• il y a 8 mois
Retrouvez Cyril Hanouna désormais le samedi et le dimanche dès 18h50 pour Face à Hanouna !


Au programme : des débats sur l'actualité politique, mais aussi le retour de séquences cultes.

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Transcription
00:00 -Tous arrivés dans cette aventure, on savait pas où on allait.
00:02 -Exactement.
00:02 -Si on savait où on allait, on nous avait promis une émission politique.
00:05 (Rires)
00:07 -Et on va avoir le plus beau cul du monde !
00:09 (Rires)
00:12 -Un as de liquide !
00:14 (Applaudissements)
00:16 -Mais d'une certaine manière, le cul est une sorte de politique.
00:19 -Exact. Merci.
00:20 Germain, calmez-vous un peu.
00:21 Euh... Non, mais c'est vrai.
00:23 Alors, on est tous partis à l'aveugle dans cette émission,
00:26 et aujourd'hui, c'est...
00:28 Pour moi, je le dis vraiment, je le dis pas parce que c'est notre émission,
00:30 c'est pour moi le plus gros succès de l'année.
00:32 -Bah oui. -Vraiment, je vous le dis,
00:33 parce qu'une émission qui s'est installée aussi vite...
00:35 -Oui. -Voilà, TPMP,
00:37 enfin, un carton, mais TPMP, ça fait...
00:38 Non, mais vraiment, pour moi,
00:40 le plus gros succès de l'année, c'est face à nous.
00:42 Donc je voulais vous remercier déjà. Je voulais remercier le public.
00:44 -S'en prie. -Je voulais remercier le public ici,
00:46 le public, c'est vous.
00:47 (Applaudissements)
00:49 Toutes les équipes...
00:50 Toutes les équipes, je l'ai déjà dit hier,
00:52 qui ont travaillé sur l'émission, qui ont fait un travail exceptionnel,
00:55 qui ont monté l'émission en deux semaines.
00:57 En deux semaines.
00:58 Ouais. Gilberte, ça fait 20 ans qu'il est temps de monter un mariage.
01:01 (Rires)
01:03 Ils ont monté une émission en deux semaines.
01:04 Non, pour vous dire, donc bravo à toutes les équipes
01:06 qui ont fait un travail exceptionnel.
01:07 Bravo à elle, en plus, on s'est bien mariés.
01:08 Et bravo, bien sûr, à vous tous autour de la table,
01:11 parce que vous m'avez suivi dans l'aventure
01:13 et ça m'a fait vraiment plaisir de partager tous ces moments avec vous.
01:17 Et on n'a pas fini de rigoler puisqu'on sera de retour l'année prochaine.
01:19 Vous, alors, est-ce que vous regrettez ?
01:21 Est-ce que vous êtes heureux ? Dites-nous un petit peu votre bilan.
01:22 Racontez-nous, parlez avec votre coeur.
01:24 La seule chose que je regrette, Cyril,
01:25 c'est de ne plus vous voir jusqu'en septembre.
01:27 (Horloge)
01:28 (Rires)
01:29 -Merci beaucoup. -Merci.
01:30 -T'es heureux ? -C'est mon seul regret.
01:32 -T'étais heureux avec nous ? -Très heureux.
01:35 Heureux de venir de temps en temps dans tes PMP.
01:37 Et vous m'avez proposé, ici même,
01:39 pendant une pub, à côté de Valérie Benhaim.
01:41 -C'est vrai. -Exactement.
01:42 De faire partie de la bande.
01:43 Et deux jours plus tard, mon téléphone sonnait.
01:45 -Exactement. -J'avais une bonne nouvelle.
01:46 Et comme je l'avais raconté, dans ce cas-là,
01:48 quand j'ai raconché, j'ai fait "Yes !"
01:49 Voilà.
01:50 (Rires)
01:52 -Valérie Benhaim, bon, Valérie, t'es heureuse.
01:54 De toute façon, t'es heureuse. -C'est un bonheur, moi.
01:55 A chaque fois que vous me proposez une aventure,
01:56 je dis oui, parce que je sais que ça va jamais être
01:58 ce qu'on s'est dit sur le papier.
01:59 Ça va forcément être autre chose.
02:01 Et on va forcément s'amuser.
02:03 Et je suis toujours ravie.
02:04 -Je suis très heureux que tu m'aies rejoint.
02:06 J'espère que tu seras avec moi l'année prochaine.
02:07 -Bah, écoute, avec grand plaisir. -Moi aussi.
