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Fabrice Nguema Revue de Presse du mercredi 06 mars 2024 en Français

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00:00 Nous on va s'intéresser à Enquête. Enquête c'est presque notre génération.
00:04 Enquête, parce que c'est l'excellent Mamadou On.
00:07 Je veux vous lâcher un truc.
00:11 Mamadou On c'est lui qui écrivait Samba à l'art de populaire.
00:14 - Hummm... - Samba à l'art.
00:16 - Mamadou On, d'accord.
00:17 - Yacham Kodouné Dembaï, directeur de publication.
00:20 Bon !
00:21 Saisie pour avis sur la date et les candidatures.
00:25 Enquête nous dit que le Conseil constitutionnel déchire
00:29 le consensus de Diab Ndiaye.
00:31 L'information...
00:34 Le Conseil constitutionnel a déchiré
00:38 le consensus de Diab Ndiaye.
00:41 - Le Conseil a reçu le rapport.
00:42 - Ah ! En tout cas, Enquête nous dit que le Conseil constitutionnel a déchiré
00:47 Diab Ndiaye.
00:48 Et je crois que le Dugoutigui et le Taher Haute Couture
00:52 et Tchedienang.
00:53 Ils ont remis au Président le rapport K.
00:56 - Oui, lundi. - Lundi !
00:57 Donc probablement lundi, après-midi, août, mardi matin,
01:01 le rapport s'est retrouvé au Conseil constitutionnel.
01:04 Parce que Enquête nous dit pour avis.
01:06 Avis qui veut dire décision.
01:08 Et vous savez, le Conseil constitutionnel selon Enquête a réglé sa fast track.
01:14 Parce que le Conseil constitutionnel refuse de varier sur sa position.
01:17 C'est une décision qui ne me surprend guère !
01:22 - Et pour l'après de l'avril ?
01:24 - Ah ! En tout cas, le Conseil déchire le consensus.
01:28 Saisit pour avis sur la date.
01:30 C'est là !
01:32 Date !
01:32 - Et les candidatures ? - Et les candidatures !
01:34 Parce que, il y a eu le cas K. Kari Meissa Valde Haute.
01:37 Le Conseil déchire le consensus de Diab Ndiaye.
01:41 - Il fallait s'y attendre.
01:42 - Alors, le Conseil constitutionnel a agi en mode fast track.
01:46 Date de l'élection est durée du matin.
01:48 Les sept sages restent sur leur position.
01:53 Ils vont maintenir l'invalidation de la candidature de K. Kari Valde.
01:58 La réaction du palais est donc très attendue.
02:02 Ah oui ! Avis défavorable.
02:05 Réaction du palais. Action, réaction !
02:09 - En fait, moi, ma préoccupation c'est que nous propose le Conseil constitutionnel après l'après de l'avril.
02:14 - Ah ! En tout cas, eux, ils ont resté comme avant.
02:18 Organiser les élections dans les meilleurs délais.
02:20 Donc, comprendra qui pourra.
02:23 Donc, ça sous-entend que le meilleur délai, c'est avant le 2 avril.
02:28 Ben là, on est un peu clair.
02:30 C'est ça les meilleurs délais.
02:32 De votre, ils auraient peut-être ajouté l'EBRD de votre mandat.
02:37 On aurait peut-être ajouté ça.
02:39 Mais tu sais, la loi d'Allah, c'est tellement compliqué.
02:44 C'est-à-dire nous qui avons le niveau C1, on ne peut pas parfois comprendre cette énorme chose.
02:48 Le Conseil déchire le consensus de Diab Ndiaye.
02:52 C'est l'information du jour.
02:55 Et c'est Enquête quotidienne qui nous livre ça.
02:58 Nous sommes bien au mois de mars, nous ne sommes pas au mois d'avril.
03:02 Donc, ça veut dire ce que ça veut dire.
03:04 Voilà, c'est une information de enquête.
03:07 Le Conseil constitutionnel a agi en mode fast-track.
03:11 Date de l'élection et durée du mandat, les sept stages restent sous leur position.
03:15 Il va maintenir l'invalidation de la candidature de Karim Van Ndiaye.
03:20 La réaction du palais est donc très attendue.
03:22 Niente.
03:24 Voilà le point de l'enquête sur la terre.
03:27 Mais l'enquête parle du vote de la loi d'Amnesty.
03:30 Mais l'arène politique est en ébullition.
03:32 En ébullition, clair.
03:34 En ébullition.
03:36 Voilà la situation.
03:38 L'arène politique est en ébullition.
03:40 De quoi il s'agit exactement ?
03:42 Parce qu'on peut peut-être évoquer un point, mais revenir sur un autre point.
03:47 Parce que les points, ils sont importants.
03:49 Parce que Bougad Gédadi aussi a encore donné un coup de pied dans la fourmilière.
03:54 Déjà, l'enquête nous disait que la situation est telle que,
03:58 aujourd'hui, le Conseil constitutionnel, nous on n'est pas encore informés,
04:03 eux ils sont informés, a déchiré le protocole de Yamyagyo.
04:08 Mais on attribue toutes les situations politiques au Sénégal.
