23 L'un des deux chiens concernés est un chien de catégorie 1 ou 2, dit dangereux, pour qui il y a une réglementation précise, particulière.

00:33:31 Mais les maîtres de ces chiens sont-ils assez respectueux, assez prudents ?

00:33:35 On vous pose la question ce matin. Vous nous appelez, on a déjà des réactions sur la page Facebook.

00:33:39 On a Yves Raffan qui nous dit "Aucun chien n'est dangereux, c'est celui qui ne l'éduque pas qui le rend dangereux".

00:33:44 Et bien on en débat avec vous dans quelques minutes. Vous pouvez nous appeler maintenant 0233 23 13 23.

00:33:50 Des salariés en noir ce matin devant la clinique de Coutan ont s'invité à se mobiliser en fin de matinée,

00:33:55 alors que le tribunal de commerce doit trancher aujourd'hui sur le sort de la clinique de la ville.

00:34:00 La décision est quasiment actée, la liquidation judiciaire ne fait plus beaucoup de doute.

00:34:04 Sur place, le personnel ne sait pas de quoi demain sera fait.

00:34:07 Les salariés pourront être dehors dès ce soir. Les patients sont désemparés et inquiets.

00:34:11 Le tribunal qui doit aussi se prononcer sur les offres de reprise des cliniques de Coutances mais aussi de Saint-Lô aujourd'hui.

00:34:16 Et on en parle justement avec l'invité de la matinale.

00:34:18 Le docteur Abdey Ramey Nazouzi avec nous dans quelques minutes, 7h45.

00:34:23 Neuf allées et retour en plus par jour en semaine entre Cherbourg et Paris.

00:34:27 C'est le scénario envisagé par la SNCF à partir de la fin de l'année.

00:34:30 La compagnie ferroviaire et la région ont annoncé 70 trajets supplémentaires sur les lignes normandes,

00:34:35 essentiellement celles vers Paris.

00:34:37 Et deux trains directs aussi seront infrêtés pour le Mont-Saint-Michel le week-end.

00:34:41 Des décisions prises en vue de la hausse de la fréquentation. On en reparle dans une demi-heure.

00:34:45 Un Français sur quatre fume chaque jour.

00:34:47 Un chiffre qui ne se réduit toujours pas depuis plusieurs années.

00:34:51 Même on reste à ce plafond. Après une baisse cependant entre 2016 et 2019.

00:34:56 Et on ne fume pas de la même façon en fonction de là où on habite.

00:35:00 À quelques jours de la journée sans tabac, vendredi, Santé publique France publie ce matin une étude.

00:35:05 Elle vient de recenser les régions où les adultes fument le plus.

00:35:08 Et c'est en Provence-Alpes-Côte d'Azur qu'il y a le plus de fumeurs, Solène Lehenin.

00:35:13 En Provence-Alpes-Côte d'Azur, environ 30% des adultes fument tous les jours.

00:35:17 C'est légèrement plus qu'en Occitanie.

00:35:19 Suivent ensuite le Grand Est, la Bourgogne-Franche-Comté et les Hauts-de-France.

00:35:23 En revanche, là où l'on fume le moins, c'est en Outre-mer.

00:35:26 Un adulte sur dix seulement en Guyane, Guadeloupe et Martinique.

00:35:30 Et en métropole, deux adultes sur dix en Ile-de-France et Pays-de-la-Loire.

00:35:34 Ce sont davantage les hommes de moins de 60 ans, au revenu et au niveau d'études les plus faibles, qui fument.

00:35:40 Partout en France, plus de la moitié des fumeurs disent vouloir arrêter.

00:35:44 Ces résultats vont permettre désormais aux autorités de santé d'adapter leur politique d'aide au sevrage.

00:35:49 D'ailleurs, Santé publique France vient de faire un bilan du numéro de téléphone gratuit Tabac Info Service le 3989.

00:35:56 Les épidémiologistes ont rappelé six mois après les fumeurs qui avaient contacté la plateforme pour les aider à arrêter le tabac.

00:36:02 Une aide jugée efficace, car parmi ceux qui ont répondu, plus d'un tiers n'avaient pas fumé depuis au moins un mois.

00:36:09 Et d'après l'étude de Santé publique France, la Normandie se situe dans la moyenne,

00:36:13 mais c'est dans la région que l'on trouve la proportion de fumeuses la plus faible.

00:36:17 19% de tabagisme quotidien chez les Normandes.

00:36:21 1400 élèves, une rose blanche à la main au milieu du cimetière américain de Montjoie-Saint-Martin.

00:36:26 De ces images qui contribuent à ne jamais oublier à l'occasion de la cérémonie du Memorial Day.

00:36:31 Hier, ce sont des classes du Sud Manche qui sont venues fleurir les tombes du cimetière américain

00:36:36 afin de rendre hommage aux 4410 soldats qui y reposent.

00:36:40 Journée qui lance symboliquement les festivités du 80e anniversaire du débarquement.

00:36:44 Et cet après-midi, c'est par le son que les jeunes s'investissent dans le devoir de mémoire.

00:36:48 15 classes de l'Académie qui ont travaillé sur des podcasts avec France Bleu

00:36:52 pour mettre en lumière le parcours de soldats de la Seconde Guerre mondiale.

00:36:55 Et ils se réunissent tous pour écouter et échanger cet après-midi au Memorial de Caen.

00:36:59 Nous y serons. Émission à vivre en direct, émission spéciale sur France Bleu Cotentin de 16h à 17h

00:37:04 et les podcasts à écouter sur francebleu.fr.

00:37:07 La météo, c'est de la pluie aujourd'hui, il en faut !

00:37:13 Oui, c'est de la pluie, c'est du gris, il en faut, vous avez raison, il en faut.

00:37:17 Ça tombe bien, c'est aujourd'hui que ça tombe.

00:37:19 Avec effectivement de la grisaille, une journée qui se déroule sous un ciel déjà couvert.

00:37:24 Il y a du brouillard notamment dans certains secteurs.

00:37:26 Quelques petites pluies, vous l'avez dit, qui devraient être un petit peu moins présentes dans l'après-midi, nous dit Météo France.

00:37:31 Et puis des températures quand même agréables, c'est le point noté.

00:37:35 Ceci dit, il y a du vent, donc ça peut rafraîchir un peu.

00:37:38 Température de 13°C à Avranches, 13°C à Saint-Germain-des-Vaux ce matin ou encore à Cherbourg.

00:37:43 Avec du vent aux alentours des 50 à 60 km/h.

00:37:46 Dans l'après-midi, 17°C à 20°C.

00:37:48 17°C pour Barfleur, Vallone, Lépieu ou encore Cherbourg.

00:37:51 19°C à Saint-Lô et c'est tout pareil demain entre 17°C et 18°C.

00:37:56 Ce sera toujours un petit peu mitigé.

00:37:58 Mitigé, ça veut dire qu'on peut voir des éclaircies.

00:38:00 C'est le point positif.

00:38:02 L'infotrafic 100% local avec Marie Automobile.

00:38:04 Votre concessionnaire Peugeot dans le Cotentin et sur MarieAutomobile.fr.

00:38:09 Et toujours ce ralentissement, c'est ce que vous constatez, c'est ce que vous êtes en train de nous dire.

00:38:13 Vous êtes parfois coincé depuis 30 minutes sur la départementale de Beaumont, direction de Beaumont.

00:38:19 Nous sommes dans la Hague, vous êtes nombreux.

00:38:21 En cause, il y a actuellement une distribution de tracts de la CGT à Beaumont.

00:38:25 Ce qui fait que vous êtes fortement ralenti dans les deux sens de circulation.

00:38:29 Si vous partez d'Agueville, même d'ailleurs de Cherbourg, entre Sainte-Croix jusqu'à Beaumont,

00:38:34 ça ralentit fortement dans le secteur.

00:38:37 On fait donc attention.

00:38:39 Pour le reste, il y a toujours du brouillard dans la Hague.

00:38:41 Ça n'aide pas non plus.

00:38:43 Je vous rassure, dans ce coin-là, forcément c'est un petit peu compliqué.

00:38:46 Il y a aussi des ralentissements actuellement.

00:38:48 Si vous êtes du côté de Brie, aux alentours de la RN13, vous êtes ralenti sur la départementale.

00:38:54 J'essaie de voir pourquoi il y aurait des obstacles à priori sur la route.

00:38:58 Je suis en train de regarder.

00:38:59 C'est ce que vous me dites.

00:39:00 Il y a des dangers de marquer, mais de ce que je vois en zoomant, ce seraient des obstacles.

00:39:03 Si vous avez des infos d'ailleurs, je les veux bien.

00:39:05 RN13 entre Brie et Saint-Joseph, donc ralentissement.

00:39:08 0233-211323, c'est le numéro de votre radiothraphie.

00:39:13 7h38, le 6/9 France Bloc Authentin.

00:39:16 Caroline Joanneau, Jacqueline Fardel.

00:39:18 Allumer la flamme, allumer la flamme.

00:39:22 Abonner à fond, d'accord.

00:39:24 Et puis on va l'allumer toute la semaine.

00:39:26 Avec Manu.

00:39:28 Et vendredi, point d'orgue, puisque la flamme passera dans le département.

00:39:33 Les stars, tous.

00:39:34 C'est pas nous les stars ?

00:39:35 Je crois pas.

00:39:36 Non, c'est pas nous.

00:39:37 Soit vous, quoi.

00:39:38 Et puis vraiment pas.

00:39:39 7h39 sur France Bloc Authentin.

00:39:42 Et donc, l'allumeur de la flamme.

00:39:45 C'est Emmanuel Ouach sur France Bloc Authentin, en direct de Barneville-Carteret.

00:39:49 Place du Terminus pour découvrir justement le comité et tout ce qui est prévu dans la commune.

00:39:54 On continue à tout découvrir un petit peu plus en détail avec vous, Manu.

00:39:58 Pourquoi vous dites attention quand vous dites que j'allume la flamme ?

00:40:02 Parce qu'allumeur, c'est... voilà, je vous laisse finir la phrase.

00:40:05 Débrouillez-vous avec ça.

00:40:06 Je n'en ferai rien, car vous me donnez.

00:40:08 Bon, donc effectivement, je suis à Barneville-Carteret.

00:40:11 On allume la flamme.

00:40:12 La Manche allume la flamme avec ce rendez-vous sportif dans différentes villes communes

00:40:19 qui malheureusement ne vont pas accueillir la flamme,

00:40:22 mais qui finalement l'accueillent par ricochet avec ce rendez-vous sportif.

00:40:26 Et je suis avec Monsieur le maire David Legault.

00:40:28 Bonjour, Monsieur.

00:40:29 Bonjour à toutes et à tous.

00:40:30 Alors, forcément, le schéma sportif, c'est quelque chose d'important pour Barneville-Carteret,

00:40:37 comme pour de nombreuses communes.

00:40:39 Comment est-ce que vous accueillez les Jeux ?

00:40:41 Vous avez le label qui permet aussi d'accueillir les Jeux.

00:40:44 Et vous vous êtes montré comme ayant envie de faire partie de cette aventure.

00:40:51 Pourquoi ?

00:40:52 Alors, tout d'abord, c'est suite à la demande du comité départemental olympique et sportif.

00:40:57 Ceux qui nous ont proposé d'avoir cette matinée,

00:41:01 et même étant dure, au début d'après-midi, pour ce village olympique, si on pourrait dire.

00:41:05 Voilà, la manche allume la flamme.

00:41:07 Et donc, nous, on a répondu favorablement,

00:41:09 parce qu'actuellement, on est sur un projet multisport, multisite depuis deux ans,

00:41:13 pour revoir toutes nos infrastructures sportives et mettre tout le monde au sport dans la commune.

00:41:19 Pourquoi est-ce que c'est important pour vous de faire une place importante au sport dans la commune ?

00:41:24 Parce que là, on travaille depuis quatre ans sur l'attractivité de la commune.

00:41:28 Et là, on voit que la commune est de plus en plus attractive, grâce aux aménagements communaux,

00:41:31 mais grâce aussi à l'implication des artisans-commerçants,

00:41:35 grâce au dynamisme des associations, grâce aussi à l'implication des habitants sur différentes choses.

00:41:41 Et on s'aperçoit que le levier sportif, c'est important,

00:41:45 parce qu'on veut toujours, comme beaucoup de communes, avoir des jeunes couples sur la commune.

00:41:49 Donc, on fait tout pour les enfants, les accueils pour les enfants, les écoles.

00:41:55 Mais les parents, il faut bien qu'ils soient, eux aussi, pris en charge, occupés et avoir des animations.

00:42:00 Et le sport est un très bon levier.

00:42:03 Et donc là, on est en train de revoir toutes les infrastructures,

00:42:07 pour le foot, le tennis, la pétanque, le judo, le karaté, la musculation.

00:42:13 Et donc, ça se traduit aussi par des constructions de bâtiments,

00:42:17 donc un bouleau de rhum couvert, deux terrains de tennis couverts, deux terrains de padel,

00:42:22 deux dojos pour le karaté et le judo.

00:42:26 Et ensuite, on rénove à l'intérieur du gymnase, pour permettre à la musculation de venir,

00:42:31 les terrains de boules, un centre socio-éducatif pour le foot.

00:42:34 Donc, vous voyez que c'est un gros projet.

00:42:36 - Sur plusieurs années, j'imagine.

00:42:38 - Et donc, on n'a pas fini de faire du sport ici, à Barneville-Carteret,

00:42:41 et on va en faire ce matin.

