À CHAUD :
- Les parents d'élèves de l'école Jules Verne de la Cula à Genilac, très inquiets, se mobilisent. Une fermeture de classe menace l'école à la rentrée prochaine malgré, selon les parents, une augmentation d'effectif.
- À Unieux, les parents d'élèves se sont réunissent à la sortie des classes ce vendredi pour faire blocus pour dénoncer une autre fermeture de classe.
- Le CHU de Saint-Étienne alerte sur une épidémie de Rougeole, en Auvergne-Rhône-Alpes.
- la STAS va vers des transports 100% électrique. En plus, des 3 lignes de Trams, c'est une troisième ligne de Trolley-bus qui est en train d'être réhabilitée.
À DÉCOUVRIR :
- J-2 avant le retour du Derby dans le Chaudron. Et ce sont les filles de l'ASSE qui permettent aux supporters de retrouver cette affiche de gala, 1 an et demi après le dernier disputé par les garçons.
- Et les garçons de l'AS Saint-Étienne, eux, se déplace en Corse à Ajaccio ce week-end. Pour la première fois de la saison, ils seront deuxième de ligue 2, à égalité de points avec Angers.
- Les meilleures joueuses françaises de basket 3x3 sont dans la Loire ! Ce vendredi et samedi, elles se préparent, à 3 mois des Jeux olympiques dans le nouveau complexe ligérien : Infinity Ball concept.
- Cecilia Richards, une pâtissière ligérienne, encore en étude, a reçu le prix du deuxième meilleur flan de France, dans la catégorie « professionnels tradition ».
- Les parents d'élèves de l'école Jules Verne de la Cula à Genilac, très inquiets, se mobilisent. Une fermeture de classe menace l'école à la rentrée prochaine malgré, selon les parents, une augmentation d'effectif.
- À Unieux, les parents d'élèves se sont réunissent à la sortie des classes ce vendredi pour faire blocus pour dénoncer une autre fermeture de classe.
- Le CHU de Saint-Étienne alerte sur une épidémie de Rougeole, en Auvergne-Rhône-Alpes.
- la STAS va vers des transports 100% électrique. En plus, des 3 lignes de Trams, c'est une troisième ligne de Trolley-bus qui est en train d'être réhabilitée.
À DÉCOUVRIR :
- J-2 avant le retour du Derby dans le Chaudron. Et ce sont les filles de l'ASSE qui permettent aux supporters de retrouver cette affiche de gala, 1 an et demi après le dernier disputé par les garçons.
- Et les garçons de l'AS Saint-Étienne, eux, se déplace en Corse à Ajaccio ce week-end. Pour la première fois de la saison, ils seront deuxième de ligue 2, à égalité de points avec Angers.
- Les meilleures joueuses françaises de basket 3x3 sont dans la Loire ! Ce vendredi et samedi, elles se préparent, à 3 mois des Jeux olympiques dans le nouveau complexe ligérien : Infinity Ball concept.
- Cecilia Richards, une pâtissière ligérienne, encore en étude, a reçu le prix du deuxième meilleur flan de France, dans la catégorie « professionnels tradition ».
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00:00 [Musique]
00:14 Ils redoutent la fermeture d'une classe.
00:16 Les parents de l'école Jules Verne de la CULA à Génilac se mobilisent ce vendredi.
00:21 La fermeture d'une classe supplémentaire à la rentrée prochaine
00:23 devrait contraindre l'établissement à former des classes de trois niveaux.
00:27 Une décision qui peut engendrer des difficultés d'apprentissage selon eux.
00:31 Et pour continuer à électrifier le réseau STAS,
00:33 Saint-Étienne Métropole réhabilite une troisième ligne de trolleybus.
00:37 Les travaux nocturnes pour ne pas gêner la circulation
00:40 servent à poser les lignes aériennes sur le boulevard Alexandre Fressinet.
00:44 D'ici fin 2025, cette ligne reliera le campus de la METAR à la cité du design.
00:50 Et on ira au nouveau complexe Infinity Bowl.