04:12 Écoutez bien.
04:14 Déglutir les choses.
04:17 Après l'amnestie, oui.
04:20 La dissolution du Conseil constitutionnel.
04:23 Ah bon ?
04:24 Ah, c'est Tribune quotidienne.
04:26 Après l'amnestie, parce que,
04:28 Bilahi prenait l'adresse de Karim Ouad.
04:31 Karim a dit, ça ne veut pas dire qu'il faut prendre,
04:34 est-ce que ce sont des propos à prendre ?
04:36 Sahirman ou Badiouman ?
04:38 En tout cas, ça va.
04:40 Il nous a dit, première chose, il n'y aura pas d'élection le 25 février.
04:45 Deuxième chose, il y aura la municipalité, une commission d'enquête parlementaire.
04:50 Troisième chose, dissolution du Conseil constitutionnel.
04:54 Et quand on voit un peu la situation dans laquelle nous sommes,
04:58 avec une situation, avec un moment où la balle est allée au Conseil constitutionnel,
05:04 et c'est revenu au palais,
05:06 maintenant la réaction du palais est attendue, Tribune quotidienne,
05:10 évoque un point parmi les points qui fait la une,
05:15 une forme d'interrogation.
05:18 Il y a l'amnestie, ça va passer.
05:21 La dissolution du Conseil constitutionnel,
05:24 qui pour nous sauver d'une république de politiciens ?
05:28 Ce sont les affaires de politiciens.
05:31 Affaires de bandits ou affaires de vilains,
05:33 comme le problème du chimpanzé là-bas.
05:36 Après l'amnestie, la dissolution du Conseil constitutionnel.
05:40 Attention !
05:42 Donc apparemment, Tribune semble avoir flairé peut-être quelque chose
05:46 que nous on n'a pas encore vu.
05:48 Qui pour nous sauver d'une république de politiciens ?
05:51 Il y a un problème !
05:53 La politique est au-dessus de la loi.
05:57 Comme vous avez l'habitude de le dire.
05:59 C'est au-dessus de la loi.
06:01 Mais celui qui refuse d'être un politicien professionnel,
06:06 un politicien de chair, titulaire de chair,
06:12 c'est Bougad Gaye.
06:14 Mais lui, il est farouchement, et bien farouchement, contre quoi ?
06:18 Il est farouchement, et bien farouchement, contre l'amnestie.
06:22 Parce qu'il y a un problème à son avis.
06:25 Mais pourquoi il est contre l'amnestie ?
06:27 Mais écoute, ne souillez pas le sang de nos 86 partis !
06:30 Sans oublier.
06:32 Mais il y a 86 personnes qui ont perdu leur vie.
06:34 On nous a vendu Forces Spéciales, Forces Occultes, Terroristes,
06:39 Tueurs, mais pour tuer !
06:43 On nous a tout vendu !
06:45 Mais il dit "mais attends, mais amène tous les clés, tout ça là."
06:48 Ce sera renvoyé au calende grec.
06:51 Calende grec.
06:53 Alors, ne souillez pas le sang de nos 86 partis !
06:57 Ceux qui voteront cette loi seront des complices à jamais !
07:02 Qui a commandité ces meurtres ?
07:04 Qui sont ceux qui ont tiré ?
07:06 Qui sont ces Forces Occultes à débusquer ?
07:08 Où sont les terroristes ?
07:10 Donc, il n'y aura...
07:12 - Il n'y aura plus de personnes qui ne mériteraient pas.
07:14 - Absolument.
07:15 - Non, c'est-à-dire, après le vote de la loi,
07:18 il n'y aura plus de terroristes,
07:20 il n'y aura plus de Forces Spéciales,
07:22 il n'y aura plus de martyrs,
07:24 parce qu'il y a des gens qui nous ont dit "martyrs".
07:26 Il paraît qu'ils étaient des martyrs !
07:28 Mais ils nous ont surpris bizarrement hier.
07:32 Ceux qui nous vendaient les martyrs là.
07:35 Mais rien à voir avec les martyrs de Luganda.
07:37 Alors, des nervis armés et commandités sont-ils à la base
07:42 des exactions criminelles relayées partout ?
07:45 Voilà un problème.
07:47 On se réveille, un jour on pleure,
07:49 et puis on dit "mon Dieu est grand, il y a le bar de terminé."
07:52 On regarde et on dit "déééé, déééé."
07:54 Mais voilà une autre information de tribune,
07:57 autour de monsieur le Premier ministre.
08:00 "Poussé à la démission, le PM Amadou bat sur siège, éjectable."
08:04 Ah, ça commence à sentir par le jasmin.
08:08 Le Néferembam.
08:10 Le Néferembam court.
08:11 Miray Nisek.
08:12 Alors, vote du projet de loi d'amnistie.
08:15 Je ne doute entre le PDS et Iyewi.
08:19 Non, le PDS. Il dit non, non, non.
08:22 Le PDS se propose d'être groupe parlementaire,
08:24 "yo, parlement."
08:26 Non, le PDS dit "bon, on est yo, parlement."
08:28 Comme on nous a dit que "on est yo, parlement."
08:30 En fonction des circonstances.