00:42:43 On va éduquer les jeunes générations, pour qu'ils puissent profiter de tous ces beaux aménagements

00:42:48 que vous êtes en train de préparer pour Barneville-Carteret.

00:42:50 - Vous n'avez pas fini de faire du sport, Manu.

00:42:52 - Non, c'est évident. C'est le programme de toute votre semaine, de toute façon.

00:42:56 7h42, sur France Bleu Cotentin, Dreamer !

00:42:59 Super Trump, sur France Bleu Cotentin.

00:43:01 Et après ça, on parle de vous, les binômes, les humains de tout ouf.

00:43:05 *Musique*

00:43:34 *Musique*

00:44:02 *Musique*

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00:46:00 - Ça fait toujours du bien.

00:46:01 Super Trump, sur France Bleu Cotentin, Dreamer !

00:46:03 On vous donne la parole dans une minute.

00:46:05 *Musique*

00:46:07 Ici, matin, revient dans un instant.

00:46:10 *Musique*

00:46:11 - Je vous accueille à Sainte-Marie-du-Mont, dans la Manche,

00:46:14 où je vais partir à la rencontre de la famille Valavièlle,

00:46:16 au sein de leur manoir familial, le manoir de Brécourt.

00:46:19 Ici, il y a 80 ans, les parachutistes alliés vont atterrir.

00:46:23 Des parachutistes qui, par leurs actes, vont marquer à jamais le destin de cette famille.

00:46:27 Un récit poignant, bouleversant, raconté par leurs descendants.

00:46:31 Retrouvez Anne Boé, ici, jeudi, à 10h10, sur France 3 Normandie,

00:46:35 en partenariat avec France Bleu Cotentin.

00:46:37 *Musique*

00:46:39 Le 6/9, France Bleu Cotentin.

00:46:42 *Musique*

00:46:45 - Et comme chaque matin, à cette heure-ci, vous avez la parole,

00:46:47 c'est le principe sur France Bleu Cotentin.

00:46:49 On va parler de vous, qui avez peut-être un chien à la maison,

00:46:51 ou qui avez connu, d'ailleurs, justement,

00:46:53 les propriétaires de chiens de catégorie 1 ou 2 doivent posséder un permis de détention.

00:46:57 Est-ce que c'est suffisant ?

00:46:59 Alors, on vous pose la question, chien dit dangereux,

00:47:01 les propriétaires sont-ils suffisamment prudents, selon vous ?

00:47:05 02, 33, 23, 13, 23, témoignez, allez-y, dès maintenant.

00:47:10 Et puis, le temps qu'on vous reçoive, notre invité de France Bleu Cotentin

00:47:13 et France 3 Normandie, ce matin, est l'un des praticiens de la clinique de Coutances,

00:47:16 qui pourrait fermer ses portes dès ce soir, Jacqueline.

00:47:19 - L'établissement placé en liquidation judiciaire,

00:47:22 et le tribunal de commerce de Coutances qui tranche aujourd'hui.

00:47:24 Bonjour, docteur Abdé Rahmen Azouzi.

00:47:27 - Bonjour.

00:47:28 - Vous êtes chirurgien urologue à la clinique,

00:47:30 et comme vos collègues, comme vos patients,

00:47:32 vous attendez, on imagine, cette décision le cœur lourd.

00:47:35 À quoi vous attendez-vous aujourd'hui ?

00:47:37 - Écoutez, il n'y a pas tellement de mystère.

00:47:40 Je pense que la clinique va être liquidée ce soir,

00:47:43 et que, donc, une structure qui a ouvert ses portes en 1937

00:47:49 va fermer ses portes définitivement, et qu'il n'y aura plus de chirurgie.

00:47:53 Alors, attention, il y aura, là, actuellement, on ne va pas en parler,

00:47:56 mais il y aura l'aspect consultation, on va en parler,

00:47:59 mais là, je vous parle d'actes chirurgicaux,

00:48:01 il n'y aura plus d'actes chirurgicaux sur la place de Coutances.

00:48:04 C'est une tâche qui se tourne.

00:48:06 - La clinique de Coutances, effectivement, c'est 11 médecins,

00:48:08 aujourd'hui, 500 en consultation par semaine.

00:48:10 Une liquidation, justement, aujourd'hui, ça signifie quoi

00:48:13 pour tous ces patients qui sont suivis aujourd'hui à la clinique

00:48:16 et qui se posent des questions, on les a entendues dans nos journaux ?

00:48:19 - Alors, qu'on soit clair, parce que j'ai eu votre collègue tout à l'heure,

00:48:23 tous les secrétariats sont joignables et les rendez-vous seront assurés

00:48:28 pour l'ensemble des patients.

00:48:30 On s'organise pour ça. Maintenant, ça, c'est ce que nous, on souhaite faire.

00:48:34 Maintenant, il y a la question de l'endroit où on doit consulter.

00:48:37 Aujourd'hui, ce qu'on nous explique, et ce qu'on a reçu à un courrier

00:48:40 une quinzaine de jours, et c'est ça qui est choquant dans cette affaire-là,

00:48:42 on expliquait que, circulez, il n'y a rien à voir, la clinique ferme,

00:48:45 et donc, vous allez consulter où vous voulez.

00:48:49 Sauf qu'avec tout le respect que j'ai pour les pizzaïolos,

00:48:52 nous, on ne fabrique pas des pizzas, si vous voulez.

00:48:54 Nous, on s'occupe de la santé des gens, c'est-à-dire du bien le plus précieux

00:48:57 qu'on ait dans notre population.

00:48:59 Et qu'on ait, avec un délai de 15 jours, avec toutes les instances

00:49:03 qui s'occupent de ça depuis des mois, qu'on nous dise,

00:49:05 "Ecoutez, la clinique va fermer, elle sera interdite d'accès,

00:49:09 et donc, vous devez vous débrouiller pour vous organiser,

00:49:12 dans les jours qui viennent, pour trouver des cabinets de consultation,

00:49:15 pour vous réorganiser les logiciels informatiques,

00:49:18 tout ce que ça peut engendrer, les assurances, etc."

00:49:21 Et sans que personne n'ait prévu un plan B,

00:49:24 parce que c'est ça la réalité de ce qu'on vit,

00:49:26 je vous m'excuserai, mais là, il y a un vrai problème

00:49:28 de méthode et de gouvernance.

00:49:29 - Mais alors, justement, qu'est-ce que vous dites aux patients ?

00:49:31 Parce qu'effectivement, aujourd'hui, les secrétariats médicaux sont ouverts,

00:49:34 mais demain, est-ce qu'on peut continuer à passer ce coup de fil ?

00:49:36 Et puis, si on passe le coup de fil et qu'on a un rendez-vous,

00:49:38 mais qu'on ne sait pas où aller, finalement, on ne peut pas être suivi.

00:49:41 - Vous avez raison, mais il faut comprendre qu'il y a les instances

00:49:45 qui ont fini par nous mettre dans la situation où nous sommes,

00:49:48 parce qu'il y a des gens qui sont responsables de cette situation.

00:49:50 Ce n'est pas une évolution naturelle de la clinique.

00:49:54 La clinique, fin 2023, était quasiment à l'équilibre financier,

00:49:58 donc il y a eu des décideurs qui ont pensé que cette clinique devait fermer.

00:50:01 C'est comme ça que ça s'est passé.

00:50:02 Et ensuite, il y a nous, les praticiens, le personnel paramédical que je salue,

00:50:06 qui a été exceptionnel, de résilience,

00:50:10 et nous sommes seuls à nous battre.

00:50:13 Alors, quand je dis "seuls", ce n'est pas vrai.

00:50:15 Il y a M. Jacques Hibido, qui est président de la Comcom,

00:50:17 qui a beaucoup mouillé la chemise dans cette affaire-là,

00:50:19 et qui continue de le faire.

00:50:20 Mais globalement, on est face à des institutions

00:50:23 qui craisent la situation dans laquelle nous sommes,

00:50:26 et en même temps nous disent "nous, on ne peut rien faire".

00:50:28 Et en fait, ce n'est pas complètement faux,

00:50:29 parce que quand vous les prenez individuellement,

00:50:31 quand vous prenez l'ARS, quand vous prenez la préfecture,

00:50:33 qui a un rôle de gestion de la population,

00:50:37 quand vous prenez le juge qui juge,

00:50:39 quand vous prenez le liquidateur judiciaire qui liquide,

00:50:41 quand vous prenez l'administrateur judiciaire qui administe,

00:50:43 quand vous prenez le groupe avec,

00:50:45 indépendamment, en fait, ils ne sont pas complètement responsables de la situation.

00:50:48 Mais quand vous avez une vue globale des choses,

00:50:50 on arrive à la situation où, ce soir,

00:50:52 vous avez une clinique qui va fermer,

00:50:54 et je ne peux pas vous dire demain où on va consulter.

00:50:56 Mais nous y travaillons, et nous pensons que peut-être,

00:50:59 mais ça, il faut comprendre qu'on ne nous l'a pas proposé,

00:51:02 on est en train de se battre encore aujourd'hui,

00:51:04 pour que peut-être il y a un espace de la clinique

00:51:07 qui reste ouvert à la consultation.

00:51:08 Mais personne ne nous l'a proposé, il a fallu qu'on se batte pour ça.

00:51:11 - Et parce qu'effectivement, on attend aussi les décisions concernant

00:51:14 les trois offres de reprise qui sont sur la table,

00:51:16 et le tribunal doit se prononcer aussi, aujourd'hui,

00:51:19 sur ces propositions de reprise.

00:51:20 Vous avez là, quand même, un espoir

00:51:22 qu'il y ait une activité qui reste à Coutances ?

00:51:24 - Non, alors, sur Coutances,

00:51:27 à l'heure où je vous parle, il est très clair qu'il n'y aura plus d'activité chirurgicale.

00:51:30 L'activité chirurgicale, elle est d'ores et déjà,

00:51:33 enfin, je veux dire, en pratique, elle est regroupée sur le site de Saint-Loup.

00:51:36 Je vous rappelle que les deux structures étaient,

00:51:39 comment dirais-je, gérées par le même propriétaire, le groupe AVEC.

00:51:43 Donc, si vous voulez, l'activité chirurgicale de Coutances

00:51:47 a été transférée sur la polyclinique de La Manche.

00:51:50 Donc aujourd'hui, par contre, nous, ma secrétaire, cette semaine,

00:51:52 elle a passé son temps à programmer des dizaines,

00:51:54 si ce n'est des centaines de patients au bloc opératoire de Saint-Loup

00:51:57 qui devaient être opérés sur Coutances.

00:51:59 Mais comme on sait que la liquidation va avoir lieu,

00:52:01 le lieu chirurgical, désormais, des patients du Coutances,

00:52:05 sera Saint-Loup.

00:52:07 Ça, c'est certain. Maintenant, il y a des chirurgiens,

00:52:09 comme par exemple le docteur Pazero, lui,

00:52:11 qui est plutôt s'est retranché sur la branche.

00:52:13 Il y a le docteur Clément Bideau, qui est gastro-entérologue,

00:52:15 lui, qui s'est retranché plutôt sur Cherbourg.

00:52:18 Mais vous voyez la situation dans laquelle on met les gens.

00:52:20 Les patients, aujourd'hui, qui étaient pris en charge à Coutances,

00:52:23 dans de très bonnes conditions, il y avait zéro problème.

00:52:26 Eh bien, ces gens-là, en fait, vont être obligés de faire,

00:52:29 je ne sais pas, 100 kilomètres allés, 100 kilomètres retours,

00:52:31 pour être pris en charge.

00:52:32 Ce n'est pas mieux pour les patients, vous comprenez ?

00:52:34 Pour nous, c'est moins bien.

00:52:35 Alors, je comprends qu'il y ait des gens à l'ARS,

00:52:38 dont le métier est d'organiser les soins et l'offre de soins.

00:52:42 Mais nous, sur le terrain, ce qu'on constate,

00:52:45 c'est que tout ça n'est pas lié à une bonne méthode,

00:52:48 à une bonne gouvernance.

00:52:49 Les gens, aujourd'hui, sont perdus.

00:52:50 Vous-même, vous dites, les gens, comment ils vont faire ?

00:52:52 Ça, c'est la réalité du terrain.

00:52:54 Et ça, ça pose un gros problème pour nous,

00:52:56 parce que ça n'a pas été fait comme il fallait.

00:52:57 On entend votre colère, on entend votre émotion.

00:52:59 Merci, docteur Abdeh. Ramène à Zouzi.

00:53:02 Vous serez ce matin à 11h30 avec l'ensemble du personnel

00:53:05 devant la clinique, habillé en noir ?

00:53:07 Non seulement, je serai dans la clinique,

00:53:09 mais là, je vous appelle de la clinique.

00:53:10 Parce que nous, on est là, on est sur le terrain et on ne lâche pas.

00:53:12 Mais simplement, je veux rassurer les patients.

00:53:14 Ils peuvent continuer à vous appeler.

00:53:15 Et on trouvera une solution pour que les patients soient pris en charge.

00:53:19 Merci beaucoup, monsieur Abdeh. Ramène à Zouzi.

00:53:23 Bonne journée et bon courage.

00:53:25 Au revoir.

00:53:26 Le 6/9, France Bleu Cotentin.

00:53:29 Partout, avec vous, dans la Manche.

00:53:32 Et à 7h53, on ouvre l'antenne pour vous.

00:53:35 Vous avez la parole comme chaque matin, aux 0233 23 13 23.

