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Fabrice Nguema Revue de Presse du mardi 05 Février 2024 en Français

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Transcription
00:00 Ah oui parce que les absents
00:04 morts, ceux qui ne participeront pas à
00:07 Ah bon, l'amnésie, l'amnésie
00:14 Parce que quand même c'est un peu dans ce cadre que Tribune Quotidien intervient
00:21 Parce qu'aujourd'hui l'amnésie en soi n'est pas une mauvaise chose
00:26 Dans l'histoire politique du Sénégal, on sait qu'on a connu cette histoire, ce problème
00:34 entre Senghor et Mamadou Dia et il y a eu une loi d'amnésie qui est passée par là
00:39 On a connu aussi Abdoulaye Nwadou, le père du libéralisme africain
00:45 Il est aussi passé par là et aujourd'hui on ramène justement cette loi
00:51 Pour quel fait ? En tout cas Tribune considère que c'est une honte
00:57 La rédaction de Tribune prend position par rapport à cette loi en téléchargement
01:04 Comme disent les jeunes. Projet de loi, c'est un projet encore, ce n'est pas encore une loi
01:09 Il ne faut pas faire le baptême d'un enfant avant sa naissance
01:13 Projet de loi, amnésie, quelle honte vers une immunité pour les politiciens
01:21 Vraiment, c'est moche quand même
01:23 Je vous ai dit que la politique était au-dessus de la loi
01:26 Quand je le disais, les chenapans, les enfants des curés
01:32 C'est ça l'amnésie ?
01:37 Ah, c'est là !
01:42 Quelle honte vers une immunité pour les politiciens
01:46 Voilà ce que relève Tribune
01:48 Tribune ne cherche pas à savoir si cette loi profite à X, Y, Z ou W
01:56 Ou alors la loi est pour les hommes ou les femmes
02:00 Ou alors, je ne sais pas
02:03 Mais de toutes les façons, c'est une honte
02:06 La laïef est une honte
02:08 Oui, amnésie, c'est ça, mais c'est pas la loi
02:12 Le sexe
02:14 Quelle honte vers une immunité pour les politiciens
02:18 C'est entre eux-mêmes là-bas
02:20 Ils savent se faire la guerre quand ils veulent
02:22 Ils savent se donner des coups de poing par personnes interposées
02:26 Ils savent dénoncer la violence, ils savent dénoncer les morts
02:30 Et eux-mêmes, ils savent comment organiser les choses pour tout effacer
02:36 Mais qui chercherait-il à couvrir ses proches
02:40 Si t'es dans le recrutement d'un nervis armé ?
02:43 Ça c'est une interrogation
02:46 Parce qu'aujourd'hui, même quand tu poses une question, on dit que c'est une affirmation
02:50 Même le français n'a plus ce sens
02:51 C'est vrai, non
02:52 C'est ça que tu penses
02:54 Cette loi contraire à la morale
02:58 Et aux lois de l'humanité selon le docteur Mbaye Sissé
03:03 La loi d'amnistie par rapport à cette situation-là
03:06 Mais ce n'est pas interdit
03:09 Et la procédure est jugée légale et légitime
03:15 Parce qu'on passe par l'Assemblée nationale, la représentation du peuple
03:18 Son adoption constituerait une prime troublante à l'impunité
03:25 Moi j'aimerais voir la réaction de Me Mbaye Sissé là-dessus, sur cette question
03:29 Me ?
03:30 Lénine
03:31 Non, lui qui a eu le black belt
03:33 Chut, chut, chut, arrête de chuchoter
03:36 Il l'a dit
03:37 Il est catégorique
03:38 Non, non, non, ça a sur ce point, il est chirurgical
03:40 Mais la loi est en train de suivre son bonhomme de chemin
03:44 Le projet de loi
03:45 Il est aujourd'hui dans l'hémicycle
03:48 Et vous savez que quand c'est dans l'hémicycle, ça va continuer
03:52 Personne ne peut arrêter ça là-bas
03:54 Personne
03:56 Même le président ne peut pas dire "Renvoyez-moi ma loi là"
03:59 C'est terminé, c'est parti
04:01 Il n'y a que les députés eux-mêmes
04:03 Parce que sous le régime libéral
04:05 C'est non-adoption
04:06 Non-adoption, mais sous le régime libéral
04:08 Contrairement à ce qu'on pense, mais il y a beaucoup de lois qui ont été rejetées
04:11 C'est vrai
04:12 Si, les gens pensent que c'était majorité mécanique, électronique, voire biométrique, tout ce que vous voulez
04:18 Mais il y a des lois qui ont été rejetées
04:20 C'est pas parce que le président veut que tout le monde...
