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Dissolution du CC - Serigne Niang ne mâche pas ces mots PDS ak APR...

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00:00 Pas de pouvoir pour le contre-pouvoir.
00:05 C'est vrai.
00:06 C'est pourquoi nous avons tous l'ultime conviction de surveiller l'Assemblée Nationale.
00:10 Parce que le président de la République, l'exécutif, l'a fait.
00:17 Je pense que nous devons modifier l'article 31 de la Constituion.
00:24 Même scénario n'est pas dessiné. Jusqu'à preuve du contraire, le PDS n'a pas porté le combat.
00:32 Pour moi, le combat est porté par le président Maguissal.
00:35 Parce que même si on regarde les partisans et les journalistes,
00:40 on ne peut pas les garder comme ça.
00:43 On a déjà parlé de la question du Conseil Conscienel.
00:46 On a déjà parlé de ça sur les plateaux.
00:47 Il faut la défendre partout.
00:49 Donc, on veut qu'il y ait une réalité.
00:52 Le Conseil Conscienel, ce qu'il a fait, jusqu'à preuve du contraire, j'ai une bonne foi.
00:58 Parce que nous avons des charges à nous.
01:01 Techniquement, on peut faire des choses pour pouvoir protéger la justice.
01:08 C'est ce que nous avons fait avec le président Maguissal.
01:11 Nous avons pris une décision.
01:14 Dans les meilleurs délais, nous avons organisé des élections présidentielles.
01:18 Le président n'a pas fait ça dans un seul délai.
01:22 Il y a des candidats qui ont été séparés du Conseil Conscienel pour qu'ils ne soient pas encore là.
01:27 Le président l'a fait en deux jours.
01:29 Nous avons parlé avec les autorités compétentes.
01:32 Ils ont pris des décisions qui ne sont pas de leur côté.
01:35 Ils ont pris des décisions.
01:37 Ils ont été séparés du Conseil Conscienel.
01:39 Le Conseil Conscienel, quand il a été séparé, il a été donné un avis avant qu'il ne soit en Conseil des ministres.
01:43 Il a vu la date.
01:45 Il a vu que le Conseil Conscienel était fixé.
01:47 C'est la question.
01:49 Le Conseil Conscienel était fixé le 31.
01:51 Le président Maguissal est venu le 24.
01:53 Le Conseil Conscienel a été séparé.
01:55 Pour moi, le charge du Conseil Conscienel est fort.
01:58 Parce qu'il a été poussé.
02:00 Si on ne s'attendait pas à ce que le président Maguissal puisse être dans ces schémas,
02:05 il aurait plus de temps pour aller.
02:07 Pour moi, c'est dilatoire.
02:10 L'exécutif est derrière tout ça.
02:12 Le chemin qu'on a choisi dans l'Assemblée Nationale, c'est là que nous voulons aller.
02:16 Si on l'a arrêté, on va dire la vérité.
02:19 Et les deux coalitions qui veulent arrêter le réunion, elles vont dire la vérité.
02:23 Carignoise, beaucoup dans les élections, c'est vrai.
02:25 Mais, on va accepter aussi.
02:27 La loi est dure, mais c'est la loi.
02:29 Carignoise, on ne va pas la sortir.
02:31 Jusqu'à preuve du contraire, on ne va pas la sortir dans les élections présidentielles.
02:35 La Constitution Sénégale, l'article 28, c'est ce qui a une double nationalité.
02:39 Ce qui reste, c'est ce que nous avons dit.
02:41 Je ne dis pas que tout ce que le Conseil Constitutionnel a fait est bon.
02:44 Parce que le Conseil Constitutionnel, depuis qu'il a commencé,
02:47 depuis qu'il a créé, il n'y a pas eu de désir de ne plus sortir et de ne plus contester.
02:51 Et ce double nationalité n'est pas fini.
02:53 Car Mamadou Lamine Diallo, quand il a fait l'enregistrement de l'RTS,
02:56 il a appelé le président Macky Sall à Conseil Constitutionnel
03:00 pour qu'il lève les Sénégalais en liste 19.
03:04 Et il a une autre nationalité, une autre nationalité Sénégalaise.
03:07 C'est ça.
03:09 C'est ça, encore.
03:11 C'est ça, encore.
03:13 Non, c'est vrai.
03:19 Parce que le président a dit ce qu'il avait à dire.
03:21 Et je l'ai dit depuis longtemps.
03:23 Dans les élections, je n'ai pas pensé à aller à l'élection.
03:28 Parce que, il y a quelque chose que je voulais dire.
03:32 Je ne suis pas le seul à juger le président Macky Sall dans les cadres.
03:36 Je l'ai jugé dans les rues.
03:38 Parce que beaucoup de choses ne sont pas discutées même avec des rues.
03:41 C'est la réalité.
03:42 Il a dit qu'il allait y aller. Il a insisté qu'il allait y aller le 2 avril.