00:53:39 On parle de vous, qu'il y avait peut-être un chien à la maison

00:53:42 ou alors vous êtes voisin de propriétaires de chiens.

00:53:45 Propriétaires de chiens qui peuvent être de catégorie 1 ou 2, par exemple,

00:53:48 et qui doivent posséder un permis d'étention.

00:53:50 Est-ce que c'est suffisant ?

00:53:51 Avez-vous constaté qu'il y a relâche par rapport à cette loi,

00:53:54 justement, à certaines précautions ?

00:53:56 On vous donne la parole comme chaque matin.

00:53:59 Bonjour Véronique.

00:54:01 Bonjour Véronique.

00:54:02 Véronique Descale, vous nous appelez justement aux 0233 23 13 23.

00:54:06 Vous en pensez quoi, vous, de ces fameux chiens dits dangereux

00:54:09 et surtout de leurs propriétaires ?

00:54:11 Moi, je ne suis pas d'accord pour l'euthanasie des chiens.

00:54:14 Parce que je trouve que c'est ceux qui les éduquent

00:54:18 qui ne sont pas... qui devraient être euthanasiés.

00:54:21 Moi, j'habite au 22 rue Léon Jouau.

00:54:23 Nous avons une chienne dont le propriétaire est complètement con.

00:54:31 On vous laisse la responsabilité de vos propos,

00:54:34 mais on comprend bien parce que c'est vrai que c'est lui.

00:54:36 Il n'y a pas que moi.

00:54:37 Elle attaque même les gens qui se promènent tout seuls,

00:54:40 qui n'ont pas de chiens.

00:54:42 Est-ce que vous trouvez ça logique ?

00:54:44 Vous vous sentez en danger, vous, Véronique, au quotidien ?

00:54:47 Oui, parce que moi, elle a attaqué ma petite chienne.

00:54:51 Depuis, ma petite chienne ne veut même plus aller se promener par là.

00:54:55 Il y a une crèche, ce qui redonne à la maison de retraite.

00:55:00 Elle ne veut même plus y aller tellement elle est traumatisée,

00:55:03 cette ma petite chienne.

00:55:04 Et ce chien dont vous parlez, est-ce qu'il porte une muselière ?

00:55:07 Est-ce qu'il est en laisse ?

00:55:09 La moitié du temps, elle n'est pas en laisse.

00:55:12 Parce qu'on est beaucoup à dire qu'il faut faire quelque chose.

00:55:19 On a beau faire la police, on a beau...

00:55:22 Personne...

00:55:23 Déjà, la police au cul, comme dirait l'autre.

00:55:27 Mais bon, moi, je trouve que ce n'est pas le chien.

00:55:30 Ce n'est pas les chiens.

00:55:31 Il faudrait être plus strict et que les propriétaires de chiens

00:55:35 prennent leur responsabilité.

00:55:36 Merci beaucoup, Véronique.

00:55:37 C'est d'ailleurs votre propos fait.

00:55:39 Ce qui ressort, parce que le débat est vif aussi sur la page Facebook

00:55:42 de France Bleu Cotentin et beaucoup renvoient la responsabilité,

00:55:45 effectivement, au maître comme Hubert, par exemple,

00:55:49 qui nous dit que tout dépend des compétences des propriétaires des chiens

00:55:52 et de l'éducation, au point de dérogation, qu'ils apportent à leurs chiens.

00:55:55 Et la majorité des témoignages vont dans ce sens.

00:55:58 Tout à fait, effectivement.

00:55:59 Ce qui ressort, François nous dit, aucune race de chiens n'est dangereuse.

00:56:02 C'est finalement l'éducation qui fait que.

00:56:04 Vous pouvez débattre d'ailleurs sur la page Facebook France Bleu Cotentin

00:56:07 comme chaque matin.

00:56:08 On va continuer à parler de ce sujet, justement, avec le maire de Betteville,

00:56:12 puisqu'il y a eu l'attaque d'un chien.

00:56:13 Justement, on en parle dans vos infos depuis quelques jours.

00:56:16 On va le recevoir à 8h10.

00:56:17 Lara Fabian revient.

00:56:19 Oui, elle revient.

00:56:20 T'as peine.

00:56:22 Tout.

00:56:23 J'en ai plus comme avant.

00:56:28 Avant que je t'aime, puis qu'on se perdait.

00:56:32 Avant que la vie ne soit trop chienne.

00:56:36 Reste tout près de moi.

00:56:39 Moi, j'ai besoin de toi.

00:56:43 Qui, comme un magicien, m'emmène.

00:56:47 Dans un monde où rien n'est plus pareil.

00:56:50 Pareil, pareil.

00:56:52 C'est toujours pareil.

00:56:54 Avec ta peine.

00:56:56 Elle prend tout l'espace.

00:56:57 On s'y habitue.

00:56:59 Et le voleur s'efface pour qu'elle continue.

00:57:03 Demeure de moi ta peine.

00:57:05 Ta peine, ta peine.

00:57:07 Tu sais, j'en ferai des miettes.

00:57:08 Ta peine, ta peine.

00:57:10 Je la jetterai à la mer.

00:57:12 Mon capitaine.

00:57:14 Il sera comme des enfants qui se souviennent.

00:57:19 Par où ton cœur va bien.

00:57:23 Par où surtout revient.

00:57:27 Tu peux poser ta main sur la mienne.

00:57:31 Rallier à danser la base des bonnes.

00:57:34 Rien n'est fini entre nous.

00:57:38 J'ai la force d'un fou.

00:57:42 Et que crève ce diable que tu aimes.

00:57:46 Je ne sais rien de ce que tu es.

00:57:48 Pareil, pareil.

00:57:50 C'est toujours pareil.

00:57:52 Avec ta peine.

00:57:54 Elle prend tout l'espace.

00:57:56 On s'y habitue.

00:57:58 Et le voleur s'efface pour qu'elle continue.

00:58:01 Demeure de moi ta peine.

00:58:03 Ta peine, ta peine.

00:58:05 Tu sais, j'en ferai des miettes.

00:58:07 Ta peine, ta peine.

00:58:09 Je la jetterai à la mer.

00:58:11 Mon capitaine.

00:58:12 Il sera comme des enfants qui se souviennent.

00:58:16 Ce ne sera plus pareil.

00:58:32 Pareil, pareil.

00:58:34 Qu'il n'y aura plus de peine à ton réveil.

00:58:38 Et si c'était moi, la magicienne.

00:58:41 Qui guérit les enfants.

00:58:43 Qui se souviennent.

00:58:45 Regardez bien.

00:59:01 Vous les connaissez.

00:59:02 Ce sont nos parents, nos grands-parents,

00:59:04 nos arrière-grands-parents,

00:59:06 qui s'avancent vers un peu d'éternité sur pellicule.

00:59:10 Filmer sous l'occupation allemande était interdit.

00:59:13 Et pourtant.

00:59:14 Quelques Normands ont filmé leur quotidien

00:59:16 avec les rares caméras qui existaient à l'époque.

00:59:18 Guerre ou pain, fermez-moi.

00:59:20 La plupart de ces archives familiales

00:59:23 ont été arrachées au risque, à la peur.

00:59:25 Ce film est fait d'images rescapées.

00:59:28 Elles disent une autre guerre,

00:59:30 celle des civils, des anonymes.

00:59:32 Par leurs regards,

00:59:35 cette période devenue en apparence si lointaine

00:59:37 a lieu sous nos yeux.

00:59:39 Un documentaire à découvrir mercredi

00:59:41 à 21h10 sur France 3 Normandie.

00:59:44 [Musique]

00:59:47 [Musique]

00:59:59 Ici, c'est France Bleu Cotentin.

01:00:01 Ça c'est une excellente matinée.

01:00:04 Et surtout sous la grisaille.

01:00:06 Il est 8h sur France Bleu Cotentin.

01:00:08 [Musique]

01:00:13 Grisaille et bouchon à votre programme.

01:00:15 Pour l'instant, vous êtes toujours très ralentis.

01:00:17 Pour certains, ça fait une demi-heure que vous êtes coincés.

01:00:19 Sur la départementale entre Beaumont et Sainte-Croix,

01:00:22 ça a l'air de se déplacer un peu.

01:00:24 Beaumont, ça va un peu mieux.

01:00:26 Mais direction Sainte-Croix, vous êtes fortement ralentis.

01:00:28 Il y a toujours du brouillard dans le secteur.

01:00:30 Et surtout, il y a une action actuellement.

01:00:32 Il y a des tracts qui sont à priori

01:00:34 en train de se faire du côté de Beaumont,

01:00:36 dans le plein centre.

01:00:37 Et donc, ça continue jusqu'à Sainte-Croix,

01:00:39 direction Aigueville.

01:00:40 Vous êtes ralentis dans les deux sens de circulation.

01:00:42 On fait un point en détail en quelques minutes.

01:00:44 [Musique]

01:00:45 8h, les infos présentées par Katia Lautroux.

01:00:47 La SNCF annonce une bonne nouvelle.

01:00:50 70 nouveaux trajets par semaine seront proposés en Normandie

01:00:53 à partir du mois de décembre.

01:00:55 Pour la majorité, vers et en provenance de Paris.

01:00:59 Tout ça en raison de la fréquentation qui augmente.

01:01:01 Plus 6% entre 2022 et 2023.

01:01:04 Et le début d'année 2024 confirme même encore la tendance.

01:01:07 Les explications de Gabriel Grécourt.

01:01:10 4 trains supplémentaires par jour sur la ligne Paris-Camp-Cherbourg.

01:01:14 Et ce, du lundi au jeudi.

01:01:16 Notez par exemple un train qui partira de Cherbourg à 14h43.

01:01:20 Autre trajet notable, un départ supplémentaire pour Alençon,

01:01:24 le dimanche soir depuis Camp, à 18h14, en pleine heure de pointe.

01:01:29 D'ailleurs, ce sera sans doute le seul train

01:01:31 à être ajouté sur une heure de pointe.

01:01:33 Justement, le reste, ce sera en pleine semaine ou en pleine journée.

01:01:37 Par exemple, un nouveau départ d'Eauville-Paris à 16h22 du lundi au jeudi.

01:01:42 Deux raisons à cela.

01:01:43 D'abord, sur les trains vers Paris, impossible d'ajouter de nouveaux trajets en heure de pointe.

01:01:48 Le trafic est déjà complètement saturé à la gare Saint-Lazare sur ces horaires.

01:01:52 Et puis, la SNCF remarque que les voyageurs étalent de plus en plus leurs trajets

01:01:57 sur la journée et sur la semaine.

01:01:59 Plus uniquement le vendredi soir et le dimanche soir.

01:02:02 Ce qui explique cette nouvelle offre à des horaires qui peuvent paraître inhabituelles.

01:02:06 Et tous ces nouveaux trains sont à retrouver dans le détail sur francebleu.fr.

01:02:10 Attention, vous l'avez dit Caroline, ce matin on rappelle que sur la route de Beaumont-Hague,

01:02:14 il y a des ralentissements.

01:02:15 La CGT distribue des tracts depuis 5h ce matin.

01:02:18 8h02 sur France Bleu Cotentin, sûrement le dernier épisode dans le malheureux feuilleton de la clinique de Coutence.

01:02:23 Vous l'avez entendu il y a quelques minutes avec l'invité, le docteur Azouzi.

01:02:28 Cette décision tant redoutée du tribunal de commerce devrait tomber aujourd'hui

01:02:32 qui ne laisserait plus aucun espoir en prononçant la liquidation judiciaire.

01:02:36 La clinique du docteur Guillard fermerait alors ses portes sur 59 ans d'activité

01:02:40 et 500 consultations par semaine.

01:02:42 Les salariés sont appelés à se rassembler tout en noir devant la clinique à 11h30 ce matin.

01:02:47 Le tribunal se prononcera aussi dans la journée sur les offres de reprise de Coutence et de Saint-Laufe.

01:02:54 Deux manchois ont été condamnés hier à Cherbourg à un an et trois ans de prison ferme pour trafic d'héroïne.

01:03:01 Pierre Palmade lui sera bien renvoyé devant le tribunal mais pour blessures involontaires et non pas homicides involontaires.

01:03:07 L'accident en février 2023 avait fait trois blessés graves dont une femme enceinte qui avait perdu son enfant.

01:03:12 Un fœtus décédé avant la naissance qui ne peut donc pas être juridiquement considéré comme une personne humaine.

01:03:19 Benville, dans le Cotentin, une pétition fait beaucoup parler.

01:03:22 Sur 650 habitants, ils sont 136 à l'avoir signée.

01:03:25 C'est une mère de famille qui est à l'origine de ce texte, Aurélie Léger.

01:03:29 Elle demande le placement des deux chiens de sa voisine dont l'un est catégorisé dangereux.

01:03:34 Comme son fils, son mari et des passants, elle dit avoir été mordu, légèrement blessé.

01:03:38 Elle a décidé de porter plainte et à France Bleu Cotentin, vous l'avez entendu également il y a quelques minutes,

01:03:44 on a élargi le débat ce matin, Antoine Liffaut est allé voir même un éducateur canin

01:03:48 pour voir si ces chiens catégorisés étaient vraiment plus dangereux que les autres.

01:03:52 Une dizaine de chiens jouent à proximité de François Lefèvre Dutertre, il est éducateur canin, chez lui, au Lorrain, dans le centre-Manche.