00:52 Le concept dans ce JT, les meilleures françaises de basket 3-3
00:56 se rendent là-bas ce vendredi et samedi
00:58 pour se mesurer aux équipes U18 de la région.
01:01 Le but, travailler les techniques, la stratégie et le rythme,
01:05 trois mois avant le début des JO.
01:07 Et enfin JT, on ira dans la cuisine de Cécilia Richard.
01:10 Étudiante en pâtisserie, elle a reçu le prix du deuxième meilleur flan de France
01:14 le 1er avril dernier.
01:16 Elle travaille à la manufacture de gens à Unieux
01:18 et a bien voulu nous révéler quelques-uns de ses secrets.
01:22 Bienvenue dans votre JT,
01:23 je suis ravie de vous accompagner pour cette édition du vendredi 12 avril.
01:27 Je vous le disais, dans les titres,
01:28 les parents d'élèves de l'école Jules Verne de la CULA à Génilac,
01:32 très inquiets, se mobilisent.
01:34 Une fermeture de classe menace l'école à la rentrée prochaine,
01:37 malgré, selon les parents, une augmentation d'effectifs.
01:40 Devant l'obligation de faire des classes à trois niveaux,
01:43 l'apprentissage est mis en danger, disent-ils.
01:46 Sur place, nous retrouvons Thibaut Rivière.
01:49 Est-ce que vous voulez un triple niveau ?
01:53 Et oui, Marie-Lise, ici à la CULA,
01:55 les parents sont complètement désabusés.
01:57 Vous voyez, derrière moi, il n'y a pas que des parents,
01:59 il y a aussi des enfants, notamment de maternelle,
02:02 qui vont rentrer en CP
02:03 parce que, justement, leur classe va être fermée.
02:06 C'est notamment le cas de la classe de grande section
02:08 et la classe de CP qui vont être regroupés
02:10 en petite, moyenne et grande section.
02:13 Puis CP, CE1, CE2, donc deux classes distinctes.
02:17 L'école ne va pas fermer, mais les parents sont comme désabusés.
02:21 C'est le cas de cette maman de la CULA
02:23 qui représente un peu tout le monde ici,
02:24 aujourd'hui notamment avec le mégaphone.
02:27 Écoutez-la.
02:28 Notre ressenti, c'est de pourquoi fermer une classe
02:30 sachant que les effectifs évoluent ?
02:33 Là, cette année, on est un peu bas.
02:35 L'année prochaine, ça va évoluer.
02:36 Donc pourquoi fermer une classe ?
02:38 Séparer des élèves ou rassembler des élèves ?
02:41 Le niveau est super bon à la CULA.
02:43 On a des super élèves, des super enseignants.
02:47 C'est dommage de regrouper tous ces enfants
02:50 et de justement faire descendre le niveau.
02:53 Parce que vous savez, actuellement,
02:54 ils sont à peu près 20, 25 par classe.
02:57 Les maîtresses sont là, les écoutent, les font évoluer.
03:00 S'ils sont plus, les élèves en difficulté,
03:03 eh bien, ils vont rester en difficulté même, voire plonger.
03:07 Et le problème, c'est qu'on a peur de ça.
03:09 Et ils vont continuer à manifester pendant plusieurs vendredis.
03:13 C'est le deuxième aujourd'hui.
03:14 Et ils vont attendre une réponse du rectorat
03:17 après avoir reçu ce mail de la directrice
03:19 qui a annoncé que deux classes ici, à l'école de la CULA, allaient fermer.
03:24 Et eux aussi, ils se rassemblent contre la fermeture d'une classe à Ugneux.
03:27 Les parents d'élèves se sont réunis à la sortie des classes ce vendredi
03:31 pour faire blocus.
03:32 Ils ont empêché les élèves et les professeurs de sortir
03:34 pour dénoncer cette décision de l'Académie.
03:37 La suppression de la classe concernerait les élèves du dispositif ULIS,
03:41 qui bénéficie d'une organisation pédagogique adaptée.
03:44 Je vous propose d'écouter une maman d'élèves au micro de Léane Delabrière.
