• il y a 7 mois
Face aux mobilisations pro-palestiniennes qui visent les écoles de France, Emmanuel Macron a affirmé «condamner les blocages des universités». Mais pour l’avocat Gilles-William Goldnadel, «c’est bien gentil de condamner, mais je trouve que c’est une condamnation un peu stérile».

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Transcription
00:00 -Mais je trouve que, d'autre manière,
00:02 la condamnation, elle est un peu au niveau des idées un peu courtes.
00:05 Moi, si j'étais le président de la République,
00:08 je dirais que, mais il n'y a pas que les Palestiniens,
00:13 il y a les Ouïgours, il y a les Tibétains, ça tombe bien,
00:16 il y a le président de la Chine communiste qui arrive,
00:19 il y a les centaines de milliers de Congolais
00:22 ou de Soudanais qui sont massacrés ou qui meurent de faim.
00:27 C'est quoi, ce judéo-centrisme, cet israélo-centrisme devenu fou ?
00:32 Il y a les slogans de la rivière à la mer,
00:35 sans parler des slogans plus antisémites,
00:38 qu'on entend après Trembling-Ca, Gaza.
00:41 Il y aurait des choses très intéressantes à dire
00:44 sur le contenu haineux de ce qu'on entend
00:48 dans les facultés aujourd'hui
00:51 et qui viennent, en vérité, de chez les Insoumis.
00:54 Donc, je trouve que c'est bien gentil de condamner,
00:57 mais je trouve que c'est une condamnation un peu stérile.
01:00 [Générique]

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