01:03:59 J'ai tous types de chiens, là on peut voir un Séthère, j'ai un Croisé-Malinois, j'ai un petit Bigel, je veux aussi des chiens catégorisés.

01:04:07 Par chiens catégorisés, entendez les Pitbulls par exemple ou les Rottweilers qui ne sont pas forcément les plus mordeurs.

01:04:13 Le premier chien mordeur va être le Berger Allemand, le deuxième va être le Labrador et le troisième c'est le Jack Russell.

01:04:20 Pourtant ces chiens-là ne sont pas catégorisés.

01:04:22 Tout à fait, c'est juste que la puissance de mâchoire des chiens "dits dangereux" est assez importante et ça peut faire de gros dégâts.

01:04:30 Mais ce n'est pas ceux qui mordent le plus.

01:04:32 Pour devenir propriétaire d'un chien catégorisé, il faut passer un permis.

01:04:35 Ça se passe avec un éducateur agréé. C'est 7 heures de formation qui vont apprendre les bases de l'éducation.

01:04:40 Et donc il faut qu'entre 8 mois et 1 an, le chien passe un bilan comportemental avec un vétérinaire agréé.

01:04:47 Et suite à ça, la mairie délivre ou non le permis de détention.

01:04:51 Ils doivent pour certains être stérilisés, les propriétaires ne peuvent avoir de casier judiciaire,

01:04:56 ces chiens, dans l'espace public, doivent porter la musolière.

01:04:59 Pour moi c'est un délit de facieste. C'est pas parce qu'un chien est catégorisé qu'il sera forcément plus dangereux.

01:05:04 Pour l'éducateur canin, la dangerosité d'un chien repose essentiellement sur son éducation.

01:05:08 La mairie de Cherbourg de son côté se dit vigilante sur ce sujet, déplorant une dizaine de morsures chaque année.

01:05:14 Les élus Saint-Loi se réunissent ce soir en conseil municipal à 18h30, salle du conseil.

01:05:21 La Papouasie-Nouvelle-Guinée paye cher le réchauffement climatique.

01:05:24 Un important glissement de terrain a fait au moins 2000 morts dans l'archipel.

01:05:28 C'est un pan entier d'une montagne qui s'est effondrée.

01:05:31 8000 personnes ont été évacuées par crainte même d'une nouvelle catastrophe ce matin.

01:05:36 8h05 sur France Bleu Cotentin, ils vont enfin pouvoir découvrir et parler de leur travail.

01:05:41 Les 400 élèves de la 4ème à la terminale de 15 classes de l'Académie de Normandie

01:05:45 se retrouvent aujourd'hui au Mémorial de Caen avec leurs professeurs pour la restitution des 15 podcasts

01:05:50 réalisés pour l'opération Vétérans dans le cadre du 80e anniversaire du D-Day.

01:05:55 On les a entendus sur cette antenne, des élèves que des journalistes de France Bleu ont accompagnés

01:06:00 dans un travail de recherche sur 15 soldats méconnus de la Seconde Guerre mondiale.

01:06:05 Une initiative et un travail à nul autre pareil se réjouit la directrice du réseau France Bleu, Céline Pigalle.

01:06:11 On fait de l'éducation aux médias mais parfois c'est un peu théorique.

01:06:14 On fait de l'histoire et parfois c'est un peu théorique.

01:06:17 Là on propose aux enfants d'être eux-mêmes dans la situation d'être des journalistes,

01:06:22 de mener l'enquête, de rechercher de l'information et donc là on fait de l'éducation aux médias.

01:06:27 Et puis à travers ça et parce qu'ils se saisissent eux-mêmes du parcours de ces vétérans,

01:06:32 ils se trouvent à vivre, à revivre leur histoire, leur parcours, leur aventure

01:06:37 pour des hommes qui avaient à l'époque leur âge.

01:06:41 Et d'un seul coup tout ça devient sensible.

01:06:43 J'ai écouté un certain nombre de ces podcasts évidemment

01:06:45 et ce qui m'a frappée c'est à quel point les enfants au départ ils l'expriment

01:06:49 "Oh c'est un peu loin, ça ne m'intéressait pas beaucoup"

01:06:52 et puis d'un seul coup ils ont été embarqués à la fois parce qu'ils ont fait une enquête

01:06:55 et c'est toujours fascinant, passionnant, génial de faire une enquête

01:06:58 et puis aussi parce qu'ils se sont trouvés face à des personnes dans lesquelles ils se sont reconnus

01:07:03 et donc c'est vraiment une initiative formidable.

01:07:05 Ils se saisissent des outils, ils se saisissent de leur territoire, ils se saisissent de cette histoire

01:07:09 et ils le font d'une manière parfaitement unique.

01:07:11 Émission spéciale sur France Bleu Cotentin des midis avec Wendy Bouchard

01:07:15 Entre 16h et 17h en direct du Mémorial de Caen.

01:07:18 Pour la troisième année consécutive, France Terre d'Asile organise sa soirée projection cinéma

01:07:22 au CGR Odeon de Cherbourg en Cotentin.

01:07:25 Édition qui mettra en lumière cette année les persécutions dont sont victimes les femmes migrantes.

01:07:30 La piscine de Mortain-Beaucage rouvre ses portes aujourd'hui.

01:07:33 Elle a été menacée de fermeture l'an dernier.

01:07:35 Les deux bassins extérieurs accueilleront bien les baigneurs aussi pour la saison estivale.

01:07:38 Ouverture de 16h à 19h c'est aujourd'hui.

01:07:41 Raphaël Nadal battu hier au premier tour de Roland-Garros par le numéro 4 mondial.

01:07:45 Alexander Zverev en 3-7 dans une ambiance particulière entre sourire et larme.

01:07:50 On ne sait pas si c'est son 19e et dernier Roland-Garros.

01:07:53 Aujourd'hui entré en liste de Novak Djokovic qui sera opposé au français Pierre Huguin-Herbert.

01:07:58 Cette étude à lire sur francebleu.fr sur le boom de la restauration rapide +8% en un an.

01:08:04 Le hamburger arrive en tête, suivi du sandwich et les donuts.

01:08:07 Figurez-vous, 300 000 sont vendus chaque jour en France.

01:08:10 Il existe même le burger donut.

01:08:13 1996 calories, rien que d'y penser on a des crampes au ventre et le taux de cholestérol fait un bond.

01:08:19 Des médecins parlent même d'une crise cardiaque à ce niveau-là dans l'assiette.

01:08:23 1996 calories, c'est presque la totalité de l'apport calorique quotidien conseillé pour une femme.

01:08:29 Rien qu'avec un burger donut.

01:08:31 La météo 100% locale avec Jimazan à Bologne.

01:08:35 Le spécialiste du sur-mesure, mobilier, salon, lit, tri, cuisine est sur jimazan.fr.

01:08:41 Merci, me semble ne soufflent-on dans les oreilles, il n'a qu'à bien se tenir.

01:08:45 Merci Paul à la réalisation.

01:08:47 Qui aime les donuts.

01:08:49 Bon, allez, beaucoup plus léger, la météo.

01:08:52 Tellement léger qu'on s'en va avec le vent là aujourd'hui.

01:08:55 Des rafales de vent jusqu'à 50-60 km/h nous dit Météo France.

01:08:59 C'est venteux, c'est couvert, c'est gris et il y a même de la pluie.

01:09:04 C'est le cocktail de votre journée, ce sera quand même un peu plus sec dans l'après-midi mais toujours sous la grisaille.

01:09:08 Nous dit Météo France. 13 degrés un peu partout ce matin.

01:09:11 À Franche, Cherbourg, Aupieu ou encore à Pont-Torson.

01:09:14 Dans l'après-midi jusqu'à 20 degrés.

01:09:17 Noté 17 à Barfleur, 18 à Grandville ou encore 18 à Saint-Hilaire-du-Harcouet.

01:09:22 Température toujours entre 17 et 18 demain après-midi.

01:09:25 Mais l'espoir de voir une éclaircie, ça c'est le point à noter.

01:09:28 Vous êtes sur la route à 8h09.

01:09:31 Vous prenez la voiture, direction le travail, sachez que ça ralentit fortement.

01:09:35 C'est toujours le cas, d'ailleurs je vois vos photos sur la page Facebook.

01:09:38 A priori, si vous êtes toujours à l'arrêt, je vois une photo de mes roues.

01:09:42 A priori, vous êtes comme on dit, mais fesse à fesse au niveau des voitures.

01:09:46 Vous êtes complètement à l'arrêt pour l'instant.

01:09:48 Vous êtes donc au niveau de la Hague.

01:09:50 Vous prenez la voiture peut-être dans les deux sens de circulation, peu importe,

01:09:52 entre Beaumont et Sainte-Croix, même jusqu'au niveau d'Agueville.

01:09:55 Vous êtes fortement ralentis puisque la CGT pour l'instant fait une distribution de tracts,

01:10:01 suite à un mouvement pour l'instant social sur le secteur.

01:10:04 Donc ce qui fait que vous êtes fortement ralentis sur toute la départementale.

01:10:07 Prudence donc.

01:10:08 Et puis au niveau de Branville, juste avant Gréville jusqu'à Branville, vous êtes là aussi ralentis.

01:10:13 Il y avait un accident ce matin, je ne crois pas que ce soit dû à ça.

01:10:16 Je crois que c'est vraiment dû au fait que vous essayez de contourner la départementale.

01:10:20 Donc au niveau de Sainte-Croix jusqu'au niveau de Beaumont, il y a toujours du brouillard aussi dans ce secteur.

01:10:25 On fait attention, vous êtes ralentis aussi entre la Glacerie et Saint-Joseph, direction la RN13,

01:10:31 toujours à cause d'obstacles sur la route.

01:10:33 Et puis on fait toujours attention, il y a toujours des travaux.

01:10:36 Ça dure jusqu'au 7 juin entre Lépieux et Pierreville, travaux prévus sur la fameuse touristique, la RD650.

01:10:43 On fait donc attention dans le secteur, ça peut coincer, pour l'instant ça circule pas trop mal.

01:10:47 Mais si vous constatez quoi que ce soit, 0233 2313 23, la route, on la fait ensemble.

01:10:52 Et il est 8h10 à 8h10, c'est votre rendez-vous Côtes-Communes, l'actualité de nos communes.

01:10:58 Ce matin, on est à Benneville dans le Cotentin avec le maire.

01:11:00 Bonjour Michel Lafosse.

01:11:02 Bonjour madame.

01:11:03 Alors on en a parlé beaucoup sur l'antenne ce matin.

01:11:06 Sur votre commune, il y a une pétition qui circule pour le placement de deux chiens qui posent problème dans le Hameau-Avis.

01:11:14 Une pétition que vous avez signée avec vos adjoints.

01:11:17 Monsieur le maire, expliquez-nous.

01:11:19 Oui, il y avait un accord de rendement, on a signé cette pétition,

01:11:22 parce qu'on a une dame qui est arrivée de Marseille avec ses deux chiens,

01:11:28 deux chiens qui sont méchants, un voleur, qui pèse 50 kilos,

01:11:32 et puis un domaine.

01:11:34 Il a donc déjà mordu les voisins, donc le voisin en juillet,

01:11:40 parce que cette dame-là est arrivée à peu près, ça fait un an, en juillet.

01:11:44 Et dès juillet, il a mordu le voisin, mais bien mordu.

01:11:47 Et après, il a eu d'autres incidents, il est allé à la route, par quatre reprises,

01:11:55 et en mars, il a mordu madame Léger.

01:11:58 La dame qui a fait cette pétition.

01:12:01 Et l'autre chien a mordu son fils.

01:12:03 Et donc, voilà, on a signé la pétition, parce que ça ne peut pas continuer comme ça.

01:12:07 Monsieur le maire, vous allez même plus loin, vous demandez, je crois, l'euthanasie des chiens.

01:12:12 Oui, parce que cette dame-là, on lui a fait des avertissements orales,

01:12:20 on lui a également fait des courriers, une lettre recommandée,

01:12:24 en disant qu'elle avait des chiens méchants et qu'il faut absolument qu'elle ait clôture,

01:12:27 c'est trop dangereux pour les voisins, en plus ils ne sont pas musés,

01:12:30 et ils sortent sur la voie publique.

01:12:32 Alors, voilà, elle est négligente,

01:12:36 elle n'a rien fait depuis un an, quand on lui dit de faire quelque chose,

01:12:39 alors les voisins, personne n'ose plus passer sur la route, c'est une catastrophe.

01:12:44 - Elle, elle dit que ces chiens ne sont pas dangereux, pourtant ils sont catégorisés,

01:12:48 ce qu'on expliquait ce matin, ce sont des chiens dits d'attaque.

01:12:52 Elle, elle dit qu'ils jouaient simplement, vous vous aviez pris même un arrêté,

01:12:56 je crois, pour éloigner ces chiens, visiblement le dialogue ne passe pas.

01:13:00 - Non, ah bah non, j'ai pris un arrêté, parce qu'en ce moment,

01:13:04 les chiens ont été mis en chenilles, au chenil de brie,

01:13:08 et on ne doit pas les rendre,

01:13:12 c'est-à-dire qu'on en a rendu un qui n'est pas de catégorie 3.

01:13:16 - Oui, il y en a toujours un en chenille pour l'instant.

01:13:20 - Il y en a toujours un en chenille, mais alors Mme Vallaguer a contesté mon arrêté,

01:13:25 donc nous avait mis au tribunal administratif de camp,

01:13:29 et par contre, on a obtenu gain de cause, on a gagné,

01:13:34 mais naturellement l'affaire n'est pas finie, puisque le chien est toujours en forêt.