02:09 -C'était...
02:11 Je vous avoue que c'était pas évident.
02:14 Parce qu'il y a plein de gens qui m'ont dit
02:15 "Mais qu'est-ce que tu vas faire là-bas ?
02:16 "Qu'est-ce que tu vas faire chez Amoulin ?
02:17 "Tu devrais pas y aller."
02:18 Et je leur ai dit "Moi, tant que j'ai ma liberté
02:21 "de parler, de dire ce que je pense..."
02:22 -C'est Florent Pagny qui t'a tué.
02:24 (Rires)
02:26 -Ma liberté de penser, effectivement.
02:28 Et que, voilà, on se respecte.
02:31 -Il y a énormément de jaloux.
02:34 Et c'est ça, le truc.
02:35 -Ça fait partie du jeu.
02:36 -Ce qui fait notre force aussi, c'est le public.
02:39 Il y a beaucoup de jaloux et des gris.
02:40 Et qui rêveraient d'être avec nous
02:41 et de s'éclater toutes les semaines.
02:42 Et c'est vrai que ça cartonne.
02:44 C'est vrai que c'est grâce à vous aussi.
02:46 L'émission a cartonné très, très vite.
02:48 Et vraiment, bravo à vous tous.
02:49 -Merci vraiment à toute l'équipe
02:51 parce qu'ils ont été extraordinaires.
02:52 Sixteen, des fois, à 2h du matin, 3h du matin.
02:54 -Sixteen est extraordinaire.
02:55 -On en voit Sixteen, Seventeen, Eighteen.
02:57 (Rires)
02:59 -Merci beaucoup.
03:00 -Et bon, à tout le monde.
03:01 Kakoumbe, bien sûr.
03:03 Tout le monde, toutes les équipes.
03:04 Hugues, Théo.
03:05 Bien sûr, il y a César aussi, que je viens de croiser.
03:07 Tout le monde, toutes les équipes qui ont été exceptionnelles.
03:09 Lionel Stein, bien sûr, qui chapeaute tout ça.
03:11 -On va lui mettre main de nature.
03:12 -Et spécialiste coiffure et audiovisuel.
03:14 (Rires)
03:15 Merci.
03:17 -Carola Baia.
03:18 -Moi, écoutez, je suis très, très heureuse.
03:19 C'était un rêve d'enfant.
03:20 Et j'étais déjà venue assister à l'émission à TPMP
03:23 quand j'étais au lycée.
03:24 J'étais là.
03:25 -Je sais.
03:26 Elle était dans votre classe, à l'époque.
03:28 (Rires)
03:31 La dame-là, elle était dans votre classe,
03:33 avec cette dame-là.
03:34 Merci.
03:36 Le réalisateur, il est en décalage horaire.
03:38 (Rires)
03:39 -Ah !
03:40 -Quoi ?
03:41 Lui, en fait, il fait des réactions.
03:43 (Rires)
03:45 Pourquoi il fait un bruit de canard
03:46 quand je dis "le réalisateur" ?
03:47 Il est dans l'écran.
03:48 Ah !
03:49 Non, mais il est fou, ce mec-là.
03:51 -Vous m'avez fait confiance.
03:52 Je vous en remercie vraiment.
03:53 Je suis très contente d'être là
03:54 et j'espère avoir un bel avenir avec vous.
03:56 -Avec moi, je ne sais pas.
03:58 (Rires)
03:59 -Avec vous, c'est normal.
04:00 Avec vous, mais avec vous.
04:02 -Vous m'avez compris, quoi.
04:03 -Merci.
04:05 -Merci.
04:06 -Gilles, t'es content, toujours content.
04:08 -D'abord, merci, parce que je devais pas être là du tout.
04:10 (Rires)
04:11 -Mais vous, le truc, vous ne devez être nulle part à chaque fois.
04:16 -Il paraît qu'il était très vexé.
04:17 -Ah oui, c'est vrai ?
04:18 -Pas du tout, non.
04:19 -Si, si.
04:20 -J'ai jamais appelé Cyril.
04:22 -Jamais.
04:23 -Ils me disent "Viens ou viens pas".
04:24 -De toute façon, votre numéro est bloqué.
04:26 (Rires)
04:27 -Il vous appelle pas, il le dit à l'antenne.
04:30 (Rires)
04:31 -Vous avez dit à l'antenne que vous étiez vexé de pas être là.
04:34 -Blessé, pas blessé.
04:35 -Blessé.