03:48 On nous a annoncé une fermeture de classe.
03:49 En fait, la décision a été prise au mois de mars.
03:51 On nous l'a annoncé une semaine avant la décision.
03:54 Et on est contre, bien sûr, parce que dans cette école,
03:57 les effectifs sont actuellement en hausse
04:00 et qu'il y a des classes ULIS avec des enfants en difficulté,
04:03 des enfants hors ULIS avec des difficultés, des handicaps
04:08 et qui ont des dossiers MDBH.
04:10 Donc on estime que les conditions d'apprentissage
04:13 vont être détériorées pour tous ces enfants,
04:15 mais aussi pour les autres enfants.
04:17 Et toute autre chose à présent,
04:19 le CHU de Saint-Étienne alerte sur une épidémie de rougeole en Auvergne-Rhône-Alpes.
04:25 Une maladie qui se caractérise par l'apparition de boutons peu agréables,
04:29 mais elle est surtout très contagieuse.
04:31 L'une des plus contagieuses qui existe d'ailleurs,
04:34 puisqu'une personne infectée peut la transmettre à 16 autres.
04:37 Et le temps de contagion est long,
04:39 il s'étend sur 5 jours avant et après l'apparition des boutons.
04:43 Pour Elisabeth Bottello-Nevers,
04:45 chef de service d'infectiologie au CHU de Saint-Étienne,
04:48 le meilleur rempart, c'est la vaccination.
04:51 Pour se contaminer, il suffit d'être en contact
04:54 soit avec quelqu'un qui soit est en train de présenter les signes de la rougeole
05:00 ou va les présenter,
05:02 soit avoir été dans un endroit où quelqu'un qui était contagieux
05:06 a été présent dans les deux heures.
05:08 Sur une rougeole "simple", on va avoir des fortes fièvres,
05:12 on va être extrêmement fatigué.
05:14 Et puis la rougeole va pouvoir se compliquer éventuellement d'infections
05:19 liées au virus pulmonaire par exemple,
05:22 des atteintes cérébrales aussi, des encéphalites très graves.
05:25 Alors pour s'en prémunir, la meilleure façon c'est de se vacciner.
05:29 Et les recommandations c'est d'avoir reçu deux doses de vaccins rougeole.
05:35 Alors si on a été en contact avec un cas suspect de rougeole ou qui a la rougeole,
05:39 il faut consulter très rapidement, c'est un peu la course contre la montre.
05:42 D'une part, si on peut recevoir le vaccin et qu'on n'a pas été bien vacciné au préalable,
05:47 dans les 72 heures on va pouvoir bénéficier d'une dose de vaccin.
05:51 Si par contre on est immunodéprimé ou si on est une femme enceinte,
05:55 on ne pourra pas être vacciné.
05:57 Et dans ces cas-là, si encore une fois notre immunité au préalable n'était pas suffisante,
06:02 on va être amené à recevoir ce qu'on appelle les immunoglobulines,
06:06 des anticorps protecteurs contre la rougeole.
06:09 Et là aussi, le temps presse parce qu'il faut que ce soit administré dans les six jours.
06:13 Une interview d'Anthony Verpillon.
06:15 Et la Stas va vers des transports 100% électriques.
06:19 En plus des trois lignes de tram, c'est une troisième ligne de trolleybus
06:23 qui est en train d'être réhabilité.
06:25 D'ici fin 2025, elle reliera le campus de la Métar à la Cité du Design,
06:30 des bus qui seront donc alimentés par des lignes aériennes
06:33 qui étaient posées hier soir sur le boulevard Alexandre-Fressinette.
06:37 Des travaux de nuit suivis par Anthony Verpillon.
06:40 Des agents de la Stas à pied d'œuvre dès 22h30,
06:43 hier soir sur le boulevard Alexandre-Fressinette.
06:46 Ils finalisaient la mise en place de la ligne aérienne sur les 1200 mètres du boulevard
06:51 après quatre nuits de travaux pour tendre chacun des quatre câbles.