03:44 Mais jusqu'à preuve du contraire, je ne crois pas que le président Macky Sall est prêt à quitter le pouvoir.
03:49 Je ne le crois pas.
03:50 Deuxièmement aussi,
03:52 le groupe ne l'a pas élevé. Il a même dit qu'il ne l'a pas élevé, les électeurs.
03:56 L'opposition, elle l'a élevé. Il a même dit qu'il ne l'a pas élevé.
03:59 Donc, on va aller voir en dehors aussi.
04:01 Ceci est dilatoire.
04:03 On va dire la vérité.
04:04 Si on dit la vérité, c'est dilatoire.
04:05 Les Sénégalais sont fatigués.
04:08 Le conseil conventionnel, je l'ai dit tantôt,
04:10 il y a beaucoup de choses qui se passent.
04:12 Il y a des contestations.
04:13 Il y a des injustices.
04:14 Il y a des candidats.
04:16 Mais le président de la République a dit que les décisions du conseil conventionnel,
04:20 personne ne peut en faire.
04:21 C'est lui qui a théorisé et dit cela.
04:23 Quand je lui ai dit que le PDS avait créé une commission d'enquête parlementaire,
04:28 il a été très clair.
04:31 Il a dit aux députés qu'il y avait déjà une insérence.
04:34 Il a dit aux députés qu'ils n'avaient pas le droit de soutenir la dynamique.
04:38 Parce que les députés devaient laisser s'exprimer selon leur volonté.
04:42 Parce qu'ils incarnaient l'exécutif.
04:44 Il y a déjà eu une séparation des pouvoirs.
04:47 Maintenant, même scénario.
04:48 On dirait qu'on va aller à l'Assemblée nationale.
04:50 Mais il a dit aux députés qu'ils devaient soutenir la logique.
04:53 Fatou Abdou a dit qu'il y avait un solution.
04:55 Le décret, c'est ce qu'il a dit.
04:57 Le droit, c'est ce qu'il a dit.
05:00 Et le Conseil Consionnel, on le sait tous, il l'a mis là.
05:02 Donc, il y a des possibilités.
05:04 On peut dire que le Conseil Consionnel a fait beaucoup de choses.
05:08 Il a fait beaucoup de choses.
05:10 Il a fait beaucoup de choses.
05:11 Je suis convaincu que c'est le président Macky Salla.
05:15 Parce que depuis que le Conseil Consonnel a validé le lycée,
05:18 il n'y a pas eu de problèmes avec les 19 candidats.
05:21 C'est pour ça que nous avons entendu le discours de Abdou Mbawou à l'Assemblée nationale.
05:24 Certainement, je pense que c'est la mauvaise date.
05:28 Parce que matériellement et techniquement,
05:31 on sait que les élections de l'année 2024 sont en cours.
05:34 C'est une réalité.
05:35 Mais je sens la main de l'exécutif.
05:38 Dans ce qui est du PDS,
05:40 le PDS ne porte pas le combat du PDS,
05:42 mais il porte le combat du régime actuel.
05:44 Voilà.
05:45 Très bien. Alassad.
05:46 Je pense que devant Alassad,
05:48 on le sait, mais je pense que le véritable problème,
05:50 peut-être qu'on le saura,
05:52 c'est que Makissal n'a plus confiance en son candidat, Ahmadou Ba.
05:57 C'est ça.
05:59 Il ne parle pas.
06:00 C'est ça.
06:01 Et Makissal n'est pas un enfant de queue.
06:04 Il ne porte pas le PDS.
06:06 Parce que c'est comme le match de football.
06:08 On ne peut se rendre qu'au match de football.
06:10 C'est parce que le match est arrêté.
06:12 On a donné un jeu rouge.
06:14 On a sorti et il est allé dans le tribune.
06:16 Il a vu le match et il est venu jouer.
06:18 Et on lui a donné du crédit pour ça.
06:21 On a de quoi.
06:23 On a de quoi.
06:24 On doit beaucoup par force.
06:26 C'est ce que je veux comprendre.
06:28 Mais c'est de bonne guerre.
06:29 Oui, mais non.
06:30 Par force, on n'est pas dans une république bananière.
06:32 On ne sait pas qui est qui.
06:33 Mais on l'a dit par force.
06:34 C'est ce qu'on a dit.
06:35 Non, on l'a dit par force.
06:36 On l'a dit par force.
06:37 Ça prouve que ce n'est pas tout, Abdou.
06:39 On a une élection de deux.
06:40 On a un héros.
06:41 Mais c'est la réalité.
06:43 Makissal n'a plus confiance en son candidat.
06:45 Il a fait tout pour sortir de l'élection.
06:48 On ne peut pas sortir de l'élection.
06:50 Marie nous a fait confiance.
06:51 Les 19 sont là.
06:52 Ils doivent y aller.
06:53 Ils ont fait confiance.