04:36 -Ah oui, quand même.
04:38 -Je parle avec le coeur.
04:39 -Je suis content d'être là, j'ai découvert des gens
04:41 dont le talent est hétérogène, mais l'enthousiasme...
04:43 (Rires)
04:44 (Applaudissements)
04:46 (Rires)
04:47 -Bravo.
04:48 Bravo.
04:49 -Oh là là.
04:50 -Bravo, Gilles.
04:52 Bravo, Gilles.
04:53 -C'est ça ?
04:54 -Oui.
04:55 Alors, en plus, elle, elle était chez BFM, à l'époque.
04:58 Il l'avait découverte chez nous, il l'avait trouvée extraordinaire,
05:02 donc forcément, dès que BFM trouve quelqu'un de bien,
05:04 il leur demande de le faire.
05:05 -Sa moundire, elle a été exceptionnelle.
05:07 -En fait, moi, ça a été un peu pareil que Ross,
05:09 c'est-à-dire que absolument la terre entière m'a dit de ne pas venir,
05:13 que c'était un monde d'hypocrites, que ça allait mal finir,
05:15 que j'allais avoir indiqué ta vie sur la tête, sur le front,
05:19 et à tel point que la veille de venir pour la première émission,
05:23 je m'avais une boule au ventre.
05:24 -Ouais, c'est un truc.
05:25 -Mais malsaine, une boule au ventre, à la gorge,
05:27 je me disais "Mais qu'est-ce que je fais ?"
05:30 -Tout les jours, je viens avec deux boules dans le slip.
05:32 (Rires)
05:36 Et tout va bien.
05:37 (Rires)
05:40 Je me couche avec, je me réveille avec.
05:43 (Rires)
05:44 Tout va bien.
05:45 -Et je me rappelle très bien de la première journée,
05:48 c'est même pas la première journée, c'est la première matinée,
05:51 où j'ai appelé ma mère pendant la pause et j'ai dit
05:55 "Mais tout le monde m'a raconté que des conneries."
05:57 C'est peut-être la meilleure ambiance de rédaction
05:59 que j'ai jamais faite, de toutes les rédactions que j'ai faites.
06:02 -Ah oui.
06:03 -Et c'est la meilleure ambiance, la meilleure bienveillance.
06:05 On m'a dit "Vous allez être à côté de Gilles Verda",
06:07 je me dis "Mais qu'est-ce que je vais faire face à Gilles Verda ?"
06:09 (Rires)
06:11 -On peut la comprendre.
06:12 -En face de moi, de la tireur de Morandini, etc.
06:14 Et je me suis dit "Ca va être une ambiance horrible,
06:17 comment on va faire pour se parler en loge ?"
06:19 Et en fait, tout de suite, tout de suite, ça s'est très bien passé.
06:23 -N'exagérons rien quand même.
06:24 (Rires)
06:26 -Ca s'est très bien passé, elle a raison.
06:28 -On s'est rendu compte que c'était que de la télé.
06:30 -Exactement.
06:32 -On s'est rendu compte que c'était que de la télé.
06:34 Et même Laurent, je me rappelle très bien,
06:36 la première fois que je t'ai vue, on m'avait dit
06:38 "C'est un gros macroniste, etc."
06:40 -Macroniste, je veux bien gros.
06:42 (Rires)
06:44 (Applaudissements)
06:46 (...)
06:49 -Et quand je suis arrivée en loge la première fois,
06:51 on s'est vu, j'ai senti, mais tu me dis si je me trompe,
06:54 mais il y avait un gros a priori.
06:57 Je pense que t'étais pas prête... -De m'apprendre.
06:59 -Ouais. A rencontrer une fille autant de droite,
07:01 je pense, et comme je l'ai ressenti,
07:03 je me suis dit que je vais lui faire des compliments
07:05 sur la gueule avec "La vérité qui compte".
07:08 (Rires)
07:09 -T'as compris les compliments qui te font tous ceci ?
07:12 -J'ai découvert des compliments pour le forcer à me faire un sourire,
07:17 et à venir vers moi, et ça a très bien marché.
07:19 -Une fille sympa et brillante. -Merci beaucoup.
07:23 -Bravo, ma Juju. -Moi, Raymond,
07:25 t'es partout avec moi, même en vacances.
07:27 -Plein de fierté d'être là, mais je peux te dire la vérité ?
07:29 -Oui, bien sûr. -Je vais vraiment dire la vérité.