04:22 Non, non, non, parce qu'on fait face à son adoption
04:26 On va constituer une prive tout blanc à l'impunité, mais selon Amnistie Internationale
04:31 Ah oui
04:32 Voilà la situation
04:34 Situation oblige
04:36 Huit jours après les concertations
04:38 Makisal reçoit le rapport de son dialogue
04:42 Son entre guillemets
04:44 Dialogue ou est-ce que c'est pour Maki ou est-ce que c'est pour Fofana
04:48 Ou est-ce que c'est pour le meilleur chanteur du moment, Keba Sek
04:52 Le meilleur chanteur du moment, en tout cas lui préfère se produire au plan culturel et musicalement
04:57 Mais Maki il se produit au plan politique
05:00 Chacun joue sur son terrain
05:02 Voilà
05:03 Makisal reçoit le rapport de son dialogue
05:06 Mais nouvelle loi contre la corruption
05:10 Le président de l'OFNAC devient un super procureur
05:14 Mais débordant
05:17 Ah oui
05:18 Ah oui et vous avez vu
05:20 Le professeur titulaire Marité Ounian qui avait même fait une analyse
05:24 C'est à dire on peut dissoudre la cour constitutionnelle en passant par l'OFNAC
05:28 Il a évoqué ce point là
05:31 (Parle en langue étrangère)
05:36 Donc voilà la situation, il avait évoqué le professeur titulaire
05:39 C'était une production intellectuelle
05:42 Une analyse
05:43 Une analyse, maintenant s'il y a d'autres qui ont une production intellectuelle pour contenir ou apporter de l'eau au moulin
05:49 Le professeur Marité Ounian qui le fasse
05:51 Mais de grâce pas de trucs de voilà, calivre
05:56 Alors, on reste avec tributes quotidiennes
05:59 Banditisme, série d'agressions
06:02 Mais Dakar et sa banlieue en danger, attention
06:05 Actuellement même ça chauffe
06:08 Les voyous et les bandits, les agresseurs ils sont là partout
06:13 Et nulle part
06:14 Ils gèrent
06:16 La situation oblige, vous savez, Oumar Faye de l'erreur à ce qu'à lui
06:19 Regarde
06:21 Lui, l'histoire de Khalifa
06:23 Tant que l'erreur du bail
06:25 C'est une nationalité
06:26 (Parle en langue étrangère)
06:33 Bon, saisie du conseil constitutionnel sous les conclusions du dialogue
06:37 Nous en sommes à ça
06:38 Parce que Baky a dit je reçois lundi et je transmets
06:41 Et vous avez vu le Dougouti qui a amené le rapport au Diamone Tigi
06:45 Voilà, mission accomplie
06:48 Maintenant lui aussi, Baky aussi va renvoyer le dossier au conseil constitutionnel
06:53 Parce que le conseil constitutionnel, il faut dire que c'est le Célébiode
06:57 Où tu vas tu, oui, oui, oui, conseil constitutionnel
07:01 Et aujourd'hui, Oumar Faye interpelle le président Bakisa sur le cas Khalifa Sale
07:07 Il disait, mais président, mais Khalifa, est-ce que c'est toi qui lui as signé
07:11 Qui a signé le Rameenam contre Sénégalais
07:16 Parce que le débat autour de l'exclusivité de la nationalité
07:20 Est en train de prendre d'autres proportions
07:22 Attention
07:24 Bon, vous savez, nous qui sommes d'adoption là
07:29 (Parle en langue étrangère)
07:32 L'observateur, toujours sur cette question autour justement du projet de loi d'amnistie
07:39 A une position assez tranchée
07:42 Amnistie, le texte de tous les dangers
07:45 Les articles, les lire
07:47 Attention, quand on voit, on a l'impression qu'il ne sait jamais passer
07:50 Parce que quand on voit ça, donc il faut oublier, on efface la mémoire
07:54 C'est à dire on cannibalise, c'est ça l'expression
07:56 On cannibalise tout, cannibaliser
07:59 On ignore
08:00 On est en train d'affaiblir la norme pénale
08:03 Ah oui, je suis d'accord
08:05 Il faut quand même que les jeunes se prennent sur la question
08:09 Éclairage sur les possibles poursuites devant la CPI
08:13 Là aussi, il y a une équation
08:15 Équation à 1, 2, 3, 4, 5, inconnue
08:18 Mais vous avez l'observateur Lombs qui parle de présidentielle
08:21 Et après le 2 avril
08:23 Parce que la date maintenant importe peu
08:26 Mais le problème c'est après le 2 avril, on fait combat
08:29 Qui gère ?