06:54 Si on veut avoir des problèmes,
06:56 ils ont besoin de matériel.
06:57 Mais tout est à peu près prêt.
06:58 Les électeurs sont là.
07:00 Ils ont fait confiance.
07:01 Ils ont dit qu'il y a une élection.
07:02 On a de quoi.
07:03 Mais il n'y a rien dans ce pays.
07:05 Les gens veulent tranquillement aller aux occupations.
07:07 Comme il y a 12 jours, comme il y a 15 jours.
07:09 Je pense que l'élection, le 24, comme on l'a dit,
07:11 d'autant plus qu'on a comme l'hiver,
07:13 pour qu'il parte en campagne.
07:14 Ça veut dire que maintenant, il est dans la disposition
07:16 pour aller à l'élection.
07:17 Peut-être que le jour où il part,
07:18 il ne le fera pas aussi.
07:19 Il a séparé son anti-prosperité
07:21 pour qu'il se libère et qu'il parte en campagne.
07:23 Ça veut dire qu'aujourd'hui...
07:24 Mais les candidats,
07:26 Alassane, est-ce que nous sommes prêts?
07:28 Nous avons dit de vérifier la double nationalité.
07:31 Nous avons dit de vérifier
07:33 les candidats qui ont les règles et le fisc.
07:35 Ils ne le disent peut-être pas directement,
07:38 mais on a l'impression que les 24,
07:40 les candidats, pas tous,
07:42 n'ont pas arrangé.
07:43 Il y en a qui sont citoyens.
07:45 Il y en a qui sont citoyens.
07:46 Il y a des gens qui attendent.
07:47 Si vous voulez, nous allons y aller.
07:48 Parce que maintenant,
07:49 le contrôle qui doit être fait,
07:51 ça, ça dépend du conseil et de l'administration.
07:55 C'est-à-dire que tout ce qui doit être fait,
07:57 tout ce qui est en cours de discussion,
07:58 nous devons le faire.
07:59 Il y a des gens qui attendent.
08:00 Ils attendent que les 24,
08:01 nous allions voter pour les autres.
08:03 Pour qu'on ait un président nouveau,
08:04 pour les autres.
08:05 C'est une nouvelle dynamique.
08:06 C'est-à-dire qu'on ne peut pas être là tout le temps.
08:09 C'est-à-dire que, comme tu l'as dit,
08:10 quand tu poses des questions,
08:11 nous sommes tous...
08:12 Après, personne ne sait.
08:14 Parce que, maintenant,
08:15 nous parlons de l'affaire
08:16 et nous sommes tous à la gauche, à droite, partout.
08:18 Quand on a dit qu'Aumaz,
08:19 comme président,
08:20 avait fixé une date,
08:21 les gens qui étaient dans la rue,
08:22 qui étaient dans la rue,
08:23 ils ont dit qu'ils allaient nous faire des déçus.
08:25 Mais le président avait l'attitude
08:26 de déçous de le conseil.
08:27 Voilà, il n'y a pas de doute.
08:29 Il pouvait le faire.
08:30 En convoquant l'article 52,
08:31 je ne sais pas, de la constitution.
08:33 Il s'arrange de tous les pouvoirs.
08:34 Il ne l'a pas fait.
08:35 Je dis que le député Amir,
08:37 comment est-ce qu'on peut débattre
08:38 les assemblées,
08:40 les tournées,
08:41 mobiliser toute la journée,
08:42 mobiliser tout le monde,
08:43 pour quoi après ?
08:44 Pour déçous du conseil consulat.
08:45 Il ne peut pas.
08:46 Il n'a qu'à prendre ses responsabilités.
08:47 C'est ça aussi.
08:48 Il faut être courageux dans la vie pour moi.
08:49 Ce que tu dois faire,
08:50 c'est de le faire.
08:51 Ce qu'on doit savoir,
08:52 comme on a dit,
08:53 c'est que c'est lui qui a choisi
08:55 de reporter les élections.
08:56 Mais il a fait ça.
08:58 En ce moment,
08:59 les Sénégalais le constateront.
09:00 Et maintenant,
09:01 quelqu'un va prendre
09:02 sa femme
09:03 pour la regarder.
09:04 Mais ça,
09:05 on ne peut pas rester là aussi.
09:06 Le matin prochain,
09:07 les campagnes d'encore,
09:08 on veut encore parler des élections.
09:09 Pourquoi le matin ?
09:10 Parce que dès le mois d'octobre,
09:11 on a fait le choix.
09:12 On a dit ok,
09:13 on va le faire.
09:14 Pourquoi ?
09:15 A quelle fin ?
09:16 Finalement,
09:17 entre février et mars.
09:18 C'est au mois.
09:19 Donc,
09:20 on a reporté,
09:21 le président a traîné les pieds
09:22 pour ensuite
09:23 d'obtenir une date,
09:24 le 24 mars.

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