01:13:40 - Toujours en forêt et en chenille. C'est la première fois que vous êtes confronté à ce genre de problème sur la commune, M. le maire ?

01:13:45 - Ah bah oui, quand même, c'est pas...

01:13:49 - Pas facile d'être maire, et de faire respecter...

01:13:53 - Et maintenant que je suis maire, et bientôt 60 ans que je suis à Alvérie,

01:13:57 j'ai jamais connu ça, mes précédenteurs non plus.

01:14:00 - Eh bien écoutez, on suivra les dénouements de cette affaire sur votre commune de Benneville dans le Cotentin.

01:14:05 Merci beaucoup M. le maire Michel Lafosse d'avoir été en direct avec nous ce matin pour nous expliquer tout cela.

01:14:11 Bonne journée à vous. - Et à vous aussi, merci. Au revoir.

01:14:15 - Le 6/9 France Bleu Cotentin. Caroline Joanneau, Katia Lautreau.

01:14:19 - Vous avez un briquet ? J'ai dit à Manu, prenez un briquet.

01:14:23 - Vous voulez allumer la flamme ? - Vous voulez allumer la flamme ?

01:14:26 - Entre nous on l'a déjà. - Oh là là !

01:14:28 - Mais on va l'allumer avec Manu. - Manu !

01:14:30 - Manu, notre baladeur, nous sommes à Barneville pour allumer la flamme.

01:14:34 Parce que la manche allume la flamme toute la semaine. - Eh oui, sur France Bleu.

01:14:38 - Ici matin, revient dans un instant.

01:14:44 - Je vous accueille à Sainte-Marie-du-Mont, dans la Manche, où je vais partir à la rencontre de la famille Valavièille,

01:14:49 au sein de leur manoir familial, le manoir de Brécourt.

01:14:52 Ici, il y a 80 ans, les parachutistes alliés vont atterrir.

01:14:55 Des parachutistes qui, par leurs actes, vont marquer à jamais le destin de cette famille.

01:15:00 Un récit poignant, bouleversant, raconté par leurs descendants.

01:15:04 Retrouvez Anne Boé ici jeudi à 10h10 sur France 3 Normandie, en partenariat avec France Bleu Cotentin.

01:15:13 - Les Normands dans la guerre, c'est le thème du prochain débat que nous vous proposons dans le cadre des Jeudis de l'Histoire.

01:15:19 Entre 1939 et 1945, les civils normands ont connu les restrictions, le rationnement, l'exode et le travail forcé.

01:15:27 Ils ont subi plus que d'autres l'occupation allemande et ils ont été les premières victimes des bombardements.

01:15:33 Cinq longues années de peine et de souffrance avec au bout, la libération.

01:15:37 C'est cette histoire que nous allons vous raconter.

01:15:40 - Les Jeudis de l'Histoire, les Normands dans la guerre, présenté par Laurent Cambre jeudi à minuit sur France 3 Normandie.

01:15:47 - Il a pris son petit briquet, je ne suis pas sûre que ça fonctionne très très bien quand même.

01:15:58 Emmanuel Gauche, notre baladeur pour route 50, se balade du côté de Barneville-Cartrait,

01:16:03 puisque la Manche, toute la semaine, organise plein de choses dans toutes les communes,

01:16:07 dont les communes qui ne verront pas la flamme olympique passer.

01:16:11 Et justement, vous êtes avec ! Alors attendez, Philippe et Virginie, c'est ça ?

01:16:14 - Oui c'est ça, exactement, comment vous savez ça ?

01:16:17 - Je vois à travers la radio et la télé. Je suis partout Manu, je suis en pleine attention.

01:16:22 - Vous me faites flipper.

01:16:24 Bon, effectivement, c'est en train de s'installer là, il y a un terrain de foot qui est en train de s'installer sur la place du Terminus, ici à Barneville-Cartrait.

01:16:31 La pluie ne tombe plus. Sylvain, qui organise du comité départemental des Jeux Olympiques,

01:16:37 nous explique que de toute façon la pluie, c'est fini, et que ça va être grand soleil dans pas longtemps.

01:16:44 En tout cas, il y aura moins de pluie.

01:16:46 Et effectivement, je suis avec Virginie et Philippe de Saint-Valhauc,

01:16:50 parce que la flamme ne va pas passer à Barneville-Cartrait.

01:16:53 On allume la flamme ici, aujourd'hui, à Barneville-Cartrait, mais elle sera à Saint-Valhauc vendredi.

01:16:58 Virginie, comment est-ce que vous vous apprêtez à accueillir cette flamme ?

01:17:05 - On est prêts, on est enflammés, on est étincelants à Saint-Valhauc.

01:17:10 Une flamme olympique où on a eu l'honneur d'être choisis pour qu'elle passe à Saint-Va.

01:17:16 Nos animations sont prêtes, toute la ville est en effervescence, on est dans les starting blocks.

01:17:22 - De 9h30 à 11h30, les festivités, la flamme, ça va se poursuivre dans l'après-midi à Saint-Va.

01:17:28 Est-ce que, Philippe, ça a été compliqué de mettre en place tout ça ?

01:17:33 Est-ce que ça a été... J'imagine qu'il a fallu faire preuve d'invention,

01:17:37 trouver des activités, faire en sorte de trouver un parcours, enfin voilà.

01:17:42 - Oui, tout à fait. Donc on travaille dessus depuis le mois de septembre.

01:17:45 Donc c'était compliqué de coordonner en plus les activités des scolaires l'après-midi,

01:17:50 avec le passage de la flamme le matin, la sécurité très importante le matin.

01:17:56 Ça nous a posé beaucoup de problèmes. Heureusement que c'est Virginie qui a géré, donc ça va.

01:18:01 Et puis, coordonner après, enchaîner avec la partie scolaire.

01:18:05 On a tous les scolaires du canton qui viennent, on a quand même 500 scolaires.

01:18:08 Donc il a fallu leur proposer des activités.

01:18:10 Je crois que c'est très peu de clubs sportifs qui vont nous proposer des activités.

01:18:14 On est un peu limité par la place, par contre, parce qu'on essaie de tout centrer dans Saint-Va.

01:18:21 Et donc, effectivement, on en a beau utiliser la plage et tout ça, ça va être super.

01:18:27 Mais de 11h30 à peu près à 15h30 pour les scolaires, et après les activités sont ouvertes à tout le monde.

01:18:33 - Et donc le passage de la flamme, ça sera sur les quais ?

01:18:36 - Oui, tout à fait. - Du port ?

01:18:38 - On part de la moitié de la Grande Jetée, on revient par la chapelle et après on longe le quai, jusqu'à la cale de Tatiou.

01:18:46 - Virginie, il va se passer plein de choses forcément, au moment du départ notamment,

01:18:51 mais tout au long du parcours de la flamme, et puis également, après, à Saint-Va, ça va continuer à faire la fête,

01:18:56 lorsque la flamme repartira vers Saint-Lô. Qu'est-ce qui est prévu finalement à Saint-Va ?

01:19:01 - Alors à Saint-Va, déjà, on va avoir la participation exceptionnelle d'une cantatrice renommée, Graziella Roger,

01:19:08 qui va interpréter deux morceaux au moment du passage de la flamme.

01:19:13 Morceaux surprises, je ne vous dis pas les titres.

01:19:16 Ensuite, tout au long du parcours, on va avoir les scolaires, et puis des animations musicales,

01:19:23 pour que la fête commence et que tout le monde s'imprègne bien du passage.

01:19:27 Ensuite, il va y avoir à l'arrivée une prise de parole, et puis surtout une déambulation,

01:19:33 avec la compagnie Alexandre Fox, pour pouvoir emmener le public jusqu'aux animations sportives.

01:19:40 Après les animations sportives, on aura aussi un concert, un premier concert vers 16h,

01:19:46 et ensuite un deuxième concert vers 20h, pour culturer cette belle journée.

01:19:51 Forcément, on attend la flamme de pied ferme à Saint-Val à Aougues, ça sera entre 9h30 et 11h30.

01:19:58 On sera là-bas, évidemment, en direct, après le passage à Cherbois, et ensuite ce sera à Saint-Lô.

01:20:02 - On va tout suivre en direct. Manu, préparez-vous, parce que la suite, c'est du golf dans 10 minutes.

01:20:06 On vous le dit quand même !

01:20:07 C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose" sur France Bleu Cotentin.

01:20:12 - Allons-y !

01:20:14 - Allons-y !

01:20:16 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:20:19 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:20:22 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:20:25 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:20:28 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:20:31 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:20:34 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:20:37 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:20:40 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:20:43 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:20:46 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:20:49 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:20:52 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:20:55 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:20:58 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:21:01 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:21:04 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:21:07 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:21:10 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:21:13 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:21:16 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:21:19 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:21:22 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:21:25 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:21:28 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:21:31 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:21:34 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:21:37 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:21:40 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:21:43 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:21:46 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:21:49 - C'est le titre qui les a fait gagner à l'Eurovision, "Want a Lose".

01:21:52 *Musique*

01:22:17 - "Want a Lose" sur France Bleu Cotentin va parler parachutiste à vélo.

01:22:22 - C'est original.

01:22:23 *Musique*

01:22:29 - Avec Richard Demy dans votre rendez-vous solidaire.

01:22:32 - Bonjour Richard. - Bonjour Caroline.

01:22:34 - Aujourd'hui on part sur les routes de France à vélo avec des militaires solidaires et généreux

01:22:39 qui vont être une association, savez-vous ça ?

01:22:42 - C'est exact, des militaires qui vont venir en Normandie depuis Toulouse à vélo.

01:22:45 - Alors on est avec le capitaine Pierre-Alexis qui est commandant d'unité d'un escadron du 1er Régiment du train parachutiste.

01:22:51 - Bonjour capitaine. - Bonjour.

01:22:54 - Alors vous êtes basé à Toulouse mais vous allez vous rapprocher de la Normandie dans les jours qui viennent.

01:22:58 - Vous vous lancez dans un défi assez fou, le raid Neptune.

01:23:01 - 1000 km à vélo pour rallier Sainte-Mère-Église au profit d'une association, l'Entraide Parachutiste.

01:23:07 - Alors comment est-ce qu'il va se dérouler ce raid Neptune ?

01:23:09 - Oui tout à fait, nous allons réaliser un raid qui consiste à relier Toulouse à Sainte-Mère-Église à vélo.

01:23:14 - Afin de récolter des fonds au profit de l'association dont vous avez parlé qui s'appelle l'Entraide Parachutiste.

01:23:19 - Donc nous sommes 10 parachutistes à réaliser cette action, 8 cyclistes et 2 personnels en véhicule qui nous soutiendront tout au long de notre action.

01:23:26 - Nous partirons donc le 29 mai du 1er Régiment du train parachutiste qui est basé à Toulouse.

01:23:31 - Et nous rejoindrons Sainte-Mère-Église en 8 étapes d'environ 120 km avec une arrivée prévue de 5 juin 2024 à Sainte-Mère-Église.

01:23:38 - Tout ça c'est bien précis, et le but c'est donc de récolter des fonds pour l'association l'Entraide Parachutiste.

01:23:44 - Pouvez-vous nous en dire un petit mot de cette association ?

01:23:47 - Oui, l'Entraide Parachutiste est une association au profit des parachutistes qui a été créée en 1950 au cours de la guerre d'Indochine.

01:23:55 - Elle réalise un travail d'accompagnement et de soutien auprès des parachutistes blessés de l'armée française, ainsi qu'à l'ensemble de leurs familles, et en particulier les familles endeuillées.

01:24:05 - L'association apporte donc une aide à la fois sociale et financière.

01:24:09 - C'est une très très belle initiative que vous portez là, j'espère que vos mollets sont prêts, ça va être assez costaud.

01:24:16 - Si on veut participer, si on veut donner, comment est-ce qu'on peut faire ?

01:24:19 - Alors c'est très simple, pour soutenir notre action vous pouvez participer à travers une cagnotte en ligne.

01:24:24 - Cette cagnotte vous pouvez la retrouver en tapant facilement sur internet "hyperdon cagnotte red neptune"

01:24:30 - Ou vous pouvez nous retrouver facilement en vous abonnant sur les réseaux sociaux à la page du premier régiment du train parachutiste.

01:24:36 - Et enfin, n'hésitez quand même pas à nous rejoindre directement le 5 juin à notre arrivée à Sainte-Mère-Église et nous pourrons échanger avec les personnes qui le souhaitent.

01:24:44 - J'espère vraiment qu'il y aura du monde, vous êtes prêts ? Le départ c'est demain ?

01:24:47 - Tout à fait, le départ est demain, nous sommes prêts, nous sommes entraînés pour, et j'espère que nous donnerons notre maximum pour rejoindre Sainte-Mère-Église le 5 juin.

01:24:56 - J'en ai aucun doute, bravo à vous encore pour cette très belle initiative, merci capitaine d'avoir été avec nous ce matin pour le red neptune 1000 km à vélo de Toulouse à Sainte-Mère-Église, merci, à bientôt !

01:25:06 - Merci à vous !

01:25:07 - Bonne journée, au revoir !

01:25:08 - A très bientôt sur France Bleu Cotentin, et alors après ça, le vélo, on va parler motocross !

01:25:12 - Motocross, du côté de Milière, on reste un peu sur le deux roues, c'est une thématique avec moi ce matin.

01:25:17 - Il y a juste un moteur, c'est tout !

