Chaque jour, Jean-Luc Lemoine vous offre une session de rattrapage de tout ce qu'il ne fallait pas manquer dans les médias.
Retrouvez "La session de rattrapage" sur : http://www.europe1.fr/emissions/la-session-de-rattrapage
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00:00 Et bien sûr Gérard, vous connaissez l'animal en face de vous, on commence avec la session
00:05 de rattrapage de Jean-Luc Lemoyne.
00:08 Oui, oui Thomas, mais pour tout vous dire, et contrairement à ce qu'il vient de nous
00:12 prétendre, je ne sais pas si Gérard est vraiment content d'être avec nous, parce
00:16 que voilà ce qu'il a dit en arrivant dans le studio.
00:18 Je dois avouer que je n'ai jamais vu autant de fils de pute.
00:22 Bienvenue Gérard.
00:23 Merci Gérard, merci, c'est sympa de vous voir.
00:26 On ne savait pas sur nos mamans.
00:32 Bon évidemment, c'était un extrait du Tour de France où Gérard avait voulu faire de
00:38 l'humour et avait juste provoqué quelques descentes d'organes.
00:40 Comment voulu j'ai fait de l'humour ? La France et la Belgique se sont partagées en deux.
00:45 Bien sûr.
00:46 Il y a ceux qui ont apprécié et ceux qui ont pris ça vraiment au premier degré, comme
00:49 souvent avec l'humour, n'est-ce pas ?
00:51 On est bien d'accord.
00:52 Mais vous expliquez Jean-Luc pourquoi je l'ai dit.
00:53 Oui, peut-être on explique sa blague.
00:54 Très important.
00:55 Je passais à moto, non pas en moto, mais à moto, dans le petit village de Puteux,
01:01 qui était dans la banlieue de Bruxelles.
01:03 Et voyant la pancarte, c'était une évidence.
01:06 Comme lorsqu'on passe à Garches, je dis les fils de Garches et les enfants de Puteaux,
01:09 les enfants de Parisienne.
01:11 C'est pareil, il y avait Puteux, donc voilà.
01:14 C'était tentant.
01:15 Bien sûr, on comprend.
01:16 Mais Gérard, sa vie, il vient de le dire, c'est le sport.
01:19 Pas que pour le commenter, le sport qu'il pratique le plus, c'est le vélo.
01:22 Et moi, quand je rentre de vélo, je suis naze.
01:24 C'est fini, je suis cramé complètement.
01:27 Il est cramé.
01:28 Le pseudonyme de Gérard sur vélo, c'est Jeanne d'Arc, ou la pucelle du ventoux quand
01:31 il se met en danseuse.
01:32 D'ailleurs, quand on offre un vélo à Gérard, il n'a plus de mots.
01:36 Non, Gérard n'a pas tourné dans un Jackie et Michel.
01:44 On lui a juste offert un vélo et c'est un orgasme sportif.
01:48 C'est incroyable.
01:49 Car Gérard, c'est du partage.
01:50 Il nous a fait vibrer avec les plus grands événements.
01:52 Alors, rappelez-vous, quand il a fait son dernier Tour de France, on était tous émus
01:56 devant notre poste.
01:57 Et ce n'est pas Gérard que je vais l'apprendre.
01:59 Ce qui compte dans ces moments-là, ce qui reste, ce sont les derniers mots qu'on a prononcés
02:02 à l'antenne.
02:03 Alors, comme ça m'a mis les poils, je voulais qu'on les réécoute ensemble.
02:06 Je suis fou de vélo.
02:07 Je n'y arrive pas.
02:10 Bon, kéké, on en reparlera tout à l'heure.
02:14 Kéké, vous avez réussi.
02:16 Allez, kéké en avant.
02:17 Je vous cite.
02:18 Bon, kéké, kéké, kéké, kéké en avant.
02:21 On pourra dit que c'est m'en faire mieux.
02:24 Jean-François Kerker, il faut l'expliquer aussi.
02:25 Jean-François Kerker, c'est mon copain qui était au bout de l'autre côté de la production.
02:30 C'était ça ou c'était peut-être un hommage à Morricante.
02:32 Peut-être, peut-être, je ne sais pas.
02:36 Je ne veux pas savoir.
02:37 Gérard qui doit être un peu maso parce qu'il faut quand même savoir que le vélo, ça
02:40 fait mal.
02:41 Ça fait mal partout.
02:42 Ça fait mal derrière dans la nuque, dans les bras, ça tétanise les bras, les abdominaux,
02:49 les cuisses parce que la position quand même est très inconfortable.
02:54 Gérard, il y a deux solutions.
02:55 Ou on se cotise pour vous acheter une voiture ou vous achetez une combinaison en latex et
02:59 une boule à bouche.
03:00 C'est quand même bizarre d'aimer se faire mal à ce point.
03:02 Mais si pendant l'interview de Thomas, vous voulez qu'il vous pince les tétons, n'hésitez
03:06 pas.