07:31 Vraiment, pour de vrai. -S'il te plaît, l'émission est nulle.
07:34 -T'avais deux boules dans le silk.
07:36 (Rires)
07:37 -Gérardine est au courant. Quand on a dit qu'on allait faire face à Nuna,
07:40 et on a dit "ce que tu veux faire, l'émission",
07:42 je dis "oui, je la fais, je négocie pas, je viens, je fais l'émission,
07:46 ça va me prendre du temps pour le travail".
07:48 Je dis "le dimanche, c'est sinistré, les gens font 400, 500 000,
07:51 ils vont faire 900, 1 million,
07:53 et peut-être que ça va s'arrêter très vite,
07:55 donc je vais y aller, la faire, l'émission".
07:58 Je t'ai dit "peut-être qu'il y aura 3 émissions et on va tout arrêter,
08:01 donc je vais venir faire ça, et ça va s'arrêter vite".
08:04 Et quand j'ai vu que l'émission a fait 1,5 million,
08:06 c'est-à-dire 1 million de plus que ceux qui sont derrière nous,
08:09 je me suis dit "c'est un truc de fou, ce qu'on a réussi à faire".
08:13 Et je suis persuadé qu'il y a des gens qui ne regardaient pas la semaine
08:16 et qui nous regardent maintenant le week-end,
08:18 et qui nous reviendront voir, et c'est un gros succès.
08:20 Je suis content, parce qu'il faut dire la vérité.
08:22 Je me disais "1 million, ça va être bien",
08:25 je voyais jamais cette émission qu'elle ferait 1,4 million.
08:27 -Je pense que Géraldine et Valérie me connaissent.
08:29 Moi, en télévision, c'est comme avec les femmes,
08:32 je ne vais que sur des combats gagnés d'avance.
08:34 (Rires)
08:36 -C'est vrai. -C'est pas vrai.
08:37 -Ah, si, si.
08:38 -Ce n'est pas gagné d'avance.
08:39 -Il me l'avait dit au téléphone, je me rappelle.
08:41 Il me dit "oui, t'es sur BFM, mais on va faire 10 fois plus".
08:46 Je lui ai dit "tout de suite, ça va cartonner".
08:48 "Ca va cartonner, j'en suis sûre, aucun doute dans ma tête".
08:51 -Il n'a pas dit "on va faire entre 1 million et 1,5 million".
08:53 -Tout de suite, il m'avait dit.
08:55 -Vous nous aviez dit dans la loge le premier jour,
08:57 vous nous aviez remis tous et vous nous avez dit
08:59 "là, vous allez jouer en Ligue des champions".
09:01 -C'est vrai.
09:02 -C'est ce que vous nous avez dit en plus sur la première.
09:04 -En costume.
09:06 -En costume sur la première, maintenant, je suis en genialité.
09:08 -Ca aussi, ça va durer longtemps.
09:09 -Les gars, entre le dire et que ça arrive,
09:11 c'est facile de dire "j'ai gagné la Coupe du monde
09:13 avec deux buts de Zidane" une fois que c'est fait.
09:16 Mais quand tu regardais les cases, ce qui se passe ce week-end,
09:18 c'est 500 000 téléspectateurs le dimanche.
09:20 -Et moi, j'ai une grande fierté, je ne boude pas mon plaisir,
09:23 et le dimanche n'a jamais aussi bien marché.
09:26 Et c'est vrai que, c'est ce que me disait la chaîne encore,
09:30 la semaine dernière, ils m'ont dit "tu fais deux fois plus
09:32 que Thierry Ardisson quand il était là le dimanche".
09:35 -C'est vrai ? 700 000 ?
09:36 -Non, parce que c'est vrai qu'il marchait quand même bien.
09:38 -C'est énorme.
09:40 -Et le dimanche, ils n'y croyaient pas du tout.
09:42 Je voudrais dire aux téléspectateurs,
09:44 et je vous jure que c'est vrai, c'est que quand...
09:46 Je vais vous raconter comment est née cette émission,
09:48 c'est un dimanche matin, je vois les chiffres de C8,
09:52 et j'appelle la chaîne, j'appelle Gérald,
09:57 et je lui dis... On a un groupe commun.
09:59 Déjà, je dis "les gars, c'est plus possible de faire des samedis,
10:01 tous les dimanches matin, je me réveille à 9h02,
10:03 et la moyenne chaîne était catastrophique, à 1,8 ou 1,7.
10:07 Je dis "on se fait chier toute la semaine pour qu'on soit...