01:25:19 - C'est tout !

01:25:20 - Mais à tout à l'heure alors, à 8h45 !

01:25:22 Le job dating sur France Bleu Cotentin, votre rendez-vous emploi et formation.

01:25:28 - Vous êtes peut-être au café, ça tombe bien, d'ailleurs vous avez pris combien vous des cafés, Richard ?

01:25:33 - Alors ce matin zéro, mais moi je suis un enfant, je suis chocolat chaud moi le matin.

01:25:37 - Oui, moi je suis pareil, je suis un enfant aussi. Bon c'est pas grave, on va appeler ça le job chocolat, non c'est pas vraiment son nom, c'est le job café qui nous intéresse ce matin.

01:25:46 Le principe un café, un CDI à la clé, je trouve que c'est plutôt pas mal.

01:25:50 Vous avez rendez-vous donc à un job café, c'est le principe ce matin à 8h25, on parle emploi comme chaque matin.

01:25:57 Un rendez-vous un petit peu qui change, il faut le dire, présenté par Camille Marguerite.

01:26:01 Bonjour Camille !

01:26:02 - Oui, bonjour !

01:26:03 - Vous êtes directrice de l'agence O2 de Cherbourg, vous organisez comme dans 300 autres agences en France un job café demain.

01:26:11 Alors déjà, présentation pour ceux qui ne connaissent pas, le réseau O2, racontez-nous ce que c'est Camille.

01:26:16 - Alors le réseau O2, c'est un grand réseau qui regroupe presque 500 agences à travers toute la France et nos métiers principaux.

01:26:24 Donc c'est l'aide à la personne, les trois métiers d'aide à la personne, le ménage repassage, l'aide aux saignants et la garde d'enfants.

01:26:30 - Et donc un job café, c'est un peu un job dating finalement ?

01:26:34 - Alors pas tout à fait, parce qu'un job dating, on va s'asseoir de façon très conventionnelle autour d'une table, échanger nos CV,

01:26:41 faire un mini entretien d'embauche et on a peu de temps pour se découvrir.

01:26:45 Alors que là, ce qu'on propose, c'est de venir comme vous êtes, c'est-à-dire sans CV, sans l'aide de motivation,

01:26:51 on prend un café, on discute, on propose, vous nous dites ce que vous cherchez et on répond à toutes les questions qui vous passent par la tête.

01:27:00 Voilà, de façon très simple.

01:27:01 - Justement, on va parler rapidement des secteurs d'eau d'oeufs. Quels postes sont à pourvoir ?

01:27:07 - Alors sur l'agence de Cherbourg et de Cotentin, donc basée à Valogne, nous allons rechercher plutôt des profils employés de ménage à domicile et surtout des gardes d'enfants.

01:27:17 Là, on a 12 postes à pourvoir en garde d'enfants pour septembre. Donc on commence les recrutements dès maintenant.

01:27:24 Donc l'intérêt de la journée d'aujourd'hui, c'est de recruter aujourd'hui pour démarrer en septembre. Donc voilà, on s'assure que la rentrée soit bonne.

01:27:31 - Comment on peut participer ? On vient vraiment comme au café ? On vient juste à l'agence comme ça ?

01:27:35 - Et ben oui, exactement. Vous venez, on vous offre un café.

01:27:39 - Ben voilà, venez prendre donc le café à l'agence Eau d'oeufs. Vous pouvez y aller aujourd'hui.

01:27:44 Eau d'oeufs à Cherbourg, c'est rue Albert-Mailleu et sachez qu'il y a effectivement trois agences dans la Manche pour Eau d'oeufs.

01:27:50 Grandville et aussi Saint-Lô où vous pouvez tout retrouver à l'accueil de France Bleu Cotentin.

01:27:54 Merci beaucoup Camille !

01:27:56 - Je vous en prie, belle journée à toutes et à tous et j'espère vous voir nombreuses aujourd'hui en agence. Boire un café !

01:28:01 - Et ben allez-y, prenez donc votre café !

01:28:03 - Merci, bonne journée ! Au revoir !

01:28:05 - A très bientôt, 8h27 sur France Bleu Cotentin. On va parler vroom vroom nous, motocross !

01:28:10 Si vous adorez les moteurs, un petit peu l'action aussi. Il y a un énorme événement ce week-end.

01:28:15 En plus de ça, c'est présenté par France Bleu Cotentin. On fait le point à 8h45 dans votre rendez-vous.

01:28:21 Ça se passe dans la Manche. L'idée c'est de vous donner les idées sorties les meilleures.

01:28:24 Allez vroom vroom ! Vous vous préparez ? Vroom vroom !

01:28:27 Regardez bien. Vous les connaissez. Ce sont nos parents, nos grands-parents, nos arrières-grands-parents

01:28:41 qui s'avancent vers un peu d'éternité sur pellicule.

01:28:45 Filmer sous l'occupation allemande était interdit. Et pourtant...

01:28:49 Quelques Normands ont filmé leur quotidien avec les rares caméras qui existaient à l'époque.

01:28:53 Guerre ou pain, fermez-moi !

01:28:55 La plupart de ces archives familiales ont été arrachées au risque, à la peur.

01:29:00 Ce film est fait d'images rescapées. Elles disent une autre guerre, celle des civils, des anonymes.

01:29:08 Par leur regard, cette période devenue en apparence si lointaine a lieu sous nos yeux.

01:29:13 Un documentaire à découvrir mercredi à 21h10 sur France 3 Normandie.

01:29:19 Inédit.

01:29:24 Le Mexicain a percepté le...

01:29:26 On a complètement merdé.

01:29:28 Ces salauds sont toujours dans la nature.

01:29:32 Tu les rattraperas.

01:29:34 Je n'arrive même pas à rattraper Martin.

01:29:37 Tu l'aimes, il t'aime.

01:29:38 Je crois qu'il a besoin de toi. Et moi aussi.

01:29:41 Quand tout dérape, faire face à toutes les menaces.

01:29:44 Il y a une voiture qui me suit.

01:29:46 Quoi ?

01:29:47 Je suis sûre qu'on m'observe.

01:29:48 Pars-toi Louise.

01:29:49 Comment ça ?

01:29:50 Apparemment on aurait aussi retrouvé de la coque à l'endroit où tu avais garé ta voiture.

01:29:53 Virage inédit et dangereux pour Caroline Proust et Thomas Joannet.

01:29:57 Ce soir à 21h10 sur France 3 et déjà sur la plateforme France.tv.

01:30:01 Ce programme est disponible en audio description.

01:30:05 France 3, 8h30.

01:30:07 France 3, 8h30.

01:30:09 France 3, 8h30.

01:30:11 Ici, on parle d'ici.

01:30:13 Réveil avec France Bleu Cotentin.

01:30:14 8h30, vous allez peut-être prendre la voiture.

01:30:16 J'ai deux bouchons à vous signaler ce matin.

01:30:19 Vous prenez peut-être habituellement pour aller au boulot la RN13.

01:30:22 Au niveau de Brie, il y a actuellement de gros bouchons entre Saint-Joseph et Brie.

01:30:26 Gros, gros bouchons.

01:30:28 Donc on fait attention.

01:30:29 Et puis toujours aussi ce bouchon en cours depuis ce matin 5h.

01:30:32 Au niveau de la Hague, entre Beaumont et Sainte-Croix,

01:30:35 ça va même jusqu'à Jobourg dans les deux sens de circulation.

01:30:38 Il y a actuellement une action menée par la CGT.

01:30:40 Ce qui fait que vous êtes fortement ralentis,

01:30:42 parfois dans certains secteurs, totalement à l'arrêt.

01:30:44 On fait le point justement sur vos conditions de circulation.

01:30:47 Et la météo, dans quelques minutes.

01:30:49 Un pot de 8h30 présenté par Jacqueline Fardel.

01:30:53 L'ambiance est lourde à la clinique de Coutances ce matin.

01:30:56 Praticiens, salariés, patients, tous le savent, c'est sans doute le dernier jour.

01:31:00 Le tribunal de commerce de Coutances devrait prononcer aujourd'hui,

01:31:03 sauf surprise, la liquidation de l'établissement.

01:31:06 Une clinique ouverte depuis près de 60 ans,

01:31:09 qui assurait 500 consultations par semaine.

01:31:12 Des patients qui se sentent aujourd'hui abandonnés,

01:31:15 et qui ne savent pas comment ils pourront s'organiser demain.

01:31:17 De l'incompréhension et de la quiétude exprimée par Raymonde,

01:31:20 Margot et Linda rencontrées hier à la clinique.

01:31:23 C'est vraiment un déchirement parce que c'était vraiment très très bien.

01:31:27 C'était un peu familial on pourrait dire.

01:31:29 Parce que je vois moi la gynéco que je viens de voir.

01:31:31 Avant j'étais avec son mari qui malheureusement est décédé,

01:31:34 docteur Legevac, et ça fait 33 ans que je viens.

01:31:37 Et c'est vraiment dommage que la clinique ferme.

01:31:39 Je trouve que c'est vraiment dommage parce que déjà que c'est un peu compliqué

01:31:43 d'avoir des spécialistes par ici.

01:31:45 Avec la fermeture de la clinique, ça va devenir de plus en plus compliqué à se faire soigner.

01:31:48 Je vais être opérée mais du coup survivre.

01:31:50 Ça fait la route, donc en plus il y a le rendez-vous avec l'anesthésiste avant,

01:31:54 donc là ça fait faire des allers-retours.

01:31:55 Moi je suis subie par le docteur Jaric.

01:31:57 J'ai été opérée l'année dernière de l'épaule et là maintenant c'est le coude.

01:32:00 Et c'est vrai que voilà, moi je suis de Saint-Lô aussi.

01:32:03 Et venir ici, les rendez-vous sont quand même assez rapides.

01:32:06 D'autant plus qu'il y a la radio juste à côté.

01:32:09 Et c'est quand même mieux que d'aller à Vierge.

01:32:11 Et puis moi je trouve ça un peu dommage parce qu'il y a quand même des bons médecins ici.

01:32:15 Et même pour tous ceux qui travaillent là, ça devient grave maintenant.

01:32:18 Aujourd'hui le tribunal se prononcera aussi sur les offres de reprise des cliniques de Saint-Lô.

01:32:24 Des écoutances, des offres incomplètes et qui doivent être retravaillées d'après l'avocat des salariés.

01:32:29 Le personnel qui se mobilise en fin de matinée devant l'établissement vêtu en noir.

01:32:33 Personnel qui se dit abandonné également à réécouter sur francebleu.fr.

01:32:37 L'interview en longueur du docteur Azouzi, invité de la matinale de France Bleu, Cotentin et de France 3 Normandie.

01:32:42 Des peines de un an et trois ans de prison ferme pour deux hommes jugés hier pour trafic de stupéfiants.

01:32:47 Jugés en comparaison immédiate à Cherbourg au tribunal correctionnel.

01:32:50 Ils avaient été interpellés en possession de cannabis le 3 avril dernier dans le centre-ville.

01:32:55 Avec des petites quantités de cannabis.

01:32:57 Mais ils étaient mêlés à un trafic plus vaste d'héroïnes sur l'agglomération.

01:33:01 Neuf allers-retours en plus par semaine entre Cherbourg et Paris.

01:33:05 Ces scénarios envisagés par la SNCF à partir de la fin de l'année.

01:33:09 La compagnie ferroviaire et la région ont annoncé 70 trajets supplémentaires sur les lignes normandes.

01:33:14 Essentiellement celles vers Paris.

01:33:16 Également deux trajets directs à frêter pour le Mont-Saint-Michel.

01:33:20 Le week-end des décisions prises au vu de la hausse de la fréquentation sur les lignes normandes.

01:33:25 L'heure du vote pour le projet de loi d'orientation agricole.

01:33:29 Les députés se prononcent aujourd'hui sur un texte qui se donne l'ambition de résoudre la crise dans le secteur.

01:33:33 Les oppositions critiquent un manque de réponses structurelles et des reculs importants pour l'environnement.

01:33:40 Sur sa terre sacrée, pas de miracle pour Raphaël Nadal.

01:33:43 La statue au premier tour de Roland Garros hier à Paris par Alexandre Zeref.

01:33:47 Le numéro 4 mondial en 376-37663.

01:33:51 Alors était-ce un adieu au tournoi qui l'a remporté 14 fois ou juste un au revoir ?

01:33:55 L'Espagnol qui aura 38 ans dans quelques jours ne ferme pas la porte.

01:33:59 Mais l'émotion était quand même palpable hier chez les supporters.

01:34:02 Clara Lecoq réelle.

01:34:03 Elle se cache derrière la visière de sa casquette pour masquer le mascara qui coule sur ses joues.

01:34:08 Marion a sans doute vu son idole hier pour la dernière fois.

01:34:11 C'est pour moi le plus grand joueur de tous les temps et ça fait mal.

01:34:14 Il nous a fait vivre des émotions folles.

01:34:16 Il est capable de remonter n'importe quelle situation.

01:34:18 Il a une force mentale de dingue et finalement c'est ça qui nous fait rêver aussi.

01:34:23 22 titres en grand chlem dont 14 à Paris.

01:34:25 Il a fait tourner la tête de la planète entière jusqu'à déplacer les foules.

01:34:29 Pour sa dernière, Bayron est venu du Guatemala avec son fils de 13 ans, José Ernesto.

01:34:34 Quand on a appris que ce serait son dernier tournoi, nous avons décidé de venir.