08:31 Non, ils disent que ça dépend de Iyewi.
08:33 Où vous votez, on vote là-bas.
08:35 Si vous dites oui, on est oui.
08:37 Si vous dites non, on est non.
08:39 Votez, c'est-à-dire, eux, ils vont regarder les députés de Iyewi.
08:42 De passer.
08:44 Quel sera le vote ?
08:46 Si eux disent oui à la BICI, le PDS va voter.
08:49 Si ils disent non, on remet.
08:51 Mais c'est tout.
08:52 Mais le vote sera secret.
08:54 De toutes les façons, ce vote-là ne doit pas être secret.
08:57 Ce genre de vote-là, on doit voir.
09:00 C'est-à-dire, comme ça, tu vois, tu...
09:02 Qui vote pour et qui vote contre.
09:04 On doit...
09:06 C'est comme ça.
09:07 Parce qu'il y a des votes, ça doit être clair.
09:09 Monsieur le président de l'Assemblée,
09:11 "abadou mam yo".
09:13 Le vote de la BICI, là, c'est une demande sociale.
09:15 Ça doit être clair.
09:17 En direct, on va voir, on regarde, on va voir tous les visages.
09:20 On aura peut-être une idée si c'est un vote à mêler.
09:24 Non, on veut que ce soit...
09:26 C'est une demande sociale.
09:27 C'est une exigence sociale.
09:29 Bon, parce que, attends, il faut que ce soit...
09:31 Mais, dès à présent, tout doit être clair.
09:33 Mais on va voir plus clair.
09:35 Loi d'amnistie, PASTEF entre le bateau et l'enclume.
09:38 Mais vous avez Birame Seck qui indexe quoi ?
09:41 Mais l'ambiguïté des députés de PASTEF
09:43 c'est qu'ils ne les différencient pas des politiciens habituels.
09:46 Parce qu'eux, ils se définissent comme étant
09:49 "hors système".
09:53 "Anti-système".
09:55 Mais maintenant, ils sont systématisés.
09:57 Systématiquement systématisés.
09:59 C'est un peu ce que j'essaie d'expliquer.
10:01 Systématiquement politiciens.
10:03 Politiciens. Voilà. Alors, choix difficile
10:05 entre la liberté de plus de milliers de détenus
10:07 et le rejet de la loi aussi.
10:09 C'est qu'il y a aussi une situation donnée.
10:11 Mais ce qu'il faut donner comme argent comptant
10:13 c'est cette position de Bougad.
10:15 Nom à une amnistie. Ne souillez pas
10:17 le sang de nos 86 martyrs.
10:19 On a ça ici.
10:21 Mais ici, c'est là où commence l'information.
10:24 Bougad Gaye-Dany a eu de l'évidence.
10:26 Bougad Gaye-Dany, c'est pratiquement
10:29 l'amnistie, un affront à la justice
10:32 pour nos 86 martyrs.
10:34 Donc les députés, s'ils votent pour l'amnistie,
10:36 ils souillent justement les martyrs.
10:39 Mais on ne va pas quand même martyriser les gens
10:41 avec ce qu'on a expliqué ce matin.
10:43 J'ai voulu prendre suite quotidienne.
10:45 Mais vote de la loi d'amnistie,
10:47 qui sont contre tous? Les députés de l'ex-Pasteur
10:49 Sartienne en commission.
10:51 Sartienne, Pasteur Sartienne.
10:53 Madame, nous avons dit que nous voulions voter.
10:55 Mais on dit qu'il ne dit pas ce qu'on sent.
10:57 C'est ce que les Français disent.
10:59 Bon, nous avons dit que nous voulions voter.
11:01 Alors, les députés de l'ex-Pasteur Sartienne
11:03 en commission,
11:05 t'as eu et puis, appelle à voter contre.
11:07 Le PDS va s'allier sur le vote de Yéhé.
11:09 Si Yéhé dit "Waouh", il dit "Waouh".
11:11 Si Yéhé dit "Dé", il dit "Dé".
11:13 Il dit "Dé" et il y en a même d'autres.
11:15 Non, c'est-à-dire le PDS s'érige...
11:17 Non, ça c'est chez Maïssa Tchoron.
11:19 Il s'érige en partie, en partie,
11:21 en groupe parlementaire,
11:23 y'a pas de problème.
11:25 Bon, vote du projet de loi d'amnistie,
11:27 le ni-oui, ni-non de Pasteur.
11:29 Bilal Souré et compagnie Sartienne
11:31 le plus votent contre.
11:33 Le groupe Yéhé a les preuves.
11:35 Y'a eu cette relève, l'ambiguïté de l'ex-PASSEF
11:37 et les autres partis quand même
11:39 clouent au pilori la situation.
11:41 Situation, on va voir autre gaffe.
11:43 Cuisine interne, vous avez Amadou Mamyop.
11:45 Et vous avez ici...
11:47 Abinata Taz.
11:49 Guey et Yét. Qui a ben le Guey et le Yét?
11:51 Avec toute cette société perdue de la petite.
11:53 Pareil, ça c'est Khalifa Sale
11:55 est pur, sûr et dur.

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