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Sciences Po : «200 étudiants d'extrême gauche, wokistes, bloquent les autres étudiants, c'est dramatique», estime Chenu
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Transcription
00:00 - Il s'est dit "on ne transigera pas" quand il avait été, il y a quelques semaines, à Sciences Po Paris.
00:03 Vous estimez que véritablement, Gabriel Attal veut laisser voir proliférer ce genre de manifestation ?
00:08 - Mais ce sont des mots ! Ils sont incapables d'autorité.
00:11 Quand vous voyez ce que la direction paillasson de Sciences Po a fait, c'est-à-dire pas de punition pour les bloqueurs,
00:17 ils ont laissé finalement les choses se tenir détente dans la cour de la Sorbonne, qui était en train d'être montée je crois hier,
00:24 je veux dire, que ce soit la direction paillasson de Sciences Po, que ce soit le ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche,
00:29 ce sont des gens qui ont peur. Ils ont peur, ils ont peur de la LFI, peur de la violence de l'extrême gauche,
00:36 donc ils préfèrent laisser faire, et puis peur de ramener les principes républicains fondamentaux dans nos établissements d'enseignement supérieur.
00:43 - On va en parler. Alors est-ce que vous soulignez à l'inverse la réaction ou la décision de Valérie Pécresse,
00:47 présidente de la région Île-de-France, qui annonce suspendre les financements de Sciences Po Paris ?
00:51 - Oui, je la soutiens dans le sens où je pense que ça permet de faire pression.
00:55 Je pense que ça permet effectivement, et ça oblige la direction par exemple de Sciences Po à se bouger, à réagir.
01:01 Donc ça voilà, je dis "je suis favorable". Ce qui est dramatique dans tout ça, c'est que ce sont 200 militants d'extrême gauche,
01:07 fauxquistes de Sciences Po, qui empêchent 13 ou 15 000 autres étudiants de suivre leurs cours.
01:14 - Il faut les sanctionner, M. Chenier, très clairement. - Mais bien sûr !
01:16 - Oui, mais lesquels ? Est-ce que quelqu'un qui tient une manifestation pro-palestinienne, est-ce que c'est interdit ?
01:21 Ou est-ce que vous les mettez tous dans le même sac, si je vous entends bien, d'un soutien ou en masse ?
01:26 - Mais Mme Mabrouk, quand on occupe illégalement les locaux de Sciences Po, quand on empêche des étudiants d'entrer dans les locaux
01:32 parce qu'on suppute qu'ils soient juifs, quand on a ce genre d'attitude, oui, on doit être sanctionné.
01:38 Parce qu'on empêche les autres de vivre librement, on empêche les autres d'étudier librement, et ils prennent en otage, je l'ai dit.
01:44 C'est un braquage que fait la LFI de nos établissements d'enseignement supérieur, et le gouvernement est totalement passif.
01:50 Qui ne dit mot consent ? Mme Retailleau a laissé faire.
01:54 Et ce laisser faire, il coûte très cher parce que ça fabrique de l'antisémitisme, ça fabrique de la haine.
01:59 Et aujourd'hui, Sciences Po a totalement perdu son âme.

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