• il y a 9 mois
Dans son discours sur l’état de l’Union jeudi, le président des États-Unis a raillé à plusieurs reprises son « prédécesseur », qu’il a accusé de vouloir mettre en « danger » la démocratie américaine. Fustigeant un esprit de « vengeance » chez son rival républicain, il a plus que jamais installé le bras de fer avec lui, en vue de l’élection de novembre.

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Transcription
00:00 Depuis le président Lincoln et la guerre civile,
00:02 la liberté et la démocratie n'ont pas été assautées à la maison,
00:05 comme elles le sont aujourd'hui.
00:06 La menace à la démocratie doit être défendue.
00:09 Mon prédécesseur et certains d'entre vous ici
00:11 cherchent à barrer la vérité au sujet du 6 janvier.
00:14 Je ne ferai pas cela.
00:16 C'est le moment de parler de la vérité et de barrer les mentes.
00:20 Voici la simple vérité.
00:22 Vous ne pouvez pas aimer votre pays seulement quand vous gagnez.
00:25 (Applaudissements)
00:32 L'Amérique ne peut pas retourner.
00:35 Il y a quatre ans, la semaine prochaine,
00:37 avant que je ne sois allé à l'office,
00:39 le pays a été touché par la pire pandémie
00:41 et la pire crise économique de l'histoire.
00:43 Mon président, mon prédécesseur a failli
00:46 dans la responsabilité la plus basique de la présidence
00:48 qu'il donne aux Américains, la responsabilité de s'occuper.
00:52 Je pense que c'est inforgivable.
00:54 Je suis venu à l'office pour nous amener à traverser
00:56 l'une des périodes les plus difficiles
00:58 de l'histoire de la nation.
00:59 Nous l'avons.
01:01 Cela ne fait rien de nouveau, mais il y a des nouvelles
01:03 dans des milliers de villes et des villes.
01:05 Les Américains écrivent la plus grande histoire
01:06 de la réconciliation jamais racontée.
01:08 (Applaudissements)

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