06:54 On a effectué une opération de piquetage
06:57 qui consiste à représenter la ligne aérienne au sol
07:03 pour ensuite la retransmettre en gros en l'air sur les installations.
07:07 On a deux camions, on a un camion avec des opérateurs
07:10 qui fixent la ligne quand on arrive sur les suspensions
07:15 et le deuxième camion qui est équipé d'une dérouleuse
07:17 avec un touret de cuivre qui permet de dérouler ce cuivre.
07:23 Des travaux uniques en France puisque ce sont les agents de la Stas
07:26 qui réalisent eux-mêmes la suspension des lignes aériennes
07:29 avec de multiples avantages pour la collectivité qui finance ces travaux.
07:33 On est indépendant et cette indépendance et cette efficacité
07:35 ça nous permet d'être plus réactifs dans le tirage de ces infrastructures.
07:38 Sinon il aurait fallu externaliser le marché par une société privée
07:43 qui aurait nécessité des études et des coûts plus élevés
07:46 par rapport à ce que nous coûte actuellement le tirage de ces lignes.
07:49 Et si ces travaux avancent plutôt bien, ce n'est pas avant un an et demi
07:52 que les trolleys bus de la future ligne M6+ seront en circulation.
07:56 Il faudra réaliser le même travail sur l'ensemble du cours Foriel
08:00 jusqu'à la gare de Château-Creux puis la cité du Design.
08:03 Une infrastructure déjà existante sur les lignes M3 et M6
08:06 mais difficile de le mettre en place sur l'ensemble du réseau.
08:10 Alors ça serait une utopie bien entendu parce qu'on ne peut pas
08:12 avec du trolley bus, même nouvelle génération,
08:15 on n'arrivera pas à faire du périurbain ou du rural.
08:17 Ça permet d'avoir un bus qui circule très vite de façon cadencée
08:21 aussi cadencée qu'un tramway avec une grande capacité,
08:24 c'est-à-dire avec des bus très longs qui font 18 mètres de long
08:27 et qui vont permettre d'emmener beaucoup de personnes
08:30 tout au long de la journée.
08:31 Donc finalement c'est une espèce de quatrième ligne de tramway
08:35 si on fait le parallèle sans les rails.
08:39 Et notez qu'à terme, ce sont 80% des voyageurs de la Stas
08:42 qui seront transportés en véhicule électrique.
08:46 Et notez que 8 bus 100% électriques arriveront
08:49 dès cet été sur le réseau de la Stas s'ils viennent compléter
08:52 une flotte de 5 bus déjà en service actuellement.
08:56 Allez, restez bien avec nous, dans quelques instants,
08:58 on parlera des meilleures joueuses françaises de Basket 3-3.
09:02 Elles sont dans la Loire ce vendredi et samedi
09:04 pour un tournoi au nouveau complexe ligérien Infinity Ball Concept.
09:10 Mais avant, on parle de foot, J-2 avant le retour du derby dans le Chaudron.
09:14 Et ce sont les filles de l'ASSE qui permettent aux supporters
09:18 de retrouver cette affiche de gala un an et demi
09:21 après le dernier disputé par les garçons.
09:23 Elles qui ont obtenu leur maintien et qui veulent disputer
09:26 les quatre derniers matchs de championnat avec beaucoup d'application
09:30 pour préparer la saison prochaine.
09:32 Et il devrait y avoir de la revanche dans l'air,
09:35 car en octobre dernier, les Stéphanoises avaient été balayées 6-0
09:38 au Groupama Stadium.
09:40 Alors plus que jamais, un derby, ça ne se joue pas,
09:42 mais ça se gagne comme le démontre Anthony Verpillon.
09:46 Le dernier derby disputé dans le Chaudron s'était soldé
09:48 par un match nul un partout, avec une égalisation de Wabi Kazri
09:52 dans les dernières secondes sur pénalty.
09:55 Un scénario qui conviendrait parfaitement au coach des filles de l'ASSE.
09:59 On nous le répète tous les jours, un derby, ça se joue pas, ça se gagne.