08:31 Même le 4 avril, la fête nationale, on n'en parle pas
08:33 Début du Karem, le Karem, le début du Ramadan
08:37 Mais après le 2 avril, on fait combat
08:40 C'est la grande question
08:42 À qui on va remettre notre fauteuil là ?
08:47 Qui va diriger le bateau ?
08:51 Bateau Sénégal
08:53 C'est qui le capitaine ?
08:56 Le dialogue prolonge le mandat de Macky
08:59 Le dialogue prolonge le mandat de Macky
09:03 Jusqu'au 2
09:05 Entre guillemets
09:07 Parce que les signes ont leur sens en français
09:10 Comme on a souvent affaire à beaucoup de gens qui comprennent à l'envers
09:15 Ou de travers
09:17 On va tenir compte aussi de...
09:19 Parce que Mbam Gat nous a aussi dirgué
09:21 Alors, le dialogue prolonge le mandat de Macky
09:24 Mais lui il dit qu'il va envoyer ça au conseil consulaire
09:27 Mais constitutionnellement
09:30 On peut peut-être évoluer dans un sens où
09:33 On comprendra ce que nous livre le soleil
09:36 Le président a reçu le rapport, ça c'est clair
09:39 Vous avez vu, ils sont là
09:41 Le tailleur haute couture
09:43 Il est là
09:45 Donc on lui a dit que tu es tailleur constitutionnel
09:47 Il dit non, je suis tailleur haute couture
09:49 Il y a le dugoutegui là
09:52 Avec ça c'est un costume Francisco Sbalto
09:56 Mais ça c'est notre ministre de l'intérieur qui a eu cette responsabilité
10:00 Vous avez le diabanatigui ?
10:02 C'est lui le diabanatigui ?
10:05 Ah non !
10:07 Le diabanatigui est là
10:09 Et vous avez ?
10:11 Chens !
10:13 Non non non, Chens !
10:15 Tador Tiedela Falcon
10:17 Tador Tiedela
10:20 Mbam Gour
10:22 On dit que Mbam Gour
10:24 Il dit non, non, moi je suis buzz
10:26 Il m'a dit non, ton nom là est neutre
10:28 Bon, voilà un peu
10:30 Ah Mbam Gour c'est neutre
10:32 Voilà un peu ce qu'on peut voir
10:34 Voilà le rapport, le rapport il est là
10:36 On ne va pas faire dans des coutures
10:40 Ou dans des coupes
10:42 Mais il faut aller droit avec Walf Quotidien qui parle de projet de loi d'admissi
10:44 La CPI l'autre obstacle
10:46 Ça aussi on n'est pas sorti de là
10:48 Mais le PDS dans l'embarras
10:50 L'embarras du choix
10:52 Parfois aussi on perd dans le choix de l'embarras
10:54 Ah parce que aussi le PDS
10:56 Mais il faut quand même dire que
10:58 Sur cette question
11:00 Le candidat du PDS avait été ferme
11:02 En son temps
11:04 Si un député du PDS vote une loi d'admissi
11:06 En ma faveur je démissionne
11:08 Il l'avait dit
11:10 Bon ben
11:12 Ça n'a rien à voir avec ce que certains pourront penser
11:14 Absolument rien à voir
11:16 Je veux que vous rappelez les faits
11:18 Les faits sont sacrés
11:20 Mais là débrouillez-vous
11:22 Avec votre commentaire qui est libre
11:24 En tout cas lui en son temps
11:26 Il disait "Bilal ici quelqu'un vote une loi"
11:28 Karim Eissa
11:30 "Ouah, talibé mouri, salire"
11:32 "Si quelqu'un vote du PDS
11:34 Vote une loi en ma faveur d'admissi
11:36 Je démissionne du PDS"
11:38 Il l'avait dit
11:40 Bon est-ce qu'entre temps les choses ont changé
11:42 On va pas faire peut-être dans le changement
11:44 Espace-temps ou de temps-espace
11:46 Mais vous avez le point actuel
11:48 C'est la dernière carte
11:50 Final c'est le terbidus
11:52 Le Pera
11:54 Et le Tankoumouki
11:56 C'est fini
11:58 Mais pourquoi désire-t-il tant cette loi d'amnestie
12:00 Il faudrait peut-être quelque part
12:02 Qu'il nous explique
12:04 En tout cas
12:06 À qui profite cette loi
12:08 C'est la question
12:10 Qui a intérêt
12:12 Que cette loi
12:14 Moi j'attends le jour du vote
12:16 J'attends l'assemblée à l'hébicycle de la délibération
12:18 Qui votera
12:20 Je vais voir à qui profite vraiment cette loi
12:22 Et c'est probablement au nom de la loi
