Reportage : Julien Balidas, Denis Souilla
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00:00 Au début, ce n'est pas trop dur, mais ça se corse après 100 km de course, après
00:12 Saint-Pierre-d'Entremont, quand on va monter le col du Granier, après on redescend sur
00:16 Chaparay-An, Pochara, après on remonte Alvare et on remonte le colet d'Alvare, parce que
00:21 ça, en réalité, ça monte pratiquement depuis Pochara.
00:24 C'est vraiment un final plus dur que celui d'il y a 10 ans.
00:31 Ça dépendra bien sûr des protagonistes ou des classements généraux.
00:36 Pour un bon grimpeur, il y a moyen de faire un écart par rapport à ses concurrents.
00:40 C'est très beau la montée du colet d'Alvare, c'est dans les alpages, c'est très joli,
00:46 c'est bucolique.
00:47 Quand on fait du cyclotourisme, quand on fait de la compétition, c'est autre chose, on
00:51 verra que c'est beaucoup plus dur.
00:52 Vous connaissez un petit peu ces routes-là ?
00:54 Oui, parce que les colets d'Alvare, j'ai pratiqué, quand j'étais courant, dans les années 70,
01:00 Georges Cazeneuve, qui était le créateur du Créteil Homme du Dauphiné, avait fait
01:05 une épreuve, on montait le colet, une fois en ligne et une fois contre la monte.
01:10 C'était aussi une façon de rendre hommage à Georges Cazeneuve, cette montée du colet
01:14 d'Alvare.
01:15 ♪ ♪ ♪