10:01 Il n'y a pas de souci.
10:02 J'ai toujours été dans cette configuration là,
10:05 à condition que les moyens et les équilibres soient donnés.
10:08 Elles sont championnes de France, elles vont être dans le carré final
10:11 de la Ligue des champions, peut-être en finale de la Ligue des champions.
10:12 Donc, ce n'est pas la peine qu'elles viennent démontrer quoi que ce soit.
10:14 On le sait.
10:16 On les respecte et on respecte énormément le travail qui est fait
10:18 avec cette équipe depuis de nombreuses années.
10:20 Le score ou le résultat, il peut être en notre défaveur,
10:24 ça n'y a aucun doute.
10:24 Mais ce qu'ils viennent chercher, ce n'est pas ça.
10:26 Ce qu'ils viennent chercher, c'est notre capacité à répondre,
10:28 à rester ensemble et à être dans la continuité de ce qui est fait depuis longtemps.
10:32 D'autant que six mois après le lourd reversi,
10:34 Sazero subit à Lyon, les Stéphanoises ont été piquées dans leur orgueil.
10:38 Et même s'il manquera plusieurs individualités,
10:40 à l'image de la défenseur formée à Lyon, Chloé Tapia,
10:43 et l'attaquante Kisselmor, elles veulent bien figurer dans un chaudron
10:47 qui ne comptera pourtant que 3000 spectateurs.
10:49 C'est un derby, donc forcément que ça a une saveur particulière.
10:54 On n'est pas beaucoup de filles à être d'ici.
10:56 Et toutes, que ce soit les étrangères ou les filles qui ne viennent pas d'ici,
11:01 on sait la notion qu'à ce match.
11:04 Saint-Etienne est capable aussi de jouer à Geoffroy-Guichard.
11:06 Vous avez d'autres équipes de D1 qui le font dans leur stade.
11:09 Saint-Etienne aussi, Saint-Etienne, c'est à Geoffroy-Guichard,
11:12 c'est dans le chaudron, donc ce n'est pas rien.
11:14 Je ne manque pas de respect aux autres équipes,
11:16 mais nous, on va jouer dans le chaudron.
11:17 Un match que les Lyonnais abordent elles aussi avec beaucoup de sérieux,
11:21 car elles se dirigent vers un 17e titre de championne de France.
11:25 Vous le savez, il nous reste trois matchs de championnat.
11:27 Sur ces trois matchs, il nous faut une victoire et trois points
11:30 pour assurer la première place.
11:31 Donc, on veut le faire dès dimanche soir.
11:32 C'est aussi simple que ça pour nous.
11:34 Ça a une connotation particulière, comme on vient de le dire, c'est un derby.
11:38 On a besoin aussi dans notre D1 Arkema
11:40 d'avoir ce type de rencontre
11:42 où il y a forcément un petit peu de rivalité au niveau de ces deux clubs.
11:47 Et notez que pour cette rencontre,
11:49 les Lyonnaises devront se passer de leur attaquant de star Eugénie Le Saumeur,
11:52 auteur de début cette saison,
11:54 est blessée au genou.
11:55 ASSE OL féminin, c'est ce dimanche à 21h.
11:59 Et les garçons de l'AS Saint-Etienne, eux, se déplacent en Corse,
12:03 à Ajaccio ce week-end.
12:04 Pour la première fois de la saison,
12:06 ils seront deuxième de Ligue 2, à égalité de points avec Angers,
12:10 mais avec une différence de but favorable pour l'hiver.
12:13 Une position qui ne met pas la pression au coach
12:15 et à Mathieu Cafaro, au micro de Thibaut Rivière.
12:19 Je crois que le coach lui a dit qu'on allait être chasseurs d'Auxerre maintenant.
12:22 Donc je le rejoins, on est chasseurs d'Auxerre.
12:26 Ah, la question du chasseur, du chasser.
12:29 Qu'est-ce que je peux te répondre ?
12:30 La dernière fois, je t'ai répondu qu'on chassait Auxerre,
12:32 mais c'est vrai qu'ils sont assez loin.
