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00:00 En France, la chanteuse Aya Nakamura, cible de l'extrême droite.
00:03 Depuis un article de l'Express qui évoquait le 29 février des exigences secrètes d'Emmanuel Macron pour le JO,
00:08 notamment cette idée de faire chanter du piaf à Aya Nakamura.
00:11 Depuis, c'est indiscret, jamais confirmé d'ailleurs par l'Elysée ou la chanteuse.
00:15 L'extrême droite étant toupie.
00:17 Ça, c'est Éric Zemmour ce week-end.
00:19 Le public eut Aya Nakamura.
00:21 Des militants d'extrême droite ont aussi déployé une banderole dans Paris qui indiquait
00:26 "ici c'est Paris, pas le marché de Bamako".
00:27 Ce ne sont pas les images qu'on voit là du tout, évidemment.
00:29 C'est inacceptable pour la LICRA.
00:31 Aya Nakamura elle-même, elle a répondu aux attaques.
00:34 "Vous êtes rapides, racistes et pas sourds", leur décrit-elle.
00:37 Elle est défendue au micro de CETAVU par Amélie Oudéa Castera.
00:41 La parole raciste, elle est décomplexée.
00:43 On le voit sur les réseaux sociaux parce qu'il y a parfois un manque de modération qui est latent.
00:50 C'est qui ?
00:52 Voilà, Amélie Oudéa Castera qui réagit au micro de CETAVU.
00:56 Ce type d'attaque, non.
00:57 Il n'a en aucune façon une place dans notre pays et à l'occasion des Jeux.
01:03 C'est juste pas possible.
01:04 Ça m'a vraiment écoeurée.
01:07 Qu'il puisse y avoir des critiques, des attentes, des préoccupations sur les Jeux olympiques,
01:11 paralympiques, tout ça est normal à nous d'y répondre.
01:15 Et elle va même jusqu'à pousser la chansonnette.
01:17 Elle est fan d'Aya Nakamura.
01:19 Ah bon ?
01:20 "Et la joie est claboussée par son son"
01:22 Ah, c'est pas le bon.
01:22 J'aime bien Dja Dja, j'aime bien Doudou, j'aime bien SMS, j'aime bien IP.
01:26 Y a du reit, y a de la...
01:29 Voilà.
01:30 Amélie Oudéa Castera qui chante.
01:32 Qui finalement n'a pas chanté.
01:33 Merci beaucoup Yvonnel Ayrch, professeur.