01:34:39 Mais ça a été très difficile et très cher pour trouver des billets.

01:34:42 J'aurais voulu le voir gagner car c'est mon joueur préféré depuis toujours.

01:34:48 Rafael Nadal a en effet marqué plusieurs générations.

01:34:51 Ilan et Yasha, 28 et 32 ans, ont passé la moitié de leur vie à le soutenir.

01:34:55 On a grandi avec ses exploits en fait.

01:34:58 Mon frère était ramasseur de balles à Roland-Garros.

01:35:00 La finale de Roland-Garros 2008 de Rafa Conte Federer.

01:35:04 Le voir 16 ans après encore sur le central, il ne peut pas s'arrêter ici, ce n'est pas possible.

01:35:08 A court terme, les fans ont un espoir maintenant.

01:35:10 Celui de voir jouer l'espagnol cet été, ici même à Roland-Garros, pour les Jeux Olympiques.

01:35:15 Et en 116 matchs disputés à Roland-Garros, c'était le 4ème match seulement perdu hier par Rafael Nadal sur la terre battue parisienne.

01:35:22 Et aujourd'hui, à Paris, entrée en liste de Novak Djokovic qui sera opposée au français Pierre-Hugues Herbert.

01:35:27 A quelques jours des festivités du 80ème anniversaire du débarquement,

01:35:30 à voir en ligne depuis hier le clip de la rappeuse afghane Sonita Alizada,

01:35:35 tournée sur les plages du débarquement avec deux jeunes Normands créés avec eux pour le Prix Liberté.

01:35:40 La chanson s'appelle "Stand Up".

01:35:42 Un hymne d'espoir et de liberté pour la jeunesse du monde entier,

01:35:56 dit la chanteuse et l'artiste de 28 ans qui va interpréter ce morceau le 4 juin au Zénith de Caen.

01:36:01 Dans le cadre des célébrations liées au 80ème anniversaire du débarquement, elle chantera devant un parterre de vétérans.

01:36:07 La météo du littoral pour aujourd'hui...

01:36:12 - Ne faites pas la grimace comme ça ! - Mais je ne fais pas la grimace !

01:36:15 - Ah, mais c'était pas une grimace ? - Non, c'était pas une grimace, c'était une météo un peu pareille partout de toute façon.

01:36:20 - Oui, du gris, quelques petites pluies... - Histoire d'arroser le jardin ! C'est de l'arrosage automatique aujourd'hui.

01:36:28 Grisaille prévue par Météo France, c'est déjà le cas. Le temps est assez couvert du côté de la baie d'Evee, le Cap de l'Ague.

01:36:34 La baie du Mont-Saint-Michel, c'est pareil. Les nuages masquent le soleil ce matin.

01:36:39 Petites pluies prévues depuis ce matin, on en a eu quelques gouttes.

01:36:42 C'est encore prévu pour une grande partie de la matinée. Dans l'après-midi, ça devrait être un petit peu plus sec.

01:36:46 Un vent de sud-ouest, 15 nœuds, soit force 4. La mer est peu agitée, que ce soit au niveau du Cap de l'Ague, la baie du Mont-Saint-Michel également.

01:36:53 Les températures, 13 degrés partout ce matin. A Saint-Germain-des-Vosges, Cherbourg, Pont-Orson dans l'après-midi.

01:36:59 Il fera 17 à Cherbourg, Valogne, Barneville ou encore Lépieux et 19 à Saint-Lô.

01:37:04 Coefficient de 69 et 65 pour aujourd'hui. Cartret, marée haute à 11h30. Elle sera basse à 18h10.

01:37:12 Et puis Cherbourg, on est en marée basse depuis 7h20. Elle sera haute à 12h55.

01:37:18 Manœuvre donc à quasiment midi et à quasiment 14h. C'est-à-dire 11h55 et 13h55. Retenez midi et 14h, ce sera plus simple.

01:37:28 L'infotrafic 100% local avec Marie Automobile. Votre concessionnaire Peugeot dans le Cotentin et sur MarieAutomobile.fr.

01:37:36 Des ralentissements à prévoir sur votre route du boulot. Va peut-être falloir partir maintenant, histoire de ne pas avoir trop de retard sur votre route.

01:37:43 La RN13 par exemple, ça coince pas mal. Il y a des ralentissements au niveau de Brie, entre Saint-Joseph et Brie.

01:37:50 Et puis d'ailleurs, je viens de voir qu'il y avait un bus en panne à l'arrêt complet, voie droite sur la RN13, juste avant la sortie piscine Valogne.

01:37:58 Donc forcément, ça coince pas mal ce matin. Des ralentissements à prévoir aussi, a priori.

01:38:04 Du côté, c'est toujours le cas, vous êtes pare-chocs contre pare-chocs.

01:38:08 En ce qui concerne la Hague, ralentissement ce matin, puisqu'il y a actuellement un mouvement, une action de la CGT.

01:38:15 En ce que Sainte-Croix et Beaumont, vous êtes fortement ralentis dans les deux sens de circulation sur la départementale.

01:38:21 Et puis Mélanie me confirme qu'il y a bien toujours, oui effectivement, un bouchon de Saint-Joseph à Brie.

01:38:25 Toujours sur la RN13, c'est ce que je vois. Voie neutralisée pour élagage, oui.

01:38:29 Mais alors Mélanie, je vous le dis, il y a aussi un... Apparemment, il y a un bus aussi qui est en arrêt.

01:38:32 Plus du brouillard, vous faites bien de me le dire Mélanie. Brouillard aussi un petit peu partout sur le nord du Cotentin.

01:38:38 Prudence donc. Vous constatez quoi que ce soit d'autre, 02, 33, 23, 13.

01:38:43 23 je le rappelle, ralentissement RN13, Brie, Saint-Joseph et Beaumont.

01:38:47 En ce qui concerne la Hague.

01:38:56 Je vais vous parler d'un sujet là. Vous êtes au petit-déj ? Oui.

01:39:00 Je fais un peu peur dès le matin. Désolée, pardon.

01:39:03 C'est pas moi, c'est le docteur d'abord. Je l'ai croisé dans les couloirs.

01:39:07 A chaque fois, il a des sujets le matin. Je dis quand même docteur Kiersey, 8h50 c'est un peu tôt.

01:39:12 C'est un peu tôt pour me parler du choc toxique. Non mais franchement.

01:39:15 Il me dit "Oui mais vous savez Caroline, les tampons, je sais, on est toutes flippées avec les tampons.

01:39:19 Je le sais, je suis au courant. Bon je vais tout vous expliquer quand même, savoir pour pas vous faire trop peur.

01:39:24 Il est bien le docteur. 8h50, on parlera du choc toxique et des protections hygiéniques.

01:39:29 Voilà, merci docteur. La flippe du matin, c'est le docteur Kiersey.

01:39:33 8h39 sur France Bleu Cotentin. Allez, on va se faire du bien.

01:39:36 Un petit peu de sport et de golf avec Emmanuel Gouache. N'est-ce pas Manu qu'on va golfer avec vous ?

01:39:41 Oui, on va golfer tout à l'heure parce que là on s'est installé dans la voiture d'Olivier Bernard.

01:39:48 Du comité départemental du golf et du comité départemental des Jeux Olympiques aussi.

01:39:54 Bonjour à tous. On était en train de parler dans la voiture de ce qui s'était passé hier

01:40:01 et puis de cette sensation tout de même de rentrer dans une dynamique autour des Jeux Olympiques

01:40:07 et de cette flamme qui arrive vendredi. Oui c'est vrai, hier on a été témoin de quelque chose de formidable.

01:40:12 On a eu plus de 300 enfants je crois accompagnés par leurs professeurs

01:40:17 et on a tout de suite retrouvé l'ambiance je dirais olympiade.

01:40:22 Ces équipes, ils avaient chacun leur drapeau, ils défilaient. C'est vraiment la fête du sport.

01:40:28 La fête du sport et puis cette sensation qu'il y a effectivement quelque chose qui est en train de se préparer

01:40:36 et qui peut-être va relier un petit peu tous les manchois aussi autour de cette flamme.

01:40:41 Oui, je te disais tout de suite, hors antenne, quand je vois tout le boulot des collectivités,

01:40:47 parce qu'il ne faut pas oublier quand même, elles sont là, elles sont partie prenante avec leurs services techniques,

01:40:52 leurs finances et puis la labellisation Terre de Jeux, ça fait quand même plus de deux ans maintenant qu'on est sur ce label.

01:40:58 On voit tout ce qui est scolaire, privé, public. On voit les comités, tous les sports qui sont ici présents

01:41:09 avaient entouré de tous leurs bénévoles, en tant que vice-président du comité olympique,

01:41:15 j'ai l'impression que là on a les cinq anneaux de la réussite du sport.

01:41:19 - Et donc là aujourd'hui, il va se passer finalement la même chose qu'hier dans la Hague,

01:41:24 on va installer le terrain de golf, on va initier les plus jeunes au golf ?

01:41:29 - Oui, tout à fait, on va faire comme hier. La seule chose qui n'existe pas c'est l'olympiade,

01:41:35 l'esprit olympisme tel qu'on l'a vu hier avec les pays qui se rencontraient et les gamins qui jouaient bien.

01:41:42 Mais aujourd'hui on va exactement faire la même chose, on va déplier la structure pour faire les grands coups,

01:41:48 on va mettre des tapis de putting pour leur apprendre à putter et leur expliquer un petit peu les règles du jeu.

01:41:54 Je pense que ça va être formidable encore.

01:41:57 - Il y a un tatami qui est en train de s'installer là juste en face du terminus,

01:42:01 il y a effectivement également un terrain de football qui est en train de s'installer avec des structures gonflables,

01:42:06 et puis on va tirer à l'arc également, il y a tout un tas d'activités sportives qui sont prévues ici à Barneville-Cartray.

01:42:14 Et puis on va aussi faire un petit peu de golf, alors peut-être on testera ça demain le golf ?

01:42:20 - Alors demain, toujours pareil, la même structure, on est à Coutances,

01:42:24 et oui, je ferai en sorte que ça soit monté avant notre interview, et comme ça on pourra faire un peu de golf ensemble.

01:42:33 Et oui, demain il y a 6-7 bénévoles parce qu'en plus du putting et des grands coups dans la structure que tu as pu voir hier,

01:42:41 on va installer des petits tapis de practice pour permettre aux gens de faire des petites approches.

01:42:47 - Bon, dans les minutes qui viennent, ça va être l'installation de la structure ?

01:42:52 - Oui, bien sûr, la structure, 5 minutes, une soupleur...

01:42:54 - En toute convivialité ?

01:42:55 - Oui, comme toujours, c'est vraiment une ambiance formidable, avec tous les comités sportifs d'ailleurs,

01:43:01 que je rencontre, que je ne connaissais pas forcément, puisque les bénévoles on ne les connaît pas tous,

01:43:06 il y a une ambiance formidable ici, on encadre les enfants avec beaucoup de sympathie.

01:43:10 - Et l'ambiance et la sympathie s'entendent, Manu !

01:43:13 - Et puis surtout, je me prépare mentalement depuis 2 jours à faire du golf.

01:43:18 - Mais vous y tenez à votre golf, j'ai bien compris, donc la suite au prochain épisode, demain...

01:43:23 - Il faut aussi que je tape le ballon, que je tire un arc, j'ai plein de choses à faire.

01:43:25 - Et toujours avec vos chaussures qui courent vite.

01:43:27 - Toujours, je suis prêt.

01:43:28 - On va faire rugir les moteurs, autre sport, le motocross, juste après Falls Garden sur France Bleu Cotentin, Lemon Tree !

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01:46:26 - Falls Garden sur France Bleu Cotentin, Lemon Tree, dans une minute on parle à vous les fans de sport mécanique !

01:46:33 - Ici matin, revient dans un instant !

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01:46:40 - On va pouvoir cuisiner ensemble ? - Eh ben écoute, avec grand plaisir !

01:46:43 - On y va ? - Tu me laisses faire le fromage ?

01:46:45 - Tu prends un dessert déjà un peu abusé, et par dessus tu mets un dessert encore plus abusé !

01:46:50 - Tu peux goûter, c'est bon ! - Non c'est pas mauvais !

01:46:53 - T'es prêt ? - Allez !

01:46:54 - L'art de composer en harmonie. Le goût des rencontres à savourer chaque samedi à 11h15 sur France 3 Normandie.

01:47:01 [Musique]

01:47:05 - Le 6/9, France Bleu Cotentin.

01:47:08 [Musique]

01:47:11 - Et votre rendez-vous comme chaque matin ça se passe dans la Manche, l'idée des sorties, tout est à découvrir avec Richard Domi.

01:47:17 Et aujourd'hui, on parle sport mécanique dans le Cotentin avec du motocross !

01:47:22 - Je sens que ça vous fait plaisir Caroline ! - Vous voulez voir la peine !

01:47:26 - Alors on va parler motocross car il y a une compétition de motocross qui a lieu ce dimanche à Milières, c'est à côté de Perrier.

01:47:33 Et donc on va retrouver des épreuves du championnat de Normandie.

01:47:35 On est avec Annie Paysan, secrétaire du motoclub de Milières, et donc vous organisez cette journée qui sera bien chargée.

01:47:42 - Bonjour Annie ! - Bonjour !

01:47:43 - Alors est-ce que vous pouvez nous présenter un petit peu cette journée, quel va être le programme de dimanche ?

01:47:46 - Oui bien sûr ! Donc on accueille le championnat de Normandie sur trois catégories différentes.