12:34 Mais on est côte à côte avec Angers.
12:39 Non, en fait, c'est pas, sincèrement, notre souci.
12:43 Bien sûr, on va voir des matchs, on va voir des résultats, etc.
12:45 Mais on n'est pas sur ce souci d'être chasseurs ou chassés.
12:50 On est sur nous-mêmes, en fait.
12:52 On est focalisés sur ce qu'on doit produire,
12:56 de la manière dont on doit aborder les matchs,
12:59 la manière dont on doit les finir.
13:01 Il y a tout ça qui nous préoccupe tellement
13:03 qu'en fait, on s'occupe beaucoup moins de ce qui est extérieur.
13:07 Et je vous le disais, il y a quelques instants,
13:09 les meilleures joueuses françaises de Basket 3-3
13:12 sont dans la Loire ce vendredi et samedi.
13:14 Elles se préparent à trois mois des Jeux Olympiques
13:17 dans le nouveau complexe ligérien Infinity Bowl Concept,
13:20 juste à côté du stade Geoffroy Guichard.
13:22 Elles vont affronter dans un tournoi ouvert au public
13:25 les équipes U18 de la région.
13:27 Jules Romand est allé voir les préparatifs.
13:30 En seulement une petite semaine,
13:32 le nouveau complexe de Basket 3-3 Infinity Bowl Concept
13:36 s'est sublimé.
13:38 Le local ligérien accueille un tournoi de préparation
13:41 de l'équipe de la plagne Auvergne-Rhône-Alpes 3-3,
13:44 composée des meilleures basketteuses de l'Hexagone.
13:47 Elles représenteront d'ailleurs dans trois mois
13:49 l'équipe de France lors des Jeux.
13:50 Et ce que l'on peut dire, c'est que le complexe
13:53 a déjà conquis l'ensemble de l'équipe.
13:55 Alors oui, parce qu'on se rapproche plus
13:57 de ce qu'on peut trouver en fait sur les compétitions
14:01 de 3-3.
14:03 C'est un revêtement spécifique,
14:05 comme vous pouvez le voir,
14:06 ça c'est des dalles de plastique en clipsable.
14:09 Donc c'est vrai qu'on se rapproche beaucoup plus
14:12 de ce qu'on peut trouver de façon régulière sur les tournois.
14:15 Un sacré test donc pour le récent local ligérien
14:18 qui a fait installer une tribune pour les 500 personnes attendues.
14:22 Beaucoup, beaucoup d'excitation.
14:24 Un peu de stress, mais pas tant que ça.
14:27 On a accueilli déjà les joueuses et le staff là à manger à midi.
14:31 Et voilà, dans un super état d'esprit.
14:35 On est motivés et on est prêts à recevoir un maximum de public.
14:39 L'occasion est donc parfaite pour Laetitia Guapo,
14:41 Hortense Limousin ou encore Marie-Eve Pagé
14:44 d'emmagasiner le plus de confiance,
14:46 réviser les schémas de jeu
14:48 et de continuer de développer leur forme physique avant les JO
14:51 dans ce local unique en France.
14:53 2000 m² de terrain, 500 m² d'espace annexe,
14:56 32 m sous plafond,
14:58 voilà un petit peu, 5 terrains de basket 3-3.
15:01 L'équipe de la Plagne-Horloge a fait 2 tournois,
15:03 mais c'était pas dans la loi.
15:04 C'était en Haute-Loire à Monistrol et puis sur Lyon.
15:07 Donc on est le site, le premier site ligérien
15:10 où elles évoluent pour la préparation aux JO.
15:12 Le tournoi débute ce vendredi.
15:14 Il reste encore des places d'ailleurs pour les intéressés.
15:17 A noter que samedi, les matchs démarreront à 17h15.
15:20 Et la finale se déroulera à 20h45 ce samedi.
15:27 Et préparez-vous à saliver.
15:28 Cecilia Richard, une pâtissière ligérienne encore en étude,
15:32 a reçu le prix du deuxième meilleur flan de France.