03:07 Il aime bien aussi.
03:08 Jean-Luc, Jean-Luc, c'est pas possible.
03:09 Arrêtez-le.
03:10 Arrêtez tout de suite.
03:11 Non, alors ce que vous allez faire maintenant, c'est que vous allez finir votre débrief
03:15 de cette émission qu'on adore, "Marier au premier regard".
03:17 Vous aviez commencé hier.
03:18 Oui, mais vous allez trop vite Thomas, comme dirait votre femme.
03:21 Juste avant "Marier au premier regard", il y avait une bande annonce sur Gulli.
03:24 Enfin non, c'était sur M6 pour Gulli.
03:27 Et c'était la programmation de ce lundi soir.
03:29 Sur Gulli, on fait le plein de sentiments avec le film "A Noël près de toi".
03:34 Alors je sais qu'il n'y a plus de saison, mais si on commence à éteindre les films
03:37 de Noël en mai, on va skier en juillet.
03:39 Faites attention.
03:40 Ça c'était vraiment lundi soir.
03:41 C'était lundi soir, oui.
03:42 Donc "Marier au premier regard".
03:44 Alice et Florian, c'était "Qui t'es fâché, souvenez-vous".
03:46 Parce qu'Alice avait cassé une fleur en pâte séchée au resto et ne savait pas que
03:51 Florian était pâte séchée au fil.
03:52 Je ne plaisante même pas.
03:54 J'ai des pâtes séchées en déco et là, j'ai une pâte qui casse.
03:57 Ça va casser.
03:58 Au point qu'ils sont rentrés chacun de leur côté.
04:00 Je pense qu'on est déçus tous les deux.
04:03 Sans certitude de se revoir.
04:05 À quoi ça tient un mariage ?
04:07 Il y a eu peu de chance que ça dure.
04:08 Non, c'est mal parti.
04:09 J'aime mieux vous dire que les spécialistes de l'amour, ils n'étaient pas contents.
04:11 Des mois de calcul pour se faire planter pour une sombre histoire de pâte.
04:15 Ils ont convoqué Florian pour savoir pourquoi il avait aussi mal réagi.
04:18 C'est juste la situation.
04:19 On était dans l'endroit sacré des pâtes.
04:23 L'endroit sacré des pâtes.
04:25 En fait, c'est sa religion.
04:26 Il est pâtiste.
04:27 Ascendante agliatelle.
04:29 Moi, toute cette histoire, ça m'a fait de la peiné.
04:31 On retrouve un autre groupe de jeunes mariés.
04:34 Ludivine trouvait étrange que Raphaël ne manifeste pas une attirance physique pour
04:38 elle.
04:39 Mais Raphaël attend une vibration.
04:40 Je n'ai pas plus d'infos.
04:41 S'il ne vibre pas, excusez-moi, mais pour une femme comme moi, je ne vois pas comment
04:44 il pourrait vibrer.
04:45 Tout simplement, c'est à l'intérieur de lui.
04:46 Je pense qu'il est éteint.
04:47 Voilà, Ludivine cherche un homme qui vibre.
04:49 Donc, vous avez 90% de chance de la séduire si vous avez Parkinson.
04:53 Ludivine est désespérée et ne comprend pas.
04:56 Et si sur une meuf comme moi, putain, tu ne vibres pas, honnêtement, sans prétention
04:59 aucune, crois-moi, parce que moi, je suis du lourd.
05:01 Tu ne vibreras jamais, André.
05:03 Moi, je suis du lourd.
05:04 C'est problème quand tu as appris à draguer avec un BTS force de vente.
05:08 Mais Ludivine a mis le doigt sur une différence notable entre elle et Raphaël.
05:12 Dans le sens où moi, je suis le feu et lui, il est l'eau.
05:15 Si lui, c'est l'eau et elle, le feu, faites des pattes.
05:17 Non, mais à un moment, il faut être pragmatique.
05:20 On les retrouve en soirée et Ludivine, vous allez voir, va avoir une belle surprise.
05:24 Est-ce que tu m'as trouvé belle quand tu m'as vue comme ça ?
05:27 Je t'ai trouvée jolie.
05:31 Après, je n'ai pas fait "Waouh".
05:33 C'est horrible.
05:34 Si vous trouvez que Raphaël utilise des bonbons, normalement, vous êtes célibataire depuis
05:38 longtemps et vous allez le rester.
05:40 Je n'ai pas fait "Waouh".
05:42 La pauvre, elle est tellement sûre d'elle.
05:44 Oh là là, quel couple.
05:45 C'est du lourd.
05:46 Merci Jean-Luc Lemoyne de nous faire découvrir toutes ces merveilles.
05:49 Chaque matin, on vous retrouve demain.
05:50 Et d'ici là, on replay sur Europe 1.fr.
05:52 Et dans un instant, c'est la suite.