12:24 Du droit à l'information
12:26 Que le point actuel
12:28 Le manœuvre au sommet de l'État
12:30 Mais Makissal a basé cette dernière carte
12:32 Le chef de l'État tient à la reprise
12:34 Du processus électoral
12:36 Et la loi d'amnestie
12:38 Karine Vann et Ousmane Sonko
12:40 Remue en course
12:44 Amadou Mbamdiou
12:46 Président
12:48 Le processus électoral risque d'être repris
12:50 Amadou Ba et Dioumaï Fay
12:54 Menacés
12:56 Ce sont les plus du point actuel
12:58 Les risques qui pèsent
13:00 Sur le conseil constitutionnel
13:02 Parce qu'il y a eu une information
13:04 Qui nous disait qu'en fait Makivo
13:06 Qui est beaucoup de candidats de l'APF
13:08 Plus un seul
13:10 Bon, les risques qui pèsent sur le conseil constitutionnel
13:12 Mais vous avez
13:14 Assemblé la soirée après la réunion
13:16 De la conférence des présidents hier
13:18 La commission des lois de la décentralisation
13:20 Du travail et des droits humains
13:22 Se réunit aujourd'hui
13:24 Et dans la commission des lois
13:26 Mais tous les présidents du groupe parlementaire y sont membres
13:28 Tous
13:30 C'est une commission, parce que tout le monde veut cette commission
13:32 Même les souris de l'Assemblée
13:34 Veulent savoir ce qui se passe là-bas
13:36 Élection présidentielle du 2 juin
13:38 Les nouvelles précisions du choc de l'État
13:40 Mais et en l'état
13:42 On peut voir enquête qui nous dit que
13:44 Makira a son côté son éligibilité
13:46 Makira a son côté son éligibilité
13:52 Donc qui votera à l'Assemblée nationale
13:56 C'est la grande équation
13:58 Qui votera, qui sera et qui profite
14:00 Le texte passe en commission des lois
14:02 A l'Assemblée nationale aujourd'hui
14:04 L'affaire son coco de Mambaïgnan
14:06 N'échappe pas au champ du projet de loi d'Amnistie
14:08 Ah bon ?
14:10 Les victimes des faits amnistiens
14:12 Peuvent toujours poursuivre leurs acteurs
14:14 Selon Amadou Koumédi
14:16 Camara doctorant en droit
14:18 Mais il y a le silence assourdissant
14:20 De l'ex
14:22 Ah faut pas dire
14:24 Ah ben là il me dit de ne pas le dire
14:26 L'ex de
14:28 Leur silence assourdissant
14:30 Il n'en parle pas
14:32 Hum hum hum hum
14:34 Hum hum hum hum
14:36 Hum hum hum hum
14:38 Silence assourdissant
14:40 De qui ?
14:42 Hum hum
14:44 Le PDS dans le pays mourid
14:46 Devient indéfectible au cœur de la République
14:48 Non faut foutre dalle
14:50 Gourgui là non non
14:52 Non non tout va au Gourgui
14:54 Non non non toi aussi Gourgui
14:56 Tu sais que lui c'est
14:58 C'était
15:00 Gourgui Mourid
15:02 Et même Massalikoul
15:04 Parce que c'est Gourgui Mourid qui a inventé Massalikoul
15:06 Avec
15:08 Bon saisie imminente du conseil constitutionnel
15:10 Avec Bakissal
15:12 Mais vous avez
15:14 Direct du 11
15:16 Attends j'ai envie de prendre l'immigration
15:18 Il s'agit de quoi ? Travaux de reconstruction du lycée Sédila-Libamoulaye de Gégeouaï
15:20 11 milliards de francs
15:22 11 milliards de francs c'est fait
15:24 Engagé dans l'opacité totale
15:26 Mais qui a géré le dossier là ?
15:28 C'est sous Maria Massar c'est la ministre dans le service de la formation professionnelle
15:30 Ah bon ?
15:32 Comment la cour suprême a remis en cause
15:34 Toute la procédure
15:36 Après avoir constaté
15:38 Que le ministre de la formation professionnelle
15:40 De l'apprentissage
15:42 Et de l'instruction
15:44 Ne s'est pas conformé au principe
15:46 De transparence dans le dossier
15:48 Moins cher de 2 milliards de francs CFA
15:50 Est proposé comme attributaire
15:52 Du marché après dépouillement
15:54 L'entreprise XBAT a été écartée
15:56 sur la base.

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