01:47:54 Donc on a le MX Normand, ce championnat regroupe 135 pilotes qui sont répartis en trois catégories selon les essais chronométrés du matin.

01:48:08 Donc en fait on a la série 1 qui regroupe les meilleurs pilotes, la série 2 l'intermédiaire et la série 3 pour...

01:48:14 - Ca fait des groupes de niveau ? - Voilà, ça fait des groupes de niveau, c'est beaucoup mieux pour tout le monde et c'est moins dangereux.

01:48:20 Donc après on a le championnat de Normandie 85, donc là on accueille des jeunes pilotes qui ont environ, enfin généralement, entre 10 et 13 ans.

01:48:32 Il y a un classement aussi qui est fait en fonction de leur âge, donc il y a un classement moins de 12 ans, un autre plus de 12 ans.

01:48:42 Et ensuite après on a aussi le trophée moto ancienne, donc là ce sont des motos, enfin c'est des pilotes qui roulent avec des motos qui sont sortis d'usine, je crois, avant 1997.

01:48:57 Donc après ils sont classés aussi en fonction de la date de la moto.

01:49:02 - Et à chaque fois on a trois manches pour départager ces différents pilotes ? - A chaque fois on a trois manches, voilà.

01:49:07 - Donc ça fait quand même 15 manches au total, ça fait une belle journée avec les essais du matin, on a de quoi faire.

01:49:12 Sur place on aura de quoi manger quelque chose ? - Ah bah bien sûr, restauration sur place, parking gratuit.

01:49:19 - Parking gratuit, on va peut-être rappeler les tarifs pendant qu'on y est aussi.

01:49:22 - Donc l'entrée de 10 euros, c'est gratuit pour les enfants de moins de 12 ans.

01:49:27 - Donc ça fait de quoi faire, ça peut faire une belle journée pour les amateurs, pour ceux qui n'y connaissent pas grand chose c'est l'occasion de découvrir.

01:49:33 - Voilà, il y a du spectacle. - Et pour les amateurs, c'est évidemment comme Caroline, la possibilité de passer un très très bon moment.

01:49:39 - Ça fait 24 ans que vous organisez ça Annie ? - Bah moi personnellement oui, c'était en l'an 2000 qu'on aurait pris les fonctions,

01:49:45 avec d'ailleurs le président actuel qui est toujours là.

01:49:48 - Donc vous maîtrisez toute cette organisation là, sur le bout des doigts. - Bah disons qu'on est un petit peu habitués quand même.

01:49:54 - Et bah merci beaucoup Annie d'avoir été avec nous pour cette journée de motocross compétition.

01:49:59 Là à Normandie c'est à Milière, à côté de Perrier, donc au motoclub de Milière.

01:50:03 Dimanche les horaires c'est à partir de ? - Alors les horaires c'est 8h30 pour les entraînements.

01:50:08 Les premières manches sont à partir de 10h45.

01:50:12 Voilà, et puis ça dure toute la journée avec une pause le midi.

01:50:17 Donc jusqu'à 18h30, les manches sont prévues jusqu'à 18h30 le soir.

01:50:22 - Et bah bonne journée de dimanche à vous, bonne fin de l'organisation et puis profitez-en bien. - Merci.

01:50:26 - Au rendez-vous donc dimanche, merci à tous les deux.

01:50:29 Événement bien sûr soutenu par France Bleu Cotentin, 8h50 place à votre rendez-vous docteur comme chaque matin.

01:50:35 Consultation c'est mieux avec le docteur Kerzec.

01:50:38 Et ce matin vous allez nous parler d'une complication rare mais redoutable des tampons hygiéniques.

01:50:43 Bonjour docteur Kerzec.

01:50:45 - Bonjour à tout le monde, on voit dans la presse ou les réseaux sociaux des histoires de jeunes femmes comme ça,

01:50:49 qui à la suite du port d'un tampon hygiénique.

01:50:51 Alors c'est pas à cause du tampon mais c'est le mauvais usage de ce tampon hygiénique.

01:50:55 Elles sont victimes d'un syndrome du choc toxique.

01:50:58 C'est une maladie infectieuse qui est rare, qui est liée à l'utilisation de ces tampons,

01:51:01 mais surtout qui est causée par une bactérie et par une toxine.

01:51:05 Alors la bactérie c'est le staphylocoque doré, on connaît tous ce nom-là,

01:51:08 mais ce staphylocoque il produit une toxine particulière.

01:51:11 Et même si elle est très rare, c'est une vingtaine de cas qui sont déclarés chaque année en France,

01:51:15 elle est peu connue et surtout elle peut être mortelle.

01:51:17 C'est une bactérie qui a été identifiée il y a des années et qui va très rapidement progresser.

01:51:21 C'est-à-dire qu'en quelques heures vous avez tous les organes qui sont touchés,

01:51:25 le rein, le foie, les poumons, tout cesse de fonctionner, c'est ce qu'on appelle une septicémie.

01:51:29 Alors les symptômes, parce que c'est ça qu'il est important de repérer,

01:51:32 c'est de la fièvre, c'est une sensation de malaise, c'est une chute de tension,

01:51:35 ça c'est les principaux symptômes.

01:51:37 Et c'est pas uniquement le tampon en fait, il faut qu'il y ait le tampon avec la toxine

01:51:41 et il faut déjà être porteur finalement de cette bactérie,

01:51:44 et c'est très souvent le cas malheureusement dans la population générale.

01:51:47 Et les tampons vont aggraver en fait la situation parce qu'ils sont composés de fibres synthétiques,

01:51:50 et ça favorise le développement de la bactérie et de ce syndrome de choc toxique.

01:51:54 Bon, la question qu'on se pose tous, docteur, comment réduire les risques de ce syndrome qui est quand même terrifiant ?

01:51:58 Alors encore une fois, ce ne sont pas les tampons qui sont en eux-mêmes responsables,

01:52:01 mais c'est l'utilisation ou la mauvaise utilisation.

01:52:04 Et donc on peut utiliser autre chose que des tampons hygiéniques, par exemple des serviettes hygiéniques,

01:52:07 ou une coupe menstruelle, et ça peut très bien convenir, et ça évite cette complication.

01:52:12 Et si vous utilisez un tampon, il y a des consignes à respecter,

01:52:15 et c'est vrai qu'il n'y a plus de cours d'éducation comme ça à l'école.

01:52:18 C'est important de rappeler qu'il faut se laver les mains avant et après l'insertion,

01:52:21 qu'il faut le changer toutes les 4 à 8 heures, parce que c'est la durée,

01:52:25 et l'augmentation de cette durée, le fait de le laisser la nuit,

01:52:28 il ne faut pas laisser un tampon la nuit, parce que ça va développer cette bactérie.

01:52:32 Et si vous le laissez par contre la nuit, vous pouvez le mettre juste avant le coucher,

01:52:37 et l'enlever dès votre réveil. L'idée c'est de faire moins de 8 heures de toute façon.

01:52:40 Et puis il faut arrêter de mettre un tampon à la fin de vos règles également,

01:52:43 et il y a des niveaux d'absorption en fonction de la quantité de règles.

01:52:46 Tout ça c'est important, c'est important d'en discuter avec son médecin traitant,

01:52:49 ou avec son gynécologue, ou avec une sage-femme.

01:52:52 Ça évitera ce syndrome du choc toxique. D'ici là, portez-vous bien !

01:52:55 Et en cette journée mondiale de l'hygiène monstruelle,

01:52:57 vous pourrez poser toutes vos questions aussi tout à l'heure,

01:52:59 entre 15h et 16h, avec nos docteurs dans Bonjour Docteur !

01:53:13 Oui, vous ne rêvez pas, la radio qui vous fait gagner votre tablette tactile,

01:53:16 c'est France Bleu Cotentin ! Inscription maintenant, tirage vendredi !

01:53:20 C'est votre seule chance de ce matin, c'est la chance là maintenant !

01:53:23 Vous avez 3 minutes et 2 secondes pour nous appeler 0233 23 13 23,

01:53:28 participez au tirage de vendredi !

01:53:31 Pierre Garnier revient en musique, nous on sait !

01:53:33 Si t'as besoin de parler, je te donne ce que j'ai, t'en as besoin, faut lâcher prise.

01:53:41 T'esquives, mais je connais le sujet, on recherche une trêve quand la douleur se fait sentir.

01:53:51 Je suis pas le meilleur pour ça, mais j'entends dans ta voix,

01:53:58 une envie d'ailleurs, une envie d'aller mieux.

01:54:03 Et je n'insiste pas, ça me regarde pas, cette envie d'ailleurs.

01:54:11 Et quand j'appelle ce soir, tu me réponds dans le noir,

01:54:16 tu dis qu'il est trop tard pour aller mieux, pour avancer.

01:54:21 Et quand j'appelle ce soir, tu me réponds dans le noir,

01:54:26 tu crois qu'on est des milliards à pas savoir vers où avancer.

01:54:32 Le pire, ça serait de faire un choix, de tout garder tout bas,

01:54:38 que ça t'empêche de nous le dire.

01:54:42 Respire, l'amour autour de toi, il ne disparaît pas,

01:54:48 on sera mille à te retenir.

01:54:54 Je suis pas le meilleur pour ça, mais j'entends dans ta voix,

01:55:00 une envie d'ailleurs, une envie d'aller mieux.

01:55:04 Et je n'insiste pas, ça me regarde pas, cette envie d'ailleurs.

01:55:12 Et quand j'appelle ce soir, tu me réponds dans le noir,

01:55:17 tu dis qu'il est trop tard pour aller mieux, pour avancer.

01:55:22 Et quand j'appelle ce soir, tu me réponds dans le noir,

01:55:27 tu crois qu'on est des milliards à pas savoir vers où avancer.

01:55:32 Nous, on sait qu'on a des histoires à chanter, qu'on a des montagnes à monter,

01:55:39 et si la lumière s'éteint, on la rallume pas demain.

01:55:43 On sait qu'on a des histoires à chanter, qu'on a des montagnes à monter,

01:55:49 et si la lumière s'éteint, on la rallume pas demain.

01:55:53 On sait qu'on a des histoires à chanter, qu'on a des montagnes à monter,

01:55:57 tu dis qu'il est trop tard pour aller mieux, pour avancer.

01:56:01 Et quand j'appelle ce soir, tu me réponds dans le noir,

01:56:06 tu crois qu'on est des milliards à pas savoir vers où avancer.

01:56:11 Et quand j'appelle ce soir, tu me réponds dans le noir,

01:56:16 tu dis qu'il est trop tard pour aller mieux, pour avancer.

01:56:21 - Notre manche ouest, son tout nouveau titre, Pierre Garnier sur France Bleu Cotentin,

01:56:25 "Nous, on sait". A votre service, c'est tout à l'heure, 9h10, avec Monsieur Yannick Leflos.

01:56:30 Bonjour, je vous vois très concentré, c'est normal, vu le sujet.

01:56:34 J'en ai marre de mon boulot ! - Exactement ! Au revoir !

01:56:37 Vous avez passé de très longues années dans un métier qui n'était pas celui dont vous rêviez.

01:56:40 Aujourd'hui, vous vous dites "Et si je changeais de métier ? Et si je faisais le métier dont j'ai toujours rêvé ?"

01:56:45 Parlons reconversion professionnelle ce matin.

01:56:47 Vous rêvez d'un autre métier, lequel ? Vous avez changé de métier, comment ça s'est passé ?

01:56:51 Venez me raconter votre changement de vie professionnelle,

01:56:54 échangeons les expériences, tout ça, au 02-33-23-13-23.

01:56:59 Et Richard Dommy a justement demandé à un cher bourgeois à Morgane

01:57:02 s'il avait déjà changé de métier et s'il était prêt aujourd'hui à plaquer son boulot pour le métier de ses rêves.

01:57:08 - En soi, oui, parce que j'ai fait une formation de commerce à l'époque,

01:57:12 et je n'ai pas trouvé, donc j'ai fait agent d'entretien dans les sous-marins.

01:57:15 Et sinon, comme vous m'avez posé la question, le rêve que je veux faire, c'est animateur de radio, tout plaqué pour faire ça.

01:57:20 - C'est vrai ?

01:57:21 - Oui, tout à fait. J'ai été à Radio Toucan, qui sont déplacés à 40 ans.

01:57:25 Donc c'est une expérience qui m'a vraiment plu, et pourquoi pas partir là-dedans.

01:57:29 - Vous serez peut-être bientôt à ma place, alors, qui sait ?

01:57:31 - Pourquoi pas, peut-être, on ne sait pas. L'avenir nous le dira.

01:57:34 - Oui, si ça se trouve, c'est celui qui va piquer notre place dans pas longtemps.

01:57:37 Vous rêvez de changer de métier, vous avez changé de bois professionnel, on en parle ce matin.

01:57:41 - À votre service, donc, spéciale reconversion professionnelle.

01:57:44 On en reçoit beaucoup aussi le matin, à 7h15, j'ai beaucoup de personnes qui font des reconversions, justement,

01:57:48 qui pourront témoigner, allez-y, 02.33.23.13.23, votre émission, à votre service, reconversion pro.

01:57:55 Vous avez déjà fait une reconversion, vous ?

01:57:57 - Plusieurs.

01:57:58 - Vous auriez rêvé de faire quoi ? Je ne sais pas, je ne sais pas, chanter ? Ça aurait été bien, tiens.

01:58:02 Allez, Thierrève, on fera ça demain à 6h.

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