15:36 Dans la catégorie professionnelle tradition,
15:39 c'était le 1er avril.
15:40 A Lyon, elle est revenue dans la boulangerie de son patron
15:43 depuis à la manufacture de gens à Ugneux.
15:45 Thibaut Ruyer a essayé de percer les secrets
15:48 d'un des meilleurs flans du pays.
15:50 Et voici le deuxième meilleur flan tradition de France.
15:56 Sa créatrice a tout juste 20 ans,
15:58 c'est son deuxième prix après la meilleure galette d'apprenti 2023.
16:02 Je l'ai ici.
16:04 On compte peut-être bientôt l'encadrer.
16:07 Pourquoi pas le placer ici ?
16:09 Sur ce diplôme, un nom du jury interpelle,
16:12 surtout pour cette femme des émissions télé de cuisine.
16:14 Mercotte faisait partie de ce jury-là.
16:17 C'est vrai que ça m'a fait bizarre de la voir en vrai et pas à la télé.
16:21 Du coup, avec l'habitude de regarder souvent le meilleur pâtissier,
16:26 elle a pu goûter aussi une de mes créations.
16:29 C'est vrai que c'était une super belle expérience.
16:30 Allez, les ingrédients pour le flan sont prêts
16:33 et un en particulier a intrigué le jury pendant le concours.
16:36 Dans les flans, on va dire vraiment traditionnels,
16:40 l'appareil à flan est vraiment fait soit que de lait,
16:43 soit que de crème, ou vraiment un mélange de lait ou de crème.
16:47 Et moi, j'ai décidé de réduire un peu en crème
16:50 pour ajouter du lait concentré non sucré
16:53 qui apporte vraiment cette texture et cette acquisité,
16:57 on va dire, pas comme dans tous les flans.
16:59 En plus de cette pâte pas si traditionnelle.
17:02 J'ai choisi de faire cette méthode de pâte,
17:05 même choisir cette pâte qui de base,
17:07 elle n'est pas comprise dans le règlement du concours,
17:09 mais j'ai voulu tester et oser
17:12 pour pouvoir mettre deux valeurs de la tradition française,
17:15 c'est-à-dire le croissant avec le flan pâtissier.
17:18 J'ai décidé de les faire en strié,
17:21 juste pour apporter un petit peu d'esthétique au flan.
17:25 Un résultat permis grâce à de nombreux tests,
17:28 au moins un flan par jour sous les conseils avisés de ses mentors.
17:32 Surtout, le grand aide qui vient de Jean-Jacques Born,
17:35 c'est une personne qui est là pour ses élèves,
17:37 une personne qu'on peut toujours aller le voir pour n'importe quel conseil,
17:42 parce qu'il jurifie aussi plusieurs concours.
17:43 C'est vrai qu'on a reécrit la recette ensemble.
17:46 Par exemple, au début, j'utilisais du glucose.
17:48 Jean-Jacques Born, lui, m'a conseillé de mettre du miel de lavande
17:51 qui apporte du goût et ça apporte aussi un sucre naturel.
17:54 Cuisson de la pâte, ajout de l'appareil à flan bien mixé,
17:58 25 minutes encore au four, on laisse reposer 6 heures et on peut servir.
18:02 - Tenez, madame. - Bonjour.
18:04 Bonjour.
18:05 J'aime bien.
18:12 Ça ne ressemble pas au flan que ma maman faisait.
18:15 Ah ben non.
18:16 C'est plus ferme.
18:17 Elle le mérite.
18:18 Merci.
18:18 Félicitations, j'espère qu'ils le vendront.
18:21 Un flan disponible pour le moment que sur commande à Unieux,
18:24 à la manufacture de Jean.
18:26 Un flan qui a l'air certainement délicieux.
18:29 Voilà, c'est la fin de votre JT.
18:30 Merci de l'avoir suivi.
18:32 L'information revient lundi à 19h, où on continue sur tl7.fr et nos réseaux sociaux.
18:37 Merci de votre fidélité.
18:38 Sous-titrage ST' 501
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