10:10 -T'es la moyenne ?
10:11 -Et le samedi, c'est catastrophique."
10:13 Et je leur ai dit "moi, je pense qu'il faut qu'on lance un truc très vite."
10:16 Ils me disent "qu'est-ce que t'as envie de lancer ?"
10:19 "Est-ce que tu veux refaire "Apprendre où aller c'est" le week-end ?"
10:21 Et je leur ai dit "non, non, non, je vais lancer une nouvelle émission un peu politique."
10:25 -C'est ce qu'on nous l'a vendu.
10:27 -Comme des PMP, mais beaucoup plus politique, je me rappelle de ces mots.
10:30 -Et je leur ai dit... Ils me disent "on fait le samedi."
10:33 Je leur ai dit "d'accord, on fait le samedi."
10:35 Je leur ai dit "non, non, si on fait, on fait samedi et dimanche."
10:37 Parce que je leur ai dit "vous verrez que ça va très bien marcher le samedi,
10:39 mais ça cartonnera encore plus le dimanche."
10:41 Et ils m'ont dit "la casse du dimanche est sinistrée,
10:44 on ne marchera jamais le dimanche."
10:46 Je leur ai dit "vous verrez, je connais très bien le Total Télé,
10:48 on va marcher avec le dimanche, on marchera mieux que le samedi."
10:50 Et finalement, on marche bien le samedi, mais on marche encore mieux le dimanche.
10:53 Et donc l'année prochaine, on sera là le samedi et le dimanche.
10:57 Et on va peut-être même inventer un jour de la semaine
10:59 pour qu'on sera là en vendredi.
11:01 -En diagonal avec le "na".
11:03 -Le "sa" mardi, voilà.
11:05 Le "la" manche, voilà.
11:08 On va peut-être inventer un autre jour.
11:10 Géraldine, toi, t'es partout avec moi.
11:12 -Alors non, moi, je suis arrivée justement sur le tard.
11:14 Au début, il y avait Laurent Saillet, il y avait Julien Audou,
11:17 vous avez envie de bichurquer vers l'humour, vers la darka,
11:19 vous avez évidemment immédiatement pensé à moi.
11:21 (Rires)
11:23 Je suis la personne la plus austère.
11:25 Mais au-delà de ça, ce qui est incroyable, d'abord,
11:27 moi, j'adore le mélange de générations.
11:30 Je trouve aussi qu'il y a des jeunes pousses,
11:32 et par leur âge et par leur talent,
11:34 et je les trouve... C'est Tony Vivian.
11:36 -C'est vivifiant. On a l'impression de partir en thalasso avec eux.
11:38 -Et je trouve qu'ils ont beaucoup de talent.
11:41 Il y a une vraie complicité,
11:43 on se répond bien, c'est vraiment bien.
11:45 -C'est la première chose. Et deuxième truc que je voudrais dire,
11:47 en fait, moi, j'ai l'impression de vous redécouvrir.
11:49 Je trouve que vous n'êtes pas du tout le même
11:52 le week-end et la semaine.
11:54 -C'est comme dans la vie. La semaine, je rentre chez moi,
11:56 je suis tranquille, j'ai mes trucs,
11:58 et le week-end, je suis en train de me gratter les couilles dans la télé.
12:00 (Rires)
12:03 -Vous êtes vrai ! -Je suis le même !
12:05 C'est comme dans la vie !
12:07 Tu m'as dit au vendredi, c'est un truc que je ne fais jamais,
12:09 et le samedi et dimanche, bizarrement,
12:11 je ne sais pas pourquoi je suis tout le temps dans mes grattes.
12:14 -Au début de la semaine, il y a un truc un peu léger,
12:16 un peu TPMP, premières années,
12:18 un truc où j'ai l'impression que vous prenez beaucoup de plaisir,
12:20 et je trouve que ça se voit,
12:22 et il y a une énergie, une électricité qui est différente
12:25 de TPMP la semaine. Et c'est pour ça que c'est très bien,
12:27 parce que j'ai l'impression que c'est un autre programme.
12:29 -C'est ça qu'on a voulu faire aussi. -Et ça marche bien.
12:31 -Et les nouveaux sont super.
12:33 -Les nouveaux sont super. -Et les anciens sont géniaux.
12:36 -Les nouveaux sont super, les nouveaux ne coûtent pas cher.
12:38 (Rires)
12:40 [Musique entraînante diminuant jusqu'au silence]

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